CONSUL-HORN — Transport auxiliaire — Cargo allemand capturé (1914~1921).

Rutilius
Messages : 16760
Inscription : mar. avr. 22, 2008 2:00 am

CONSUL-HORN — Transport auxiliaire — Cargo allemand capturé (1914~1921).

Message par Rutilius »

Bonsoir à tous,

Consul-Horn — Transport auxiliaire — Cargo allemand capturé (1914~1921).

Cargo en acier construit en 1901 par la société Helsingørs Jernskibs og Maskinbyggeri ⅍, d’Elseneur — Helsingør en langue danoise — (Danemark) pour le compte de la Dampfschiffs Rhederei Horn Actien Ge-sellschaft, de Lübeck (Allemagne). Attaché au port de Lübeck ; signal distinctif : P.B.L.J. (1)

Avec le cargo Arcturus, capturé le 7 ou le 8 août 1914 par les autorités maritimes du port de Bordeaux, où ce navire se trouvait alors au mouillage (Le Temps, n° 19.425, Samedi 12 septembre 1914, p. 1 ; La Croix, n° 9.667, Vendredi 18 septembre 1914, p. 6, en rubrique « Sur mer » — Liste des navires capturés ou retenus dans les ports français), son équipage étant provisoirement incarcéré à la caserne de la rue de Belleville. Attaché au port de Bordeaux ; signal distinctif : H.S.P.Q. (2)

Administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre du 12 mars 1915 au 23 février 1918 [Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 735.].

En Décembre 1919, à la suite de modifications intervenues dans la composition de la flotte charbonnière de la Marine de l’État, donné en gérance par le Ministre de la Marine à la Compagnie des bateaux à va-peur du Nord, de Dunkerque, avec l’Acturus, l’Indret, l’Italia, le Le Bourget et le Saint-Médard (L’Ou-est-Éclair — éd. de Nantes —, n° 7.278, Samedi 20 déc. 1919, p. 4, en rubrique « Affaires maritimes ~ Marine de commerce »).

Avec l’Arcturus (2.514 t.) et le Kypros, ex-Maine (376 t.), autres cargos de prise, mis en vente le 25 juillet 1921 à Toulon par le Service de la solde et des prises selon la procédure d’adjudication publique sur soumissions cachetées (J.O. 2 sept. 1921, p. 10.203).

Acquis par l’armement Pietro Pittaluga, de Gênes (Italie), et renommé Sampierdarena. Cédé en 1923 à la Reederei Kayser Actien Gesellschaft, de Hambourg (Allemagne), et renommé Heinz Kayser. Cédé en 1923 à la société d’armement Leonhardt & Blumberg, de Hambourg (Allemagne) et renommé Lotte Leonhardt. Cédé en 1924 à la Lubeck Linie, de Lübeck (Allemagne) et renommé Herrenwyk en 1928.

Lors d’une tempête, sombre le 23 novembre 1928 au milieu de l’Atlantique par suite d’une voie d’eau, alors qu’il allait d’Härnösand (Suède) à New York avec un chargement de pâte à papier.

Caractéristiques générales. — Jauge : 2.504 tx jb et 1.596 tx jn. Dimensions : 315.8 x 45.2 x 19.7 ft [96,00 x 13,70 x 5,80 m]. Propulsion : Machine à triple expansion comportant trois cylindres et déve-loppant 241 nhp. Vitesse : ... nd.
_________________________________________________________________________________________

(1) Lloyd’s Register of Shipping 1914~1915, Steamers, Lettre C., n° 1.633, p. num. 254.
(2) Lloyd’s Register of Shipping 1917~1918, Steamers, Lettre C., n° 1.525, p. num. 234.
Dernière modification par Rutilius le mar. mars 28, 2023 11:18 am, modifié 1 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Memgam
Messages : 3682
Inscription : lun. nov. 23, 2009 1:00 am

Re: CONSUL-HORN — Cargo de prise, ex-allemand — Transport militarisé.

Message par Memgam »

Bonjour,

Herrenwik, 315,8 x 45,2 x 19,7 pieds, une machine à triple expansion, 241 nhp.

Coule à la suite d'une voie d'eau dans une forte tempête, 13 survivants recueillis par le cargo danois Estonia.

Source : Charles Hocking, Dictionary of disasters at sea during the age of steam, 1824-1962, Lloyd's register, 1969.

Cordialement.
Memgam
olivier 12
Messages : 4143
Inscription : ven. oct. 12, 2007 2:00 am

Re: CONSUL-HORN — Cargo de prise, ex-allemand — Transport militarisé.

