SAINT FRANCOIS D'ASSISE - Société des Oeuvres de Mer

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Ar Brav
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Re: SAINT FRANCOIS D'ASSISE - Société des Oeuvres de Mer

Message par Ar Brav »

Bonjour à tous,

La Société des Oeuvres de Mer et ses navires-hôpitaux

Les navires-hôpitaux visitaient les pêcheurs sur les Bancs.
Dès 1898, la Société des Oeuvres de Mer arme le Saint Pierre et le Saint Paul pour assister la flotte des morutiers au large de St Pierre et Miquelon.
1898 : 282 navires assistés, 57 malades hospitalisés et 14 naufragés recueillis. 4 342 lettres sont distribuées à 118 navires et 1587 reçues pour être envoyées en France.

SAINT FRANCOIS D'ASSISE
EL HADJ

Chantier :

Nantes
Mis à flot: 1900
En service : N.C.
Retiré : N.C.
Caractéristiques : machine de 300 cv

Observations :

Trois mâts goélette
02.09.1915 : réquisitionné
04.10.1915 : quitte Nantes puis Saint Nazaire
12.10.1915 : arrive à Oran
14.10.1915 : quitte Oran
21.10.1915 : arrive à Bizerte
26.10.1915 – 17.01.1916 : quitte Bizerte pour Moudros où il est chargé de transférer les blessés du Cap Hellès à Moudros
1916 : transfert du corps expéditionnaire français de Gallipoli à Salonique, transféré en Adriatique pour évacuer en pleine mer les cadavres contagieux de l’île de Vido
16.08.1916 : devenu EL HADJ quitte Alger pour Bizerte

Image

Saint François d’Assise

Voir aussi là :

pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviati ... _97_11.htm

Cordialement,
Franck
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Ar Brav
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Re: SAINT FRANCOIS D'ASSISE - Société des Oeuvres de Mer

Message par Ar Brav »

Bonjour à tous,

Je place ici un message ancien de Daniel :

De Rutilius Posté le 22-04-2008 à 21:21:14

Bonjour à tous et à chacun,

C'est tout à fait fortuitement que j'ai découvert l'existence de votre cercle de discussion sur les navires-hôpitaux en saisissant récemment ce mot dans la fenêtre prévue à cet effet d'un moteur de recherche bien connu. Depuis, j'ai consulté de multiples fois l'intégralité de vos échanges et je demeure ébahi par leur richesse et leur originalité.

Bien qu'informatiquement analphabète, et plus habitué à la plume qu'au clavier, j'ai néanmoins décidé de me joindre à votre cénacle distingué, en m'inscrivant ce jour au Forum Pages 14-18. Fort modestement, je souhaite en effet vous faire partager la teneur de quelques documents forts rares qui dormaient depuis longtemps dans mes papiers, à savoir trois thèses de médecine soutenues en 1919 devant la Faculté de médecine de Bordeaux par des élèves de l' Ecole du service de santé de la Marine, ayant servi dans des unités de soins durant le conflit, en qualité de médecins auxiliaires. Il s'agit :

1°) De la thèse de Marcel, Jean, Eugène CLAVIER, médecin de 2e classe de la Marine, né à Brest, le 8 mars 1890, intitulée : " Les évacuations de malades et blessés serbes par le navire-hôpiial Bien-Hoa. Campagne d' Orient (Juin 1915-Octobre 1917) ", soutenue le 4 juillet 1919 (Bordeaux, Imprimerie nouvelle F. Pech & Cie, 1919, 75 p.) ;

2°) De la thèse de Charles, Louis LE GOAER, médecin de 2e classe de la Marine, né à Brest, le 6 juillet 1891, intitulée :" L'évacuation des blessés et des malades pendant la dernière guerre (1914-1918) ", soutenue le 19 décembre 1919 (Bordeaux, Imprimerie moderne A. Destout ainé & Cie, 1919, 24 p ) ;

3°) De la thèse de Fernand, Prosper BONNET, médecin de 2e classe de la Marine, né à Montfort-sur-Argens (Var), le 25 juin 1892, intitulée : " L'hôpital Triboudeau, ancien hôpital Achilléon " -- hôpital sis sur l'ile de Corfou, administré par le Service de santé des armées jusqu'au 16 décembre 1917, puis par le Service de santé de la Marine jusqu'à sa fermeture, le 1er juin 1919--, soutenue le 22 décembre 1919 (Bordeaux, Imprimerie A. Saugnac & E. Drouillard, 1919, 37 p.).

