
andechy 4 novembre 1914
Re: andechy 4 novembre 1914
une carte du front fin septembre dans le secteur au moment ou le front va se stabiliser dans la somme et notre secteur !!

Re: andechy 4 novembre 1914
-Le fusil et le pinceau - Souvenirs du poilu René Prud'homme - 124e RI, présentés et et annotés par André Ligné, Ed. Alan Sutton, 2007
D'autre part, ces deux régiments ont combattu, près de chez moi, dans la région de Roye, fin septembre 1914.
Le 23 septembre, la 15e Brigade (124e - 130e régiments de Laval et de Mayenne) attaquent Biarre - Billancourt - Cressy, soutenue par l'artillerie de la 8e Division, les allemands sont fortement organisés et résistent.
Le 24 septembre, du côté de Sept-Fours et de Rethonvillers, ces deux régiments résistent à des attaques massives. Au cours d'une contre-attaque, le colonel Froppo, du 124e, blessé, est fait prisonnier par les Allemands.
Le 25 septembre, la 15e Brigade soutient le choc de l'offensive des troupes allemandes de Waucourt à Carrépuis.
Pendant les quatre journées suivantes le 124e d'Infanterie tient les tranchées construites en hâte au nord de Carrépuis entre le route de Nesle et Goyencourt.
Le 29 septembre ce régiment se porte sur le camp de César, à l'ouest de Roye.
Voilà les grandes lignes de l'action de cette brigade durant la seule bataille de Roye. La brigade participera aux sanglants combats d'Andechy (4 novembre 1914) et restera dans ce secteur jusqu'à la fin de l'année 1914 au sein du 4e Corps d'armée commandé par le Général Boëlle.
Si je me souviens bien il existe une stèle près de l'église de Marché-Allouarde (Somme) "LAIGLE soldat au 124e R.I. Mort pour la France". Eugène Marie LAIGLE, né le 18 août 1892 à La Chapelle-Sainte-Mélaine (Ille et Vilaine) MPF le 30 septembre 1914 à Billancourt (selon la fiche de Mémoire des Hommes, cette date semble tardive et donc suspecte et demande confirmation).
- la plaquette de la Mairie de Mayenne éditée en 1938. Est ce un hommage à ce seul Mr Louvrier ou à l'ensemble du 130e RI. Mon Grand Père était simplement Caporal , recruté à Mamers dans la Sarthe, se nommait Romastin tombé à la bataille d'Andéchy -Somme.
--J'ai quelques photos sur le 130e RI que j'avais en son temps communiquées à Pikkendorff pour son excellent livre sur les régiments mayennais qui regroupe de nombreuses cartes-photos sur les regiments mayennais (dont le 130e RI)
Voici le lien de cet ouvrage : http://livre.fnac.com/a2879018/Pat [...] de-Guerre;
Sinon, concernant le 130e RI, il faut absolument lire le livre récent édité en Mayenne sur les mémoires du brancardier Filoche qui a fait toute la guerre dans les rangs du 130e RI. ce livre s'appelle "Moissons rouges" ; il est abondamment illustré .
Bibliographie de FILOCHE tué en août 1918. lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Filoche
-
D'autre part, ces deux régiments ont combattu, près de chez moi, dans la région de Roye, fin septembre 1914.
Le 23 septembre, la 15e Brigade (124e - 130e régiments de Laval et de Mayenne) attaquent Biarre - Billancourt - Cressy, soutenue par l'artillerie de la 8e Division, les allemands sont fortement organisés et résistent.
Le 24 septembre, du côté de Sept-Fours et de Rethonvillers, ces deux régiments résistent à des attaques massives. Au cours d'une contre-attaque, le colonel Froppo, du 124e, blessé, est fait prisonnier par les Allemands.
Le 25 septembre, la 15e Brigade soutient le choc de l'offensive des troupes allemandes de Waucourt à Carrépuis.
Pendant les quatre journées suivantes le 124e d'Infanterie tient les tranchées construites en hâte au nord de Carrépuis entre le route de Nesle et Goyencourt.
Le 29 septembre ce régiment se porte sur le camp de César, à l'ouest de Roye.
Voilà les grandes lignes de l'action de cette brigade durant la seule bataille de Roye. La brigade participera aux sanglants combats d'Andechy (4 novembre 1914) et restera dans ce secteur jusqu'à la fin de l'année 1914 au sein du 4e Corps d'armée commandé par le Général Boëlle.
Si je me souviens bien il existe une stèle près de l'église de Marché-Allouarde (Somme) "LAIGLE soldat au 124e R.I. Mort pour la France". Eugène Marie LAIGLE, né le 18 août 1892 à La Chapelle-Sainte-Mélaine (Ille et Vilaine) MPF le 30 septembre 1914 à Billancourt (selon la fiche de Mémoire des Hommes, cette date semble tardive et donc suspecte et demande confirmation).
- la plaquette de la Mairie de Mayenne éditée en 1938. Est ce un hommage à ce seul Mr Louvrier ou à l'ensemble du 130e RI. Mon Grand Père était simplement Caporal , recruté à Mamers dans la Sarthe, se nommait Romastin tombé à la bataille d'Andéchy -Somme.