Message par olivier 12 »

Bonjour à tous,

CONSUL HORN

Image

Image

Attaque par un sous-marin le 27 Mars 1918

Rapport du capitaine (LV auxiliaire Joseph COURSEL)

Le 27 mars, nous naviguions en convoi pour traverser la Manche dans la formation prescrite par l’autorité navale de Penzance, c’est-à-dire comme suit :

Image

A 04h05, deux fusées rouges ont été lancées par le navire n° 2 (Je suis attaqué). Aussitôt tout le convoi vient sur tribord et se disperse. Nous continuons cap au Sud ainsi que le chalutier de gauche. En même temps, je fais appeler tout le monde au poste de combat. Le patrouilleur se dirige sur le navire torpillé et recueille l’équipage qui s’est réfugié dans une embarcation.
A ce moment, nous sommes à environ 800 m du navire torpillé que nous voyons chavirer sur tribord et sombrer. Il faisait clair de lune. Je fais mettre la barre à droite toute et nous prenons cap au 030 en embardant brusquement. La machine tourne à toute allure et tous les chauffeurs sont en bas pour activer les feux. Au bout de dix minutes, cap au SW et nous retrouvons les autres navires du convoi route au S10E. Nous reprenons notre route en embardant toujours de temps à autre. Tout le monde reste à son poste de combat.

A 06h45, les canonniers de la pièce arrière, le 1er maître de manœuvre et le second maître de manœuvre de veille sur la passerelle crient : « Une torpille par tribord ». Je fais mettre la barre à droite toute vers la direction du sous-marin et la torpille passe à 2 ou 3 m sur notre arrière. Presque aussitôt, une autre torpille nous arrive qui devait, celle-là, nous atteindre par le travers de la cale IV. Mais le navire étant lancé sur tribord, elle nous élonge et passe sur l’arrière. Voici leurs trajets :

Image

Je siffle plusieurs coups et hisse le signal B supérieur à une boule pour avertir le convoi, puis envoie le signal TSF réglementaire.
Voici la formation du convoi lors de cette 2e attaque :

Image

Pendant l’attaque du CONSUL HORN, le convoi est demeuré dans la même formation. Les convoyeurs ont continué leur route sans tirer, pas plus que les autres navires du convoi. Aucun autre signal que mon ALLO TSF n’a été lancé.
Les pièces étaient chargées et tout l’armement à son poste, mais nous n’avons pas réussi à voir le périscope. Continué à faire route sur le chenal du Four sans autre incident. Fait rompre les postes de combat à 09h00.

Rapport du Lieutenant de Vaisseau DARDE, commandant du torpilleur d’escorte FANION

FANION, arrivé à Penzance le 26 Mars à midi a reçu l’ordre de protéger le convoi descendant à Brest ce même jour et qui devait appareiller à 19h15. Ce convoi se composait de 3 chalutiers escorteurs anglais et 6 cargos chargés de charbon :
PHYLLIS, ALLENDALE, ASTRAEA (anglais), CREUSOT et CONSUL HORN (français) THETIS (Grec). L’appareillage eut lieu sans incident et une fois au large, le convoi prit la formation prescrite conforme aux ordres. Mais cette formation ne fut pas très bien tenue à partir de 22h00 et il me semble qu’ALLENDALE était en avant de son poste et CONSUL HORN en arrière. La formation était à peu près celle-ci :

Image

Temps très beau et calme. Lune claire et brillante. A 04h20 le 27, un choc sourd et lointain est perçu sur FANION. On vit deux feux rouges s’allumer et s’éteindre sur l’avant du convoi qui continua sa route.
La fumée du vapeur derrière lequel se trouvait FANION masquait un peu la vue. Je fis augmenter la vitesse pour remonter le convoi et chercher à me rendre compte de ce qui avait pu se passer. A 04h35, tous les bâtiments du convoi vinrent à droite assez brusquement et le chalutier de tête tira quelques coups de canon. Le cap était WSW et je ne vis rien. J’attendis en croisant à grande vitesse sur les lieux approximatifs où nous avaient paru tomber les projectiles, puis ralliai le chalutier qui était reparti vers le convoi, le regroupai et repris la route du Sud.
Je ne savais encore rien du torpillage. Dès que le convoi fut en ordre, je communiquai avec le chalutier de gauche qui m’apprit le torpillage de l’ALLENDALE et sa disparition rapide, ainsi que le sauvetage de tout l’équipage à l’exception d’un homme.
A 05h50 envoyai le message suivant à l’Amiral SOM : « Vapeur ALLENDALE coulé en convoi à 35 milles au Nord de Créach. Equipage sauf. 1 manquant »

A 06h47, CONSUL HORN lance le signal « Allo – Allo 13 milles N30W Créach ». Le bâtiment est en tête du convoi suivant le chalutier de tête. Il fait jour et le convoi est en ligne de file dans la formation suivante :

Image

Un des chalutiers a rallié Penzance. Aucun signal indiquant un sous-marin en vue n’est fait et aucun coup de canon n’est tiré. Personne sur FANION n’a vu quoi que ce soit et les chalutiers ne se manifestent pas. La position donnée est inexacte de 14 milles et à reportée dans le SW. Un point fait par FANION à 06h35 par les feux du Stiff et de Créach encore visibles nous place exactement à 19 milles dans le Nord d’Ouessant et sur notre route.

