Infirmières dans la Somme
J.O. du 21 octobre 1919 page 11644
Par application du décret du 15 avril 1892 et de l'arrêté du 27 du même mois, la médaille d'honneur des épidémies a été décernée à
Mme DESAVOYE, née MACQUE (Anna-Laure-Amélie, infirmière S. B. M., hôpital temporaire n° 78 à Amiens.
Mme PILLEY, née LACOUTURE (Anne-Marie), infirmière principale, hôpital temporaire, n ° 125 à Amiens.
Mlle de MAULDE (Renée-Marie). infirmière S. B. M., infirmerie de cantine de gare d'Amiens.
J.O. du 21 octobre 1919 page 11647
Par application du décret du 15 avril 1892 et de l'arrêté du 27 du même mois, la médaille d'honneur des épidémies a été décernée à
Mme DUCROUX (Stéphane), infirmière S. B. M., hôpital n° 37 à Saint-Riquier (Somme).
J.O. du 21 octobre 1919 page 11649
Par application du décret du 15 avril 1892 et de l'arrêté du 27 du même mois, la médaille d'honneur des épidémies a été décernée à
Mlle MALLET (Odette-Marie-Louise), infirmière militaire, centre hospitalier à Amiens.
J.O. du 21 octobre 1919 page 11650
Par application du décret du 15 avril 1892 et de l'arrêté du 27 du même mois, la médaille d'honneur des épidémies a été décernée à
Mlle GIRBAU (Adrienne), infirmière militaire, hôpital temporaire n° 122 à Amiens.
faire : 11651
Voir aussi :
https://creervotrearbredevie.miraheze.o ... %C3%A9gion
Infirmières dans la Somme et en Picardie
Infirmières dans la Somme et en Picardie
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: Infirmières dans la Somme et en Picardie
MACQUE, femme DESAVOYE Anna
Laure Amélie Anna MACQUE
Née le lundi 17 septembre 1877 à Amiens (Somme)
Décédée le mercredi 23 octobre 1918 à Paris, à l'âge de 41 ans
Paris, Cimetière du Montparnasse (Paris, France) - Registres journaliers d'inhumation | 11/10/1918 - 31/12/1918
MACQUE, femme DESAVOYE Anna, 41 ans, 6e arrondissement (Paris), caveau provisoire Morel case : 2 - Exhumée le 27 décembre 1919 et transportée à Amiens (Somme)
Laure Amélie Anna MACQUE
Née le lundi 17 septembre 1877 à Amiens (Somme)
Décédée le mercredi 23 octobre 1918 à Paris, à l'âge de 41 ans
Paris, Cimetière du Montparnasse (Paris, France) - Registres journaliers d'inhumation | 11/10/1918 - 31/12/1918
MACQUE, femme DESAVOYE Anna, 41 ans, 6e arrondissement (Paris), caveau provisoire Morel case : 2 - Exhumée le 27 décembre 1919 et transportée à Amiens (Somme)
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: Infirmières dans la Somme et en Picardie
Adrienne GIRBAU
Il s'agit de la même personne évoquée dans le premier message.
in : La Dépêche de Toulouse - édition du 13 juin 1923 page 3
Sources : Gallica BNF
UNE VEUVE INCONSOLABLE
Lens, 12 juin. — M. Broy, originaire de Lens, étant décédé à Paris en février dernier, sa femme, Adrienne Girbau, originaire de Perpignan, n'avait pu se consoler. Elle décida de se donner la mort.
Venue à Lens dans ce but. elle alla louer une chambre dans un hôtel. Tandis qu au bureau on lui établissait son bulletin d'identité, elle s'affaissa soudain. On se porta à son secours mais elle déclara : « Il n y a rien à faire, je vais faire le même voyage que mon mari ». La malheureuse veuve, qui avait absorbé une dose de strychnine, ne tarda pas à succomber.
et
in : Le Beffroi d'Arras : organe d'union et de relèvement
15 juin 1923 page 2 (site Gallica - Presse)
EN PROVINCE. Inconsolable de la mort de son mari, M. François Broy, originaire de Lens, décédé en février dernier à Paris des suites d une maladie contractée pendant la guerre, une ancienne infirmière major, Mme Adrienne Gribau, originaire de Perpignan, décida de se donner la mort. Venue à Lens dans ce but, elle loua une chambre dans un hôtel. Tandis qu’au bureau on. lui établissait son bulletin d’identité, elle s’affaissa soudain; on se porta à son secours, mais elle déclara: « Il n’y a rien à faire, je vais faire le même voyage que mon mari. » La désespérée qui avait absorbé une dose de strychnine, n’a pas tardé à succomber.
