réfugiés en BELGIQUE (suite)

[dominique boitel]

pour compléter les infos sur le sort de la population du nord de la FRANCE PENDANT LA GRANDE GUERRE , voici deux livres qui sont instructifs .
JOURNAUX DE COMBATTANTS ET CIVILS de la FRANCE du nord dans la grande guerre ; ANNETTE BECKER (éd) presses universitaires du septentrion 1998 ISBN 2-85939-567-9.
la mort pour la liberté - l'histoire du comité JACQUET de RENE DERUYK ,1993 , edité par la voix du nord ISBN: 2-908260-45-X.
il faut savoir que les régions occupées , du nord de la FRANCE, dependaient de BRUXELLE et que les allemands ont pilles tout , mais vraiment tout , dans ces régions , les gens crevaient de faim, de froid et de maladies . on a trop tendance à l'oublier!!! les populations au nord de la FRANCE ont morflé et bien morflé !!
DOMINIQUE BOITEL

[francois noury]

Bonjour Dominique,

merci pour ces nouvelles références bibliographiques. Ci-dessous deux liens qui résument la vie des civils sous l’occupation allemande:

Village de Quéant, 62 (il s’y trouvait un canon longue portée) : transcription d’un carnet de civil (voir sous l’onglet « histoire »)
Village de Wambrechies, 59 (le genièvre) : compte-rendus du conseil municipal

http://queant62.free.fr/
http://pro.nordnet.fr/wambrechies/histo ... /awies.htm

cordialement,

François

[dominique boitel]

bonsoir FRANCOIS
MERCI pour tes réferences .
A+
Dominique

[Bernard PROST]

Bonjour

Je crois me souvenir que le roman de Maxence Van de Meersch :
INVASION 14 - traite lui aussi le problème de l'occupation en 14
- il faut dire que je l'ai lu dans les années 60 !!!
Je sais que je l'ai en livre de poche mais je ne le retrouve pas


Bien amicalement

Bernard PROST

[francois noury]

Bonjour,

je remercie vivement Hubert pour l’article qu’il a numérisé. Je le conseille à ceux qui s’intéressent au sort des civils. Les dures conditions de vie de ces malheureux déracinés y sont décrites, sources à l’appui. Je pense cependant que nos réfugiés en Belgique ont un bien plus triste sort pour deux raisons essentielles : le climat (météo) et surtout de se trouver en zone occupée.

J’ai une question parallèle par rapport à cet extrait :

« A partir de 1916, un service de correspondance fut organisé avec les départements envahis : sur des cartes spéciales on pouvait tous les deux mois écrire un texte de vingt mots au maximum et traitant exclusivement d’affaires privées. »

En sait-on plus sur ces correspondances entre zone occupée (j’inclus la Belgique) et zone libre ? Comment passaient ces échanges : par la Suisse ?

Cordialement, François

PS: Merci de même à Bernard.