Bonsoir,
Je ne sais pas si la capture d'écran ci-dessus est visible. Sinon voici le lien (page 30) :
https://www.memoiredeshommes.sga.defens ... em_zoom=98
Cordialement
Zachary
crâne peints sur les casques allemands
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Re: crâne peints sur les casques allemands
Bonsoir,
les soi-disant emblèmes du crâne et des os croisés sur les uniformes militaires sont devenus une sorte de mythe après la fin de la Première Guerre mondiale. Cependant, ils ne sont devenus un « culte » que plus tard à travers les unités SS.
Dans les anciens États allemands, seulement deux unités de troupes peuvent être reconnues indépendamment l'une de l'autre, avec un symbole de crâne et d'os croisés apparaissant sur le couvre-chef militaire.
1.
Le « Leibhusaren » (Leib-Husaren-Regiment « Königin Viktoria Luise No. 2“)
Garnison : Gdansk
connu plus tard sous le nom de « Schwarze Totenkopf-Husaren ».
Quand exactement ils portaient le crâne et les os croisés sur le shako est inconnu. On pense que cette tradition a été adoptée de Hongrie. Cependant, le crâne et les os croisés remontent à la vie des hussards au plus tard depuis les soi-disant «guerres de libération» (contre Napoléon) à partir de 1809.
Un « membre » éminent du « Totenkopf-Husaren » était, par exemple, la fille unique du Kaiser Wilhelm II, Viktoria Luise von Preußen. 2.
Indépendamment de cela, depuis 1809, la soi-disant « bande noire » (également « Corps Noir ») du duc Friedrich Wilhelm von Braunschweig (1771 - 1815 [Quatre-Bras !!!]) portait également le crâne et les os croisés. Dans ce cas, le crâne et les os croisés doivent être vus comme un signe de rétribution ou de vengeance (« cri de guerre : victoire ou mort »). Friedrich Wilhelm avait perdu son duché au profit de Napoléon et le voulait, entre autres, reconquérir avec ses alliés anglais (sa sœur était l'épouse du prince de Galles). Après la défaite des Autrichiens en 1809, le « duc noir » se fraya un chemin à travers le nord de l'Allemagne et put fuir en Angleterre avec sa « bande noire ». Les Anglais l'ont finalement embauché, lui et ses troupes. À la fin de la Première Guerre mondiale, l'emblème du crâne et des os croisés était utilisé par diverses unités militaires. En particulier, des unités spéciales telles que les « Sturmtruppen », « les lanceurs flames » ou les unités de chars le portaient comme un signe spécial de leur exclusivité. Il est également connu des aviateurs, surtout s'ils étaient avec le « Leibhusaren ».
À ce stade, l'insigne (plutôt petit) est porté discrètement sur l'uniforme (manche). Les crânes peints sur le casque en acier n'ont été portés qu'après la guerre par les « Freikorps » de droite.
Cordialement
Joseph
Cyrille a écrit : ↑jeu. déc. 29, 2022 1:15 pm Les insignes tissus pour les équipes de lances flammes sont connus et très probablement « règlementaires » au sein de ces unités lors du conflit. De tels insignes métalliques sur les casquettes et bonnets (schirmmütze, feldmütze) sont parfois visibles pour les régiments de hussards ou de traditions mais sans être « règlementaires » pour l’uniforme de campagne.
Cyrille
les soi-disant emblèmes du crâne et des os croisés sur les uniformes militaires sont devenus une sorte de mythe après la fin de la Première Guerre mondiale. Cependant, ils ne sont devenus un « culte » que plus tard à travers les unités SS.
Dans les anciens États allemands, seulement deux unités de troupes peuvent être reconnues indépendamment l'une de l'autre, avec un symbole de crâne et d'os croisés apparaissant sur le couvre-chef militaire.
1.
Le « Leibhusaren » (Leib-Husaren-Regiment « Königin Viktoria Luise No. 2“)
Garnison : Gdansk
connu plus tard sous le nom de « Schwarze Totenkopf-Husaren ».
