Bonsoir,
Ce mode d'empilage est caractéristique des scieries de peuplier en particulier dans la Marne.
Pour répondre à Ferns, une fois la dernière planche posée le gars ne sautait pas en parachute.
Il avait pris soin de placer des planches débordantes dans les vides laissés pour la circulation de l'air de sorte qu'il avait un escalier extérieur qu'il démontait à la descente. A l'époque, il n'y avait pas de chariot élévateur, tout se faisait à la main et il fallait un homme à partir de la mi-hauteur sur cet escalier pour faire le relai.
Nos bidasses auraient pu faire l'inverse en réinstallant cet escalier mais la solution choisie est plus "militaire" c'est-à-dire plus expéditive.
Serge
Activité inconnue
Re: Activité inconnue
Merci beaucoup pour cet éclairage sur les scieries de peupliers de la Marne. J'ai reproduit la photo sur mon site : http://14.18.en.orient.free.frBonsoir,
Ce mode d'empilage est caractéristique des scieries de peuplier en particulier dans la Marne.
Pour répondre à Ferns, une fois la dernière planche posée le gars ne sautait pas en parachute.
Il avait pris soin de placer des planches débordantes dans les vides laissés pour la circulation de l'air de sorte qu'il avait un escalier extérieur qu'il démontait à la descente. A l'époque, il n'y avait pas de chariot élévateur, tout se faisait à la main et il fallait un homme à partir de la mi-hauteur sur cet escalier pour faire le relai.
Nos bidasses auraient pu faire l'inverse en réinstallant cet escalier mais la solution choisie est plus "militaire" c'est-à-dire plus expéditive.
Serge
François