Ma convictions est que CONSUL HORN n’a rien vu à cette heure là et envoie un Allo pour le torpillage de 04h00 à 35 milles au Nord d’Ouessant.

A 08h30, FANION croise LA SOMME qui lui donne l’ordre d’aller patrouiller au lieu indiqué par le Allo de CONSUL HORN. Je fais un signal TSF à LA SOMME pour la prévenir que ce Allo est manifestement erroné. CONSUL HORN, qui est à 300 m par mon travers bâbord, me demande à dégager la route et à décharger ses pièces. S’il a réellement vu un sous-marin à 06h40, que n’a-t-il tiré ?

Je quitte le convoi et monte néanmoins au lieu ordonné pendant une heure, puis descend vers le Sud car je sais que je suis dans la zone occupée par un sous-marin français. Mon signal à LA SOMME ne lui sera passé par Kerlaër qu’à 13h40.
A 11h40, un télégramme d’ALSOM me prescrit de ne pas aller au Nord du parallèle de La Jument. A 11h50, l’ordre m’arrive de rallier Brest.

Note du commandant de LA SOMME sur le rapport du commandant de FANION

Contrairement à ce que pensait le commandant de FANION, il est certain que CONSUL HORN a été torpillé et manqué à deux reprises. Il n’a vu que le sillage des deux torpilles et c’est pourquoi il n’a pas tiré. Mais le point donné par les Allos de CONSUL HORN était très fortement erroné. Il était à 29 milles dans le Nord d’Ouessant, c’est-à-dire à 21 milles du point où a été torpillé ALLENDALE.
Il est donc certain que l’attaque de CONSUL HORN a été faite par le sous-marin qui a torpillé ALLENDALE et qui suivait le convoi. Je sortais du Four avec LA SOMME quand j’ai reçu le Allo.

Le sous-marin attaquant

C’était l’U 101 du Kptlt Carl-Siegfried RITTER von GEORG

ALLENDALE allait d’Ardrossan à Bordeaux avec du charbon.

Cdlt
olivier
Rutilius
Messages : 16760
Inscription : mar. avr. 22, 2008 2:00 am

CONSUL-HORN — Transport auxiliaire — Cargo allemand capturé (1914~1921).

Message par Rutilius »

Bonsoir à tous,


Le transport auxiliaire Consul-Horn dans le port de Salonique le 17 octobre 1915

Photographies de Frédéric Gadmer (1878~1954), opérateur H. de l'armée


Débarquement de caisses de champagne et de chocolat

CONSUL-HORN – Transport – Salonique – APOR 021202 –  .jpg
CONSUL-HORN – Transport – Salonique – APOR 021202 – .jpg (335.36 Kio) Consulté 258 fois
Ministère de la Culture ~ Médiathèque de l’architecture et du patrimoine
Cliché n° H 1319 ~ Réf. APOR 021202
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Rutilius
Messages : 16760
Inscription : mar. avr. 22, 2008 2:00 am

CONSUL-HORN — Transport auxiliaire — Cargo allemand capturé (1914~1921).

Message par Rutilius »

Bonsoir à tous,

Le capitaine du transport auxiliaire Consul-Horn
depuis la date d’armement initial de ce bâtiment jusqu’en 1918


— BLANCHÉ Bernard Joseph, né le 26 décembre 1869 à Bordeaux (Gironde) (Registre des actes de nais-sance de la ville de Bordeaux, Année 1869, Section 2, f° 93, acte n° 1.203), au 52, rue Sainte-Ca-therine, décédé le ... à ... (...). Capitaine au long-cours, inscrit au quartier de Bordeaux, f° et n° 631 ; enseigne de vaisseau auxiliaire à la mobilisation. En 1918, domicilié à Caudéran (Gironde).

• Fils d’Henri Eugène BLANCHÉ, né le 27 septembre 1839 à Bordeaux et y décédé, le 17 juillet 1878 (Registre des actes de décès de la ville de Bordeaux, Année 1878, Section 2, f° 70, acte n° 1.353), com-merçant, et de Marie Camille ICHON, née le 24 septembre 1844 à Bordeaux, décédée le 15 mars 1926 à Paris (XVIIe Arr.) (Registre des actes de décès du XVIIe arrondissement la ville de Paris, Année 1926, f° 67, acte n° 723), sans profession ; époux ayant contracté mariage à Bordeaux, le 22 novembre 1865 (Re-gistre des actes de mariage de la ville de Bordeaux, Année 1865, Section 1, f° 76, acte n° 510).