D'ores et déjà, je puis vous apporter les informations complémentaires suivantes sur le sujet dont vous débattez :

LE SAINT-FRANCOIS-D'ASSISE :

Une photographie de ce navire d'assistance à la pêche sur les bancs de Terre-Neuve, qui était vraisemblablement armé auparavant par la Société des " Oeuvres de mer ", familièrement appelée par les équipages " L'Oeuf de mer ", figure (p. 31) dans l'ouvrage du R. P. YVON : " Avec les pêcheurs de Terre-Neuve et du Groenland ", préface du Dr Charcot, Rennes, Editions du Nouvelliste de Bretagne, 1936.


Bien à vous, et bonne soirée,

Rutilius.
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GENEAMAR
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Re: SAINT FRANCOIS D'ASSISE - Société des Oeuvres de Mer

Message par GENEAMAR »

Bonjour à tous,

Emblème de la Société des Oeuvres de Mer (1896-1935)


Image

:hello:
Cordialement. Malou
kgvm
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Re: SAINT FRANCOIS D'ASSISE - Société des Oeuvres de Mer

Message par kgvm »

If "Saint Francois D'Assise" ever was renamed "El Hadj", in 1920 she had her old name again. She was listed in Lloyd's Register at 401 GRT built in 1901.
Annuaire de la Marine Marchande lists her as exported in 1924. Last French owners M. et H. Leroy Fréres, Nantes.
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Ar Brav
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Re: SAINT FRANCOIS D'ASSISE - Société des Oeuvres de Mer

Message par Ar Brav »

Bonjour à tous,

Un complément :

SAINT FRANCOIS D’ASSISE Navire-hôpital (1915-1916)
EL HADJ Patrouilleur (ou aviso) auxiliaire (1916-1919)

Chantier & Caractéristiques :

De la Brosse & Fouché, Prairie-au-Duc, Nantes.
Commencé : 1900.
Mis à flot : 04 décembre 1900.
Terminé : 1901.
En service (MM) : 1901.
Retiré (MM) : 1924.
En service (MN) : 02.09.1915.
Retiré (MN) : 03.08.1916 (comme navire-hôpital Saint François d’Assise)
Retiré (MN) : 08.03.1919 (comme patrouilleur El Hadj)
Caractéristiques : trois mâts goélette en acier à propulsion mixte ; 600 tx.; 401 tjb ; 45,70 x 8,50 m ; 1 machine alternative ; chaudière ; 300 cv ; 1 hélice ; 40 lits.
Armement : au moins I pièce de 47 mm (en patrouilleur auxiliaire).

Principales dates & Observations :