On trouvera l'acte de décès de François Benjamin BROY dans le registre des décès du 12e arrondissement de Paris de l'année 1923 - Acte n° 615
"Le treize février mil huit cent vingt-trois, quatorze heures dix, est décédé boulevard Diderot, 20, François Benjamin BROY, né à Lens (Pas-de-Calais) le 20 mai mil huit cent quatre-vingt-dix-huit, secrétaire, domicilié à Lens (Pas-de-Calais), rue de la Paix, fils de Benjamin Joseph BROY et de Fortunée Emélie MOUQUET, époux sans profession, domicilié à Lens (Pas-de-Calais), époux d'Adrienne GIRBAU ... "
archives de la ville de Paris - état civil.
Sources : 13 février 1923 (acte n° 600) 5 mars 1923 (acte n° 900) 12e arrondissement Décès 12D 332
Il s'agit de la même personne évoquée dans le premier message.
in : La Dépêche de Toulouse - édition du 13 juin 1923 page 3
Sources : Gallica BNF
UNE VEUVE INCONSOLABLE
Lens, 12 juin. — M. Broy, originaire de Lens, étant décédé à Paris en février dernier, sa femme, Adrienne Girbau, originaire de Perpignan, n'avait pu se consoler. Elle décida de se donner la mort.
Venue à Lens dans ce but. elle alla louer une chambre dans un hôtel. Tandis qu au bureau on lui établissait son bulletin d'identité, elle s'affaissa soudain. On se porta à son secours mais elle déclara : « Il n y a rien à faire, je vais faire le même voyage que mon mari ». La malheureuse veuve, qui avait absorbé une dose de strychnine, ne tarda pas à succomber.
et
in : Le Beffroi d'Arras : organe d'union et de relèvement
15 juin 1923 page 2 (site Gallica - Presse)
EN PROVINCE. Inconsolable de la mort de son mari, M. François Broy, originaire de Lens, décédé en février dernier à Paris des suites d une maladie contractée pendant la guerre, une ancienne infirmière major, Mme Adrienne Gribau, originaire de Perpignan, décida de se donner la mort. Venue à Lens dans ce but, elle loua une chambre dans un hôtel. Tandis qu’au bureau on. lui établissait son bulletin d’identité, elle s’affaissa soudain; on se porta à son secours, mais elle déclara: « Il n’y a rien à faire, je vais faire le même voyage que mon mari. » La désespérée qui avait absorbé une dose de strychnine, n’a pas tardé à succomber.
On trouvera l'acte de décès de François Benjamin BROY dans le registre des décès du 12e arrondissement de Paris de l'année 1923 - Acte n° 615
"Le treize février mil huit cent vingt-trois, quatorze heures dix, est décédé boulevard Diderot, 20, François Benjamin BROY, né à Lens (Pas-de-Calais) le 20 mai mil huit cent quatre-vingt-dix-huit, secrétaire, domicilié à Lens (Pas-de-Calais), rue de la Paix, fils de Benjamin Joseph BROY et de Fortunée Emélie MOUQUET, époux sans profession, domicilié à Lens (Pas-de-Calais), époux d'Adrienne GIRBAU ... "
archives de la ville de Paris - état civil.
Sources : 13 février 1923 (acte n° 600) 5 mars 1923 (acte n° 900) 12e arrondissement Décès 12D 332
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Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: Infirmières dans la Somme et en Picardie
Infirmières dans la Somme
Infirmières de la Croix-Rouge décorées 1914-1918
SEDILLOT (nom de jeune fille) (Marcelle), infirmière-major, Hôpital mixte - Abbeville
Médaille des épidémies (argent) J.O. du 29/12/1916
LARRIBAUD (infirmière) H.T 08 (Hôpital Temporaire 08) Abbeville - Médaille des épidémies (argent)
épouse : de CUSSAC - BERTOLM (nom de jeune fille), infirmière-major, HA 01 (Hôpital Auxiliaire 01) - Amiens
Médaille des épidémies (argent) - J.O. du 09/02/1917
THOMAS (nom de jeune fille), (Geneviève), infirmière, HA 01 (Hôpital Auxiliaire 01) - Amiens
Médaille des épidémies (argent) - J.O. du 09/02/1917
de VILLIERS-TERRAGE (Jeanne), infirmière, HT 106 (Hôpital Temporaire 106) - Amiens
Médaille des épidémies (argent) - J.O. du 08/03/1917
277 LAURENT (Marguerite), infirmière, HA 01 (Hôpital Auxiliaire 01) - Amiens
Médaille des épidémies (bronze) - J.O. du 09/02/1918
à suivre ...
