les femmes pendant la Grande Guerre (+ accès au sommaire)

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krzymen
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)

Message par krzymen »

Bonsoir à toutes et à tous,
Bonsoir Brigitte
Skellbraz . a écrit : lun. janv. 15, 2018 1:48 pmPetit retour sur Marie Curie
En Pologne, Marie Curie est plutôt connue sous le nom de Maria Skłodowska-Curie :D
https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Curie
https://pl.wikipedia.org/wiki/Maria_Sk% ... wska-Curie
En France, elle a également utilisé ce nom, même si elle avait beaucoup de signatures différentes - Marie Curie, Madame Curie, Madame Pierre Curie, Marie Curie-Sklodowska, Marie Sklodowska-Curie et en Pologne où elle se rendait à plusieurs reprises avant et après 1918 - Maria Skłodowska-Curie.
Tout au long de sa vie Marie Sklodowska-Curie est restée en contact avec sa famille polonaise, surtout avec sa sœur Bronisława Dłuska médecin diplômé à Paris. Ses deux filles - Irène et Ève – parlaient polonais.
En 1899, pour la première fois depuis son mariage, Maria est allée en Pologne. A Zakopane elle a rencontré sa famille - le père Władysław, le frère Józef et les sœurs Helena et Bronisława.

Zakopane 1899 – Pierre et Marie Curie avec la famille Skłodowski.
Zakopane1899.jpg
Zakopane1899.jpg (115.24 Kio) Consulté 5689 fois
source : http://www.bg.agh.edu.pl/MSC/msc.php?pa ... Rodzenstwo

Pendant ce séjour, Marie et Pierre Curie ont accèdé au sommet Rysy, le plus haut sommet des Tatras polonaises
Rysy – altitude 2499 mètres
https://pl.wikipedia.org/wiki/Rysy
Vous n'avez pas besoin d'être un alpiniste pour grimper sur Rysy, mais à cette époque les Tatras étaient des montagnes sauvages, sans aucun sentier touristique. Les femmes n’avaient pas de chaussures de sport et portaient de longues robes ... C'était donc une sorte d'exploit! :lol:
Maria Skłodowska-Curie n’a pas oubliée non plus Varsovie, sa ville natale.
En mai 1912, les délégués de la Société Scientifique de Varsovie (Towarzystwo Naukowe Warszawskie) ont eu une conversation avec Maria Skłodowska-Curie à Paris. Le président de la délégation, Henryk Sienkiewicz (prix Nobel de littérature en 1905) et les délégués ont proposé à Maria d'organiser un laboratoire radiologique à Varsovie et de prendre en charge sa direction.
La décision finale a été reportée jusqu'à la fin des travaux sur l'organisation de l'Institut du Radium en construction à Paris et l'amélioration de la santé de Mme Marie. Temporairement elle a délégué deux de ses assistants – J.K. Danysz et Ludwik Wertenstein. Tous les deux ont commencé à travailler à Varsovie en 1913. Le laboratoire était géré par J.K. Danysz.
On ne sait pas quelle décision finale aurait été prise par Maria si la guerre n’avait pas été déclenchée. En été 1914, le contact avec Maria Skłodowska-Curie a été rompu ...
Le chef du Laboratoire Radiologique du TNW à Varsovie, Jan Kazimierz ou Jean Casimir Danysz, un Polonais né à Paris, était un citoyen français et un officier de réserve de l’armée française. En été 1914 il est parti se battre en France et est tombé à Cormicy le 3 novembre 1914.

C’est surtout à cause des prix Nobel et de l’Institut du Radium - actuellement c’est le Centre de l'Oncologie-Institut du nom de Maria Skłodowska-Curie - qu’on se souvient à Varsovie de la célèbre savante.
La France en Pologne - 85e anniversaire de l’Institut du radium de Varsovie
https://pl.ambafrance.org/85e-anniversa ... e-Varsovie
Lors des célébrations du vingt-cinquième anniversaire (1923) de la découverte du radium, Maria Skłodowska-Curie a déclaré à Paris: "Mon meilleur souhait est de créer un Institut du Radium en Pologne"
En répondant à cette déclaration, le Comité Polonais de la Lutte contre le Cancer (Polski Komitet do Zwalczania Raka ) a commencé à collecter des fonds pour le "Don national pour Maria Skłodowska-Curie", c'est-à-dire l'Institut du Radium portant le nom de Maria Skłodowska-Curie. La construction a commencé à Varsovie en 1925. Le projet des plans de construction de l'Institut a été développé avec la participation de Maria Skłodowska-Curie et du professeur Claude Regaud, directeur de l'Institut du Radium à Paris.

