En complément d’une remarque de ce sujet viewtopic.php?t=78292, voici quelques épaves du champ de bataille qui témoignent, outre de sa violence, du « régime » que prennent les casques d’acier allemands soumis aux chocs : je n’ai jamais constaté de bosselage, mais des déchirures, des cassures nettes, comme le ferait un acier trempé. Le casque français, au contraire, est plus ductile, il se bosselle, j’en ai observé un plié sur lui-même comme un portefeuille...
Ce Sthalhelm à été percé d’une balle, qui a entraîné par compression deux fêlures sur le dessus de la bombe :
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Cet autre casque est resté posé au sol à l’envers, sur sa bombe, qui a été entièrement rongée par l’oxydation. La partie latérale impactée présente un large enlèvement prolongé par des fêlures.
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Ici, c’est toute la bombe qui a été brisée, on observe deux fêlures sur la partie avant, un morceaux de rebord de la visière (« jonc ») est également cassé.
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Ces vestiges se trouvaient encore sur le sol du no man’s land, dans les année 70. Et laissent penser au sort dramatique de leur propriétaires, et de tous les hommes plongés dans cet enfer.
Cordialement,
Régis R.
