Bonsoir à toutes et à tous,
Un marin disparu sur le GÉNÉRAL DU TEMPLE :
QUÉRÉ François Marie né le 09/03/1886 à Goulven (Finistère), Quartier Maître Canonnier - Décédé le 19/08/1917 (31 Ans) - Disparu en mer à bord du GENERAL DU TEMPLE
Cordialement
Dominique
GÉNÉRAL DU TEMPLE - Vapeur
Re: GÉNÉRAL DU TEMPLE - Vapeur
Avec les Allemands, nous nous sommes tellement battus que nos sangs ne font plus qu'un [ Ferdinand Gilson, France, Figaro Magazine n°19053 du 05 nov. 2005 ]
- Terraillon Marc
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Re: GÉNÉRAL DU TEMPLE - Vapeur
Bonjour
Extrait de la liste de JPC
19/08 GENERAL DUTEMPLE VAPEUR 566 4 milles NE Cherbourg, a sauté sur une mine 7 disparus. Drague, Cie Anglo Belge.
A bientot
Extrait de la liste de JPC
19/08 GENERAL DUTEMPLE VAPEUR 566 4 milles NE Cherbourg, a sauté sur une mine 7 disparus. Drague, Cie Anglo Belge.
A bientot
Cordialement
Marc TERRAILLON
A la recherche du 17e RIT, des 166/366e RI et du 12e Hussards.
Marc TERRAILLON
A la recherche du 17e RIT, des 166/366e RI et du 12e Hussards.
Re: GÉNÉRAL DU TEMPLE - Vapeur
Bonjour à tous,
GENERAL DUTEMPLE
585 tonnes
La drague française Général Dutemple a coulé à quelques milles dans le NW du Cap Lévy le 19 Août 1917 après avoir heurté une mine déposée peu avant par le sous-marin UC-65. Position de l'épave : 49.43.077N, 01.34.040W.
Source :
Fortunes de mer, fortunes de guerre dans la Manche et aux abords de 1830 à nos jours, Yves Dufeil, 2007.
Cordialement,
Franck
GENERAL DUTEMPLE
585 tonnes
La drague française Général Dutemple a coulé à quelques milles dans le NW du Cap Lévy le 19 Août 1917 après avoir heurté une mine déposée peu avant par le sous-marin UC-65. Position de l'épave : 49.43.077N, 01.34.040W.
Source :
Fortunes de mer, fortunes de guerre dans la Manche et aux abords de 1830 à nos jours, Yves Dufeil, 2007.
Cordialement,
Franck
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
GÉNÉRAL-DU-TEMPLE — Drague — Armement René Marnat (1911~1917).
Bonsoir à tous,
Marin disparu le 19 août 1917 avec la drague Général-du-Temple
• Annales du sauvetage maritime (Société centrale de sauvetage des naufragés),
3e et 4e trim. 1917, p. 216 – Morts pour la Patrie (Sixième liste).
• Annales du sauvetage maritime (Société centrale de sauvetage des naufragés),
3e et 4e trim. 1917, p. 216 – Morts pour la Patrie (Sixième liste).
« LUYX (Jean), canotier de sauvetage à Dunkerque, disparu dans le torpillage du vapeur Général du Temple.»
Dernière modification par Rutilius le ven. mai 21, 2021 11:08 pm, modifié 1 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
-
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Re: GÉNÉRAL DU TEMPLE - Vapeur
Bonjour à tous,
Un petit complément sur le GENERAL DU TEMPLE
GENERAL DU TEMPLE
Vapeur de 585 tpl et 220 tx JN (à mon avis la jauge brute doit se situer aux alentours de 300 tx)
Armateur René MARNAT 20 rue Joubert PARIS
Capitaine Jean RICHARD, capitaine au cabotage inscrit au Havre
Quitte Cherbourg le 19 Août 1917 à 16h20 pour Dunkerque avec un chargement de macadam. (En l’occurrence, le navire n’opérait pas comme drague. Il ne figure pas dans la base Miramar).
La perte du GENERAL DU TEMPLE
A 18h00 le 19 Août, le vapeur est arraisonné par le torpilleur 252, à la position 49°44 N 001°36 W à environ 6 milles au nord du fort de l'est. Celui-ci l’autorise à poursuivre sa marche.
Cinq minutes plus tard, le capitaine aperçoit un point noir qui remonte à la surface. Il met la barre à gauche toute, mais heurte une mine par le côté tribord avant. L’explosion, violente, va faire couler la vapeur par l’avant en 12 minutes.
