Le 14 juillet 1918, le paquebot Djemnah, de la Compagnie des Messageries maritimes, fut torpillé par le sous-marin allemand UB-105 (Kapitänleutnant Wilhelm MARSCHALL) dans le Sud de la Crête, entre Benghasi et Derma, par 33° 12’ N. et 23° 55’ E., alors qu’il allait en convoi de Bizerte à Alexandrie, escorté par le sloop britannique H.M.S. Mallow et trois chalutiers armés. Il était alors commandé par Charles Félix MÉRIC, capitaine au long-cours inscrit au quartier d’Agde, n° 213, lieutenant de vaisseau auxiliaire, qui disparut avec son bâtiment.
Au moment de l’explosion de la torpille, était officier de quart sur la passerelle le premier lieutenant, du nom de Henri HÉMERY. Recueilli par le H.M.S. Mallow, il fut ultérieurement cité à l’ordre de la brigade (Commandant LANFANT : « Historique de la flotte des Messageries maritimes. 1851~ 1975.», éd. Graphic Photo, Dunkerque, Déc. 1979, p. 54).
Il est permis de penser qu’il s’agissait de notre homme. On peut alors avancer l’hypothèse qu’après la dissolution du Centre d’aviation maritime de Venise, intervenue le 22 juin 1917, cet enseigne de vaisseau auxiliaire fut remis par la Marine à la disposition de la Compagnie des Messageries maritimes, son emplo-yeur d’origine, qui l’affecta au Djemnah. Tout élément qui permettrait de le confirmer, aussi ténu soit-il, sera le bienvenu.
Au moment de l’explosion de la torpille, était officier de quart sur la passerelle le premier lieutenant, du nom de Henri HÉMERY. Recueilli par le H.M.S. Mallow, il fut ultérieurement cité à l’ordre de la brigade (Commandant LANFANT : « Historique de la flotte des Messageries maritimes. 1851~ 1975.», éd. Graphic Photo, Dunkerque, Déc. 1979, p. 54).
Il est permis de penser qu’il s’agissait de notre homme. On peut alors avancer l’hypothèse qu’après la dissolution du Centre d’aviation maritime de Venise, intervenue le 22 juin 1917, cet enseigne de vaisseau auxiliaire fut remis par la Marine à la disposition de la Compagnie des Messageries maritimes, son emplo-yeur d’origine, qui l’affecta au Djemnah. Tout élément qui permettrait de le confirmer, aussi ténu soit-il, sera le bienvenu.