120e et 320e RI

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320e régiment d'infanterie

J.O. du 1er août 1919 page 7991

KLEIN (Camille), matricule 011576, soldat de 1ère classe (territorial) à la 22e compagnie du 320e régiment d'infanterie : soldat d'élite, modèle de bravoure au feu. A été blessé très grièvement, le 2 novembre 1918, à Sissonne. Amputé du bras gauche. Deux citations.

COURT (Léopold-Jules), matricule 16273, soldat (réserve) à la 17e compagnie du 320e régiment d'infanterie : très bon soldat. A été très grièvement blessé, le 23 juillet 1918, au bois du Châtelet, en se Portant bravement à l'attaque des positions ennemies. Une citation.

MOILLET (Georges), matricule 18673 bis, soldat (réserve) à la 17e compagnie du 320e régiment d'infanterie : très bon soldat, pourvoyeur de fusil mitrailleur d'un grand mérite. Le 22 juillet 1918, à l'attaque du bois du Châtelet (Aisne), a assuré sans relâche, malgré un tir violent de mitrailleuses, le ravitaillement en munitions de son fusil mitrailleur. A été très grièvement blessé au cours de l'action. Enucléation de L'œil gauche.


J.O. du 19 février 1919 page 1851

LOY (Pierre), matricule 357, caporal au 320e régiment d'infanterie : jeune gradé, plein d'entrain et de courage. A conduit avec intelligence et audace des patrouilles dangereuses au cours des affaires du 10 au 14 octobre 1918. S'est distingué particulièrement dans la nuit du 12 au 13 par sa progression constante sous bois, obligeant l'ennemi à lui céder le terrain.

JOURDAIN DE THIEULLOY (Marie-Jean-Baptiste-René-Robert-Guy), matricule 24, aspirant au 320e régiment d'infanterie : très bon chef de section. Par son attitude personnelle au combat, sert d'exemple à ses hommes. Le 11 octobre ; avec sa section, a traversé l'Aisne sur un passage de fortune défendu par des postes ennemis, a fait 11 prisonniers et s'est emparé d'une mitrailleuse. Blessé légèrement par un éclat de grenade, a continué à assurer son commandement jusqu'à la réussite complète de son opération.

CEUNINCK (Gaston), lieutenant au 320e régiment d'infanterie : le 10 octobre 1918, après avoir franchi l'Aisne, a exécuté une manœuvre par débordement qui a permis la capture de 30 Allemands armés de 3 mitrailleuses. A personnellement contribué à la prise d'un aspirant, de 2 sous-officiers et de 14 soldats armés de 2 mitrailleuses. Déjà cité.

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320e régiment d'infanterie


J.O. du 15 juillet 1919 page 7338

Ordre de la division n° 27 du 25 novembre 1916.
BROYARD (Edouard-Emile-Gabriel), 017433 b ; soldat (territorial) à la 19e compagnie du 320e régiment d'infanterie actuellement au 29e régiment d'artillerie : soldat dévoué et courageux. A été très grièvement blessé le 9 septembre 1914 devant Reims, a fait preuve d'une grande énergie en se rendant seul au poste de secours.

Domestique agricole, il est jugé bon pour le service par le conseil de révision de Montdidier en 1904, alors qu'il demeure chez ses parents à Ayencourt-Le-Monchel (Somme)
Il est incorporé au 120e régiment d'infanterie le 10 octobre 1905 sous le n° matricule 7504. Il passe dans la disponibilité de l'armée active le 25 octobre 1906, un certificat de bonne conduite lui étant accordé.
Il est rappelé à l'activité par décret de mobilisation générale du 1er août 1914 et arrive au corps à Péronne, le 5 août suivant. Là un nouveau n° matricule lui est attribué le 017221.
Evacué blessé le 9 septembre 1914 (il est alors au 320e d'infanterie), il est par la suite réformé temporairement par la commission de réforme d'Ancenis (Loire-Atlantique) du 27 octobre 1915 pour troubles vertigineux et douleurs cérébrales consécutives à une fracture région occipito-pariétale. Se retire à Ayencourt-le-Monchel. Rappelé au 29 d'artillerie en 1916, il finit par être déclaré inapte à la zone des armées.

Décorations : Croix de guerre avec étoile de Vermeil - Médaille militaire (décret du 4 août 1919)

Broyart, Edouard Emile Gabriel, né le 27 janvier 1884 à Ayencourt (Somme), classe 1904, matricule n° 216, Bureau de recrutement de Péronne 1R964 Archives de la Somme


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J.O. du 20 décembre 1917 page 10408

(Pour prendre rang du 15 septembre 1917.)
AUJOGUE (Claude), capitaine à titre temporaire (réserve) au 320e régiment d'infanterie : officier d'une valeur exceptionnelle, qui donne l'exemple du courage et du devoir depuis le début de la campagne. A été grièvement blessé, le 14 septembre 1917, en menant sa compagnie de mitrailleuses à la contre-attaque. Déjà blessé et cité à l'ordre.


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J.O. du 20 décembre 1917 page 10410

(Pour prendre rang du 4 octobre 1917)

TOULARASTEL (Jean-Marie), matricule 9887, soldat (active) au 320e régiment d'infanterie : très bon soldat, d'un dévouement et d'un courage remarquables. brièvement blessé, le 26 septembre 1917 à son poste de combat, dans la tranchée de première ligne. Déjà blessé antérieurement.

ALDEBERT (Léon-François), matricule 13171, soldat (réserve) au 320e régiment d'infanterie : soldat mitrailleur brave et dévoué. Grièvement blessé, le 25 septembre 1917, au cours d'un violent bombardement. Déjà deux fois blessé antérieurement.