Quand exactement ils portaient le crâne et les os croisés sur le shako est inconnu. On pense que cette tradition a été adoptée de Hongrie. Cependant, le crâne et les os croisés remontent à la vie des hussards au plus tard depuis les soi-disant «guerres de libération» (contre Napoléon) à partir de 1809.
Un « membre » éminent du « Totenkopf-Husaren » était, par exemple, la fille unique du Kaiser Wilhelm II, Viktoria Luise von Preußen. 2.
Indépendamment de cela, depuis 1809, la soi-disant « bande noire » (également « Corps Noir ») du duc Friedrich Wilhelm von Braunschweig (1771 - 1815 [Quatre-Bras !!!]) portait également le crâne et les os croisés. Dans ce cas, le crâne et les os croisés doivent être vus comme un signe de rétribution ou de vengeance (« cri de guerre : victoire ou mort »). Friedrich Wilhelm avait perdu son duché au profit de Napoléon et le voulait, entre autres, reconquérir avec ses alliés anglais (sa sœur était l'épouse du prince de Galles). Après la défaite des Autrichiens en 1809, le « duc noir » se fraya un chemin à travers le nord de l'Allemagne et put fuir en Angleterre avec sa « bande noire ». Les Anglais l'ont finalement embauché, lui et ses troupes. À la fin de la Première Guerre mondiale, l'emblème du crâne et des os croisés était utilisé par diverses unités militaires. En particulier, des unités spéciales telles que les « Sturmtruppen », « les lanceurs flames » ou les unités de chars le portaient comme un signe spécial de leur exclusivité. Il est également connu des aviateurs, surtout s'ils étaient avec le « Leibhusaren ».
À ce stade, l'insigne (plutôt petit) est porté discrètement sur l'uniforme (manche). Les crânes peints sur le casque en acier n'ont été portés qu'après la guerre par les « Freikorps » de droite.
Cordialement
Joseph
.. Les officiers français étaient impuissants. Aucune persuasion n'a aidé, pas même l'avertissement de suivre l'exemple des courageuses troupes bavaroises. ..
Histoire rgtaire du RI Bavarois n°8 : Retraite de Russie (1813); p.380.
Histoire rgtaire du RI Bavarois n°8 : Retraite de Russie (1813); p.380.
Re: crâne peints sur les casques allemands
Bonsoir à tous,
Merci Joseph pour votre intéressante réponse.
Auriez-vous des exemples de tels insignes portés par des allemands, par « des unités spéciales telles que les « Sturmtruppen » sur l’uniforme de campagne, hors équipes de lance-flammes, durant le conflit ?
Cdlt,
Cyrille
Merci Joseph pour votre intéressante réponse.
Auriez-vous des exemples de tels insignes portés par des allemands, par « des unités spéciales telles que les « Sturmtruppen » sur l’uniforme de campagne, hors équipes de lance-flammes, durant le conflit ?
Cdlt,
Cyrille
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Re: crâne peints sur les casques allemands
Bonsoir
Merci pour votre message. Malheureusement, mon aperçu n'est pas complètement complet.
1. Le Leib-Husaren Regiment No. 1 avait également le crâne et les os croisés sur le shako. Parmi les membres éminents figuraient le dernier maréchal August von Mackensen (11e armée; groupe d'armées Mackensen) 3. Le « Braunschweiges Infanterie Regiment No. 92 » est issu du « corps noir » du duc de Brunswick. Celui-ci portait le crâne et les os croisés spéciaux de Brunswick sur le casque à pointes (également sur la casquette de l'officier et le "Krätzchen" entre les deux cocardes). Il est possible que ces fantassins de Brunswick soient mentionnés dans des sources françaises. Cependant, ils ne portaient pas le crâne et les os croisés sur leurs casques en acier.
Les 92ers sont également accusés d'avoir provoqué un massacre parmi la population civile le 21 août 1914 à Roselies en Belgique (aujourd'hui : Aiseau-Presles). Dans le cadre de la commémoration du début de la guerre il y a 100 ans, de vives discussions ont eu lieu à Braunschweig en 2014 autour d'un geste de réconciliation.
