Mademoiselle from Armentières

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genealogie-baert
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Re: Mademoiselle from Armentières

Message par genealogie-baert »

Bonjour: sur la La voix du nord

http://www.lavoixdunord.fr/region/une-j ... b0n1618862

Une journaliste du Daily Express sur les terres de Mademoiselle from Armentières
Par CHRISTELLE JEUDY

So british cette pluie continue qui a accompagné ce matin, à Armentières, la venue d’une journaliste du quotidien britannique populaire, le Daily Express... Tina Ediss est partie à la rencontre de Mademoiselle from Armentières avec la volonté de retracer l’histoire de cette chanson écrite par un officier anglais dont les troupes stationnaient, en 1915, dans la ville. Une chanson devenue l’air de marche des troupes du Commonwealth pendant la Première Guerre mondiale et dont la célébrité reste intacte quasiment un siècle plus tard.

Tina Ediss, journaliste (au centre ,photographie sur le site de la voix) découvre le monument Mademoiselle from Armentières dans le cimetière de la ville.

La guide d’origine britannique de l’Office de tourisme d’Armentières guide la reporter dans sa découverte.

Passage avec Laurent Joye, président de l’Union des anciens combattants d’Armentières, dans le carré militaire.

Tina Ediss devant la tombe de Marie Lecocq, l’Armentiéroise pour qui un officier anglais stationnant dans la ville en 1915 écrivit la chanson devenue mondialement célèbre.

Devant les tombes d’officiers britanniques et des roses qui, selon Tina, viennent d’Angleterre.



Tina Ediss, journaliste (au centre) découvre le monument Mademoiselle from Armentières dans le cimetière de la ville.
Il pleut sur Armentières mais il faudrait bien plus qu’une météo excécrable pour empêcher Tina Ediss, journaliste indépendante, d’arpenter les allées du cimetière. Depuis le matin, la Britannique peut compter sur les traductions de Ricky Beets, guide de l’Office de tourisme, et les explications historiques de Laurent Joye, le président de l’Union des anciens combattants d’Armentières (UACA) : l’association dont les membres entretiennent le devoir de mémoire tout au long de l’année se retrouve logiquement en première ligne de la commémoration à venir du centenaire de la Première Guerre mondiale.

Avant d’accueillir hier la journaliste originaire de Southampton, Laurent Joye a accompagné il y a quinze jours un Australien venu déposer de la terre « fine et rouge » du pays sur la tombe de son grand oncle mort durant la Grande Guerre dans l’Armentiérois.

Elle s’appelait Marie Lecocq

Tina, elle, a décidé de proposer au Daily Express de raconter « la lovely story » de Mademoiselle from Armentières, à partir de la chanson qu’elle connaît, bien sûr, mais ici, dans la ville qu’elle découvre pour la première fois, elle se dit « impressionnée » d’apprendre qu’Armentières a « reçu deux fois la Croix de guerre » pour avoir été quasiment rasée. Armentières qu’elle ne connaissait pas avant d’y mettre les pieds, au contraire de Ypres, Cambrai et Arras...

Et puis, Tina Ediss a été tout aussi surprise quand Laurent Joye lui a expliqué que Mademoiselle from Armentières a réellement existé. Elle s’appelait Marie Lecocq, a souffert des gaz qui ont empoisonné la ville pendant la Première Guerre mondiale et y est décédé en 1945. Devant sa tombe, Tina a pris des notes et la pose devant le monument érigé depuis quelques années en son honneur dans le cimetière. « Un monument inauguré par Line Renaud, la chanteuse qui a interprété l’air », souligne la guide.

Si Tina Ediss se penche ainsi sur ce morceau d’histoire locale devenue internationale, c’est aussi parce que chez elle, en Angleterre, le devoir de mémoire et de commémoration n’est pas un vain mot. Son article sur Armentières et la ligne de front dans le secteur doit d’ailleurs être prêt pour le 11 novembre, jour qui n’est pas férié dans le pays de Tina. Mais la commémoration est célébrée lors d’une journée de la mémoire qui, cette année, tombera le dimanche 10 novembre. Après le cimetière Bonjean, un passage devant l’hôtel des Arcades qui abrita le café de la Paix où fut écrite Mademoiselle from Armentières, un détour par le lycée Gustave Eiffel qui abritait les troupes britanniques pendant la première guerre, la journaliste du Daily Express a pris la route de Fromelles, autre ligne de front. Mais Tina Ediss a déjà prévu de revenir ici pour la commémoration du centenaire. « J’ai plein d’idées », sourit-elle sous son parapluie. Un temps so british...
baert marc
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Alain Dubois-Choulik
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Re: Mademoiselle from Armentières

Message par Alain Dubois-Choulik »

Bonjour
Petit je croyais que c'ETAIT Line Renaud ..... ( chut!). La notoriété de la musique (antérieure à notre époque favorite) la fait se retrouver souvent, comme par exemple dans la Pipipci'élaï march, avec Tiperarry, (qu'on chantait "Ti paieras l'riz")
Cordialement
Alain
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Patrice Pruniaux1
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Re: Mademoiselle from Armentières

Message par Patrice Pruniaux1 »

Petit je croyais que c'ETAIT Line Renaud ..... ( chut!).
Bonjour Alain,
C'est pas faux :lol:
Tout à la fin à 3'20'' et c'est très bref.
http://www.toutlecine.com/film/videos/0 ... delon.html
Bien cordialement, Patrice.

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