A 100 m sur bâbord, on peut apercevoir une autre mine.
Le torpilleur 252 vient aussitôt prendre deux hommes grièvement blessés qui sont dans le canot, aussitôt mis à la mer. Puis le canot évacue le reste de l’équipage.
Huit hommes étaient dans le poste équipage, sur l’avant, en train de manger. Un seul parviendra à remonter sur le pont, grièvement blessé. Les sept autres, sans doute tués par l’explosion, vont couler avec le bâtiment.
Huit marins, dont le capitaine et le second sont récupérés par le torpilleur qui les dépose à Cherbourg. Trois sont admis à l’hôpital, dont deux très grièvement blessés.
Le capitaine assure qu’il n’était pas dans la zone interdite et que le torpilleur se trouvait entre lui et la côte.
Liste des rescapés
RICHARD Jean Capitaine Le Havre
PERQUIER Pierre 2e capitaine Fécamp Blessé
LALLES Edouard Matelot Binic
LE COURTOIS Emile Matelot Granville
LE GANGNEUX Raymond MousseCherbourg Blessé
FUZET Georges Chef mécan. Marseille
MATELOT François 1er chauffeur Cherbourg
TALAGAS Jean Canonnier
EZAN Eugène Canonnier
CADOPPIS Hyacinthe Canonnier 1er dépôt Blessé
Liste des disparus
PASCO Auguste Matelot Cherbourg
BIGOT Jean-Marie Matelot Audierne
LARIVEN Ange Novice Paimpol
LAPPERT Auguste 2e mécan.Fécamp
LUYCEX Julien Chauffeur Dunkerque (appelé LUYX Jean dans le post ci-dessus)
BOURGES Yves Chauffeur Le Havre
QUERE François QM Canonnier Morlaix
Conclusions de la Commission d’Enquête
Le capitaine a fait son possible pour éviter la mine après l’avoir aperçue. Il a pris toutes les dispositions pour sauver son équipage et les papiers du bord. La perte du bâtiment est un cas de force majeure. La Commission propose de lui maintenir la faculté de commander.
Le sous-marin poseur de mines
C’était donc l’UC 65 du KL Max VIEBEG (1887-1961)
Cdlt
Un petit complément sur le GENERAL DU TEMPLE
GENERAL DU TEMPLE
Vapeur de 585 tpl et 220 tx JN (à mon avis la jauge brute doit se situer aux alentours de 300 tx)
Armateur René MARNAT 20 rue Joubert PARIS
Capitaine Jean RICHARD, capitaine au cabotage inscrit au Havre
Quitte Cherbourg le 19 Août 1917 à 16h20 pour Dunkerque avec un chargement de macadam. (En l’occurrence, le navire n’opérait pas comme drague. Il ne figure pas dans la base Miramar).
La perte du GENERAL DU TEMPLE
A 18h00 le 19 Août, le vapeur est arraisonné par le torpilleur 252, à la position 49°44 N 001°36 W à environ 6 milles au nord du fort de l'est. Celui-ci l’autorise à poursuivre sa marche.
Cinq minutes plus tard, le capitaine aperçoit un point noir qui remonte à la surface. Il met la barre à gauche toute, mais heurte une mine par le côté tribord avant. L’explosion, violente, va faire couler la vapeur par l’avant en 12 minutes.
A 100 m sur bâbord, on peut apercevoir une autre mine.
Le torpilleur 252 vient aussitôt prendre deux hommes grièvement blessés qui sont dans le canot, aussitôt mis à la mer. Puis le canot évacue le reste de l’équipage.
Huit hommes étaient dans le poste équipage, sur l’avant, en train de manger. Un seul parviendra à remonter sur le pont, grièvement blessé. Les sept autres, sans doute tués par l’explosion, vont couler avec le bâtiment.
Huit marins, dont le capitaine et le second sont récupérés par le torpilleur qui les dépose à Cherbourg. Trois sont admis à l’hôpital, dont deux très grièvement blessés.
Le capitaine assure qu’il n’était pas dans la zone interdite et que le torpilleur se trouvait entre lui et la côte.