Un autre « post » suivra sous peu sur les emblèmes tête de mort utilisés par les différentes unités spéciales lors de la phase finale de la Première Guerre mondiale.
A bientôt
Joseph
Addition.Cyrille a écrit : ↑jeu. janv. 05, 2023 11:43 pm Bonsoir à tous,
Merci Joseph pour votre intéressante réponse.
Auriez-vous des exemples de tels insignes portés par des allemands, par « des unités spéciales telles que les « Sturmtruppen » sur l’uniforme de campagne, hors équipes de lance-flammes, durant le conflit ?
Cdlt,
Cyrille
Merci pour votre message. Malheureusement, mon aperçu n'est pas complètement complet.
1. Le Leib-Husaren Regiment No. 1 avait également le crâne et les os croisés sur le shako. Parmi les membres éminents figuraient le dernier maréchal August von Mackensen (11e armée; groupe d'armées Mackensen) 3. Le « Braunschweiges Infanterie Regiment No. 92 » est issu du « corps noir » du duc de Brunswick. Celui-ci portait le crâne et les os croisés spéciaux de Brunswick sur le casque à pointes (également sur la casquette de l'officier et le "Krätzchen" entre les deux cocardes). Il est possible que ces fantassins de Brunswick soient mentionnés dans des sources françaises. Cependant, ils ne portaient pas le crâne et les os croisés sur leurs casques en acier.
Les 92ers sont également accusés d'avoir provoqué un massacre parmi la population civile le 21 août 1914 à Roselies en Belgique (aujourd'hui : Aiseau-Presles). Dans le cadre de la commémoration du début de la guerre il y a 100 ans, de vives discussions ont eu lieu à Braunschweig en 2014 autour d'un geste de réconciliation.
Un autre « post » suivra sous peu sur les emblèmes tête de mort utilisés par les différentes unités spéciales lors de la phase finale de la Première Guerre mondiale.
A bientôt
Joseph
.. Les officiers français étaient impuissants. Aucune persuasion n'a aidé, pas même l'avertissement de suivre l'exemple des courageuses troupes bavaroises. ..
Histoire rgtaire du RI Bavarois n°8 : Retraite de Russie (1813); p.380.
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Re: crâne peints sur les casques allemands
Bonjour,
Merci Joseph de prendre de votre temps pour ces messages très complets.
Cordialement
Zachary
Merci Joseph de prendre de votre temps pour ces messages très complets.
Cordialement
Zachary
Re: crâne peints sur les casques allemands
Bonsoir,Ungernkhan a écrit : ↑mar. janv. 03, 2023 11:53 pm Je ne sais pas si la capture d'écran ci-dessus est visible. Sinon voici le lien (page 30) :
https://www.memoiredeshommes.sga.defens ... em_zoom=98
Merci Zachari pour le lien vers ce JMO. Ci-dessous la page qui suit la page du 03 janv. dernier. Les choses sont claires maintenant. Comme indiqué dans ce JMO il s’agit bien d’équipes de lance-flammes du ‘’Lehr Régiment de la Garde’’ faisant partie de la 3e division de la Garde. Ces équipes portaient des insignes tissus, en bas de manche gauche, semblables à celui porté par le servant du Garde-Reserve-Pionier-Regiment ici en tunique « de sortie » Model 1915 sur la photo postée par Joseph dans son message du 05 janv.
Cdlt,
Cyrille
Re: crâne peints sur les casques allemands
Bonjour,
merci à tous les participants, pour la qualité et la sérénité des échanges.
Cordialement,
Frédéric
merci à tous les participants, pour la qualité et la sérénité des échanges.
