Il s’agit de René BONHOURE, dont le nom se trouve inscrit sur la grande plaque commémorative apposée dans la bibliothèque de l’Ordre des avocats de Paris, sise au Palais de justice, boulevard du Palais. Néanmoins, cet avocat ne semble pas avoir été déclaré « Mort pour la France », la base « Mémoire des hommes » ne comportant aucune fiche établie à ce nom.
Il est en effet décédé subitement fin Octobre 1918, en débarquant du cuirassé d'escadre Marceau, à bord duquel il était embarqué en qualité de commissaire auxiliaire de 3e classe. Il avait été commissionné à cet effet par une décision ministérielle du 27 février 1918 (J.O. 1er mars 1918, p. 2.015), étant affecté au port de Lorient.
Il est en effet décédé subitement fin Octobre 1918, en débarquant du cuirassé d'escadre Marceau, à bord duquel il était embarqué en qualité de commissaire auxiliaire de 3e classe. Il avait été commissionné à cet effet par une décision ministérielle du 27 février 1918 (J.O. 1er mars 1918, p. 2.015), étant affecté au port de Lorient.
• Le Temps, n° 20.299, Vendredi 25 octobre 1918,
p. 3, en rubrique « Nécrologie ».
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p. 3, en rubrique « Nécrologie ».
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• Fils de Louis Alphonse BONHOURE, né le 2 juillet 1864 à Nîmes (Gard) et décédé le 30 janvier 1909 à Saigon, s’étant suicidé d’une balle de revolver dans la tête (Le Temps, n° 17.385, Dimanche 1er février 1909, p. 2, en rubrique « Dernières nouvelles. » ; Le Temps, n° 17.386, Lundi 1er février 1909, p. 2, en rubrique « Affaires coloniales. »).
Alors gouverneur de 1re classe, exerçant les fonctions de lieutenant-gouverneur de la Cochinchine.
Du 3 novembre 1883 jusqu’en 1891, avocat près la Cour d’appel de Paris.
Le 26 juin 1899, nommé chef du cabinet civil du Ministre de la Marine (Jean-Marie Antoine Louis de LANESSAN ; 22 juin 1899 ~ 7 juin 1902 ; gouvernement Pierre WALDECK-ROUSSEAU), fonctions qu’il quitta pour occuper, en Septembre 1900, à Djibouti, celles de gouverneur de la Côte française des Somalis et dépendances.
• Petit-fils d’Eugène Antoine Jean Louis BONHOURE, avoué près la Cour d’appel de Nîmes, et d’Anne Marie ÉTIENNE, dite LAMOUROUX, son épouse.
René BONHOURE était l’auteur d’une thèse pour le doctorat de droit intitulée : « La propriété foncière dans les établissements français de l’Océanie » (Libr. M. Giard & E. Brière, 1915, In-8, 168 p.).
Alors gouverneur de 1re classe, exerçant les fonctions de lieutenant-gouverneur de la Cochinchine.
Du 3 novembre 1883 jusqu’en 1891, avocat près la Cour d’appel de Paris.
Le 26 juin 1899, nommé chef du cabinet civil du Ministre de la Marine (Jean-Marie Antoine Louis de LANESSAN ; 22 juin 1899 ~ 7 juin 1902 ; gouvernement Pierre WALDECK-ROUSSEAU), fonctions qu’il quitta pour occuper, en Septembre 1900, à Djibouti, celles de gouverneur de la Côte française des Somalis et dépendances.
• Petit-fils d’Eugène Antoine Jean Louis BONHOURE, avoué près la Cour d’appel de Nîmes, et d’Anne Marie ÉTIENNE, dite LAMOUROUX, son épouse.
René BONHOURE était l’auteur d’une thèse pour le doctorat de droit intitulée : « La propriété foncière dans les établissements français de l’Océanie » (Libr. M. Giard & E. Brière, 1915, In-8, 168 p.).