--J'ai quelques photos sur le 130e RI que j'avais en son temps communiquées à Pikkendorff pour son excellent livre sur les régiments mayennais qui regroupe de nombreuses cartes-photos sur les regiments mayennais (dont le 130e RI)
Voici le lien de cet ouvrage : http://livre.fnac.com/a2879018/Pat [...] de-Guerre;
Sinon, concernant le 130e RI, il faut absolument lire le livre récent édité en Mayenne sur les mémoires du brancardier Filoche qui a fait toute la guerre dans les rangs du 130e RI. ce livre s'appelle "Moissons rouges" ; il est abondamment illustré .
Bibliographie de FILOCHE tué en août 1918. lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Filoche
-
Re: andechy 4 novembre 1914
la croix correspond à l'équipage de la 3 éme victime de Guynemer abattu pres d'Andechy!( secteur erches/ andechy ) Une troisiéme victoire obtenue par"l'as des as "dans le secteur fin septembre 1914


la seconde concerne un panneau sur lequel il est écrit : "ici reposent deux aviateurs allemands tué le 23 septembre 1916". Et quand on cherche sur Internet, il y a eu plusieurs "batailles" en ce 23 septembre, même Guynemer y est aller du sien !
En ce qui concerne la seconde photo il y a quelques possibilités pour le 23 september 1916.
1. FA 41 environs d'Anneux - Lr d R Ernst Kliche et oblt Hans Minor
2. KG2-Kasta 29 env. Erches - Lt dd R Ftitz Neumann et Lt Walter Blume
3. FA 61 ouest de Verpillières - Lt Gunther Dörrien et Lt d R Walter Gericke
Ce sont les 3 équipages allemands perdu cette journée la, dont les deux membres étaient mort tout de suite.
Ce jour là Guynemer abattit 3 avions ennemis en quelques minutes ,avant d'être lui-même abattu par un obus de.......notre artillerie!!! Miraculeusement sans trop de mal après une vrille de 1600 metres quand même !
récit du combat par Guynemer "soi-même" (apparemment Guynemer est basé a ce moment à Cachy aérodrome au nord ouest de ce village °
"Le 23 septembre, avant hier,je partis donc en ronde a l'heure du déjeuner
je ne fus pas long a chercher fortune. J'aperçus un de mes camarades aux prises avec un groupe de cinq boches agissant selon une tactique bien définie,trois a l'échelon du haut,deux en dessous.Je laissai le Francais s'expliquer avec ceux du bas et arrivai droit sur le trio:à 11 heures 20 j'en expediai un en flammes du coté d'Erches(Il tomba d'une facon si subite,si brutale que ceux du dessous se regarderent et se compterent,croyant qu'il s'agissait de l'un d'eux.Mon camarade s'imagina même que c'etait lui qui avait triomphé.
Quant à moi je continuai.trente secondes apres mon premier succès je mis hors de combat un second fokker:le passager était tué je l'ai vu;le pilote ne devait aller guère mieux,mais je ne l'ai pas vu.Il est tombé pres de Carrepuits (premier lieutenant Hans Minor et lieutenant Ernst Klicke)
Il en restait un devant moi et,cranement,il accepta le combat.Le pauvre type,à 11 heures23,apres deux cartouches seulement,il alla rejoindre ses camarades,explosé,pulvérisé,incendié lui aussi.Il tomba pres de nos lignes à moins de 300 metres"
(à mon avis la croix correspond a l'equipage de la 3 eme victime de Guynemer abattu pres d'andechy)


la seconde concerne un panneau sur lequel il est écrit : "ici reposent deux aviateurs allemands tué le 23 septembre 1916". Et quand on cherche sur Internet, il y a eu plusieurs "batailles" en ce 23 septembre, même Guynemer y est aller du sien !
En ce qui concerne la seconde photo il y a quelques possibilités pour le 23 september 1916.
1. FA 41 environs d'Anneux - Lr d R Ernst Kliche et oblt Hans Minor
2. KG2-Kasta 29 env. Erches - Lt dd R Ftitz Neumann et Lt Walter Blume
3. FA 61 ouest de Verpillières - Lt Gunther Dörrien et Lt d R Walter Gericke
Ce sont les 3 équipages allemands perdu cette journée la, dont les deux membres étaient mort tout de suite.
Ce jour là Guynemer abattit 3 avions ennemis en quelques minutes ,avant d'être lui-même abattu par un obus de.......notre artillerie!!! Miraculeusement sans trop de mal après une vrille de 1600 metres quand même !
récit du combat par Guynemer "soi-même" (apparemment Guynemer est basé a ce moment à Cachy aérodrome au nord ouest de ce village °
"Le 23 septembre, avant hier,je partis donc en ronde a l'heure du déjeuner
je ne fus pas long a chercher fortune. J'aperçus un de mes camarades aux prises avec un groupe de cinq boches agissant selon une tactique bien définie,trois a l'échelon du haut,deux en dessous.Je laissai le Francais s'expliquer avec ceux du bas et arrivai droit sur le trio:à 11 heures 20 j'en expediai un en flammes du coté d'Erches(Il tomba d'une facon si subite,si brutale que ceux du dessous se regarderent et se compterent,croyant qu'il s'agissait de l'un d'eux.Mon camarade s'imagina même que c'etait lui qui avait triomphé.
