Bonsoir à tous,
— JENN Charles Jules Joseph, probablement né à Andelnans (Teritoire de Belfort).
Admis fin Avril 1890 à l’École militaire d’infanterie de Saint-Maixent (Promotion du Soudan, 1890~1891) étant classé 242e sur une liste de 339 candidats reçus au titre de l’intérieur, de l’Algérie et de la Tunisie (J.O. 16 avr. 1890, p. 1.946 et 1.947). Alors sergent-major au 42e Régiment d’infanterie.
Par décret du 23 mars 1891 (J.O. 25 mars 1891, p. 1.401 et 1.402), promu au grade de sous-lieutenant dans l’arme de l’infanterie à compter du 1er avril 1891 ; par décision ministérielle de même date, affecté au 27e Régiment d’infanterie.
Par décret du 31 mars 1893 (J.O. 2 avr. 1893, p. 1.686), promu au grade de lieutenant à compter du 1er avril 1893 ; par décision ministérielle de même date, maintenu au 27e Régiment d’infanterie.
Par décret du 30 mars 1904 (J.O. 2 avr. 1904, p. 2.080 et 1.081), promu au grade de capitaine (1er tour : ancienneté) ; par décision ministérielle de même date, affecté au 10e Régiment d’infanterie.
Par décision ministérielle du 25 juin 1911 (J.O. 28 juin 1911, p. 5.100 et 5.102), passé de la 10e com-pagnie au cadre complémentaire du 10e Régiment d’infanterie.
Par décret du 5 mai 1915 (J.O. 6 mai 1915, p. 2.871 et 2.873), promu au grade de chef de bataillon en remplacement d'un chef de bataillon du nom de JETTE, tué à l’ennemi. Alors affecté au 210e Régiment d’infanterie.
Cité à l’ordre de l’armée dans les termes suivants (J.O. 7 juin 1916, p. 4.996) : « JENN (Charles-Jules-Joseph), chef de bataillon, commandant le 6e bataillon du 210° rég. d’infanterie : officier supérieur du plus brillant courage. Entré à la tête de son bataillon dans l’ouvrage qu’il attaquait, est tombé et est porté comme disparu depuis ce moment (29 mars 1916). »
Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du 9 juillet 1919 (J.O. 11 juill. 1919, p. 7.150), inscrit au ta-bleau spécial de la Légion d’honneur pour le grade d’officier dans les termes suivants : « IENN [sic] (Charles-Jules-Joseph), chef de bataillon commandant le 2e bataillon du 10e rég. d’infanterie. »
Admis fin Avril 1890 à l’École militaire d’infanterie de Saint-Maixent (Promotion du Soudan, 1890~1891) étant classé 242e sur une liste de 339 candidats reçus au titre de l’intérieur, de l’Algérie et de la Tunisie (J.O. 16 avr. 1890, p. 1.946 et 1.947). Alors sergent-major au 42e Régiment d’infanterie.
Par décret du 23 mars 1891 (J.O. 25 mars 1891, p. 1.401 et 1.402), promu au grade de sous-lieutenant dans l’arme de l’infanterie à compter du 1er avril 1891 ; par décision ministérielle de même date, affecté au 27e Régiment d’infanterie.
Par décret du 31 mars 1893 (J.O. 2 avr. 1893, p. 1.686), promu au grade de lieutenant à compter du 1er avril 1893 ; par décision ministérielle de même date, maintenu au 27e Régiment d’infanterie.
Par décret du 30 mars 1904 (J.O. 2 avr. 1904, p. 2.080 et 1.081), promu au grade de capitaine (1er tour : ancienneté) ; par décision ministérielle de même date, affecté au 10e Régiment d’infanterie.
Par décision ministérielle du 25 juin 1911 (J.O. 28 juin 1911, p. 5.100 et 5.102), passé de la 10e com-pagnie au cadre complémentaire du 10e Régiment d’infanterie.
Par décret du 5 mai 1915 (J.O. 6 mai 1915, p. 2.871 et 2.873), promu au grade de chef de bataillon en remplacement d'un chef de bataillon du nom de JETTE, tué à l’ennemi. Alors affecté au 210e Régiment d’infanterie.
Cité à l’ordre de l’armée dans les termes suivants (J.O. 7 juin 1916, p. 4.996) : « JENN (Charles-Jules-Joseph), chef de bataillon, commandant le 6e bataillon du 210° rég. d’infanterie : officier supérieur du plus brillant courage. Entré à la tête de son bataillon dans l’ouvrage qu’il attaquait, est tombé et est porté comme disparu depuis ce moment (29 mars 1916). »
Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du 9 juillet 1919 (J.O. 11 juill. 1919, p. 7.150), inscrit au ta-bleau spécial de la Légion d’honneur pour le grade d’officier dans les termes suivants : « IENN [sic] (Charles-Jules-Joseph), chef de bataillon commandant le 2e bataillon du 10e rég. d’infanterie. »