Liste des rescapés
RICHARD Jean Capitaine Le Havre
PERQUIER Pierre 2e capitaine Fécamp Blessé
LALLES Edouard Matelot Binic
LE COURTOIS Emile Matelot Granville
LE GANGNEUX Raymond MousseCherbourg Blessé
FUZET Georges Chef mécan. Marseille
MATELOT François 1er chauffeur Cherbourg
TALAGAS Jean Canonnier
EZAN Eugène Canonnier
CADOPPIS Hyacinthe Canonnier 1er dépôt Blessé
Liste des disparus
PASCO Auguste Matelot Cherbourg
BIGOT Jean-Marie Matelot Audierne
LARIVEN Ange Novice Paimpol
LAPPERT Auguste 2e mécan.Fécamp
LUYCEX Julien Chauffeur Dunkerque (appelé LUYX Jean dans le post ci-dessus)
BOURGES Yves Chauffeur Le Havre
QUERE François QM Canonnier Morlaix
Conclusions de la Commission d’Enquête
Le capitaine a fait son possible pour éviter la mine après l’avoir aperçue. Il a pris toutes les dispositions pour sauver son équipage et les papiers du bord. La perte du bâtiment est un cas de force majeure. La Commission propose de lui maintenir la faculté de commander.
Le sous-marin poseur de mines
C’était donc l’UC 65 du KL Max VIEBEG (1887-1961)
Cdlt
olivier
GÉNÉRAL-DU-TEMPLE — Drague — Armement René Marnat (1911~1917).
Bonsoir à tous,
Circonstances du sauvetage par le Torpilleur 252 des survivants
de la drague Général-du-Temple
de la drague Général-du-Temple
• Torpilleur 252 — alors commandé par le premier maître patron pilote Louis Émile KERVERDO —, Journal de bord — 18 août ~ 11 déc. 1917— : Service historique de la Défense, Cote SS Y 498, p. num. 622.
« Le Dimanche 19 août 1917.
Journal de navigation.
Journal de navigation.
0 h. 00 — Soutien d’arraisonneur.
0 h. 15 — Rentré en rade.
0 h. 20 — Amarré en baie de Sainte-Anne.
9 h. 00 — Appareillé pour surveillance.
18 h. 05 — Le vapeur Général-du-Temple touche une mine. Fait route à toute vitesse pour porter secours à l’équipage du vapeur. Tiré trois coups de canon à blanc pour donner l’alerte.
18 h. 25 — Fait sauter une mine (11 coups de canon) ; mouillé une bouée à 3 milles et demi sur alignement Roule – Fort Est. (Par suite de l’explosion de la mine, quelques objets de la gamelle de combat ont été cassés.) Mouillé une deuxième bouée à 600 mètres au Nord de la première.
18 h. 35 — Le Général-du-Temple se retourne et coule instantanément.
18 h. 34 — Embarqué les deux hommes et le capitaine du Général-du-Temple. Fait route sur l’entrée.
19 h. 25 — Débarqué les rescapés à l’Imprenable à bord du Roule.
19 h. 45 — Appareillé. Croisé sur le méridien de Levi et parallèle 49° 48’.
Le Patron de quart.
[Aucune signature]
0 h. 15 — Rentré en rade.
0 h. 20 — Amarré en baie de Sainte-Anne.
9 h. 00 — Appareillé pour surveillance.
18 h. 05 — Le vapeur Général-du-Temple touche une mine. Fait route à toute vitesse pour porter secours à l’équipage du vapeur. Tiré trois coups de canon à blanc pour donner l’alerte.
18 h. 25 — Fait sauter une mine (11 coups de canon) ; mouillé une bouée à 3 milles et demi sur alignement Roule – Fort Est. (Par suite de l’explosion de la mine, quelques objets de la gamelle de combat ont été cassés.) Mouillé une deuxième bouée à 600 mètres au Nord de la première.
18 h. 35 — Le Général-du-Temple se retourne et coule instantanément.
18 h. 34 — Embarqué les deux hommes et le capitaine du Général-du-Temple. Fait route sur l’entrée.
19 h. 25 — Débarqué les rescapés à l’Imprenable à bord du Roule.
19 h. 45 — Appareillé. Croisé sur le méridien de Levi et parallèle 49° 48’.
Le Patron de quart.