Quant à moi je continuai.trente secondes apres mon premier succès je mis hors de combat un second fokker:le passager était tué je l'ai vu;le pilote ne devait aller guère mieux,mais je ne l'ai pas vu.Il est tombé pres de Carrepuits (premier lieutenant Hans Minor et lieutenant Ernst Klicke)
Il en restait un devant moi et,cranement,il accepta le combat.Le pauvre type,à 11 heures23,apres deux cartouches seulement,il alla rejoindre ses camarades,explosé,pulvérisé,incendié lui aussi.Il tomba pres de nos lignes à moins de 300 metres"
(à mon avis la croix correspond a l'equipage de la 3 eme victime de Guynemer abattu pres d'andechy)
Re: andechy 4 novembre 1914
Le soldat de 2ème classe Henri Victor Derien a obtenu
le brevet de pilote militaire n° 7470 à l'école d'aviation de Tours, le 13 juillet 1917.
Ajoutez à cela les différents stages de perfectionnement et de spécialisation,
il est muté à l'escadrille BR 227 et pris en compte par cette unité, le 26 juin 1918.
Je n'ai pas trouvé de mutation en EM, mais un passage en solde mensuelle (SM)
Je ne peux vérifier en raison du site "MdH" en rade.
Il suffit de rechercher dans les victoires homologuées et non homologuées de l'escadrille BR 227 pour vérifier ses dires.
Pour la période de 26 juin au 11 novembre 1918 :
- Le 16 juillet 1918 - l'équipage : MdL Lhomme (pil) / Slt Allanic (obs) / Sgt Lamarie (mit) -
Une victoire homologuée sur Breguet XIV contre un Albatros D tombé au Nord de Andechy. Il est a noter qu'a cette période est référencée la présence d'un aerodrome allemand au nord est d'andechy sis a gauche de la route du" faubourg a chien"




le brevet de pilote militaire n° 7470 à l'école d'aviation de Tours, le 13 juillet 1917.
Ajoutez à cela les différents stages de perfectionnement et de spécialisation,
il est muté à l'escadrille BR 227 et pris en compte par cette unité, le 26 juin 1918.
Je n'ai pas trouvé de mutation en EM, mais un passage en solde mensuelle (SM)
Je ne peux vérifier en raison du site "MdH" en rade.
Il suffit de rechercher dans les victoires homologuées et non homologuées de l'escadrille BR 227 pour vérifier ses dires.
Pour la période de 26 juin au 11 novembre 1918 :
- Le 16 juillet 1918 - l'équipage : MdL Lhomme (pil) / Slt Allanic (obs) / Sgt Lamarie (mit) -
Une victoire homologuée sur Breguet XIV contre un Albatros D tombé au Nord de Andechy. Il est a noter qu'a cette période est référencée la présence d'un aerodrome allemand au nord est d'andechy sis a gauche de la route du" faubourg a chien"




Re: andechy 4 novembre 1914
Andechy - Somme - 30 octobre 1920 Village entièrement détruit obtiendra ce jour la par arrété prefectoral , la Croix de Guerre avec ou pour citation a l'ordre de l'armée !!
En voici un exemplaire mais je souhaiterais bien qu'on nous explique un peu ce que cela voulait dire ou a quoi cela a bien correspondu ! merci aux personnes compétentes qui y répondront !

seul ce recit nous en dit un peu plus, pour l'instant !
Rien que pour l'Oise, 138 villes et villages (au moins) ont été décorées de la Groix de Guerre avec palme. . . . , et toutes les citations sont à l'ordre de l'Armée.
En 1920, le travail de décoration (des agglomérations comme des civils, aussi présents dans ces zones de combats) n'était pas achevé. Pour l'Oise l'inscription au Journal Officiel s'est faite en 1921 et 1922.
Les raisons invoquées, pour l'attribution de ces décorations sont, pour la plupart de ces agglomérations :
"Située pendant toute la durée de la guerre dans la zone de la bataille, ont été l'objet de fréquents bombardements par canons et avions qui les ont totalement détruites. Ont toujours montrés dans les épreuves une superbe vaillance et une patriotique fermeté."
Les citations officielles du JO sont parfois plus spécifique a un village ou un groupe de villages.
Concernant les populations, il est tout de même bon de rappeler que certains de ces villages ont totalement été évacués par l'Armée bien avant les combats (en particulier avec l'offensive de allemande de Mars 18). C'est par exemple le cas des villages de Tricot, Méry, Lataule et Belloy qui ont été évacués le 28 Mars 1918 (pour permettre à la troupe de s'installer) et qui ont été touchés par les combats uniquement à partir du 9 Juin 1918.
Il y a bien entendu des villageois qui n'ont pas eu cette chance et qui se sont retrouvés sous la mitraille (comme au début de la guerre et durant la phase de stabilisation du front de la fin 1914).
Il est intéressant de voir que certaines villes ou villages ont tenté de se faire attribuer cette croix de guerre. Les demandes de décorations étaient faites au préfet qui été chargé de trancher. Le fait d'avoir été envahi en 1914 et, éventuellement, un peu bombardé pendant la guerre n'a pas été suffisant pour de nombreux villages. Les villes de Senlis et Creil font parties de ces exceptions qui ont été décorées et la ville de Noyon a été décorée de la Légion d'Honneur.
Les listes complétes des villes et villages décorés doivent se trouver dans les archives du Journal Officiel. Et probablement aussi dans les archives départementales. C'est le cas pour Beauvais.