Distinctions honorifiques

□ Par décret du Président de la République en date du 17 mars 1918 (J.O. 19 mars 1918, p. 2.509), nom-mé au grade de chevalier dans l’Ordre de la Légion d’honneur dans les termes suivants : « Blanché (Joseph-Bernard), capitaine au long-cours, non mobilisé, commandant le vapeur Consul Horn : a navi-gué, depuis le commencement de la guerre pour le compte de la Marine nationale dans les parages les plus difficiles et les plus dangereux, et a pris, notamment, une part importante à une opération moitié militaire, moitié commerciale. Sa conduite, depuis le début de la guerre, a été un modèle parfait d’énergie, silencieux et modeste, a fait montre des plus belles qualités professionnelles et de la plus courageuse endurance. N’a quitté son bâtiment que vaincu par la maladie et les fatigues. »

□ Par décision du Commissaire aux Transports maritimes et à la Marine marchande en date du 4 juillet 1918 (J.O. 14 juill. 1918, p. 6.124 et 6.129), lui fut décernée la Médaille d’honneur des marins du com-merce, instituée par la loi du 14 décembre 1901 (J.O. 16 déc. 1901, p. 7.777) au bénéfice des marins français comptant plus de 300 mois de navigation.

[Ancien élève du lycée de Bordeaux (1879~1883). Classe 1889, n° 2.536 au recrutement de Bordeaux. Initia-lement inscrit dans ce quartier, f° et n° 1.560. Par décision du Ministre de la Marine en date du 1er août 1894 (J.O. 4 août 1894, p. 3.832), lui fut conféré le brevet de maître au cabotage. Par décision du Ministre de la Marine en date du 17 juin 1895 (J.O. 20 juill. 1895, p. 3.418), lui fut conféré le brevet de capitaine de la marine marchande de 2e classe.]

_________________________________________________________________________________________

Association des anciens élèves du lycée de Bordeaux : « Livre d’or du lycée (Bordeaux,
Longchamps, Talence). Guerre 1914~1918. »
, Imp. Gounouilhou, Éd. Henri Laurens,
Bordeaux, 1921, 523 p. — Spécialement p. 377.

BLANCHÉ (B.-J.) –  .JPG
BLANCHÉ (B.-J.) – .JPG (111.3 Kio) Consulté 225 fois
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Rutilius
Messages : 16760
Inscription : mar. avr. 22, 2008 2:00 am

CONSUL-HORN — Transport auxiliaire — Cargo allemand capturé (1914~1921).

Message par Rutilius »

Bonsoir à tous,

Marin du transport auxiliaire Consul-Horn

— SANZEY Aristide Clovis, né le 2 décembre 1880 à Pleslin (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’Armor) (Registre des actes de naissance de la commune de Pleslin, Année 1880, f° 18, acte n° 32), décédé le 3 janvier 1916 à Brest (Finistère) s’étant noyé à la suite d’une chute accidentelle dans le bassin sis rive gauche de l’arsenal (Registre des actes de décès de la ville de Brest, Année 1916, Vol. I., f° 5, acte n° 14). Capitaine au cabotage, inscrit au quartier de Fécamp, n° 294. [Non déclaré « Mort pour la France »]

• Fils de Joseph Marie SANZEY, né le 24 janvier 1826 à Plouarzel (Finistère), syndic des gens de mer, et d’Émilie Julie MONNIER, née le 20 mai 1844 à Dinan (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’Armor), « ménagère » ; époux ayant contracté mariage à Taden (– d° –), le 24 octobre 1871 (Registre des actes de mariage de la commune de Taden, Année 1871, f° 11, acte n° 10).

• Époux d’Alphonsine Louise FORCHY, née le 31 janvier 1885 à Grainville-la-Teinturière (Seine-Inférieure — aujourd’hui Seine-Maritime), journalière, avec laquelle il avait contracté mariage à Fé-camp (– d° –), le 14 mars 1910 (Registre des actes de mariage de la commune de Fécamp, Année 1910, f° 28, acte n° 30).

[Acte de décès établi sur la déclaration d’Henri LE BLOCH, « âgé de 33 ans, maître d’équipage, domicilié à La Rochelle », et de Louis PÉDRON, « âgé de 33 ans, capitaine au long-cours, domicilié à Saint-Quay-Por-trieux », appelés comme témoins.]

_________________________________________________________________________________________

La Dépêche de Brest, n° 195, Mercredi 5 janvier 1916, p. 3.

L.D.B. 5-I-1916 - .jpg
L.D.B. 5-I-1916 - .jpg (39.52 Kio) Consulté 194 fois
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Répondre

Revenir à « Navires et équipages »