Voir le site :
https://genealomaniac.fr/fichier-xls-li ... -en-14-18/
Infirmières de la Croix-Rouge décorées 1914-1918
SEDILLOT (nom de jeune fille) (Marcelle), infirmière-major, Hôpital mixte - Abbeville
Médaille des épidémies (argent) J.O. du 29/12/1916
LARRIBAUD (infirmière) H.T 08 (Hôpital Temporaire 08) Abbeville - Médaille des épidémies (argent)
épouse : de CUSSAC - BERTOLM (nom de jeune fille), infirmière-major, HA 01 (Hôpital Auxiliaire 01) - Amiens
Médaille des épidémies (argent) - J.O. du 09/02/1917
THOMAS (nom de jeune fille), (Geneviève), infirmière, HA 01 (Hôpital Auxiliaire 01) - Amiens
Médaille des épidémies (argent) - J.O. du 09/02/1917
de VILLIERS-TERRAGE (Jeanne), infirmière, HT 106 (Hôpital Temporaire 106) - Amiens
Médaille des épidémies (argent) - J.O. du 08/03/1917
277 LAURENT (Marguerite), infirmière, HA 01 (Hôpital Auxiliaire 01) - Amiens
Médaille des épidémies (bronze) - J.O. du 09/02/1918
à suivre ...
Voir le site :
https://genealomaniac.fr/fichier-xls-li ... -en-14-18/
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: Infirmières dans la Somme et en Picardie
SAINT-QUENTIN
J.O. du 21 novembre 1920 page 18734 et 18735
MINISTÈRE BE LA JUSTICE
Le Président de la République française, Vu le décret du 13 juillet 1917, créant la médaille de la Reconnaissance française ; Vu le décret du 5 octobre 1917 ; Vu l'arrêté du 18 octobre 1917 ; Vu l'arrêté du 20 octobre 1917 ; Vu le décret du 2 décembre 1917 ; Vu l'arrêté du 17 décembre 1918 ; Vu l'avis conforme de la commission de la médaille de la Reconnaissance française, sur la proposition du garde des sceaux, ministre de la justice, décrète :
Médaille d'argent de la reconnaissance française est conférée à :
J.O. du 21 novembre 1920 page 18734
Mme BOUILLON (Angelina-Louise-Marie), religieuse à Crécy-sur-Serre : au début des hostilités a, comme supérieure des religieuses Infirmières à l'Hôtel-Dieu de Crécy-sur-Serre, soignés les blessés français, avec zèle et dévouement. Lors de l'occupation allemande, elle recueillit les enfants et les vieillards et les protégea contre les mauvais traitements de l'envahisseur. Sa conduite et son courage sont l'objet des plus vifs éloges de ses concitoyens. En septembre t917, évacuée dans l'Aisne avec ses malades, la sœur Bouillon parvint, au prix des plus grandes difficultés à emporter le linge qui leur était nécessaire, ainsi que des objets de ravitaillement qu'elle avait pu dissimuler aux Allemands. Envoyée en Belgique avec son personnel, et elle est revenue à Crécy en avril 1919 où elle continue à diriger l'Hôtel-Dieu qu'elle subventionne de ses deniers. Cette religieuse a été un modèle de vertus civiques.
J.O. du 21 novembre 1920 page 18735
Mlle BOSC (Jeanne-Berthe-Eva), à Saint-Quentin : directrice des services hospitaliers de l'Hôtel-Dieu de Saint-Quentin, est restée à son poste pendant l'occupation de la ville par les Allemands. A été arrêtée par ceux-ci sous l'inculpation d'espionnage. A été tenue au secret trois semaines. Dès qu'elle s'est trouvée libre, Mlle Bosc s'est de nouveau fait remarquer par son dévouement auprès des malades et des blessés. Lors de l'évacuation de Saint Quentin et du transport de l'hôpital à Maubeuge, elle a apporté un concours précieux k l'organisation et à la gestion de cet établissement.