Les journaux de l'époque reprennent aussi souvent le texte de la publication officielle (avec la liste des bénéficiaires) et comprennent aussi des articles sur ces cérémonies de remise de décoration.
En voici un exemplaire mais je souhaiterais bien qu'on nous explique un peu ce que cela voulait dire ou a quoi cela a bien correspondu ! merci aux personnes compétentes qui y répondront !

seul ce recit nous en dit un peu plus, pour l'instant !
Rien que pour l'Oise, 138 villes et villages (au moins) ont été décorées de la Groix de Guerre avec palme. . . . , et toutes les citations sont à l'ordre de l'Armée.
En 1920, le travail de décoration (des agglomérations comme des civils, aussi présents dans ces zones de combats) n'était pas achevé. Pour l'Oise l'inscription au Journal Officiel s'est faite en 1921 et 1922.
Les raisons invoquées, pour l'attribution de ces décorations sont, pour la plupart de ces agglomérations :
"Située pendant toute la durée de la guerre dans la zone de la bataille, ont été l'objet de fréquents bombardements par canons et avions qui les ont totalement détruites. Ont toujours montrés dans les épreuves une superbe vaillance et une patriotique fermeté."
Les citations officielles du JO sont parfois plus spécifique a un village ou un groupe de villages.
Concernant les populations, il est tout de même bon de rappeler que certains de ces villages ont totalement été évacués par l'Armée bien avant les combats (en particulier avec l'offensive de allemande de Mars 18). C'est par exemple le cas des villages de Tricot, Méry, Lataule et Belloy qui ont été évacués le 28 Mars 1918 (pour permettre à la troupe de s'installer) et qui ont été touchés par les combats uniquement à partir du 9 Juin 1918.
Il y a bien entendu des villageois qui n'ont pas eu cette chance et qui se sont retrouvés sous la mitraille (comme au début de la guerre et durant la phase de stabilisation du front de la fin 1914).
Il est intéressant de voir que certaines villes ou villages ont tenté de se faire attribuer cette croix de guerre. Les demandes de décorations étaient faites au préfet qui été chargé de trancher. Le fait d'avoir été envahi en 1914 et, éventuellement, un peu bombardé pendant la guerre n'a pas été suffisant pour de nombreux villages. Les villes de Senlis et Creil font parties de ces exceptions qui ont été décorées et la ville de Noyon a été décorée de la Légion d'Honneur.
Les listes complétes des villes et villages décorés doivent se trouver dans les archives du Journal Officiel. Et probablement aussi dans les archives départementales. C'est le cas pour Beauvais.
Les journaux de l'époque reprennent aussi souvent le texte de la publication officielle (avec la liste des bénéficiaires) et comprennent aussi des articles sur ces cérémonies de remise de décoration.
Re: andechy 4 novembre 1914
du 320ème RI : Et pour ceux qui en chercherait traces!
le Soldat VILLAIN Louis né le 18-6-1887 à Andechy (80) 2ème classe ? ,Classe 1907,décédé le 25-7-1918 a l'age de 31an au bois de la Tournelle dans l'Aisne ( 02)
Bonjour à tous, 73 soldats reposent à Brecy, 6 sont originaires ou vivaient à Brecy, 67 sont dcd dans le Tardenois, 66 sont enterrés dans un carré militaire et 1 dans une tombe civile.
http://www.memorial-genweb.org/~memoria ... table=bp09
voir ce lien
pages1418/Pages-memoire-necropoles-MPLF ... _990_1.htm
le Soldat VILLAIN Louis né le 18-6-1887 à Andechy (80) 2ème classe ? ,Classe 1907,décédé le 25-7-1918 a l'age de 31an au bois de la Tournelle dans l'Aisne ( 02)
Bonjour à tous, 73 soldats reposent à Brecy, 6 sont originaires ou vivaient à Brecy, 67 sont dcd dans le Tardenois, 66 sont enterrés dans un carré militaire et 1 dans une tombe civile.
http://www.memorial-genweb.org/~memoria ... table=bp09
voir ce lien
pages1418/Pages-memoire-necropoles-MPLF ... _990_1.htm
Re: andechy 4 novembre 1914
ALIX Isidore Marie Joseph Décédé le 26 septembre 1916 à Bellancourt (Somme)
En fait Isidore Marie Joseph ALIX est Mort pour la France le 26 septembre 1914 à Billancourt (Somme).
Billancourt est un petit village près de Nesle. De violents combats y eurent lieu à la fin septembre 1914. Le village pris un moment par les troupes du 4e CA durent retraiter sur Roye en infligeant de lourdes pertes aux Allemands. Le 124e RI fut aussi bien éprouvé.
L'arrivée des troupes francaises dans le Santerre et leurs premiers contacts avec l'ennemi sont relatés ici notamment :
Les Editions Sutton ont édité un livre évoquant ce régiment : "Le fusil et le pinceau" - Souvenirs du poilu René Prudhomme 124e RI - présentés et annotés par André Ligné, septembre 2007, ISBN 978-284910-625-9. Malheureusement, les combats n'y sont pas évoqués R. Prudhomme ayant été blessé le 1er septembre ne rejoint son régiment que le premier novembre à l'ouest d'Andechy.
En fait Isidore Marie Joseph ALIX est Mort pour la France le 26 septembre 1914 à Billancourt (Somme).