Le 7 juin 1925, pendant une cérémonie, la savante a posé la première pierre de cet édifce.
En 1929, pendant une visite aux États-Unis, M. Skłodowska-Curie a reçu 1 gramme de pur radium des mains du président Hoover, pour l'Institut de Varsovie. Le 29 mai 1932 a eu lieu la cérémonie d'inauguration de l'Institut du Radium à Varsovie auquelle ont participé Maria Skłodowska-Curie, le président de la République Polonaise Ignacy Mościcki et le professeur Claude Regaud.

Les traces de Maria Skłodowska-Curie à Varsovie
http://warsawtour.pl/fr/varsovie-pour-t ... l?page=0,0
Centre de l'Oncologie-Institut du nom de Maria Skłodowska-Curie, Cimetière Stare Powązki – tombe de la famille Skłodowski
http://warsawtour.pl/fr/varsovie-pour-t ... l?page=0,3

Un site consacré à Maria Skłodowska-Curie
http://www.bg.agh.edu.pl/MSC/msc.php?page=01rok
Généalogie, calendrier, famille, contribution à la science, les prix, institut du radium, des lettres et des souvenirs, la Première Guerre mondiale et ... les hommes de sa vie ;)
Le site est en polonais mais il y a des photos :)
Bien cordialement
Krzysztof
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Skellbraz .
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)

Message par Skellbraz . »

Bonsoir à toutes et tous,

Merci krzymen pour toutes ces recherches et les liens qui apportent beaucoup d'informations.

Je croyais que Marie Curie, avant son décès, avait pris des mesures au sujet du gramme de radium, fruit de son labeur, qui était en sa possession. Elle tenait à ce que sa fille Irène puisse poursuivre ses recherches sans tracasseries. En réalité, à la lecture de sa lettre, je m'aperçois qu'il s'agit du gramme qui lui a été offert par les femmes américaines.

C'est avec beaucoup d'émotion que j'ai découvert la photo de sa lettre manuscrite
(lien en polonais mais, comme vous le dites, il y a des photos ;) ) quand on clique sur l'adresse du lien ("testament radowy"), on peut agrandir le texte et le lire confortablement.

http://www.bg.agh.edu.pl/MSC/images/Tes ... radowy.JPG
testament radium.jpg
testament radium.jpg (92.68 Kio) Consulté 5681 fois

Une précision concernant un autre lien : http://warsawtour.pl/fr/varsovie-pour-t ... l?page=0,0
en lisant le texte, je note qu’il est question de la "Légion d’Honneur", c'est une distinction que Marie Curie n’a pas reçue.

je cite: ( http://medarus.org/Medecins/MedecinsTextes/curiemp.html )

"Pierre et Marie Curie, refusent la Légion d'honneur. Pierre Curie déclarera : "Veuillez, je vous prie, remercier le Ministre et l'informer que je n'éprouve pas du tout le besoin d'être décoré, mais que j'ai le plus grand besoin d'avoir un laboratoire."
Selon Ève Curie, Marie aurait accepté si elle lui avait été donnée pour "fait de guerre" suite à la mise en place des "petites Curies".

cordialement
Brigitte

PS: en complément : viewtopic.php?p=97211#p97211 (dans le sommaire, "chap. V femmes célèbres" : les paragraphes et les liens concernant Marie et Irène Curie ont été mis à jour)
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krzymen
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)

Message par krzymen »

