Immatriculations des véhicules militaires 1914-1918

[Ben El Mehli]

Et pour celle là, en France probablement, sans numéro, l'équipage belge toutes têtes dehors, était à la recherche des pochoirs, du pinceau ( plutôt une brosse ronde à à poils très courts car il s'agit de tamponner plutôt que d'étaler la peinture ) et d'un pot de cette dernière...

[Ben El Mehli]

https://books.google.fr/books?id=kjY3BA ... &q&f=false
Voir p 230 et 231.
B.e M.

[Ben El Mehli]

Bonjour à tous, oui, à tous.
Dans le numéro 101 de GBM, à la page 70, il est fait état des numéros des chars FT construit par Delaunay-Belleville, c'est à dire de la série des 70 xxx; il est écrit que les numéros matricules effectivement constatés vont de 70 007 à 70389
Il y a peut être comme vous le suggérez réemploi de certains numéros.
Alors je suis perplexe; à quoi donc sert une numérotation si des engins très différents finissent par porter le même matricule ?
On dit parfois que le surréalisme a deux patries: la France et la Belgique ; en voila peut être une preuve
Cordialement.
B.e M.

[marpie]

Bonjour Thierry , Bonjour à tous ,

Transport de viande ?



Bien amicalement
Marpie

[Ben El Mehli]

Bonjour Marpie.
C'est ce qui écrit sur la pancarte ( RVF: Ravitaillement en Viandes Fraîches )
Au revoir.
Ben El Mehli

[marpie]

Bonjour B.E.M ,

Merci , je lisais RVI , d'où mon interrogation .
Bonne journée
Marpie

[thierry767]

Bonjour Marpie,

Merci pour la photo, l'immatriculation en noir sur blanc est inhabituelle, à la guerre comme à la guerre...

Autrement, mon expérience est limitée mais cela ressemble fort à un De Dion-Bouton DA.

Cordialement à tous,

Thierry

P.S. Bientôt les 100 000 vues sur notre fil, un grand merci à tous les contributeurs et sympathisants.

[Ben El Mehli]

Bonjour à tous.
Oui, monsieur Thierry 767, c'est possible; j'avoue pour ma part ne pas être capable de différencier sous cet angle, un Schneider PB 2 d'un De Dion-Bouton DA de la Compagnie générale des omnibus ( CGO ); en principe le nombre de vitres latérales le permet ( une grande et trois petites pour les Brillé-Schneider et une grande et quatre petites pour les de Dion-Bouton ) mais là...
La décision d'utiliser les autobus pour le ravitaillement en viande fraîche a été prise en 1909 et dès cette année là des conventions ont été signées entre la CGO et l'Etat. En 1913, on avançait le chiffre de 300 autobus capables de remplir cette mission . Cela me paraît tout à fait remarquable de modernisme, du moins pour l'époque.
Cordialement.
Ben El Mehli

[mihansoldtimer1]

[Ben El Mehli]

Bonjour.
Je reconnais une Bébé Peugeot. Cette voiturette a été conçu par Ettore Bugatti. La suspension arrière de cette voiturette est assurée par deux quarts de ressorts elliptiques montés inversés, système qu'on trouvera sur toutes les Bugatti jusqu' après la seconde guerre mondiale; les premiers modèles ont une transmission originale: il n'y a pas de boite de vitesse mais deux arbres concentriques derrière l'embrayage, le couple conique est à double couronne ce qui procure deux démultiplications donc le choix de deux vitesses, et pas plus, par coulissement des arbres de transmission, l'un ou l'autre des pignons d'attaque porté par ces arbres se trouvant alors au contact de la double couronne; mais finalement la plupart des modèles fut monté avec une boîte de 3 vitesses classique.
Le moteur à soupapes latérales en T a une cylindrée de 855 cm3 et développe 10 chevaux réels.
Le prototype de cette voiturette , conçu à Molsheim en 1911 donc en Allemagne, fut proposé au constructeur allemand Wanderer qui ne fut pas intéressé; finalement elle fut construite par Peugeot à Beaulieu en 3095 exemplaires entre 1913 et 1916; au catalogue Peugeot de 1913 elle était proposé pour 4 000 francs avec " peinture gris bronze d'arme, pare-brise,capote, 2 phare acétylène avec générateur séparé,lanterne arrière, trompe d'appel " .
Cordialement.
Ben El Mehli.
PS: sur cette photo, les bus sont des Schneider PB2 si j'en crois la forme de la traverse avant du chassis .