Billancourt est un petit village près de Nesle. De violents combats y eurent lieu à la fin septembre 1914. Le village pris un moment par les troupes du 4e CA durent retraiter sur Roye en infligeant de lourdes pertes aux Allemands. Le 124e RI fut aussi bien éprouvé.
L'arrivée des troupes francaises dans le Santerre et leurs premiers contacts avec l'ennemi sont relatés ici notamment :
Les Editions Sutton ont édité un livre évoquant ce régiment : "Le fusil et le pinceau" - Souvenirs du poilu René Prudhomme 124e RI - présentés et annotés par André Ligné, septembre 2007, ISBN 978-284910-625-9. Malheureusement, les combats n'y sont pas évoqués R. Prudhomme ayant été blessé le 1er septembre ne rejoint son régiment que le premier novembre à l'ouest d'Andechy.
Re: andechy 4 novembre 1914
la veille du combat d'Houdrigny, le 21/08/14, le 117ème RI devait cantonner à proximité de VITTARVILLE (où se trouvait le 124ème RI) et de DELUT (115ème RI). La 8ème DI se mit en marche, et en fin d'après-midi le 117ème RI atteignit Virton et Saint-Mard;
Le sergent Georges LEBOURDAIS de la 12ème compagnie du 117ème RI (12/117) :
"Le 21 au soir, nous sommes arrivés à Virton et nous avons été accueillis avec enthousiasme par la population. Nous avons cantonné "au séminaire" dans des lits. C'était bon après des cantonnements dans la paille!
Les habitants nous ont signalé que les Allemands étaient sur les crêtes, qu'ils avaient repéré le terrain les jours avant, qu'ils venaient au ravitaillement dans la ville.
Le 22 au matin, rassemblement sur la placen les habitants nous apportent des vivres, pain, beurre,café";
Le musicien infirmier François MEIGNAN du 117ème RI :
"22 août. Rassemblement dans la rue. Un bruit sec le long du mur. La première balle.
Nous sommes heureusement abrités par un haut talus.
Entre 13 et 17 heures, nous sommes restés là, le sac devant la tête pour nous préserver des balles.
A 17h, il faut partir avec le médecin auxiliaire ROUSSEAU jusqu'au poste de secours avec GAMBUSSEAU et PESCHEUR. Nous y restons jusqu'à la nuit. Le spectacle du champ de bataille restera pour moi inoubliable.
Les blessés sont pansés et amenés à l'hôpital des bonnes Soeurs à Saint-Mard. Nous sommes conduits par des civils belges qui se sont dévoués toute la journée. Nous faisons parfois 4km avec un blessé sur le dos!
Il reste 12 blessés. On demande des volontaires. Nous sommes vingt sous la conduite d'un Belge. A 3h30, le 23, nous arrivons à Saint-Mard. Les bonnes Soeurs nous donnent du pain, du beurre, du café.
Nous dormons quelques heures" ;
Le soldat Auguste HERVE de la 10ème cie du 117ème RI (10/117) a écrit:
"J'ai été blessé vers 2h de l'après-midi. Nous avions mis baïonnette au canon. Je suis tombé nez à nez avec un Allemand aussi surpris que moi. Il se sauve et se plaque au sol.
Des mitrailleuses tirent. Je reçois une balle dans la cuisse. Un soldat m'a apporté à boire durant la nuit. Le dimanche matin, j'ai vu 3 ou 4 uhlans venant d'Houdrigny et se dirigeant vers Virton. J'avais toujours mon Lebel à côté de moi et l'idée m'est venue de tirer...
Plus tard, j'ai vu des charrettes et des hommes qui chargeaient les blessés et les morts. J'ai fait signe.
Deux civils m'ont renversé sur un brancard et ils m'ont porté jusqu'à Houdrigny ...";
(ce sont des extraits de l'ouvrage de Jean DAUPHIN "22 août 1914 - Bataille des Frontières" (2004);
Le sergent Georges LEBOURDAIS de la 12ème compagnie du 117ème RI (12/117) :
"Le 21 au soir, nous sommes arrivés à Virton et nous avons été accueillis avec enthousiasme par la population. Nous avons cantonné "au séminaire" dans des lits. C'était bon après des cantonnements dans la paille!
Les habitants nous ont signalé que les Allemands étaient sur les crêtes, qu'ils avaient repéré le terrain les jours avant, qu'ils venaient au ravitaillement dans la ville.
Le 22 au matin, rassemblement sur la placen les habitants nous apportent des vivres, pain, beurre,café";
Le musicien infirmier François MEIGNAN du 117ème RI :
"22 août. Rassemblement dans la rue. Un bruit sec le long du mur. La première balle.
Nous sommes heureusement abrités par un haut talus.
Entre 13 et 17 heures, nous sommes restés là, le sac devant la tête pour nous préserver des balles.
A 17h, il faut partir avec le médecin auxiliaire ROUSSEAU jusqu'au poste de secours avec GAMBUSSEAU et PESCHEUR. Nous y restons jusqu'à la nuit. Le spectacle du champ de bataille restera pour moi inoubliable.
Les blessés sont pansés et amenés à l'hôpital des bonnes Soeurs à Saint-Mard. Nous sommes conduits par des civils belges qui se sont dévoués toute la journée. Nous faisons parfois 4km avec un blessé sur le dos!
Il reste 12 blessés. On demande des volontaires. Nous sommes vingt sous la conduite d'un Belge. A 3h30, le 23, nous arrivons à Saint-Mard. Les bonnes Soeurs nous donnent du pain, du beurre, du café.