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J.O. du 1er août 1915 page 5275

LEFEVRE Lefèvre (G.-A.-L.), caporal au 320 rég. d'infanterie, matricule 01639 : a été blessé dans une tranchée le 9 septembre 1914. Bon caporal, qui a très bien conduit son escouade. A été amputé du bras droit,
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J.O. du 28 septembre 1916 page 8554

MINISTÈRE DE LA GUERRE
Le ministre de la guerre, Vu le décret du 13 août 1916, Arrête : Article unique. — Sont inscrits aux tableaux spéciaux de la Légion d'honneur et de la médaille militaire, les militaires dont les noms suivent:

MÉDAILLE MILITAIRE

(Pour prendre rang du 16 août 1916.)

CHANTRELLE (Pierre-Léon-Alexis), matricule 01127, soldat de 1ère classe au 120e régiment d'infanterie : excellent et courageux soldat. Blessé très grièvement à son poste de guetteur, pendant l'attaque du 16 août 1916. Amputé de l'avant-bras gauche.


Morts pour la France du 120e R.I. le 16 août 1916


Guillaume Alexandre ALBISSON
Mort pour la France le 16 août 1916 à Belloy-en-Santerre - tué à l'ennemi à 500 mètres SO de Belloy en Santerre (Somme)
Né le 28 mars 1890 à Anglards-de-Saint-Flour (Cantal)
soldat de 2e classe 120e régiment d'infanterie (120e RI)
Classe 1910 - Bureau de recrutement d'Aurillac (Cantal) - Matricule au recrutement ; 1644
Lieu de transcription du décès : Anglards-de-Saint-Flour (Cantal)


André Emile Alphonse BAUDELIN
Mort pour la France le 16 août 1916 à Belloy-en-Santerre - 500 M SUD OUEST, (Somme)
Né le 2 septembre 1895 à Amiens (Somme)
caporal au 120e régiment d'infanterie (120e RI)
Classe 1915 - Bureau de recrutement d'Amiens (Somme) - Matricule au recrutement - 781
Lieu de transcription du décès : Amiens (Somme)

Epicier au 14, rue Saint-Jacques à Amiens chez ses parents au moment de son passage devant le conseil de révision du canton d'Amiens Sud-Ouest. Cheveux blonds, yeux bleus, visage ovale, il mesure 1 mètre 80 et possède un degré d'instruction générale de niveau 3.
Incorporé au 120e régiment d'infanterie à compter du 19 décembre 1914. Arrivé au corps et soldat de 2e classe ledit jour n° matricule au corps : 8384. Parti aux armées le 15 avril 1915. Nommé caporal le 27 mai 1915.
Evacué blessé le 27 septembre 1915 aux Eparges (Meuse) - plaie de la tête par éclat d'obus. Rentré au dépôt le 21 décembre 1915. Reparti aux armées depuis le dépôt du 120e à Ancenis le 6 mai 1916.
Tué à l'ennemi, le 16 août 1916, à 500 mètres au Sud-Ouest de Belloy-en-Santerre (Somme)
Avis officiel du ministère de la Guerre du 2 septembre 1916

Baudelin, André Emile Alphonse, né le 2 septembre 1895 à Amiens (Somme), classe 1915, matricule n° 781, Bureau de recrutement d'Amiens 1R1091 Archives de la Somme
et
Baudelin, André Emile Alphonse, né le 2 septembre 1895 à Amiens (Somme), classe 1915, matricule n° 781, Bureau de recrutement d'Amiens 3U2_2116 Archives de la Somme


Alexis Jean Marie François DELALANDE
Mort pour la France le 16 août 1916 à Belloy-en-Santerre, (Somme)
Né le 10 septembre 1885 à Ercé-en-Lamée (Ille-et-Vilaine)
soldat de 2e classe au 120e régiment d'infanterie (120e RI)
Classe 1905 - Bureau de recrutement d'Ancenis (Loire-Atlantique) - Matricule au recrutement : 987
Lieu de transcription du décès : Sion-les-Mines (Loire-Atlantique)

Georges Jean Baptiste Jules DENIS
Mort pour la France le 16 août 1916 à Belloy-en-Santerre, (Somme)
Né le 29 octobre 1880 à Franconville (Val-d'Oise) (ex Seine-et-Oise)
soldat de 2e classe au 120e régiment d'infanterie (120e RI)
Classe 1900 - Bureau de recrutement de Péronne (Somme) - Matricule au recrutement : 724
Lieu de transcription du décès : Fricourt (Somme)

Hélier Jules GAILLARD
Mort pour la France le 16 août 1916 à Belloy-en-Santerre (Somme)
Né le 21 août 1893 à Saint-Samson-la-Poterie (Oise)
soldat de 2e classe au 120e régiment d'infanterie (120e RI)
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 545
Lieu de transcription du décès : Saint-Samson-la-Poterie (Oise)

Désir Séraphin GAUDISSART
Mort pour la France le 16 août 1916 à Belloy-en-Santerre (Somme)
Né le 27 septembre 1889 à Hérelle (La) (Oise)
soldat de 2e classe au 120e régiment d'infanterie (120e RI)
Classe 1909 - Bureau de recrutement de Beauvais (Oise) - Matricule au recrutement : 1143
Lieu de transcription du décès : Hérelle (La) (Oise)

Henri Eugène Julien JOURDAIN
Mort pour la France le 16 août 1916 à Belloy-en-Santerre - 500m à l'ouest de Belloy , (Somme)
Né le 29 mars 1893 à Teilleul (Le) (Manche)
soldat de 2e classe au 120e régiment d'infanterie (120e RI)
Classe 1913 - Bureau de recrutement de Granville (Manche) - Matricule au recrutement : 165
Lieu de transcription du décès : Teilleul (Le) (Manche)

Alphonse Gaston LECRIVAIN
Mort pour la France le 16 août 1916 à Belloy-en-Santerre - 500 m au sud ouest, (Somme)
Né le 6 mai 1888 à Paillart (Oise)
soldat de 2e classe au 120e régiment d'infanterie (120e RI)
Classe 1908 - Bureau de recrutement de Péronne (Somme) - Matricule au recrutement : 331
Lieu de transcription du décès : Folleville (Somme)

Jules Narcisse LOEILLOT
Mort pour la France le 16 août 1916 à Wiencourt-l'Équipée - Hôpital d'évacuation, (Somme)
Né le 28 mars 1891 à Blagny (Ardennes)
soldat de 2e classe au 120e régiment d'infanterie (120e RI)
Classe 1911 - Bureau de recrutement de Charleville-Mézières (Ardennes) - Matricule au recrutement : 427
Lieu de transcription du décès : Blagny (Ardennes)

Incorporé à compter du 8 octobre 1913 au 120e régiment d'infanterie n° matricule au corps : 4733
Blessé le 15 août 1916 à Belloy-en-Santerre - plaie région hépatique par éclat d'obus.
Décédé le 16 août 1916 de blessures de guerre à l'hôpital d'évacuation de Wiencourt-l'Equipée - avis ministériel du 1er septembre 1916 G.O. 4406.