Cordialement,
Frédéric
Modérateur technique
Les cadres 5e BILA années 1914 à 1918
1er R.A.L
rédacteur d'articles sur Généawiki sur la Grande Guerre
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Re: crâne peints sur les casques allemands
Bonjour,
Comme promis, je vous envoie ici un aperçu des marquages Totenkopf utilisés par diverses unités de l'armée allemande pendant la Grande Guerre. Je dois admettre que je suis sur un territoire « étranger », pour ainsi dire, car il n'y avait pas de traditions en Bavière à l'époque pour équiper les troupes d'un tel symbolisme de la mort.
Ce qui a causé cela m'est inconnu. En revanche, à l'époque où ces insignes étaient délibérément utilisés en Prusse (1809 ff), il n'y avait pas de sentiment anti-français en Bavière. Au contraire, la Bavière avait grandement bénéficié de la domination napoléonienne. Après 500 ans, d'anciens territoires bavarois (appelés « Stammländer ») tels que le Tyrol ou l'actuelle Haute-Autriche ont été reconquis [
sanglot, sanglot !!]. La structure administrative introduite en Bavière sur le modèle français existe toujours en principe aujourd'hui. L'armée bavaroise était organisée « française ».
Incidemment, dans la Bavière majoritairement catholique, de telles représentations de la mort étaient considérées comme « obscènes ». Effrayer ou défier des adversaires potentiels avec de tels signes était considéré comme insensé et non professionnel.
Mais passons maintenant aux unités individuelles de crâne et d'os croisés, dans la mesure où elles ont été nouvellement introduites vers la fin de la guerre ou se sont «décorées» de tels emblèmes.
Insigne tête de mort sur la manche gauche.
Autant que je sache, vers la fin de la guerre, chaque division d'infanterie avait sa propre compagnie d'assaut. En particulier, les unités de lance-flammes très « exclusives » semblent toujours avoir porté l'insigne de manche tête de mort. Les Pionniers de la Réserve de la Garde prussienne portaient également le même insigne sur la manche gauche. Tête de mort - épingle sur le couvre-chef
(bataillons d'assaut)
Les troupes allemandes (également bavaroises) déployées à l'est (ou en Italie) avec les troupes autrichiennes ont adopté une sorte de «mode» qui était commune aux troupes autrichiennes. Il s'agissait de petits épingles métalliques qui pouvaient généralement être fixés sur le côté du bouchon de service.
En 1915, le « Alpenkorps » [Corps alpin], qui était sous commandement bavarois, fut la première unité allemande à recevoir l'insigne « Edelweiß » du commandement de la défense du Lande de Tyrol pour son soutien sur le front italien. Les unités d'infanterie de montagne bavaroises [Gebirgsjäger] de la Bundeswehr portent ce signe à ce jour.
Plus tard, l'insigne du « Karpathenkorps » [Corps des Carpates] a été ajouté, qui était porté sur le devant de la casquette ou de la « Krätzchen ».
Sur la photo, un soldat qui a apparemment servi à la fois dans le Alpenkorps (voir Edelweiß) et dans le Karpathenkorps. Les membres des bataillons d'assaut autrichiens portaient également des épinglettes du même genre. (Autrichien ou Bavarois : Bataillon = Baion !!) Ici, le symbole du crâne et des os croisés réapparaît soudainement.
Insigne du bataillon d'assaut autrichien. Autant que je sache, des épinglettes similaires pour les troupes spéciales individuelles ont ensuite été frappées en Allemagne.
continué ensuite.
Comme promis, je vous envoie ici un aperçu des marquages Totenkopf utilisés par diverses unités de l'armée allemande pendant la Grande Guerre. Je dois admettre que je suis sur un territoire « étranger », pour ainsi dire, car il n'y avait pas de traditions en Bavière à l'époque pour équiper les troupes d'un tel symbolisme de la mort.