Navire-hôpital de la Société des Œuvres de Mer *.
1901 : trois mâts lancé pour le compte de la Société des Œuvres de Mer, aménagé en navire-hôpital, destiné à l'assistance des pêcheurs des côtes d'Islande et de Terre Neuve, d’une capacité de 40 lits.
1903 : par manque de moyens financiers, ne participe pas à la campagne de pêche et reste désarmé au Havre.
1904 – 1911 : seul navire de la Société à être armé, assure de mars à septembre une campagne annuelle sur les deux sites d’Islande et de Terre Neuve.
1911 – 1914 : avec la mise en service d’un autre navire, assure l’assistance à Terre Neuve.
12 décembre 1914 : l’équipage du Para, coulé le 12 décembre 1914 par le navire scandinave Ajulha, est recueilli par le navire-hôpital Saint François d’Assise.
02 septembre 1915 : réquisitionné et militarisé à Nantes.
03 septembre 1915 : inscrit comme navire-hôpital, sous les ordres de l’EV 1 Le Tincuff, second capitaine durant sa carrière civile.
04 octobre 1915 : quitte Nantes puis Saint-Nazaire.
12 octobre 1915 : arrive à Oran.
14 octobre 1915 : quitte Oran.
21 octobre 1915 : arrive à Bizerte sous les ordres de l’EV Dubouchet, Cdt en second, le Commandant ayant dû être hospitalisé à Alger.
26 octobre 1915 – 17 janvier 1916 : quitte Bizerte pour Moudros où il est chargé de transférer les blessés du Cap Hellès à Moudros.
1916 : transfert du corps expéditionnaire français de Gallipoli à Salonique, transféré en Adriatique pour évacuer en pleine mer les cadavres contagieux de l’île de Vido.
03 août 1916 : rayé de la liste des navires-hôpitaux.
16 août 1916 : devenu El Hadj, il quitte Alger pour Bizerte et est alors reconverti en patrouilleur (ou aviso) auxiliaire. Il est ensuite affecté à la Division de Syrie
20 septembre 1916 : mission à Djeddah avec le D’Estrées et l’Orénoque. Il effectue par la suite des voyages pour les pèlerins vers La Mecque
La Division de Syrie (1916-1918) :
Après le départ du contre-amiral Huguet, rentré en France à la fin de 1915, il n'est plus resté de bâtiments français pour prendre part aux croisières britanniques dans la mer Rouge. La troisième escadre, dont le centre de stationnement est à Port-Saïd, est occupée tout entière par le blocus de la côte de Syrie et la défense éventuelle du Canal de Suez. Cependant de grands évènements se préparent sur la côte d'Arabie. Soutenu par le gouvernement britannique, le Grand Chérif de La Mecque, l'Émir Hussein, cherche à profiter des circonstances favorables pour augmenter son influence et échapper à l'autorité du Sultan de Constantinople.
Le 8 juin 1916, il se proclame indépendant et le Hedjaz se soulève contre les Turcs. Djeddah tombe le 16 juin avec le concours des croiseurs britanniques, et 1 400 Turcs y sont faits prisonniers. Le 13 juillet, c'est La Mecque qui est au pouvoir du Chérif.
L'accès de la ville sainte de l'Islam étant ainsi redevenu libre, M. Briand, ministre des affaires étrangères, décide aussitôt d'en profiter pour organiser le pèlerinage annuel des Musulmans de l'Afrique du Nord au tombeau du Prophète. Ce pèlerinage n'a pu avoir lieu ni en 1914 ni en 1915 ; son rétablissement en 1916 peut avoir dans l'Afrique française une importante répercussion.
En même temps, le gouvernement décide l'envoi au Hedjaz d'une mission dirigée par le colonel Brémond. Cette mission comprend un groupe politique dont le chef est Si Gaddour Ben Ghabrit, et un groupe militaire uniquement formé d'officiers musulmans. Elle doit apporter au Chérif de l'or et des présents, et étudier la collaboration de forces françaises avec les contingents arabes.
Le paquebot Orénoque prend à Casablanca, à Alger ou à Tunis 600 pèlerins du Maroc, de l'Algérie et de la Tunisie, mouille à Port-Saïd le 18 septembre, et arrive le 25 à Djeddah d'où les pèlerins se rendent à La Mecque. La mission politique est transportée par le D'Estrées, la mission militaire par l'ancien bateau-hôpital Saint-François d'Assise, rebaptisé Et Hadj (« Le Saint »). Le rembarquement a lieu le 16 octobre et l'Orénoque, dont le voyage a été tenu rigoureusement secret, reconduit les pèlerins à leurs points de départ.