Sources : archives départementales des Ardennes 1R 238
LOEILLOT Jules Narcisse matricule au Rt : 427 Registre matricule - classe 1891 - lieu de naissance : Blagny, Ardennes - fileur à Blagny, Ardennes - niveau d'instruction : 3


Emile NOSEDA
Mort pour la France le 16 août 1916 à Belloy-en-Santerre (Somme)
Né le 14 septembre 1883 à Signy-l'Abbaye (Ardennes)
sergent au 120e régiment d'infanterie (120e RI)
Classe 1903 - Bureau de recrutement de Charleville-Mézières (Ardennes) - Matricule au recrutement : 202
Lieu de transcription du décès : Signy-l'Abbaye (Ardennes)

Rappelé à l'activité au 120e régiment d'infanterie par décret de mobilisation générale du 1er août 1914 et arrivé au corps le lendemain 2 août n° matricule au corps : 016268. Nommé caporal le 25 octobre 1915 et sergent le 6 mai 1916 (ordre du régiment n° 41).
Tué à l'ennemi le 16 août 1916 à Belloy-en-Santerre - avis de ministère du 2 septembre 1916
Cité à l'ordre de la division n° 104 du 5 novembre 1915 :"Caporal très brave, volontaire pour toute mission difficile. S'est fait particulièrement remarquer le 29 octobre 1915 à l'attaque de trois lignes successives de tranchées allemandes."

Sources : archives départementales des Ardennes 1R 188
NOSEDA (Noséda) Emile n° matricule au Rt : 202 Registre matricule Classe 1903 - né en 1883 à Signy-l'Abbaye, Ardennes - scieur de long à Signy-l'Abbaye, Ardennes - niveau d'instruction : 2


Victor Henri OLIVIER
Mort pour la France le 16 août 1916 à Belloy-en-Santerre (Somme)
Né le 7 octobre 1887 à Chapelle-Heulin (La) (Loire-Atlantique)
caporal au 120e régiment d'infanterie (120e RI)
Classe 1907 - Bureau de recrutement d'Ancenis (Loire-Atlantique) - Matricule au recrutement : 1530
Lieu de transcription du décès : Chapelle-Heulin (La) (Loire-Atlantique)

Victor Louis QUINTON
Mort pour la France le 16 août 1916 à Belloy-en-Santerre (Somme)
Né le 9 novembre 1885 à Paris 3e arrondissement
soldat de 2e classe au 120e régiment d'infanterie (120e RI)
Classe 1905 - Bureau de recrutement Seine 6e bureau (75) - Matricule au recrutement : 3588
Lieu de transcription du décès : Paris 17e arrondissement

Eugène Victor RABADEUX
Mort pour la France le 16 août 1916 à Belloy-en-Santerre (Somme)
Né le 11 mai 1894 à Bain-de-Bretagne (Ille-et-Vilaine)
sergent au 120e régiment d'infanterie (120e RI)
Classe 1914 - Bureau de recrutement de Rennes (Ille-et-Vilaine) - Matricule au recrutement : 1274
Lieu de transcription du décès : Bain-de-Bretagne (Ille-et-Vilaine)

venant du 17e d'infanterie, il passe au 120e régiment d'infanterie le 16 avril 1915, matricule au 120e R.I. : 10992. Nommé sergent le 19 juillet 1915
Mort pour la France - Tué à l'ennemi - le 16 août 1916, à 500 m au sud-ouest de Belloy-en-Santerre (Somme)
Campagne contre l'Allemagne du 4 septembre 1914 au 16 août 1916

Sources : archives départementales d'Ille-et-Vilaine registres matricules classe 1914 1 R 2154


Séraphin RAMBERT
Mort pour la France le 16 août 1916 à Proyart - ambulance 4/11, (Somme)
Né le 18 octobre 1883 à Montrond (Jura)
soldat de 2e classe au 120e régiment d'infanterie (120e RI)
Classe 1903 - Bureau de recrutement de Lons-le-Saunier (Jura) - Matricule au recrutement : 937
Lieu de transcription du décès : Brevans (Jura)
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120e régiment d'infanterie


J.O. du 3 octobre 1919 page 10846
MEDAILLE MILITAIRE
Les nominations ci-dessous comportent, en outre, l'attribution de la Croix de guerre avec palme.


DUVAUCHELLE (Alfred-Jules), matricule 01401 bis, soldat de réserve à la 8e compagnie du 120e régiment d'infanterie : très bon soldat. A été blessé très grièvement, le 12 avril 1915, à Maizeray.

DIVÈRES (Jean-Marie), matricule 12403, soldat de 1ère classe de réserve à la 3e compagnie du 120e régiment d'infanterie : très bon soldat, A été très grièvement blessé et fait prisonnier, le 12 avril 1915, au combat de Marcrevile (sic *), en défendant contre une attaque allemande une tranchée qui venait d'être prise d'assaut.