Ce qui a causé cela m'est inconnu. En revanche, à l'époque où ces insignes étaient délibérément utilisés en Prusse (1809 ff), il n'y avait pas de sentiment anti-français en Bavière. Au contraire, la Bavière avait grandement bénéficié de la domination napoléonienne. Après 500 ans, d'anciens territoires bavarois (appelés « Stammländer ») tels que le Tyrol ou l'actuelle Haute-Autriche ont été reconquis [
![Sad :(](./images/smilies/icon_e_sad.gif)
Incidemment, dans la Bavière majoritairement catholique, de telles représentations de la mort étaient considérées comme « obscènes ». Effrayer ou défier des adversaires potentiels avec de tels signes était considéré comme insensé et non professionnel.
Mais passons maintenant aux unités individuelles de crâne et d'os croisés, dans la mesure où elles ont été nouvellement introduites vers la fin de la guerre ou se sont «décorées» de tels emblèmes.
Insigne tête de mort sur la manche gauche.
Autant que je sache, vers la fin de la guerre, chaque division d'infanterie avait sa propre compagnie d'assaut. En particulier, les unités de lance-flammes très « exclusives » semblent toujours avoir porté l'insigne de manche tête de mort. Les Pionniers de la Réserve de la Garde prussienne portaient également le même insigne sur la manche gauche. Tête de mort - épingle sur le couvre-chef
(bataillons d'assaut)
Les troupes allemandes (également bavaroises) déployées à l'est (ou en Italie) avec les troupes autrichiennes ont adopté une sorte de «mode» qui était commune aux troupes autrichiennes. Il s'agissait de petits épingles métalliques qui pouvaient généralement être fixés sur le côté du bouchon de service.
En 1915, le « Alpenkorps » [Corps alpin], qui était sous commandement bavarois, fut la première unité allemande à recevoir l'insigne « Edelweiß » du commandement de la défense du Lande de Tyrol pour son soutien sur le front italien. Les unités d'infanterie de montagne bavaroises [Gebirgsjäger] de la Bundeswehr portent ce signe à ce jour.
Plus tard, l'insigne du « Karpathenkorps » [Corps des Carpates] a été ajouté, qui était porté sur le devant de la casquette ou de la « Krätzchen ».
Sur la photo, un soldat qui a apparemment servi à la fois dans le Alpenkorps (voir Edelweiß) et dans le Karpathenkorps. Les membres des bataillons d'assaut autrichiens portaient également des épinglettes du même genre. (Autrichien ou Bavarois : Bataillon = Baion !!) Ici, le symbole du crâne et des os croisés réapparaît soudainement.
Insigne du bataillon d'assaut autrichien. Autant que je sache, des épinglettes similaires pour les troupes spéciales individuelles ont ensuite été frappées en Allemagne.
continué ensuite.
.. Les officiers français étaient impuissants. Aucune persuasion n'a aidé, pas même l'avertissement de suivre l'exemple des courageuses troupes bavaroises. ..
Histoire rgtaire du RI Bavarois n°8 : Retraite de Russie (1813); p.380.
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Re: crâne peints sur les casques allemands
continuation
Insigne des troupes blindées allemandes. Insigne de l'unité de l'armée de l'air allemande. Insigne des « Sturmtruppen » allemands (?). Je ne sais pas si ces broches ont été officiellement approuvées ou simplement tolérées. Vers la fin de la guerre, il semble y avoir eu une sorte d'inflation de tous les badges possibles.
Comme on peut le voir sur l'image ci-dessous, le crâne a également été peint sur des voitures. Cordialement
Joseph
Insigne des troupes blindées allemandes. Insigne de l'unité de l'armée de l'air allemande. Insigne des « Sturmtruppen » allemands (?). Je ne sais pas si ces broches ont été officiellement approuvées ou simplement tolérées. Vers la fin de la guerre, il semble y avoir eu une sorte d'inflation de tous les badges possibles.
Comme on peut le voir sur l'image ci-dessous, le crâne a également été peint sur des voitures. Cordialement
Joseph
.. Les officiers français étaient impuissants. Aucune persuasion n'a aidé, pas même l'avertissement de suivre l'exemple des courageuses troupes bavaroises. ..
Histoire rgtaire du RI Bavarois n°8 : Retraite de Russie (1813); p.380.
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