Nous dormons quelques heures" ;
Le soldat Auguste HERVE de la 10ème cie du 117ème RI (10/117) a écrit:
"J'ai été blessé vers 2h de l'après-midi. Nous avions mis baïonnette au canon. Je suis tombé nez à nez avec un Allemand aussi surpris que moi. Il se sauve et se plaque au sol.
Des mitrailleuses tirent. Je reçois une balle dans la cuisse. Un soldat m'a apporté à boire durant la nuit. Le dimanche matin, j'ai vu 3 ou 4 uhlans venant d'Houdrigny et se dirigeant vers Virton. J'avais toujours mon Lebel à côté de moi et l'idée m'est venue de tirer...
Plus tard, j'ai vu des charrettes et des hommes qui chargeaient les blessés et les morts. J'ai fait signe.
Deux civils m'ont renversé sur un brancard et ils m'ont porté jusqu'à Houdrigny ...";
(ce sont des extraits de l'ouvrage de Jean DAUPHIN "22 août 1914 - Bataille des Frontières" (2004);
Re: andechy 4 novembre 1914
[u]BILAN DU MOIS OCTOBRE 1914[/u]
-le soldat le thuau est arrivé au 130e R.I. approximativement entre le 6 et le 12 /10 vu les pertes importantes plus de 3669 morts en 3 mois le 19/10
-Andechy est pris a cette date vers le 6 octobre et devient allemand avec méme une forte , poussée vers Erches qui resiste , jusqu'à Folie ....malgré cela dans la seconde quinzaine d'octobre un assaut a été donné vers Parvillers le Quesnoy en santerre qui apres de lourds combats et pertes et repris le 30 octobre
- les 4 ,5 octobre la 250e division sous equipée et sans soutien efficace de l'artillerie est parvenue a contenir a andechy des allemands tres offensifs et 10 fois supérieurs en nombre ! IL y aura a cela 2 conséquences l'etat major du regiment sera honnorer pour bravoure et recompensé , les 3 soldats de Dordogne , fatigués, perdus dans la bataille, inferieurs en nombre et en matériel sont jugés et exécutés le 12 sans aucune clémence / aux circonstances ...les réservistes sont donc informés des leur arrivée .
- coté histoire et célébrité : Erwin Rommel lieutenant est dans le secteur de Roye lui aussi avec son regiment depuis les premiers combats de Billancourt .GUYNEMER, basé a Cachy a obtenu sa 3e victoire reconnue ou homologuée dans le secteur Erches /Andechy
- En octobre l'ennemi a donc tenté un gros effort sur le Quesnoy. Les français leurs tiennent téte et les bloquent entre Folies et le Quesnel. Les divisions sont survolées en permanence par des aéroplanes ennemis qui accompagnent notamment une autre attaque sur Rouvroy e Santerre / c'est pourquoi certains jmo notent la formation en retrait de leurs troupes contre cette nouvelle arme , qui detruira par bombe l'eglise et le clocher de Erches.
Au cours du mois ,ttes ces unités avec l'aide du 121e aussi, malgré un terrain de plaine plate et mortellement nue parviendront successivement a s'approcher des premieres maisons de Quesnoy et de le prendre le 30 Octobre !
Dés le 18 OCTOBRE Le 130e prepare des retranchements et installations diverses pour lancer une offensive sur andechy.
.A partir du 20/10 et grace a l'apport de 513 hommes de réserve supplémentaire le 130e est a la cote 94 en rpmt du 317e sur le ravin sud sud est d'andechy coté l'echelle st aurin.Les allemand cannonent Erches toute la journée du 22 .les repos s'effectuent a Guerbigny .
Toujours les mémes dispositions devant erches jusqu'au 26 ou arrive un nouveau renfort de 150 hommes de Mayenne .( recrutement mayenne et seine)
ordre est donné de : " reprendre une attitude plus active pou retenir des forces aussi considérables que possible sur le front et empecher l'ennemi d'opérer des prélèvements sur ce front !"
- 28/10 repos a Guerbigny avec continuation des actions offensives engagées!
- le 30 /10 le 115e ,117e,315e,317e aidés de la 62e DI de reserve attaquent le Quesnoy en santerre a 12h30( appartenance du soldat le thuau au 62e de reserve qui donc participa a l'attaque?? voir sa fiche précédemment ) Si chacun reste sur ses positions le 30 , le 31 le village est pris avec une centaine de prisonniers et malgré 3 contre attaques violentes la nuit toutes repoussées! toujours de violentes cannonades allemandes contre erches!. du 1er au 3 novembre rien pour le 130e
- ordre ou objectif pour l'attaque du 4 novembre parvenu a 23h a erches
en voici les détails ou previsions:
-le 1e bataillon ( cdt de la Chéneliére) occupe d'abord ou déjà les tranchées sud entre la route D160 guerbigny /andechy et le chemin( 1 trait) davenescourt andechy( certains jmo porte debut a 1200m ). il se portera a 5h du matin dans une tranchée creusée la nuit par le génie la veille qui s'etend du sud au nord de la route d160 andechy / guerbigny . cette tranchée part a environ 150mau nord du chemin précédemment cité ! (900m de la lisiere ouest d'Andechy)
- le 2e bataillon ( avec la 4e cie du premier ) ( cdt Manet ) prirent place dans les tranchées initiales au sud de la route D160 guerbigny / andechy
- le 3e bataillon( cpte Boulmer) sera situé a la cote 94( bois bequerelle) pres du ravin sud vers l'echelle st aurin restant a la disposition du gal de division .
