Bonjour à toutes et tous
Bonjour Alain,
dans mon coin de Bretagne, frontière entre Finistère et Morbihan, je me souviens qu'on les aimait bien les "réfugiés" (2ème GM), c'est ainsi qu'on les nommait. Il y avait carrément de l'estime à leur égard (une estime réciproque me semble-t-il).
Bonne journée
Brigitte
Bonjour de Bretagne !
- Skellbraz .
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Re: Bonjour de Bretagne !
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- Alain Dubois-Choulik
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Re: Bonjour de Bretagne !
Bonjour,frontière entre Finistère et Morbihan,
Les miens (13 !) étaient un peu plus à l'Ouest : Poullan sur Mer. Après ... il fallait nager.
Cordialement
Alan
Les civils en zone occupée
Ma famille dans la grande guerre
Les Canadiens à Valenciennes
"Si on vous demande pourquoi nous sommes morts, répondez : parce que nos pères ont menti." R. Kipling
Ma famille dans la grande guerre
Les Canadiens à Valenciennes
"Si on vous demande pourquoi nous sommes morts, répondez : parce que nos pères ont menti." R. Kipling
Re: Bonjour de Bretagne !
Bonjour à toutes et tous,
Je pense que ma famille a été bien accueillie puisqu'un de mes grands-oncles s'est établi à Angoulême ; ayant eu de nombreux enfants, dont un fils qui a lui-même eu 12 enfants, c'est sans doute, désormais, la région de France où j'ai le plus de parents, même si je ne les connais pas.
Témoignage d'un instituteur d'Angoulême à propos des réfugiés belges (20/11/1915) :
"La France et l'Angleterre se devaient de tendre la main à ces infortunés (...)
Angoulême reçut 554 de ces fugitifs. L'empressement de l'administration et l'enthousiasme de la population furent à la hauteur du devoir qui leur incombait (...)
Cette population de passage (...) se montre digne de l'intérêt qu'on lui porte."
Cordialement.
Je pense que ma famille a été bien accueillie puisqu'un de mes grands-oncles s'est établi à Angoulême ; ayant eu de nombreux enfants, dont un fils qui a lui-même eu 12 enfants, c'est sans doute, désormais, la région de France où j'ai le plus de parents, même si je ne les connais pas.
Témoignage d'un instituteur d'Angoulême à propos des réfugiés belges (20/11/1915) :
"La France et l'Angleterre se devaient de tendre la main à ces infortunés (...)
Angoulême reçut 554 de ces fugitifs. L'empressement de l'administration et l'enthousiasme de la population furent à la hauteur du devoir qui leur incombait (...)
Cette population de passage (...) se montre digne de l'intérêt qu'on lui porte."
Cordialement.