Jamais pèlerinage n'avait été effectué dans de pareilles conditions. Grâce aux précautions sanitaires prises à bord de l'Orénoque, il n'y a eu ni décès ni maladies, et les Bédouins qui d'habitude pillaient les pèlerins leur ont au contraire servi d'escorte. L'effet produit sur les populations musulmanes de nos possessions africaines est extrêmement favorable, et le but qu'on s'était proposé est pleinement atteint.
Mais la situation du Chérif Hussein est précaire. Les Turcs, pour le remplacer, ont nommé un autre Chérif qui, à la fin de septembre, s'est mis en route pour La Mecque, portant le tapis sacré offert par le Sultan de Constantinople, et escorté de onze bataillons ottomans. Les gouvernements alliés se mettent d'accord pour concentrer à Suez un détachement de troupes prêtes à intervenir au Hedjaz. Au début de novembre, un millier de tirailleurs algériens et sénégalais y sont amenés avec un important matériel à bord de trois paquebots. Le Pothuau et le D'Entrecasteaux rejoignent à Djeddah les croiseurs anglais qui s'y trouvaient déjà sous les ordres de l'amiral Wemyss, commandant la division des Indes Orientales, et un petit détachement franco-anglais est mis à terre à Rabegh, port près duquel passe l'unique voie praticable allant de Médine à la Mecque. Le D'Entrecasteaux et le Pothuau séjournent alternativement dans la rade pour concourir à sa protection.
Pendant ce temps, le D'Estrées est à Djibouti, la côte française des Somalis paraissant menacée par des troubles qui ont éclaté à la fin de septembre, en Abyssinie, entre chrétiens et musulmans. Mais la lutte se termine par la victoire du Ras Tafari, ami de la France, et le D'Estrées n'a pas à intervenir. (…)
Pendant l'année 1917, l'émir Fayçal continue la guérilla le long de la rive orientale de la Mer Rouge, avec le concours des cadres de la mission Brémond et de l'artillerie des navires anglais. Les navires français n'interviennent pas dans ces actions qui conduisent à la prise d'El Ouedj puis d'Akaba. Ce dernier évènement ouvre une route possible vers la Syrie, mais les Turcs aperçoivent le danger et envoient en Arabie des renforts qui arrêtent l'avance de l'émir.
Le Pothuau, le D'Entrecasteaux et le D'Estrées, qui représentent la marine française dans la Mer Rouge avec Djibouti pour base, sont placés pendant quelque temps sous les ordres de l'amiral Wemyss, à cause de la présence d'un corsaire allemand — le Wolf — dans l'Océan Indien. Le D'Entrecasteaux escorte des convois vers Madagascar, le D'Estrées concourt aux patrouilles anglaises de Socotra, le Pothuau part avec le porte-avions anglais Raven à la recherche du corsaire. Le Cassard et le Du Chayla font aussi quelques croisières plus pénibles que fructueuses. Le cargo armés Saint-Brieuc et le El Hadj assurent la liaison entre la mission française du Hedjaz et Port-Saïd.
Le pèlerinage des musulmans de l'Afrique du Nord à la Mecque est organisé comme en 1916. Les pèlerins sont transportés par le vapeur Nera, mais cette fois ils sont moins nombreux : une soixantaine à peine. Encore le colonel Brémond peut-il écrire : « Les délégués des trois pays sont unanimes à penser qu'en venant au pèlerinage, ils font preuve d'un dévouement méritoire à l'égard du gouvernement français, qui doit leur en être reconnaissant ».
06.1917 : El Hadj est sur les côtes de Syrie, affecté à la Division de Syrie, Escadrille de torpilleurs
1918 : à Port-Saïd
08.03.1919 : déréquisitionné
1920 : inscrit au Lloyd’s Register sous le même nom
Derniers armateurs français, M. & H. Leroy Frères de Nantes
1924 : vendu, selon l’Annuaire de la Marine Marchande sous le nom de Saint François d’Assises
1925 : devient le Nylhom, pour le compte de A. Lind, armement probablement danois
09.1926 : démoli au Danemark.