Bonsoir à toutes et à tous

Marie Skłodowska-Curie - citoyen français par le mariage avec Pierre Curie - a participé à l'effort de guerre de son pays d'adoption, mais elle a également trouvé du temps à être active dans des organisations polonaises en France et connaissait personnellement la plupart des principaux politiciens polonais de l'époque. Elle a aussi collaboré avec le Comité d'Assistance aux Victimes de la Guerre en Pologne crée en Suisse (Vevey) par Henryk Sienkiewicz.
Cette activité est peu connue en Pologne et probablement aussi en France.
Il semble que M. Curie ne partageait pas les sentiments chalereux que les hommes politiques et l’opinion publique française ressentaient à la Russie.
Le 31 juillet 1914 à Paris, les représentants des organisations polonaises ont formé le Comité des Volontaires Polonais pour le Service dans l'Armée Française (appelé le Comité des Volontaires Polonais), qui a lancé un appel à l'engagement volontaire des Polonais dans les rangs de l'armée française. Le comité était composé de personnes ayant des opinions politiques très différentes. Wacław Gąsiorowski (Venceslas Gasiorowski), le chef du Sokol en France et redacteur de hebdomadaire "Polonia", est devenu son président. Les volontaires recrutés n’ont pas été affectés à l'armée régulière mais à la Légion étrangère (les "Bayonnais" et les autres). Le 14 août 1914 les Russes ont publié un manifeste "Aux Polonais" du grand-duc Nicolas Nikolaïevitch. Cet manifeste a été accueilli avec enthousiasme par le public français. Les promesses russes d'unification et d'autonomie des terres polonaises furent propagées en France comme un acte de restauration de la Pologne. En termes formels, le manifeste n'a pas eu la sanction de l'empereur Nicolas II, qui était exigé par tous les actes d'État de l'Empire russe, donc privé de signification juridique. C'était un document dicté uniquement par des considérations militaires.
Dans la seconde moitié d’août 1914 le professeur russe Elie Metchnikoff (prix Nobel) a annoncé à son collègue de l'Institut Pasteur Jan (Jean) Danysz que Alexandre Izvolski, l'ambassadeur russe en France, souhaite de rencontrer des représentants de la colonie polonaise à Paris. Une délégation a été choisie: Jan Danysz, docteur Henryk Babiński, Maria Curie-Skłodowska, B. Kozakiewicz et W. Gąsiorowski
Pendant cette rencontre M. Curie-Sklodowska a posé cette question :
Que pensez-vous, Excellence, de la proclamation du Grand-Duc Nicolas Nikolaïevitch, la proclamation adressée aux Polonais?
Izvolski était frustré – Je ne la connais que par les télégrammes d’agences de presse. Je n'ai pas d'autre texte ... J'ai appris à ce sujet dans les journaux. Je n'ai reçu aucune explication ni instruction de mon gouvernement...
L'ambassadeur de Russie a donné des réponses vagues et ambiguës et lorsqu'il a été interrogé sur la Galicie (Galicja - la partie de la Pologne occupée par l'Autriche), il a répondu qu'elle serait attaché à la Russie. La délégation polonaise a rapidement quitté l'ambassade.
Après la rencontre avec l'ambassadeur russe, les actions des Polonais en France ont commencé à diverger. Une partie, avec Gąsiorowski à la tête, a fait confiance au gouvernement français de manière inflexible et a mené une politique assez conciliante envers la Russie.
Marie Curie était associée au Komitet Wolnej Polski (KWP, Comité de la Pologne Libre), qui a été formé au début de décembre 1914 (secrétaire Bolesław Motz, un activiste socialiste). Le KWP croyait qu'une Pologne unie et indépendante devrait être créée. Cet comité était d'avis que l'Allemagne et la Russie tsariste étaient les principaux ennemis de la Pologne. Il a sympathisé avec l'action armée de Józef Piłsudski et les Légions Polonaises formées pour combattre la Russie aux côtés de l'Autriche. Il possedait son propre organe de presse - "La Tribune Polonaise", qui a été fermée par les autorités françaises à la suite de l'intervention de l'ambassade russe.
En 1917, une grande partie de la colonie polonaise en France n’a pas salué le décret du 4 juin (sur la création d'une armée polonaise autonome) du président Poincaré avec l’enthousiasme. On avait des objections suivantes: cette armée serait privée de toute représentation politique polonaise et les possibilités de recrutement seront petites. Une armée microscopique (il y avait env. 2000 Polonais dans l’armée française) ne fera que discréditer la Pologne.
Le Groupe des Démocrates Polonais (Grupa Demokratów Polskich), auquel à cette époque appartenait M. Curie, a même commencé à recueillir des signatures pour protester contre le décret. On croyait que dans la situation où les Alliés ne soumettaient aucune déclaration confirmant l'indépendance de la Pologne, former une telle armée n'est qu'un gaspillage de sang polonais. Il y avait aussi la crainte que les Allemands, qui depuis 1915 occupaient le Royaume du Congrès ("Pologne russe"), repondant à la création d’une armée polonaise en France vont appliquer le recrutement forcé à la Polnische Wehrmacht / Polska Siła Zbrojna.

