Le 6ème régiment d'infanterie- Saintes

[LABARBE Bernard]

Bonsoir à tous,
Serge, PERE était bien du 206ème, la suite en mp.
Cordialement,
Bernard

[Ferns]

Bonsoir,
Merci Guilhem, ça me ferait plaisir en effet. Pour les soldats décédés, avez-vous consulté les dernières pages de l'historique du régiment ?
Il y est peut-être. De toute façon les JMO sont très inégaux. Pour le 206, ce n'est pas courant, il y a le JMO du dépôt, quelques informations intéressantes à glaner, notamment sur l'arrivée des classes, le personnel du dépôt...
A bientôt,

Cordialement,

Jé

[bretelles jaunes]

Bonsoir à toutes et à tous,

Serge, je peux vous confirmer que le caporal Emile Gabriel PERE est bien mentionné dans la liste des morts du 206e RI présente en fin d'Historique. Pour les infos supplémentaires (date et lieu de naissance, matricules, recrutement, genre de mort, ...) je crois comprendre que Bernard a été le plus rapide !

Bien cordialement,

Guilhem.

[los]

Bonjour à toutes et tous

Pour ceux qui s'intéressent au 206e RI, un livre viens de paraitre:
"Harcelés par une pluie de fer et de feu " de Auguste Hervouet
Je viens de recevoir ce livre et après l'avoir feuilleté rapidement, il s'avère que l'auteur fut mobilisé des aout 14 au 323e RI puis est passé au 206e RI à la dissolution du 323e en juin 1916. Ce livre couvre toute la guerre.
Si vous êtes intéresse par ce livre, il est en vente aux maisons de la presse de Montaigu, des Herbiers et de la roche sur Yon en Vendée.
Habitant un peu loin de la Vendée, j'ai téléphoné avant hier à la maison de la presse de Montaigu qui m'a envoyé un exemplaire par la poste que je viens de recevoir aujourd'hui même.

Un article de Ouest France ou l'on parle de ce livre
http://www.ouest-france.fr/actu/actuLoc ... Locale.Htm

Amicalement
Sophie

[serge michel]

Bonsoir à toutes et à tous,

Serge, je peux vous confirmer que le caporal Emile Gabriel PERE est bien mentionné dans la liste des morts du 206e RI présente en fin d'Historique. Pour les infos supplémentaires (date et lieu de naissance, matricules, recrutement, genre de mort, ...) je crois comprendre que Bernard a été le plus rapide !

Bien cordialement,

Guilhem.

Bonsoir Guilhem,
Effectivement, Bernard tire plus vite que son ombre, et grâce à ses renseignements, j'ai demandé l'acte de retranscription à Tarbes, où il est bien mentionné "Mort pour la France".
J'ai donc fait une demande de mention pour ce malheureux soldat oublié de l'administration d'époque.
Merci à tous.
Cordialement.
Serge

[ANTONA Antoine]

Bonsoir le forum,à toutes fins utiles, le 6éme et le 173éme combattirent cote à cote les 10 et 11 juin 1918 dans le secteur de Marquéglise.
Le JMO du 173 en donne le détail.
Cordialement, Antoine ANTONA.

[cewamale]

Bonjour à tous

En vue des Commémorations du Centenaire, j'aimerais pondre un article sur mon blog sur mes aïeux qui ont combattus lors de cette saleté de Guerre.
Mon Beau-Père m'a donné ces Diplômes de son GP Maternel

Morice COURANT

Né le 26 juillet 1888 - Saint-Bris-des-Bois, 17770, Charente-Maritime, Poitou-Charentes, France
Décédé le 24 mai 1983 , à l’âge de 94 ans





ainsi que




N'ayant pas accès au JMO du 17, en cours de numérisation, je recherche tous renseignements utiles pour mon article.
je n'ai malheureusement aucune photo de lui en militaire, il en est heureusement rentré.
Voici une photo de lui sur la fin de sa vie

[Achache]

Bonjour,

N'ayant pas accès au JMO du 17

???

Bien à vous,

[:achache:1]

[natb33]

Bonjour
Je suis à la recherche d'infos concernant l'éventuel stationnement du 18e escadron du Train à Saintes. Mon grand-père est né en 1898 à Saintes. Sur l'acte de naissance ses parents sont domiciliés "aux Trains". Les deux témoins étaient "soldats aux trains des équipages" mais domiciliés à Bordeaux, qui était la garnison normale de cet escadron. A son mariage en 1923, il était toujours domicilié "aux Trains". Son père était lui-même réserviste au 18e escadron. Etant tous deux forgerons, est-il possible qu'ils étaient logés dans la garnison sans avoir un statut de soldat ? Le fait qu'ils résidaient sur Saintes durant toute cette période est une certitude. Merci beaucoup pour votre aide