* LIRE : Marchéville-en-Woëvre
Cordialement
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120e régiment d'infanterie

voir aussi la page 9 de ce sujet

Bataille de la Somme - août-septembre 1916


J.O. du 4 janvier 1923 page 965 et suivantes

POULINET (Auguste-Germain), matricule 12566, soldat : brave soldat. Tombé pour la France, le 17 août 1916, à Belloy-en-Santerre, dans l'accomplissement de son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

Auguste Germain POULINET
Mort pour la France le 17 août 1916 à Belloy-en-Santerre - 500m Sud-Ouest de Belloy-en-Santerre, tué à l'ennemi (Somme)
Né le 22 janvier 1895 à Assay (Indre-et-Loire)
soldat de 2e classe au 120e régiment d'infanterie (120e RI) - Classe 1915 - Bureau de recrutement de Châtellerault (Vienne) Matricule au recrutement : 1415
Lieu de transcription du décès : Assay (Indre-et-Loire)


120e régiment d'infanterie
A la date du 25 octobre 1922 :
en fait chercher dans le J.O. :
1922/08/01 (VOL3)-1922/12/31.Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181

JANOT (Louis-Marie), matricule 12502, soldat : brave soldat. Mort pour la France, le 25 août 1916 des suites de glorieuses blessures reçues à Belloy-en-Santerre. Croix de guerre avec étoile de bronze.


J.O. du 4 janvier 1923 page 965 et suivantes

FESSARD (Maurice-Alexandre-Albert), matricule 13023, soldat : soldat très courageux. Tombé glorieusement pour la France au cours de l'attaque des positions allemandes de Berny-en-Santerre, le 6 septembre 1916, Croix de guerre avec étoile d'argent.

Maurice Alexandre Albert FESSARD
Mort pour la France le 6 septembre 1916 à Berny-en-Santerre (Somme)
Né le 29 février 1896 à Évreux (Eure)
soldat de 2e classe au 120e régiment d'infanterie (120e RI) - Classe 1916 - Bureau de recrutement d'Evreux (Eure) Matricule au recrutement : 33
Lieu de transcription du décès : Sébécourt (Eure)


120e régiment d'infanterie
A la date du 25 octobre 1922 :
en fait chercher dans le J.O. :
1922/08/01 (VOL3)-1922/12/31.Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181

PFEIFFER ( Gaston-Joseph-Ernest ), matricule 03393, soldat : brave soldat. Belle attitude au combat de Berny-en-Santerre, où il est tombé mortellement atteint, le 6 septembre 1916. Croix de guerre ave étoile de bronze.


120e régiment d'infanterie
A la date du 25 octobre 1922 :
en fait chercher dans le J.O. :
1922/08/01 (VOL3)-1922/12/31.Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181

BALLY (Philibert-Louis-Alfred), matricule 11925, soldat : brave soldat. Tombé glorieusement pour la France, le 6 septembre 1916, à l'attaque de Berny-en-Santerre. Croix de guerre avec étoile d'argent.


120e régiment d'infanterie
A la date du 25 octobre 1922 :
en fait chercher dans le J.O. :
1922/08/01 (VOL3)-1922/12/31.Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181

BRANDT (Jules-Henri-Joseph), matricule 12778, soldat : brave soldat. Tombé glorieusement pour la France, le 6 septembre 1916, au cours de l'attaque de Berny—en-Santerre. Croix de guerre avec étoile d'argent.


120e régiment d'infanterie
A la date du 25 octobre 1922 :
en fait chercher dans le J.O. :
1922/08/01 (VOL3)-1922/12/31.Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181

CLUZAN (Antoine-Daniel), matricule 13096, caporal: brave caporal. Tombé en brave, le 6 septembre 1916, au cours de l'attaque de Berny-en-Santerre. Croix de guerre avec étoile d'argent.


120e régiment d'infanterie
A la date du 25 octobre 1922 :
en fait chercher dans le J.O. :
1922/08/01 (VOL3)-1922/12/31.Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181

JOUXTEL (Félix-Donatien), matricule 13939, soldat : brave soldat. Tombé glorieusement pour la France, le 7 septembre 1916, au cours du combat de Berny-en-Santerre. Croix de guerre avec étoile de bronze.


J.O. du 3 janvier 1924 page 240

GEFFROY (François-Marie), matricule 9144, soldat : soldat brave et dévoué. Mort pour la France le 9 septembre 1916, des suites de glorieuses blessures reçues devant Berny-en-Santerre en faisant vaillamment son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.

François Marie GEFFROY
Mort pour la France le 9 septembre 1916 à Moreuil - ambulance 13/16, (Somme)
Né le 8 février 1882 à Louargat (Côtes-d'Armor) (ex Côtes-du-Nord)
soldat de 2e classe au 120e régiment d'infanterie (120e RI) Classe : 1902 Bureau de recrutement de Guingamp (Côtes-d'Armor) Matricule au recrutement : 1067
Lieu de transcription du décès : Louargat (Côtes-d'Armor) (ex Côtes-du-Nord)


J.O. du 3 janvier 1924 page 181

LEYMARIE (Louis), matricule 12957, soldat : brave soldat, d'un courage et d'un dévouement exemplaires. Tué glorieusement, le 9 septembre 1916, au combat de Berny-en-Santerre. Croix de guerre avec étoile de bronze.

Louis LEYMARIE
Mort pour la France le 9 septembre 1916 à Berny-en-Santerre (Somme)
Né le 15 février 1896 à Saint-Sulpice-d'Excideuil (Dordogne)
soldat de 2e classe au 120e régiment d'infanterie (120e RI) - Classe : 1916 - Bureau de recrutement de Brive-la-Gaillarde (Corrèze) Matricule au recrutement : 1523
Lieu de transcription du décès : Corgnac-sur-l'Isle (Dordogne)


120e régiment d'infanterie
A la date du 25 octobre 1922 :
en fait chercher dans le J.O. :
1922/08/01 (VOL3)-1922/12/31.Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181

TANTON (Gustave-Odille), matricule 04767, caporal : excellent caporal mitrailleur, chef de pèce. A été tué, le 9 septembre 1916, en entraînant sa pièce à la suite d'une vague d'assaut. devant Berny-en-Santerre. A été cité.