Le 4 janvier 1919 la délégation officielle du chef de l'Etat Polonais Józef Piłsudski est arrivé à la gare de Lyon. Elle a été accueillie, entre autres par Bolesław Motz et Marie Sklodowska-Curie. Parmi les délégues se trouvait Kazimierz Dłuski (mari de Bronisława, la sœur aînée de Marie) qui a remplacé Ignacy Paderewski aux négociations du Traité de Versailles.

Janine Trotereau - L’autre Marie Curie-Skłodowska
https://wszystkoconajwazniejsze.pl/jani ... klodowska/

Bien cordialement
Krzysztof
aubrac51
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un hommage à Marie Louise Michel infirmière de St Gérand Morbihan

Message par aubrac51 »

Bonjour
Permettez que je rendre hommage à travers votre forum à une femme de St Gérand (Morbihan)
la famille de Marie-Louise Michel
Ses parents sont de condition modeste : sa mère est journalière et Marie-Louise est la cinquième du couple qui a huit enfants. Depuis le début de la guerre, sa famille a payé déjà un lourd tribut : ses deux frères sont mobilisés et sa soeur Julienne est infirmière à Pontivy. Son beau-frère, Joseph Chauvel, menuisier à Saint-Gérand, est alors prisonnier en Allemagne. Un second beau-frère, Joachim Gausson, a été tué sur le front. Le mari de Marie-Louise, cocher dans la Région parisienne, est aussi tombé au champ d'honneur.

Infirmière sur le front
Lorsque la guerre éclate, Marie-Louise entre comme cuisinière à l'hôtel de la Martyre, chez M. Launay à Pontivy. Mais au bout de quelques mois, elle décide de partir à Paris pour devenir infirmière. Elle est alors envoyée dans les ambulances du front où elle se signale par son courage et son esprit de sacrifice, malgré les dangers.
Des actions héroïques
Elle est blessée, une première fois, à la main, en Champagne. Elle est décorée de la croix de guerre par le général de Castelnau, qui déclare alors : « Sous un bombardement par avions, Marie-Louise n'hésita pas à se porter, sous le feu, au secours des blessés d'une unité voisine. » Elle part ensuite à Verdun. Elle y restera 150 jours, au plus fort des bombardements allemands. Bien que grièvement blessée par des éclats d'obus à la poitrine, elle refusa de quitter son poste. L'été suivant, à Fleury, toujours au poste le plus dangereux, elle reçoit la Légion d'honneur, avec la citation suivante : « À fait preuve d'un esprit de sacrifice digne des plus grands éloges, en continuant, sous un bombardement intense de l'artillerie ennemie, ses soins à un lieutenant français grièvement atteint ; bien qu'elle ait été blessée à la jambe, elle n'a pas perdu son sang-froid et a toujours continué les soins »
Cordialement
aubrac51
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les femmes pendant la Grande Guerre Marie Louise Michel

Message par aubrac51 »

Bonjour
Un hommage à Marie Louise Michel qui est une héroïne à St Gérand (Morbihan). Elle a comme beaucoup de femmes pendant cette guerre risqué sa vie pour sauver ou soulager des hommes.