* La Société des Œuvres de Mer et ses navires-hôpitaux.
Les navires-hôpitaux visitaient les pêcheurs sur les bancs de Terre Neuve et assistaient les pêcheurs d’Islande.
Dès 1898, la Société des Œuvres de Mer arme le Saint Pierre et le Saint Paul pour assister la flotte des morutiers au large de St Pierre et Miquelon.
1898 : 282 navires assistés, 57 malades hospitalisés et 14 naufragés recueillis. 4 342 lettres sont distribuées à 118 navires et 1587 reçues pour être envoyées en France.
De 1897 à 1906, sur les bancs d’Islande et de Terre Neuve, la Société a hospitalisé 701 malades totalisant 9 584 journées d’hospitalisation, donné 2 807 consultations et recueilli 300 naufragés. Par manque de ressources, aucun navire n‘a pu être armé après la seconde guerre mondiale.

Sources :

Les navires hôpitaux français au XXe siècle, du Docteur Gilles Barnichon - Editions MDV – 1998.
L’épopée islandaise – 1880 – 1914 – Paimpol, la République et la Mer. – François Chappée – Editions L’Albaron – 1990.
Fransi biskvi – Frönsku Islands – sjomennirnir – Elin Palmadottir – 1989.
Navires hôpitaux – Charles Le Goffic – Société des Œuvres de Mer – Paris – 1911.
La guerre navale dans la Méditerranée, CV A. Thomazi, Payot, 1929
Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II, 1870-2006, LV Jean-Michel Roche, Imp. Rezotel-Maury Millau, 2005
http://www.netmarine.net/dico/index.htm
Répertoire des navires de guerre français, Jacques Vichot, Pierre Boucheix, refondu par Hubert Michéa, AAMM, 2003
www.miramarshipindex.org
Lloyd's Register
Annuaire de la Marine Marchande


Cordialement,
Franck
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Ar Brav
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Re: SAINT FRANCOIS D'ASSISE - Société des Oeuvres de Mer

Message par Ar Brav »

Bonjour à tous,

Les documents en ligne relatifs à l'aviso auxiliaire El-Hadj commandé par le lieutenant de vaisseau Vincent, journaux de bord du 14 janvier 1917 au 08 mars 1919, sont disponibles à la cote SS Y 182 ici :

http://www.memoiredeshommes.sga.defense ... iewer.html

Cordialement,
Franck

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Re: SAINT FRANCOIS D'ASSISE - Société des Oeuvres de Mer

Message par kgvm »

In Miramar Ship Index as "Saint Francois d'Assisses".
1925 "Nyholm", A. Lind (probably Danish). 09.26 scrapped, Denmark.
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Ar Brav
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Re: SAINT FRANCOIS D'ASSISE - Société des Oeuvres de Mer

Message par Ar Brav »

Bonjour à tous,

Merci Klaus, c'est complété.


Marin de l’aviso auxiliaire El Hadj Mort Pour la France :

LE TREUT Hervé, quartier-maitre fusilier, né le 24 mars 1873 à Saint Nic, Finistère et y domicilié, Inscrit à Camaret sous le n° 908. Décédé par noyade en ralliant le bord à Port-Saïd le 10 février 1918, son embarcation ayant été coulée accidentellement par une unité de la Flotte anglaise.

Cordialement,
Franck
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Re: SAINT FRANCOIS D'ASSISE - Société des Oeuvres de Mer

Message par dbu55 »

Bonsoir à toutes et à tous,

Un autre marin du EL HADJ :

RENOUF Louis Victor né le 18/09/1897 à Omonville-la-Rogue ou Omonville-la-Petite (Manche), Matelot de 3ème Classe Sans Spécialité - Décédé le 14/07/1918 (20 Ans) - Disparu en mer à bord du DJEMNAH - Passager permissionnaire sur le DJEMNAH

Cordialement
Dominique
Avec les Allemands, nous nous sommes tellement battus que nos sangs ne font plus qu'un [ Ferdinand Gilson, France, Figaro Magazine n°19053 du 05 nov. 2005 ]
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Terraillon Marc
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Re: SAINT FRANCOIS D'ASSISE - Société des Oeuvres de Mer

Message par Terraillon Marc »

Bonjour,

La fiche du navire est en ligne

http://www.navires-14-18.com/fichiers/S ... SOM_V4.pdf

A bientot [:administrateur:2]
Cordialement
Marc TERRAILLON

A la recherche du 17e RIT, des 166/366e RI et du 12e Hussards.
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