Hommage aux infirmières

Organisation, unités, hôpitaux, blessés....
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Frederic RADET
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Re: Hommage aux infirmières

Message par Frederic RADET »

Bonjour à toutes et à tous,

Des infirmières (victimes des bombardements de l'Hôpital de Dugny, elles reposent maintenant dans la Nécropole de ce village prés de Verdun, auprés de ceux qu'elles ont essayées de sauver.

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Les troix croix au premier plan.

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Cordialement,
Frédéric
On ne passe pas !
bernard berthion
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Re: Hommage aux infirmières

Message par bernard berthion »

Bonsoir,
devant l'hôpital de Belfort, ce souvenir d'Edith Cavell, fusillée à Bruxelles par les allemands le 12/10/1915 .
Cordialement

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larris
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Re: Hommage aux infirmières

Message par larris »

Bonjour à tous

en centre ville de Chaulnes (80) se trouve cette fontaine, rendant hommage aux infimières et en souvenir des liens franco américains

cordialement

J.Fouré

http://www.premiumwanadoo.com/memorial- ... france-80/

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rolando
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Re: Hommage aux infirmières

Message par rolando »

Bonjour à Tous,

Dans l’hommage aux infirmières, il y a “les femmes de service” à ne pas oublier. Rapidement croquées par le Docteur Voivenel dans le tome IV de son livre “Avec la 67e division de réserve”, publié avec les “encouragements” de J.N. CRU.

“ Recrutées au petit bonheur. Il y a de tout : des vieilles et surtout des jeunes, des laides plus que de jolies, des idiotes et des intelligentes, des paresseuses et des dévouées. Beaucoup d’ouvrières d’usines en chômage (sucreries), des femmes réfugiées des pays envahis, quelques paysannes.
Les unes restent à l’hôpital, y mangent et y couchent ; d’autres vont prendre leurs repas et coucher chez leurs parents ou chez des amis.
Là encore deux classes :
Les secretaires, généralement plus jolies et plus jeunes ; au matériel à la gestion, au détachement, aux entrées, aux évacuations. Il est à remarquer que les plus jolies ont les meilleurs postes.
Les femmes de service proprement dites : cuisinières, lingères, infirmières d’exploitation.
Clans et potins.
Coquetterie - cheveux strictement coiffés - jupes courtes - bottines fines. A Litz, les jupes raccourcissaient tous les jours, si bien que le médecin-chef fut obligé de mettre au rapport qu’il renverrait toutes les employées dont les jupes ne descendraient pas plus bas que les genoux.
L’ indépendance secoue les moralités. Les aviateurs ont le succès démocratique et viennent faire des acrobaties sur l’H.O.E.
Les plus jeunes disent avoir vu le loup en forêt”. (pages 101 et 102).

Bien cordialement, Caballero.
Caballero
bernard berthion
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Re: Hommage aux infirmières

Message par bernard berthion »

Bonjour,
lu dans l'Union, hommage aux infirmiers et infirmières .
Cordialement BB

En 1917, Vailly réceptacle des souffrances du front
Vailly-sur-Aisne a, hier, rendu un double hommage aux héros d'octobre 1917, les blessés et les tués du Chemin des Dames tout proche.
La nécropole nationale de Vailly compte 1576 tombes de soldats français.
A DEUX pas du Chemin des Dames, noyé sous un déluge de fer et de feu en octobre 1917, la commune de Vailly-sur-Aisne s'est hier souvenue qu'elle occupa une place toute particulière lors des terribles combats qui précédèrent la victoire de La Malmaison. Libéré du joug allemand depuis le mois d'avril, au 3e jour de l'offensive Nivelle, c'est un bourg en ruines qui accueillit, cet automne-là, les milliers de morts et de blessés touchés au front, dans la douleur, le sang et les larmes.
L'armée française avait choisi d'implanter dans le chef-lieu de canton son service de santé de l'avant, avec un poste médical de première ligne, un poste de secours et des ambulances.