[Aucune signature]
Observations du commandant
Vers 18 h. 00, arraisonné le vapeur français Général-du-Temple qui faisait route au N. 80 E. Continué notre route vers l’Ouest. A 18 h. 05, entendu une forte explosion. C’est le Du-Temple qui touche une mine (Fort du Roule par Fort Est de la digue, à 3 milles ½). Tout d’abord, ayant l’impression d’un torpillage, je fais route à grande vitesse vers le lieu de l’accident, l’équipage au poste de combat. Je fais le signal d’alarme. En approchant, j’aperçois une mine en surface, à environ 600 mètres au Nord de l’épave qui coule. Je prends à bord deux blessés, qui reçoivent les premiers soins pour leurs blessures. Puis, pendant que le canot va prendre le reste de l’équipage, je coule la mine ; elle explose 8 ou 10 secondes après sa disparition. Le torpilleur est fortement secoué (Voir observations du mécanicien). Je fais mouiller deux bouées pour baliser le champ de mines. Je rejoins le Général-du-Temple et dit au capitaine qu’il est grand temps de quitter son navire qui s’enfonce rapidement par l’avant et menace de piquer du nez. A peine les hommes et le capitaine sont-ils à bord que le vapeur piquant de l’avant se retourne la quille en l’air et coule verticalement à 18 h. 35 (Mâts T.S.F. des Rouges Terres à gauche de l’Île Pelée – Redoute des Couplets à gauche de la Batterie intermédiaire). Je fais route pour le port ; les naufragés et blessés sont déposés à bord du Roule qui les conduit au port de guerre. D’après le capitaine, sept hommes sont disparus. Nous avons ramené huit hommes, y compris le capitaine. Après avoir téléphoné aux Couplets et reçu les ordres, je reprends mon service au large.
Le Commandant,
Signé : Émile Kerverdo.
Le Commandant,
Signé : Émile Kerverdo.
Observations sur le fonctionnement des appareils moteurs
Par suite d’ébranlement lors de l’explosion, d’une mine, les tubes à eau et bâche se sont cassés, une déchirure près de la tubulure de remplissage du bouilleur s’est produite dans le tuyau d’aspiration de la turbine au condenseur. 2 rivets et 3 sous la coque de la machine ont sauté ; 3 autres ont été ébranlés.
Le second-maître mécanicien,
Signé : Illisible. »
Le second-maître mécanicien,
Signé : Illisible. »
Dernière modification par Rutilius le sam. mai 22, 2021 10:58 am, modifié 2 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: GÉNÉRAL DU TEMPLE - Vapeur
Bonjour à tous !Bonjour à tous,
Un petit complément sur le GENERAL DU TEMPLE
GENERAL DU TEMPLE
Vapeur de 585 tpl et 220 tx JN (à mon avis la jauge brute doit se situer aux alentours de 300 tx)
Armateur René MARNAT 20 rue Joubert PARIS
Capitaine Jean RICHARD, capitaine au cabotage inscrit au Havre
Quitte Cherbourg le 19 Août 1917 à 16h20 pour Dunkerque avec un chargement de macadam. (En l’occurrence, le navire n’opérait pas comme drague. Il ne figure pas dans la base Miramar).
La perte du GENERAL DU TEMPLE
A 18h00 le 19 Août, le vapeur est arraisonné par le torpilleur 252, à la position 49°44 N 001°36 W à environ 6 milles au nord du fort de l'est. Celui-ci l’autorise à poursuivre sa marche.
Cinq minutes plus tard, le capitaine aperçoit un point noir qui remonte à la surface. Il met la barre à gauche toute, mais heurte une mine par le côté tribord avant. L’explosion, violente, va faire couler la vapeur par l’avant en 12 minutes.
A 100 m sur bâbord, on peut apercevoir une autre mine.
Le torpilleur 252 vient aussitôt prendre deux hommes grièvement blessés qui sont dans le canot, aussitôt mis à la mer. Puis le canot évacue le reste de l’équipage.
Huit hommes étaient dans le poste équipage, sur l’avant, en train de manger. Un seul parviendra à remonter sur le pont, grièvement blessé. Les sept autres, sans doute tués par l’explosion, vont couler avec le bâtiment.
Huit marins, dont le capitaine et le second sont récupérés par le torpilleur qui les dépose à Cherbourg. Trois sont admis à l’hôpital, dont deux très grièvement blessés.
Le capitaine assure qu’il n’était pas dans la zone interdite et que le torpilleur se trouvait entre lui et la côte.