la famille de Marie-Louise Michel
Ses parents sont de condition modeste : sa mère est journalière et Marie-Louise est la cinquième du couple qui a huit enfants. Depuis le début de la guerre, sa famille a payé déjà un lourd tribut : ses deux frères sont mobilisés et sa soeur Julienne est infirmière à Pontivy. Son beau-frère, Joseph Chauvel, menuisier à Saint-Gérand, est alors prisonnier en Allemagne. Un second beau-frère, Joachim Gausson, a été tué sur le front. Le mari de Marie-Louise, cocher dans la Région parisienne, est aussi tombé au champ d'honneur.
Infirmière sur le front
Lorsque la guerre éclate, Marie-Louise entre comme cuisinière à l'hôtel de la Martyre, chez M. Launay à Pontivy. Mais au bout de quelques mois, elle décide de partir à Paris pour devenir infirmière. Elle est alors envoyée dans les ambulances du front où elle se signale par son courage et son esprit de sacrifice, malgré les dangers.
Des actions héroïques
Elle est blessée, une première fois, à la main, en Champagne. Elle est décorée de la croix de guerre par le général de Castelnau, qui déclare alors : « Sous un bombardement par avions, Marie-Louise n'hésita pas à se porter, sous le feu, au secours des blessés d'une unité voisine. » Elle part ensuite à Verdun. Elle y restera 150 jours, au plus fort des bombardements allemands. Bien que grièvement blessée par des éclats d'obus à la poitrine, elle refusa de quitter son poste. L'été suivant, à Fleury, toujours au poste le plus dangereux, elle reçoit la Légion d'honneur, avec la citation suivante : « À fait preuve d'un esprit de sacrifice digne des plus grands éloges, en continuant, sous un bombardement intense de l'artillerie ennemie, ses soins à un lieutenant français grièvement atteint ; bien qu'elle ait été blessée à la jambe, elle n'a pas perdu son sang-froid et a toujours continué les soins »
J'ai receuilli ces informations dans le journal de Pontivy et son arrondissement du 8 avril 1917
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Skellbraz .
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)

Message par Skellbraz . »

Bonsoir à toutes et tous,

merci beaucoup pour ces nouvelles interventions qui enrichissent ce fil de discussion.

Krzysztof alias krzymen, il va de soi que ces nouvelles précisions sur Marie Curie viendront compléter ce qui est déjà consigné à son sujet dans le sommaire.

aubrac51 : Marie Louise Michel avait été évoquée sur ce fil de discussion mais pas avec autant de détails. Bien entendu, elle a toute sa place dans le sommaire. Votre intervention est un sacré "plus" ( 8-) originaire de Bretagne, d'une famille morbihannaise, j'y suis particulièrement sensible.)

J'en profite pour signaler à chacune et chacun que, suite à la migration 2018 du Forum, le sommaire est encore quelque peu en jachère.

très cordialement
Brigitte
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Inouk44
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)

Message par Inouk44 »

Bonjour à toutes et à tous,

je ne sais pas si ce lien a déjà été cité dans ces pages:
http://centenaire.org/fr/tresors-darchi ... s-larriere

Sur le site du centenaire.org, une série de dessins réalisés par les enfants d'une classe d'une école de la rue Sainte Isaure à Paris, pendant la guerre de 14-18.
Un portrait saisissant de la vision qu'ils pouvaient avoir du travail des femmes à cette époque!

Cordialement.
Daniel
C'est agréable d'être important. C'est important d'être agréable.
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Skellbraz .
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)

Message par Skellbraz . »

Bonsoir à toutes et tous

Merci Daniel /Inouk,
le lien avait été cité et je l'avais consulté mais, je n'avais repéré les dessins qui se trouvent sur celui-ci.
cordialement
Brigitte
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jpbte63
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)

Message par jpbte63 »

Bonjour à toutes et à tous,

Sur Gallica :

Les Modes des femmes de France Sélection

Et deux images dans Le Rire du 2 juin 1917
Les héros ont soif
C'est peut-être, un de ceux que maman a tournés
Pour d'autres numéros du rire Ici

Bon dimanche
Jean-Pierre
Quand on ne fait pas tout pour être le premier, le devenir ou le rester, on ne demeure pas le deuxième. On tombe fatalement le dernier.
Louis Hubert Lyautey
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Re: les femmes pendant la Grande Guerre (en p 1: accès au sommaire)

Message par Skellbraz . »

Bonsoir à toutes et tous,

Merci Jean Pierre pour les différents liens,
:D un humour qui aurait du mal à passer à l'heure actuelle.
Je note que le fascicule « l’école des marraines » fut édité par ... Albin Michel qui a décroché le prix Goncourt en 1917.
cordialement
Brigitte
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