Mlle FAIN (Louise-Elisabeth), à Versailles : très dévouée aux blessés, leur a prodigué ses soins intelligents et empressés, de septembre 1914 à novembre 1918, dans les formations hospitalières de Compiègne, Senlis et Villers-Cotterets. Acceptant toutes les exigences des gardes de nuit et du service journalier des grands blessés, elle a fait preuve d'un remarquable sang-froid lors de la chute d'une torpille qui a éclaté dans la salle où elle exerçait ses fonctions.
Mlle GALLIEGUE (Galliègue) (Joséphine), à Bohain (Aisne) : étant en pays envahi, à Bohain (Aisne), a recueilli et caché un prisonnier français évadé, au risque de se faire fusiller par l'ennemi.
Mlle MANCHERON (Louise-Madeleine), à Senlis : affectée comme chef de salle à l'hôpital auxiliaire n° 11, à Senlis, s'est fait remarquer par sa compétence technique dans les soins qu'elle a donnés aux grands blessés, et ce, sans interruption depuis décembre 1914 jusqu'au 1er mars 1919, particulièrement en 1918 au moment de l'offensive et sous les bombardements.
J.O. du 21 novembre 1920 page 18742 et 18743
Médaille de la reconnaissance française est conférée à :
Mlle THOMAS (Geneviève), à Amiens, affectée aux hôpitaux auxiliaires numéros 1 et 4 d'Amiens du 22 août 1914 au 26 mars 1918, a fait preuve d'un dévouement absolu ; du 3 novembre 1918 au 1er novembre 1919, a assuré a d'Amiens le service des réfugiés et des permissionnaires. Du reste, a montré, en toutes circonstances, une intelligence et un courage dignes d'éloges.
Mlle TURQUET (Germaine-Marie-Valérie), à Senlis (Oise) : Infirmière bénévole à l'hôpital auxiliaire n°11 de Senlis, de décembre 1914 à mars 1919, s'est fait remarquer par son dévouement, les soins constants et intelligents qu'elle a prodigués à ses blessés, et son courage pendant les bombardements.
J.O. du 21 novembre 1920 page 18734 et 18735
MINISTÈRE BE LA JUSTICE
Le Président de la République française, Vu le décret du 13 juillet 1917, créant la médaille de la Reconnaissance française ; Vu le décret du 5 octobre 1917 ; Vu l'arrêté du 18 octobre 1917 ; Vu l'arrêté du 20 octobre 1917 ; Vu le décret du 2 décembre 1917 ; Vu l'arrêté du 17 décembre 1918 ; Vu l'avis conforme de la commission de la médaille de la Reconnaissance française, sur la proposition du garde des sceaux, ministre de la justice, décrète :
Médaille d'argent de la reconnaissance française est conférée à :
J.O. du 21 novembre 1920 page 18734
Mme BOUILLON (Angelina-Louise-Marie), religieuse à Crécy-sur-Serre : au début des hostilités a, comme supérieure des religieuses Infirmières à l'Hôtel-Dieu de Crécy-sur-Serre, soignés les blessés français, avec zèle et dévouement. Lors de l'occupation allemande, elle recueillit les enfants et les vieillards et les protégea contre les mauvais traitements de l'envahisseur. Sa conduite et son courage sont l'objet des plus vifs éloges de ses concitoyens. En septembre t917, évacuée dans l'Aisne avec ses malades, la sœur Bouillon parvint, au prix des plus grandes difficultés à emporter le linge qui leur était nécessaire, ainsi que des objets de ravitaillement qu'elle avait pu dissimuler aux Allemands. Envoyée en Belgique avec son personnel, et elle est revenue à Crécy en avril 1919 où elle continue à diriger l'Hôtel-Dieu qu'elle subventionne de ses deniers. Cette religieuse a été un modèle de vertus civiques.
J.O. du 21 novembre 1920 page 18735
Mlle BOSC (Jeanne-Berthe-Eva), à Saint-Quentin : directrice des services hospitaliers de l'Hôtel-Dieu de Saint-Quentin, est restée à son poste pendant l'occupation de la ville par les Allemands. A été arrêtée par ceux-ci sous l'inculpation d'espionnage. A été tenue au secret trois semaines. Dès qu'elle s'est trouvée libre, Mlle Bosc s'est de nouveau fait remarquer par son dévouement auprès des malades et des blessés. Lors de l'évacuation de Saint Quentin et du transport de l'hôpital à Maubeuge, elle a apporté un concours précieux k l'organisation et à la gestion de cet établissement.