Pour Michel Bergé, de l'Union nationale des combattants, le 90e anniversaire des combats du Chemin des Dames était donc une occasion unique d'honorer la mémoire des Poilus qui s'y sont sacrifiés mais aussi à celles et ceux, médecins, infirmières, brancardiers ou membres d'ONG, « qui les ont soutenus et parfois accompagnés jusqu'à la mort ».
Si la commune a, pendant la Grande guerre, perdu deux brancardiers, Henri Bayard et Francis Berthe, c'est un hommage bien plus large qu'elle souhaitait rendre. À la fin de la guerre, il y avait plus de six mille tombes à Vailly-sur-Aisne. Aujourd'hui, 1.576 soldats français sont inhumés à la nécropole. Tout près reposent également 673 Britanniques.
Les cérémonies organisées dimanche ont donc été l'occasion de recevoir plus d'une centaine de personnes, venues de
vingt-cinq départements et toutes descendantes de Poilus dont la vie s'est arrêtée en terre axonaise. Aux yeux du maire, Annick Venet, il s'agissait ainsi de faire en sorte que « ces soldats ne meurent pas deux fois, terrassés par l'oubli », le président du conseil général, Yves Daudigny, mettant en avant cette histoire que Vailly-sur-Aisne « partage avec le canton voisin de Craonne » et la « dynamique de la mémoire » qui s'est créée, tout au long de cette année, autour du 90e anniversaire des combats du Chemin des Dames.
Le préfet, Stéphane Fratacci, voyait pour sa part dans « Vailly, ville sanitaire » citée à l'Ordre de l'Armée, « le réceptacle des blessés et des souffrances du front », le représentant de l'État saluant « le sacrifice des combattants et le dévouement de ceux qui les ont soignés ».
Textes et photos : Philippe Robin
bernard berthion
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Re: Hommage aux infirmières

Message par bernard berthion »

suite :

VAILLY-SUR-AISNE 136 descendants de Poilus attendus demain dans le bourg

Annick Venet, entourée d'anciens combattants et de membres du conseil municipal, est satisfaite de l'organisation de l'événement.
C'est une idée belle et originale qu'a eu la ville de Vailly-sur-Aisne pour célébrer le 90e anniversaire des combats du Chemin des dames.
Demain dimanche, 136 descendants de 28 soldats enterrés à Vailly se retrouveront pour une cérémonie à la mémoire de leurs aïeux disparus. 136 personnes venues de toute la France qui ont été prévenues grâce à une action menée par Michel Bergé et Jean-Marie Martainneville, membres de l'Union nationale des combattants, en partenariat avec des élèves du collège Alan Seeger.

« Cela a été un très gros travail, 6 mois de boulot, de courriers, de coups de téléphone. Avec les élèves, nous avons relevé tous les noms des soldats de la nécropole de Vailly tués entre le 20 octobre et le 2 novembre 1917, au moment de la bataille de la Malmaison qui a eu lieu à 5 kilomètres d'ici à vol d'oiseau », raconte Michel Bergé.
Ensuite, 400 courriers ont été envoyés aux maires des communes d'origine des soldats, à charge pour eux de transmettre aux familles des Poilus. « Nous avons reçu près de 190 réponses. Il y avait beaucoup d'émotion, certains pensaient que leur aïeul avait disparu… D'autres, n'y croyaient pas, ils sont venus vérifier sur place », indiquent les anciens combattants vaillysiens. De son côté, Annick Venet, maire de Vailly, le reconnaît : « on ne pensait pas que ça prendrait autant d'ampleur ».
Demain, les descendants des combattants de 1917 seront reçus par la commune. Après la cérémonie d'éloge aux disparus,
ces invités d'honneur auront alors l'occasion de découvrir les expositions (ouvertes à tous) qui se tiendront à l'église Notre-Dame et à la salle des Coquelicots sur le thème « Vailly, ville sanitaire » en relation avec le rôle qu'a joué par les soignants dans les alentours du village. « Dans les caves de Vailly, dans les creuttes, dans les maisons en ruine, au château de Vaucelle les soldats étaient soignés sur place ou envoyés vers des hôpitaux, racontent les organisateur de l'événement. Nous avons voulu rendre hommage aux médecins, aux infirmiers qui pendant la guerre n'avaient pas un travail facile ».
J.R.
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armand
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Re: Hommage aux infirmières

Message par armand »

Bonjour

En reference à "mon" fil pages1418/Pagesvecuesrecitstemoignages/ ... _225_1.htm

Je l'ai vu vendredi soir c'est un bel hommage aux infirmieres. Je vous la recommende. Je vous conseille de réserver car la salle n'est pas tres grande

Cdt
Armand
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bernard berthion
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Re: Hommage aux infirmières

Message par bernard berthion »