Bonjour Bruno, Bonjour Jérôme, … et Bonjour à toutes et tous,



Bruno, je connaissais cet ouvrage pour avoir largement puisé dedans à la bibliothèque de Saintes il y a quelques années. Merci quand même, un petit rappel ne fait jamais de mal
Comme tu l’as compris, j’engrange les infos pour le 6e et le 206e RI. Avec les historiques régimentaires et les JMO (au sens large : régiments, brigades, divisions, unités voisines…) je croise et je recoupe les détails pour tenter de "coller au plus près" des évènements. Je complète ces sources avec les (rares) témoignages dont je dispose pour l’heure (correspondances, carnets), les bribes de notices glanées à droite ou à gauche (Livres d’Or, Tableaux d’honneur…), les archives départementales dispos sur le net, quelques bases de données (SGA-Mémoire des hommes, MemorialGenWeb, Léonore, …) et les registres d’Etat-Civil. Avec ces données, et après avoir supprimé les doublons, corrigé les erreurs d’unités, de noms.., j’ai pu construire mes classeurs Excel de MPF (pour le 6e c’est à peu près à jour avec déjà 10-15% de noms en plus de la liste de l’historique, pour le 206e je suis moins avancé). Tout cela reste pour le moment très artisanal et brut de décoffrage.
Bref, ma démarche est donc très classique, je suppose, pour qui souhaite suivre le parcours d’un corps de troupe dans la Grande Guerre. Mais, si les années du conflit et tout l’aspect Histoire-bataille constituent le champ essentiel de mes investigations, ce n’est toutefois pas le seul. En fait, j’aimerai aussi étudier les interactions entre le régiment et la cité (la ville de garnison) de son arrivée à Saintes en 1876 jusqu’à sa dissolution au début des années 1920. Cela me permettrait d’évoquer tour à tour les aspects sociaux, politiques, économiques, culturels marquants les relations entre le monde civil et le milieu militaire au début de la IIIe République (le fameux Âge des casernes !). Parmi d’autres, un angle d’approche intéressant (de mon point de vue d’archéologue, bien sûr !) et qui, sur le principe, n’est peut-être pas propre qu’à Saintes, concerne les rapports parfois houleux qui se font jour entre le corps municipal, qui tient à conserver la garnison pour des raisons économiques évidentes d’une part, et la Société d’Archéologie de Saintes, d’autre part, s’alarmant des dégradations commises par l’autorité militaire pour transformer les locaux (l’Abbaye aux Dames, fondées au XIe siècle) en caserne moderne pour un régiment d’infanterie. Cette question est loin d’être anecdotique car c’est à la fin du XIXe et au début du XXe s. que la ville re-découvre de larges pans de son passé antique et médiéval sous l’égide de l’Abbé L. Julien-Laferrière, haute personnalité de la société civile locale, laquelle société tisse des liens parfois étroits avec les officiers en garnison. Alors voilà, je débute dans mes recherches et je ne sais pas quand et sous quelle forme je pourrai les diffuser mais j’ai déjà pu bénéficier de l’aide de plusieurs membres du forum et j’espère que cela continuera ! Merci notamment à Mounette et Achache, à Stephan@gosto, à Bernard L. (camarade de la 35e DI !), à RV, et à jbrase.
Jérôme, merci de nous avoir présenté le témoignage de L. Malivert, à la fois émouvant et riche de mille détails précieux pour l’historien. J’aimerai savoir si la retranscription réalisée avec le concours des élèves, et accessible par le lien, livre l’intégralité des écrits de Louis Malivert ou seulement la partie concernant le séjour du 6e RI dans le département de l’Aisne en 1915. En d’autres termes, est-ce que le récit se prolonge au-delà du 3 septembre ? Est-il possible aussi de savoir ou a été découvert le manuscrit ? Merci d’avance pour vos réponses.

mesimages/7086/drapeau du 6e RI.jpg

Bien cordialement à toutes et tous,

Guilhem.

[yvo35]

Bonjour,

Bonjour
Je suis à la recherche d'infos concernant l'éventuel stationnement du 18e escadron du Train à Saintes. Mon grand-père est né en 1898 à Saintes. Sur l'acte de naissance ses parents sont domiciliés "aux Trains". Les deux témoins étaient "soldats aux trains des équipages" mais domiciliés à Bordeaux, qui était la garnison normale de cet escadron. A son mariage en 1923, il était toujours domicilié "aux Trains". Son père était lui-même réserviste au 18e escadron. Etant tous deux forgerons, est-il possible qu'ils étaient logés dans la garnison sans avoir un statut de soldat ? Le fait qu'ils résidaient sur Saintes durant toute cette période est une certitude. Merci beaucoup pour votre aide

A Saintes il y a un hameau nommé "les Trains", à l'extrême nord de la commune, à la limite d'Ecurat.