Mlle FAIN (Louise-Elisabeth), à Versailles : très dévouée aux blessés, leur a prodigué ses soins intelligents et empressés, de septembre 1914 à novembre 1918, dans les formations hospitalières de Compiègne, Senlis et Villers-Cotterets. Acceptant toutes les exigences des gardes de nuit et du service journalier des grands blessés, elle a fait preuve d'un remarquable sang-froid lors de la chute d'une torpille qui a éclaté dans la salle où elle exerçait ses fonctions.
Mlle GALLIEGUE (Galliègue) (Joséphine), à Bohain (Aisne) : étant en pays envahi, à Bohain (Aisne), a recueilli et caché un prisonnier français évadé, au risque de se faire fusiller par l'ennemi.
Mlle MANCHERON (Louise-Madeleine), à Senlis : affectée comme chef de salle à l'hôpital auxiliaire n° 11, à Senlis, s'est fait remarquer par sa compétence technique dans les soins qu'elle a donnés aux grands blessés, et ce, sans interruption depuis décembre 1914 jusqu'au 1er mars 1919, particulièrement en 1918 au moment de l'offensive et sous les bombardements.
J.O. du 21 novembre 1920 page 18742 et 18743
Médaille de la reconnaissance française est conférée à :
Mlle THOMAS (Geneviève), à Amiens, affectée aux hôpitaux auxiliaires numéros 1 et 4 d'Amiens du 22 août 1914 au 26 mars 1918, a fait preuve d'un dévouement absolu ; du 3 novembre 1918 au 1er novembre 1919, a assuré a d'Amiens le service des réfugiés et des permissionnaires. Du reste, a montré, en toutes circonstances, une intelligence et un courage dignes d'éloges.
Mlle TURQUET (Germaine-Marie-Valérie), à Senlis (Oise) : Infirmière bénévole à l'hôpital auxiliaire n°11 de Senlis, de décembre 1914 à mars 1919, s'est fait remarquer par son dévouement, les soins constants et intelligents qu'elle a prodigués à ses blessés, et son courage pendant les bombardements.
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE
Re: Infirmières dans la Somme et en Picardie
Mlle THOMAS Geneviève, infirmière aux Hôpitaux Auxiliaires 1 et 4
J.O. du 21 novembre 1920 page 18742 et 18743
Médaille de la reconnaissance française est conférée à :
Mlle THOMAS (Geneviève), à Amiens, affectée aux hôpitaux auxiliaires numéros 1 et 4 d'Amiens du 22 août 1914 au 26 mars 1918, a fait preuve d'un dévouement absolu ; du 3 novembre 1918 au 1er novembre 1919, a assuré a d'Amiens le service des réfugiés et des permissionnaires. Du reste, a montré, en toutes circonstances, une intelligence et un courage dignes d'éloges.
Infirmière de la Croix-Rouge décorées 1914-1918
THOMAS (nom de jeune fille), (Geneviève), infirmière, HA 01 (Hôpital Auxiliaire 01) - Amiens
Médaille des épidémies (argent) - J.O. du 09/02/1917
Sources : Bulletin de la Société française de secours aux blessés militaires des armées de terre et de mer - année 1917 - 1917/04/01 (N5)-1917/04/30. (Site Gallica)
J.O. du 21 novembre 1920 page 18742 et 18743
Médaille de la reconnaissance française est conférée à :
Mlle THOMAS (Geneviève), à Amiens, affectée aux hôpitaux auxiliaires numéros 1 et 4 d'Amiens du 22 août 1914 au 26 mars 1918, a fait preuve d'un dévouement absolu ; du 3 novembre 1918 au 1er novembre 1919, a assuré a d'Amiens le service des réfugiés et des permissionnaires. Du reste, a montré, en toutes circonstances, une intelligence et un courage dignes d'éloges.
Infirmière de la Croix-Rouge décorées 1914-1918
THOMAS (nom de jeune fille), (Geneviève), infirmière, HA 01 (Hôpital Auxiliaire 01) - Amiens
Médaille des épidémies (argent) - J.O. du 09/02/1917
Sources : Bulletin de la Société française de secours aux blessés militaires des armées de terre et de mer - année 1917 - 1917/04/01 (N5)-1917/04/30. (Site Gallica)
Cordialement
Eric ABADIE
Eric ABADIE