- le 124e attaquera plus au sud pres de la cote 94( 1e carte jaune) vers le ravin sud de l 'echelle st aurin et la route de guerbigny donc au coté ou apres le 3e bataillon ( un peu derriere la plaine dite du cheminet au sud du cimetiere
- le 102e est en soutien de l'attaque a l'echelle st aurin
- l'artillerie repérée comme 44e ra sur la carte se situe derriere au sud est d'erches
-le soldat le thuau est arrivé au 130e R.I. approximativement entre le 6 et le 12 /10 vu les pertes importantes plus de 3669 morts en 3 mois le 19/10
-Andechy est pris a cette date vers le 6 octobre et devient allemand avec méme une forte , poussée vers Erches qui resiste , jusqu'à Folie ....malgré cela dans la seconde quinzaine d'octobre un assaut a été donné vers Parvillers le Quesnoy en santerre qui apres de lourds combats et pertes et repris le 30 octobre
- les 4 ,5 octobre la 250e division sous equipée et sans soutien efficace de l'artillerie est parvenue a contenir a andechy des allemands tres offensifs et 10 fois supérieurs en nombre ! IL y aura a cela 2 conséquences l'etat major du regiment sera honnorer pour bravoure et recompensé , les 3 soldats de Dordogne , fatigués, perdus dans la bataille, inferieurs en nombre et en matériel sont jugés et exécutés le 12 sans aucune clémence / aux circonstances ...les réservistes sont donc informés des leur arrivée .
- coté histoire et célébrité : Erwin Rommel lieutenant est dans le secteur de Roye lui aussi avec son regiment depuis les premiers combats de Billancourt .GUYNEMER, basé a Cachy a obtenu sa 3e victoire reconnue ou homologuée dans le secteur Erches /Andechy
- En octobre l'ennemi a donc tenté un gros effort sur le Quesnoy. Les français leurs tiennent téte et les bloquent entre Folies et le Quesnel. Les divisions sont survolées en permanence par des aéroplanes ennemis qui accompagnent notamment une autre attaque sur Rouvroy e Santerre / c'est pourquoi certains jmo notent la formation en retrait de leurs troupes contre cette nouvelle arme , qui detruira par bombe l'eglise et le clocher de Erches.
Au cours du mois ,ttes ces unités avec l'aide du 121e aussi, malgré un terrain de plaine plate et mortellement nue parviendront successivement a s'approcher des premieres maisons de Quesnoy et de le prendre le 30 Octobre !
Dés le 18 OCTOBRE Le 130e prepare des retranchements et installations diverses pour lancer une offensive sur andechy.
.A partir du 20/10 et grace a l'apport de 513 hommes de réserve supplémentaire le 130e est a la cote 94 en rpmt du 317e sur le ravin sud sud est d'andechy coté l'echelle st aurin.Les allemand cannonent Erches toute la journée du 22 .les repos s'effectuent a Guerbigny .
Toujours les mémes dispositions devant erches jusqu'au 26 ou arrive un nouveau renfort de 150 hommes de Mayenne .( recrutement mayenne et seine)
ordre est donné de : " reprendre une attitude plus active pou retenir des forces aussi considérables que possible sur le front et empecher l'ennemi d'opérer des prélèvements sur ce front !"
- 28/10 repos a Guerbigny avec continuation des actions offensives engagées!
- le 30 /10 le 115e ,117e,315e,317e aidés de la 62e DI de reserve attaquent le Quesnoy en santerre a 12h30( appartenance du soldat le thuau au 62e de reserve qui donc participa a l'attaque?? voir sa fiche précédemment ) Si chacun reste sur ses positions le 30 , le 31 le village est pris avec une centaine de prisonniers et malgré 3 contre attaques violentes la nuit toutes repoussées! toujours de violentes cannonades allemandes contre erches!. du 1er au 3 novembre rien pour le 130e
- ordre ou objectif pour l'attaque du 4 novembre parvenu a 23h a erches
en voici les détails ou previsions:
-le 1e bataillon ( cdt de la Chéneliére) occupe d'abord ou déjà les tranchées sud entre la route D160 guerbigny /andechy et le chemin( 1 trait) davenescourt andechy( certains jmo porte debut a 1200m ). il se portera a 5h du matin dans une tranchée creusée la nuit par le génie la veille qui s'etend du sud au nord de la route d160 andechy / guerbigny . cette tranchée part a environ 150mau nord du chemin précédemment cité ! (900m de la lisiere ouest d'Andechy)
- le 2e bataillon ( avec la 4e cie du premier ) ( cdt Manet ) prirent place dans les tranchées initiales au sud de la route D160 guerbigny / andechy
- le 3e bataillon( cpte Boulmer) sera situé a la cote 94( bois bequerelle) pres du ravin sud vers l'echelle st aurin restant a la disposition du gal de division .