Liste des rescapés
RICHARD Jean Capitaine Le Havre
PERQUIER Pierre 2e capitaine Fécamp Blessé
LALLES Edouard Matelot Binic
LE COURTOIS Emile Matelot Granville
LE GANGNEUX Raymond MousseCherbourg Blessé
FUZET Georges Chef mécan. Marseille
MATELOT François 1er chauffeur Cherbourg
TALAGAS Jean Canonnier
EZAN Eugène Canonnier
CADOPPIS Hyacinthe Canonnier 1er dépôt Blessé
Liste des disparus
PASCO Auguste Matelot Cherbourg
BIGOT Jean-Marie Matelot Audierne
LARIVEN Ange Novice Paimpol
LAPPERT Auguste 2e mécan.Fécamp
LUYCEX Julien Chauffeur Dunkerque (appelé LUYX Jean dans le post ci-dessus)
BOURGES Yves Chauffeur Le Havre
QUERE François QM Canonnier Morlaix
Conclusions de la Commission d’Enquête
Le capitaine a fait son possible pour éviter la mine après l’avoir aperçue. Il a pris toutes les dispositions pour sauver son équipage et les papiers du bord. La perte du bâtiment est un cas de force majeure. La Commission propose de lui maintenir la faculté de commander.
Le sous-marin poseur de mines
C’était donc l’UC 65 du KL Max VIEBEG (1887-1961)
Cdlt
Olivier 12, je viens parmi vous, car j'essaye de retracer le parcours de mon grand-père qui fut Canonnier-Marin durant la 1ère guerre mondiale et j'ai découvert la liste des rescapés que vous avez mis en ligne sur laquelle il apparaît le nom de mon grand-père. Il s'agit de Hyacinthe CADOPPI ( sans le S à la fin ) dont voici la photo ci-dessous. Pourriez-vous m'indiquer comment avez-vous eu ces informations afin que je puisse moi-même creuser un peu plus loin ?
Je vous remercie par avance de votre aide.
Cristiani.
Canonnier Hyacinthe CADOPPI (1894-1938)
- IM Louis Jean
- Messages : 2817
- Inscription : dim. mars 22, 2009 1:00 am
Re: GÉNÉRAL DU TEMPLE - Vapeur
Bonjour à toutes et à tous,
Auguste Lappert recevra la Légion d'Honneur à titre posthume en 1922 :
source Journal Officiel du 2 avril 1922 sur Gallica.
Hyacinthe Caddopy (Cadoppi?) se verra attribué un emploi réservé en 1930:
source Journal Officiel du 31 juillet 1930 sur Gallica.
Cordialement
IM Louis Jean
Étienne
Auguste Lappert recevra la Légion d'Honneur à titre posthume en 1922 :
source Journal Officiel du 2 avril 1922 sur Gallica.
Hyacinthe Caddopy (Cadoppi?) se verra attribué un emploi réservé en 1930:
source Journal Officiel du 31 juillet 1930 sur Gallica.
Cordialement
IM Louis Jean
Étienne
<< On peut critiquer les parlements comme les rois, parce que tout ce qui est humain est plein de fautes.
Nous épuiserions notre vie à faire le procès des choses. >> Clemenceau
Nous épuiserions notre vie à faire le procès des choses. >> Clemenceau
Re: GÉNÉRAL DU TEMPLE - Vapeur
Bonjour et merci "sesouvenir" de cet extrait du JO dans lequel apparaît le nom de mon grand-père. C'est bien Cadoppi avec deux "p" et un seul "d" et non l'inverse. En ce qui concerne le "y" en terminaison, c'est une erreur assez courante même encore actuellement lorsque l'on rédige mon nom.
En revanche, j'aurais encore quelques questions :
1) Sur la liste des rescapés d'Olivier 12, il est indiqué en face du nom de mon grand-père : "1er dépôt". Quelqu'un sait ce que cela signifie exactement ?
2) Sur l'extrait du JO en question, mon grand-père aurait visiblement bénéficié d'un emploi de "garçon de cabine". Ici aussi, quelqu'un sait en quoi consistait exactement cet emploi ?
3) Qui pourrait m'indiquer la marche à suivre afin que je puisse obtenir ou consulter le dossier militaire de mon grand-père qui fut donc Canonnier-Marin durant la Grande Guerre ?
Merci par avance de votre aide.
Cristiani.
En revanche, j'aurais encore quelques questions :
1) Sur la liste des rescapés d'Olivier 12, il est indiqué en face du nom de mon grand-père : "1er dépôt". Quelqu'un sait ce que cela signifie exactement ?
2) Sur l'extrait du JO en question, mon grand-père aurait visiblement bénéficié d'un emploi de "garçon de cabine". Ici aussi, quelqu'un sait en quoi consistait exactement cet emploi ?
3) Qui pourrait m'indiquer la marche à suivre afin que je puisse obtenir ou consulter le dossier militaire de mon grand-père qui fut donc Canonnier-Marin durant la Grande Guerre ?
Merci par avance de votre aide.
Cristiani.