120e régiment d'infanterie
A la date du 25 octobre 1922 :
en fait chercher dans le J.O. :
1922/08/01 (VOL3)-1922/12/31.Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181

MARTIN (Jean), matricule 12634, soldat : brave soldat. Tombé glorieusement pour la France, le 16 septembre 1916, à Berny-en-Santerre, dans l'accomplissement de son devoir. Croix de guerre avec étoile de bronze.


J.O. du 20 décembre 1917 page 10414

FARGEAS (Jean), matricule 12857. soldat (active) à la 3e compagnie du 120e régiment d'infanterie. soldat très dévoué et très courageux. A été blessé grièvement le 17 septembre 1916 à Berny-en-Santerre, dans une tranchée récemment conquise.


120e régiment d'infanterie
A la date du 25 octobre 1922 :
en fait chercher dans le J.O. :
1922/08/01 (VOL3)-1922/12/31.Note : GG14181.Appartient à l'ensemble documentaire : GG14181

JARDIN (Gabriel), matricule 13032, soldat: brave soldat. Tombé glorieusement pour la France, le 30 novembre 1916, à Berny-en-Santerre. Croix de guerre avec étoile de bronze.

LEA (Jean-Hippolyte), matricule 2794, soldat : brave soldat. Tué glorieusement à son poste de combat, à Berny-en-Santerre, le 30 novembre 1916. Croix de guerre avec étoile de bronze.
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120e régiment d'infanterie

Soldats du 120e d'infanterie blessés au cours des combats de l'année 1914 - Sermaize et Bois de la Gruerie


J.O. du 1er août 1915 pages 5280 et 5281

Surmon (Emile), soldat au 120e rég. d'infanterie : grièvement blessé dans une tranchée, a perdu l'œil droit. Très bon soldat.

Delignières (Marcel), soldat au 120e rég. d'infanterie : grièvement blessé dans la tranchée, le 6 décembre 1914. au cours d'une contre-attaque, et a perdu l'œil droit.

Bleu (René), soldat au 120e rég. d'infanterie : bon soldat, qui a été blessé au cours d'une charge à la baïonnette, le 18 décembre 1914, blessure ayant nécessité l'amputation du bras gauche.

Bouclier (Henri), soldat au 120e rég. d'infanterie : bon soldat, qui a été blessé dans une charge à la baïonnette, le 19 octobre 1914, blessure ayant occasionné l'amputation du bras gauche.

Bourbier (L.-A.), soldat au 120e rég. d'infanterie : bon soldat, qui a été blessé par une bombe, le 15 novembre 1914, au cours d'une attaque de l'ennemi, blessure ayant occasionné la perte de l'œil gauche.

Bouthors (Jules), soldat au 120e rég. d'infanterie : chef d'un petit poste de sept hommes, a résisté pendant trois jours aux attaques des plus violentes et a pu, par sa vigilance et son sang-froid, les déjouer jusqu'au bout en élevant le moral de ses hommes. A été cité à l'ordre de l'armée. Grièvement blessé le 23 octobre 1914, a perdu l'œil droit.

Gambier (Alfred), soldat au 120e rég. d'infanterie : blessé pendant une charge à la baïonnette le 24 octobre 1914, a subi l'amputation du bras gauche. Bon soldat.

Perut (F.-J.), au 120e rég. d'infanterie : très brillant sous-officier, blessé dans une charge à la baïonnette le 25 octobre 1914. A subi l'amputation du bras gauche.

Gobet (G.-G.), soldat au 120 rég. d'infanterie : Bon soldat, qui a été grièvement blessé au cours d'une attaque, le 20 octobre 1914, et a subi l'amputation du bras droit.

Coeffe (P.), soldat au 120e rég. d'infanterie : bon soldat, qui a été blessé au cours d'une contre-attaque, le 6 novembre 1914, et a subi l'amputation du bras droit.

Delattre, soldat au 120e rég. d'infanterie : bon soldat, qui a été blessé au cours d'une contre-attaque, le 6 novembre 1914, et a subi l'amputation du bras droit.

Jérôme (H.), soldat brancardier au 120e rég. d'infanterie : bon soldat qui a été blessé le 12 décembre 1914 en ramassant les blessés du bataillon et a été amputé de la cuisse gauche.

Loth (Ferdinand), soldat au 120e règ. d'infanterie : bon soldat qui a été blessé au cours des combats du 19 septembre 1914 et a perdu l'œil gauche.

Fossier (Louis), soldat au 120e rég. d'infanterie : bon soldat qui a été blessé A la tête le 4 octobre 1914 par un éclat de bombe et a perdu l'œil droit.

Daire (M.), caporal au 120e rég. d'infanterie : bon soldat, qui a été blessé le 23 novembre 1914, et a subi l'amputation de la jambe droite.

Pisson (C.), caporal au 120e rég. d'infanterie : bon-soldat qui a été blessé par une balle dans un créneau, le 14 octobre 1914, en observant l'ennemi dans les tranchées de premiére ligne. A perdu l'œil gauche.

Fay (A.), soldat au 120e rég. d'infnnterie : bon soldat qui a été grièvement blessé au cours d'une attaque, le 8 décembre 1914, et a subi l'amputation du bras droit.

Cleuet (Paul), soldat au 120e rég. d'infanterie a courageusement résisté, le 22 octobre 1914, à une contre-attaque allemande en restant avec quelques camarades dans une tranchée allemande bouleversée par les bombes. A été amputé de la jambe gauche.

Marteau (G.), soldat au 120e rég. d'infanterie : bon soldat qui a été blessé le 22 novembre 1914 en défendant une tranchée et a subi l'amputation du bras droit.

Darret (E.), soldat au 120e rég. d'infanterie : bon soldat qui a été blessé par éclat d'obus le 8 septembre 1914 et a subi l'amputation du bras gauche.

Potron (C.), sergent-major au 120e rég. d'infanterie : bon sous-officier qui a été blessé le 30 septembre 1914 alors qu'il se portait à l'attaque avec une section de renfort. A été amputé de la jambe droite.