- le 124e attaquera plus au sud pres de la cote 94( 1e carte jaune) vers le ravin sud de l 'echelle st aurin et la route de guerbigny donc au coté ou apres le 3e bataillon ( un peu derriere la plaine dite du cheminet au sud du cimetiere
- le 102e est en soutien de l'attaque a l'echelle st aurin
- l'artillerie repérée comme 44e ra sur la carte se situe derriere au sud est d'erches
Re: andechy 4 novembre 1914
L'attaque vue par le jmo du 102e :
JOURNEE DU 4 NOVEMBRE legere fusillade sur lechelle st aurin;l'attaque d'andechy doit se faire par le sud avec la 8e di soutenue par la 102e au sud et le 103e en reserve a l'est de guerbigny . une 1/2 compagnie du genie accompagnera la 102e et l'attaque sera appuyée par l'AD7 ou j .le brouillard retarde l'attaque a 10h45 prevue initalement a 8 ou 9h .le feu tres efficace de l'artillerie permet a l'infanterie de faire un bond .le 102 part des tranchées au nord du moulin , progresse vers andechy avec un bataillon situé a l'est ( cote 94 1e carte jaune??) Le secon bataillon restera en reserve dans le ravin .D'apres ce recit nous sommes en face du cimetiere au sud !les troupes avances jusqu'au tranchées accessoires établies devant le village .a gauche la 8e division occupe la cote 98 ( vers les vingt quatre ) ou le bois en face la cambuse mais ne peut enlever andechy . sur le front de la 14e brigade on a maintenue une activité soutenue sur le secteur de tillolois, popincourt ,Dancourt ,lancourt ...lors de l'attaque le 124e est a gauche du 102e entre le bois de l eglise et le cheminet de 13h30a 16h30 renforcement successif des premieres lignes par les secondes en reserve .l'attaque est insuffisamment encadrée .l'artillerie n'a pas assez de munitions et ne peut neutraliser le feu ennemi .les mitrailleuses allemandes rendent la progression tres lente sur ce plateau decouvert !a 17h 2 tirs de neutralisations de notre artillerie ,tentative generale d'assaut qqs elements poussent jusqu'à l'orée d'andechy mais ils sont repoussés.la 102 e se replie ds les tranchées d'où est partie l'attaque il est 19h ...
JOURNEE DU 5 NOVEMBRE Dans la nuit rien a signaler .fusillades intermittantes ds la journée .chute de gros obus ds la vallée de l'avre.les 3 bataillons du 102e restent face a cote 94 ( 1e carte jaune) , l'autre ds la vallée de l'avre et le 3e au sud face a andechy l'artillerie du 44e arrete une offensive plus a l'est pour la 102e et la 104e .une tentative allemande est arrétée sur l'echelle et fusillade ennemie au sud d'adnechy pour le 102e avec cette attaque la 7eDI recoit permission de reprendre ses bataillons en soutien de la 8e DI .les allemands n'ayant pas renouvelé leur attaque et etant donné la persistance du brouillard chacun reprends ses places initiales et la 7e DI reprends sa disponibilité/ a la 8e.
JOURNEE DU 4 NOVEMBRE legere fusillade sur lechelle st aurin;l'attaque d'andechy doit se faire par le sud avec la 8e di soutenue par la 102e au sud et le 103e en reserve a l'est de guerbigny . une 1/2 compagnie du genie accompagnera la 102e et l'attaque sera appuyée par l'AD7 ou j .le brouillard retarde l'attaque a 10h45 prevue initalement a 8 ou 9h .le feu tres efficace de l'artillerie permet a l'infanterie de faire un bond .le 102 part des tranchées au nord du moulin , progresse vers andechy avec un bataillon situé a l'est ( cote 94 1e carte jaune??) Le secon bataillon restera en reserve dans le ravin .D'apres ce recit nous sommes en face du cimetiere au sud !les troupes avances jusqu'au tranchées accessoires établies devant le village .a gauche la 8e division occupe la cote 98 ( vers les vingt quatre ) ou le bois en face la cambuse mais ne peut enlever andechy . sur le front de la 14e brigade on a maintenue une activité soutenue sur le secteur de tillolois, popincourt ,Dancourt ,lancourt ...lors de l'attaque le 124e est a gauche du 102e entre le bois de l eglise et le cheminet de 13h30a 16h30 renforcement successif des premieres lignes par les secondes en reserve .l'attaque est insuffisamment encadrée .l'artillerie n'a pas assez de munitions et ne peut neutraliser le feu ennemi .les mitrailleuses allemandes rendent la progression tres lente sur ce plateau decouvert !a 17h 2 tirs de neutralisations de notre artillerie ,tentative generale d'assaut qqs elements poussent jusqu'à l'orée d'andechy mais ils sont repoussés.la 102 e se replie ds les tranchées d'où est partie l'attaque il est 19h ...
JOURNEE DU 5 NOVEMBRE Dans la nuit rien a signaler .fusillades intermittantes ds la journée .chute de gros obus ds la vallée de l'avre.les 3 bataillons du 102e restent face a cote 94 ( 1e carte jaune) , l'autre ds la vallée de l'avre et le 3e au sud face a andechy l'artillerie du 44e arrete une offensive plus a l'est pour la 102e et la 104e .une tentative allemande est arrétée sur l'echelle et fusillade ennemie au sud d'adnechy pour le 102e avec cette attaque la 7eDI recoit permission de reprendre ses bataillons en soutien de la 8e DI .les allemands n'ayant pas renouvelé leur attaque et etant donné la persistance du brouillard chacun reprends ses places initiales et la 7e DI reprends sa disponibilité/ a la 8e.