Bonjour,
lu dans l'Union .
Cordialement BB

Pour ses 90 ans, l'Amsam rend hommage à Anne Morgan

Anne Morgan est revenue en France au moment de la Seconde Guerre mondiale.
Le temps passe et les services à la personne demeurent. Jusqu'au 16 novembre, une exposition s'intéresse aux 90 ans de l'association médico-sociale Anne Morgan, plus connue sous le nom générique d'Amsam. C'est en 1917 qu'Anne Morgan, riche héritière américaine, décide de venir en aide aux blessés de la guerre qui fait rage en Europe. Elle débarque dans le Soissonnais, particulièrement touché par les combats, et crée le Comité américain pour les régions dévastées en mars 1917.
« À l'époque, l'opinion américaine était partagée sur ce conflit. Les malheurs de la guerre ont bouleversé Anne Morgan qui était dans un palace de la Côte d'Azur au moment de la mobilisation. Cela a été le coup cœur de sa vie. De par son action, on peut dire qu'elle est à l'origine du mouvement humanitaire, de cette nouvelle façon de penser, d'organiser les choses. Elle avait beaucoup d'avance dans sa vision du monde », analyse Jean-Pierre Laurant, président de l'Amsam et auteur d'un ouvrage sur la bienfaitrice américaine.
En 1939, au début de la Seconde Guerre mondiale, Anne Morgan revient en France et crée le Comité américain de secours civil (Casc).

Le Casc devient l'Amsam

Elle sera présente sur le front, fera face aux Allemands lorsqu'ils arriveront à Blérancourt. C'est au moment de sa disparition, en 1973, que le Casc prendra le nom d'Amsam. Aujourd'hui, l'association emploie 700 personnes et son activité continue de rayonner dans le Soissonnais à travers les cantons de Coucy-le-Château,

Anizy-Pinon, Vic-sur-Aisne, Braine et Vailly-sur-Aisne.
Le but de l'exposition qui a lieu en ce moment à Soissons est de montrer grâce à nombre de documents d'archives récupérés par Sylviane Gondry, ancienne directrice financière de l'Amsam, aujourd'hui à la retraite mais passionnée par l'histoire d'Anne Morgan, comment les services mis en place dès 1917 au moment de la guerre et après, au moment de la reconstruction, ont perduré et se sont adaptés aux besoins de la population.
Ainsi, par exemple, le service de celles que l'on appelait à l'époque les « infirmières visiteuses » est toujours assuré par l'Amsam par le biais de son service social. Les « consultations de nourrissons » sont désormais l'apanage des services de l'actuelle PMI (protection maternelle et infantile). Plus étonnant encore : en 1918, un service d'écoute des personnes âgées avait déjà été mis en place, ainsi que les premiers bibliobus !
J.R.
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armand
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Re: Hommage aux infirmières

Message par armand »

Bonjour Bernard

A propos de consultation de nourissons :

L'œuvre du Retour à Reims est fondée, le 17 janvier 1919, par la comtesse de Mun. Le Retour à Reims distribue aux arrivants du linge, des matelas … A partir du 10 février, il procure gratuitement du mobilier pour les veuves dans le besoin, les familles nombreuses, les vieillards, les malades. Les autres personnes peuvent louer objets et meubles, pour une durée de trois mois. Le Retour à Reims participe également à l'organisation de quatre cantines populaires .

L’œuvre du « Retour à Reims » est sans doute le plus important de ces modèles. Créée comme nous l’avons vu pour aider à la renaissance de la ville détruite par la guerre, elle se consacra également à une autre priorité : l’aide à l’enfance.

Dans le compte rendu de l’exercice 1921 de l’assemblée générale de la société, Georges Charbonneaux cite les modèles qui vont inspirer la constitution de la Maison de l’Enfance : « L’organisation de cette œuvre est à l’étude ; nous nous inspirerons des exemples très précieux qui nous sont donnés par les œuvres similaires de notre ville où l’on rencontre tant d’intelligent dévouement (œuvre du Retour à Reims, de la Goutte de lait du boulevard Carteret, œuvre de protection contre la tuberculose, Société protectrice de l’Enfance ...). »

Cdt
Armand


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mamic
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Re: Hommage aux infirmières

Message par mamic »

Bonsoir,
Moi, celle que je préfère est Anne Marie Canton-Bacara, infirmière major de l'hopital de Vauxbuin près de Soissons : croix de guerre, légion d'honneur, 6 citations.
Cordialement
Denis Rolland

http://images.mesdiscussions.net/pages1 ... acara1.jpg

bonjour monsieur.
je viens de trouver sur ce message le nom de Canton-Bacara Anne-Marie qui se trouve être de ma famille.
je me nomme Claude Canton-Bacara femme de Canton-Bacara Norbert,nous savions qu'une ancêtre avait été honorer,mais nous ignorons tout d'elle.
Je serais si heureuse si vous pouviez me communiquer tous documents ou photos la concernant.
Je vous remercie d'avance de ce que vous pourrez faire pour moi.
Cordialement

Claude Canton-Bacara
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