Bray (C.-J.-B.), soldat à la 11e compagnie du 120e d'infanterie, matricule 5282 : bon soldat qui a été blessé le 27 octobre 1914 et a subi, à la suite de cette blessure, la désarticulation de la cuisse droite.

Corvisy (Georges), soldat à la 12e compagnie du 120e d'infanterie, matricule 03986 : bon soldat qui a été blessé le 22 octobre 1914 et a subi l'amputation de la cuisse droite.

Ducellier (A.-G.-L.), soldat à la 7e compagnie du 120e d'infanterie, matricule 014206 : bon soldat qui a eu une belle conduite au feu. A été blessé le 30 septembre 1914 et a subi l'amputation du bras droit.

Guidet (C.-D-A.), soldat à la 7e compagnie du 120e rég. d'infanterie, matricule 011286 : bon soldat qui a eu une belle conduite au feu ; blessé le 30 septembre 1914, a été amputé du bras droit.

Hennuy (J.-H.), sergent à la 7e compagnie du 120e rég. d'infanterie, matricule 01581: bon sous-officier qui a éé blessé le 3 novembre 1914 et a subi l'amputation de la cuisse droite.

Houpin (E.-E.-J.), sergent à la 5e compagnie du 120e rég. d'infanterie, matricule 03246: bon sous-officier qui a été blessé le 22 octobre 1914 et a subi l'amputation du bras gauche. A eu une belle conduite au feu.

Hubault (Isidore), soldat à la 11e compagnie du 120e rég. d'infanterie, matricule 015509 : bon soldat qui a été blessé le 24 octobre 1914 et a subi la désarticulation de l'épaule droite.

Lettre (Paul), caporal à la 12e compagnie du 120e rég. d'infanterie, matricule 5558: a perdu l'œil gauche au cours d'un engagement le 19 octobre 1914. Brave au feu.

Truy (Gustave), soldat au 120e rég. d'infanterie, matricule 011692 : bon soldat qui a été blessé au cours d'un engagement le 2 novembre 1914 et a perdu l'œil gauche.

Briet (A.-E.-J.), soldat au 120e rég. d'infanterie, matricule 5870 : bon soldat qui a été blessé le 7 septembre 1914 et a été amputé de l'avant-bras gauche.

Cazé (D.-P.), soldat à la 12e compagnie du 120e rég. d'infanterie, matricule 3424: bon soldat qui a été blessé le 27 octobre 1914 et a été amputé de la jambe gauche. Brave au feu et mé- ritant.

Kopp (Georges), soldat au 120e rég. d'infanterie matricule 010772 : bon soldat qui a été blessé le 7 septembre 1914 et a subi l'amputation de la jambe droite. Belle conduite au feu.

Milliet (E.-A.), soldat à la 1ère compagnie du 120e rég. d'infanterie, matricule 5227 : bon soldat qui a été blessé le 23 octobre 1914 au cours d'un combat où un projectile ennemi lui fracassa un bras.

Dur (H-A.), soldat à la 7e compagnie du 120e rég. d'infanterie, matricule 01771 : bon soldat qui a été blessé le 15 novembre 1914 et a subi l'amputation du bras droit. Brave au feu.

Nauzeret (Edmond), soldat à la 3e compagnie du 120e d'infanterie, matricule 5457 : bon soldat qui a été blessé au mois de septembre 1914 et a subi L'amputation du poignet gauche.

Rousseau (M.-L.-J.), soldat au 120e rég. d'infanterie, matricule 06772 : bon soldat qui a été blessé le 2 octobre 1914 et a subi l'amputation du bras droit. A eu une belle conduite au feu.
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J.O. du 16 septembre 1915 page 6596

CHARRIER (Mathurin), sergent au 120e régiment d'infanterie, 4e compagnie, matricule 1696 : très grièvement blessé au cours d'une attaque, le 1er mars 1915, blessure ayant entraîné la perte complète de la vue. Excellent sous-officier ayant toujours eu belle attitude au feu.

ARBERT (François), soldat au 120e régiment d'infanterie, 2e compagnie : grièvement blessé au cours d'une attaque au combat du 3 mars 1915, a dû subir l'énucléation de l'œil droit. Belle attitude au feu.

ARNAUD (Henri), soldat au 120e régiment d'infanterie, 6e compagnie, matricule 1663 : grièvement blessé au cours des combats du 12 avril 1915, a perdu la vision do l'œil gauche. Soldat dévoué et courageux.

BONNIN (François-Joseph), soldat au 120e régiment d'infanterie, 11e compagnie, matricule 892 : grièvement blessé au cours d'une charge à la baïonnette au combat du 23 février 1915, a subi l'énucléation do l'œil droit. Bon soldat, brave, discipliné.

ROCAND (Pierre-Aimé), soldat au 120e régiment d'infanterie, 8e compagnie, matricule 215 : grièvement blessé au cours d'une attaque le 22 mars 1915, a perdu la vision de l'œil droit. Soldat dont l'attitude au feu a toujours été des plus belles.

DUBOURG (Jules), soldat au 120e régiment d'infanterie, 7e compagnie, matricule 1202 : bon soldat. A toujours donné pleine satisfaction à ses chefs. A eu les pieds gelés à son poste dans les tranchées. A subi l'amputation des orteils du pied droit.

CORDIER (Michel), soldat au 120e régiment d'infanterie, 7e compagnie, matricule 140 : soldat courageux et dévoué. Blessé le 12 avril 1915 en faisant vaillamment son devoir, a subi l'amputation de quatre doigts de la main gauche.


HAVET (Lucien), caporal au 120e régiment d'infanterie, 6e compagnie, matricule 925 : bon soldat. Belle attitude au feu. A eu les pieds gelés à son poste dans les tranchées ; a été amputé des trois premiers doigts de chaque pied.

Incorporé à compter du 1er septembre 1914 au 120e régiment d'infanterie mais arrivé au corps le 29 septembre 1914, soldat de 2e classe le dit jour, n° matricule au corps 7201. Parti aux armées le 30 novembre 1914 au 120e R.I., 6e Cie. Nommé caporal le 10 janvier 1915. Gelure des pieds le 14 janvier 1915 au bois de la Gruerie (Marne)
Médaille militaire - Croix de guerre avec palme, le 26 avril 1915 (J.O. du 16 septembre 1915)

Havet, Lucien Ernest, né le 22 août 1894 à Gourchelles (Oise), classe 1914, matricule n° 925, Bureau de recrutement d'Amiens 1R1079 Archives de la Somme
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J.O. du 19 juin 1920 pages 8682 et 8683
Nominations dans l'ordre de la Légion d'honneur pour les officiers suivants :

ANGEVIN (Aimé-Jacques), matricule 6128, sous-lieutenant : le 19 avril 1916, a été blessé grièvement en conduisant sa section à l'attaque d'une redoute ennemie qui a été enlevée. Est mort pour la France de ses blessures. A été cité.

BILLET (Lucien-Joseph-Octave), matricule 13124, sous-lieutenant : a été frappé glorieusement devant Verdun, en entraînant sa troupe à l'assaut, le 16 avril 1917. Mort des suites de blessures. A été cité.

BARRE (Maurice-Pierre-Emile) , matricule 072 bis, sous-lieutenant : officier d'une haute valeur morale (et) d'une rare intrépidité, a entrainé sa section sous un feu violent de mitrailleuses et obligé l'ennemi à la retraite. Blessé, le 6 septembre 1914, à Barcy. Tué glorieusement au cours du combat, le 25 juillet 1918, sur la Marne. A été cité.

GILLON (Marie-Charles-Philippe), matricule68, lieutenant : a constamment fait preuve d'entrain et de sang-froid dans le commandement d'une compagnie dont il n'a cessé d'encourager les hommes par son exemple. Le 17 septembre 1915, aux Eparges, a tenu malgré un violent bombardement, à parcourir son secteur dont les tranchées de première ligne étaient bouleversées par le feu. A été tué en rentrant à son poste de commandement. A été cité.

HOBENICHE (François-Auguste) matricule 76 , lieutenant : le 4 mai 1917, à Sapigneul, a superbement conduit sa compagnie à l'attaque des positions ennemies dont les deux premières tranchées ont été enlevées. A continué la progression sur les troisième et quatrième tranchées où il est tombé mortellement blessé. A été cité.

HANQUIEZ (Firmin), matricule 06025, sous-lieutenant : très bel officier, modèle de courage, de sang-froid, toujours volontaire pour les missions périlleuses. Toujours à la tête de ses hommes qui l'aimaient, avait sur eux une influence énorme. Patrouilleur remarquable, a donné, le 19 juillet 1918, des renseignements précis sur l'ennemi aux combats des 25-26 juillet 19!8, a eu une conduite digne de tous les éloges. Obligé d'arrêter sa progression en raison de la violence du tir ennemi, a été mortellement frappé en parcourant la position qu'il organisait dans la forêt de Ris. A été cité.

120e RI HANQUIEZ.jpg
120e RI HANQUIEZ.jpg (106.1 Kio) Consulté 511 fois

LIMON (Maurice-Eugène), matricule 6307, sous-lieutenant : le 15 avril 1916, devant Verdun, a brillamment conduit sa section à l'attaque d'une tranchée ennemie, qu'il a enlevée. A été tué le lendemain en défendant la tranchée conquise. A été cité.

LOUVET (Joseph-Marie), matricule 12478, sous-lieutenant : officier très brave et toujours volontaire pour des missions périlleuses. Le 17 septembre 1916, dans la Somme, est tombé glorieusement en conduisant sa section à l'assaut sous un violent feu de mitrailleuses. A été cité.

LEMAIR (Denis-Henri-François), matricule 06081, sous-lieutenant : le 19 avril 1916, devant Verdun, a trouvé une mort glorieuse en entraînant à l'attaque sa section avec une bravoure admirable. Est tombé dans la tranchée allemande où il avait le premier pris pied. A été cité.

MARC (Jean Baptiste), matricule 13070, sous-lieutenant : officier très brave. Tombé glorieusement, le 7 mai 1917, en parcourant la tranchée de première ligne pour maintenir par son exemple ses hommes sous un violent bombardement à Sapigneul. A été cité.

THUILLIER (André-Henri-Emile), matricule 0103, Sous-lieutenant : dans la nuit du 25 au 26 octobre 1915, devant Mesnil-les-Hurlus, a été grièvement atteint de plusieurs blessures, en entraînant sa section à l'assaut d'une tranchée ennemie sous un feu très meurtrier, accompagné d'un violent bombardement à la grenade. Mort pour la France. A été cité.

TRIBOUT (René-Jules), matricule 36, lieutenant : appelé à prendre le commandement de sa compagnie, au cours d'une attaque, s'est vaillamment conduit et est tombé glorieusement pour son pays. A été cité.
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320e régiment d'infanterie


J.O. du 19 juin 1920 page 8702
Nominations dan la Légion d'honneur pour le officiers suivants :

CARNIOT (Jean-Maurice-Jules), matricule 80, lieutenant : ayant pris, le 15 septembre 1917, le commandement d'une compagnie à l'improviste et dans une situation critique, a organisé la défense avec un jugement sur et une froide bravoure. Tué, le 24 novembre 1917, au moment où il regroupait son unité pour se porter à la contre-attaque devant Verdun. A été cité.

FASSEUR (Jules-Angénior), matricule 108, sous-lieutenant : officier d'une bravoure héroïque. Tué par une balle au moment où, debout sur le parapet, il lançait sa section à la contre-attaque, le 24 septembre 1917, devant Verdun. A été cité.

SIBEN (Pierre), matricule 14275, sous-lieutenant : officier mitrailleur d'une téméraire bravoure. Le 14 septembre 1917, devant Verdun, entouré par un ennemi dix fois supérieur en nombre et servant lui-même sa dernière pièce, est tombé frappé par une grenade en criant : « Vive la France ! » après avoir épuisé toutes ses munitions. A provoqué l'admiration de tous. A été cité.

GUIGNER (Roger-Auguste-Anatole), matricule 16727, sous-lieutenant : excellent officier d'un sang-froid et d'un courage admirables. Cité à l'ordre de la division. Mort pour la France, le 1er octobre 1918, des suites de glorieuses blessures reçues au champ d'honneur (nord de Fismes). Croix de guerre avec palme.

LAVACHERY (Edmond-Ulysse), matricule 018168, sous-lieutenant : officier très brave plein d'entrain, titulaire de quatre citations. Tombé glorieusement, le 23 juillet 1918, en entraînant sa section à l'assaut du bois du Châtelet. Croix de guerre avec palme.



J.O. du 19 juin 1920 page 8690
320e régiment d'infanterie
Nomination dan la Légion d'honneur pour :

MASSON (Georges-Henri-Félix), matricule 77, sous-lieutenant : officier d'une haute valeur morale, d'un grand courage et d'un dévouement absolu, donnant à ses hommes le plus bel exemple en toutes circonstances. Tombé glorieusement pour la France, le 12 avril 1915, à la tête d'une patrouille qu'il exécutait vers les lignes ennemies, devant Reims. Croix de guerre avec étoile de vermeil.

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120e régiment d'infanterie



BORÉ Félix, classe 1903, numéro matricule 110, Bureau de recrutement de Péronne (Somme)
Cultivateur à Cressy-Omencourt, son village natal, au moment de son passage devant le conseil de révision du canton de Roye en 1903. Il vit alors chez ses parents Joseph-Florent-Octave B. et Goret Marie-Orélie-Theudosie. Il possède un degré d'instruction de niveau 3, a les cheveux et les sourcils châtains, les yeux gris, un nez moyen, ainsi que la bouche, un menton rond, le tout sur un visage ovale. Il mesure 1 mètre 64.
Jugé "Bon pour le service", il est incorporé au 120e régiment de Péronne à compter du 16 novembre 1904. Parti de chez lui, tôt ce jour-là, il gagne la gare de Nesle, où un train l'emmène via Chaulnes jusqu'à la caserne Foy à Péronne. Là, comme soldat de 2e classe, il reçoit un matricule au corps le n° 6355. Il est distingué et devient soldat de 1ère classe le 28 avril 1905. Il est nommé caporal le 20 juillet 1905, ce qui est confirmé le 1er mars 1907. Il est envoyé en congé le 12 juillet 1907, date à laquelle un certificat de bonne conduite lui est accordé. Il passe dans la réserve de l'armée active le 1er octobre 1907.
Par la suite deux périodes d'exercices au sein du 120e régiment d'infanterie - la première du 29 août au 19 septembre 1910 - la seconde du 24 avril au 10 mai 1913. Il a donc un parcours militaire, somme toute classique pour l'époque.

Au Recensement de la population de Cressy-Omencourt de 1911 (6M224Archives de la Somme),
Félix BORÉ, fermier - cultivateur, demeure avec sa femme, Cécile, née à Solente (Oise) en 1889, et leur fils, Octave, né en 1910 à Cressy-Omencourt, rue d'Enfer.
En 1912, une petite Pierrette, née à Cressy-Omencourt, vient agrandir la famille.

Il est rappelé à l'activité par décret du 1er août 1914 pour répondre à l'ordre présidentiel de mobilisation générale. Il rejoint la caserne Foy de Péronne qu'il connait bien pour y avoir fait son service, le 3 août 1914.
Un nouveau numéro matricule au corps lui est attribué le 015194.

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Le Progrès de la Somme n° 13316
Date : Mardi 27 octobre 1914 Cote 259PER101

Recherche pour les familles :

BORÉ Félix, caporal, 30e Compagnie, 120e, à Ancenis (Loire-Inférieure), demande nouvelles de sa femme et enfants, Mme Boré-Legrand, à Cressy-Omencourt, canton de Roye (Somme). Prière à personnes de connaissance d'informer demandeur si possible.
6385

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Il se trouve donc à Ancenis (Loire-Atlantique), nouveau dépôt régimentaire, depuis que celui de Péronne a été évacué devant l'avancée des armées allemandes fin août début septembre 1914.
Il est nommé sergent le 2 décembre 1914. On ignore à quel moment il a rejoint le 120e d'infanterie aux armées.
Le 6 mai 1916, il est nommé adjudant.
Il est porté disparu le 6 septembre 1916, à Berny-en-Santerre (Somme) - (avis ministériel du 2 mars 1917)
Le décès sera confirmé, fixé au 6 septembre 1916, suivant jugement déclaratif rendu par le tribunal de Montdidier le 3 février 1921.
"Mort pour la France"

Citation :
Ordre de la division n° 2416 ou 24/6 du 28 mars 1916.
"Dans une tranchée prise à l'ennemi a organisé un barrage, et toute la nuit, a empêché la perte de cette tranchée. A tué plusieurs Allemands et le lendemain matin a fait trois prisonniers."
Décoration : Croix de guerre avec étoile de vermeil.
Décoré de la Médaille militaire à titre posthume (Journal officiel du 18 novembre 1922)


J.O. du 1er septembre 1922 page 4231 (ou 1922/09/01-1922/12/31. à la date du 11 novembre 1922)

120e RI BORE.jpg
120e RI BORE.jpg (45.31 Kio) Consulté 399 fois


Aux recensements de population de 1921, 1926, 1931 et 1936, Mme Veuve BORÉ Cécile, née LEGRAND, cultivatrice, vit rue d'enfer à Cressy-Omencourt, avec ses deux enfants, Pierre et Pierrette. En 1931 et 1936, le père de Cécile Boré-Legrand, Alexandre Legrand, vit à la ferme, avec sa fille et ses petits-enfants.

Sources :
Boré, Félix, né le 18 mai 1883 à Cressy-Omencourt (Somme), classe 1903, matricule n° 110, Bureau de recrutement de Péronne 1R959 Archives de la Somme
Cordialement
Eric ABADIE
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