Bonsoir
Tombé par hasard sur ce document mettant aux prises un instit, dans les année 20, avec la puissance publique dans le cadre de la commémo du 11 nov.
A noter que la délation est apparue avant 1940...
Et que les embusqués ne badinaient pas avec le protocole.
Aujourd'hui c'est inversement proportionnel .
http://appourchaux.site.voila.fr/fic1.html
Cordialement
JP
Un instit menacé de licenciement dans les années 20
- garnier jean pierre
- Messages : 710
- Inscription : lun. sept. 05, 2005 2:00 am
Re: Un instit menacé de licenciement dans les années 20
D'ousqu'on vient, on salue que les morts!
La peur. (G chevallier)
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Chemin des dames.
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- Alain Dubois-Choulik
- Messages : 8985
- Inscription : lun. oct. 18, 2004 2:00 am
- Localisation : Valenciennes
- Contact :
Re: Un instit menacé de licenciement dans les années 20
Bonjour,
Voila qui mérite son temps de lecture, suivi de quelques instants de réflexion....
J'ai bien aimé le "Et il se trouve que nos morts veulent toujours ce que veulent nos gouvernants", et il y a même des endroits où ils votent....
Quant au " tout le monde était parti " ... déjà ??? ça va de pair avec "ordonné ce recul pour montrer que la France n’avait pas l’idée d’attaquer."
Aaaaahhlalalalalal!
Cordialement
Alain
Voila qui mérite son temps de lecture, suivi de quelques instants de réflexion....
J'ai bien aimé le "Et il se trouve que nos morts veulent toujours ce que veulent nos gouvernants", et il y a même des endroits où ils votent....
Quant au " tout le monde était parti " ... déjà ??? ça va de pair avec "ordonné ce recul pour montrer que la France n’avait pas l’idée d’attaquer."
Aaaaahhlalalalalal!
Cordialement
Alain
Les civils en zone occupée
Ma famille dans la grande guerre
Les Canadiens à Valenciennes
"Si on vous demande pourquoi nous sommes morts, répondez : parce que nos pères ont menti." R. Kipling
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"Si on vous demande pourquoi nous sommes morts, répondez : parce que nos pères ont menti." R. Kipling
- garnier jean pierre
- Messages : 710
- Inscription : lun. sept. 05, 2005 2:00 am
Re: Un instit menacé de licenciement dans les années 20
Bonsoir Alain
Et ça c'est rien...J'ai trouvé mieux (ou pire) depuis.
La genèse.
Mais je ne le mets pas sur le forum c'est juste pour les connaisseurs
Faut une vision un peu, comment dire : détachée.
Cordialement
JP
Et ça c'est rien...J'ai trouvé mieux (ou pire) depuis.
La genèse.
Mais je ne le mets pas sur le forum c'est juste pour les connaisseurs
Faut une vision un peu, comment dire : détachée.
Cordialement
JP
D'ousqu'on vient, on salue que les morts!
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-
- Messages : 10
- Inscription : sam. déc. 13, 2008 1:00 am
Re: Un instit menacé de licenciement dans les années 20
Bonsoir à tous ,
Et mille excuses pour "débarquer" deux mois après cette "révélation" de Jean Pierre mais il y a tant de riches rubriques à consulter sur ce site !
Comme Alain , j'ai bien aimé le témoignage de DELOURME qui cite :
« Le 2 septembre 1914, M l’Inspecteur, j’ai été balancé entre le devoir professionnel et un autre. Vous savez qu’une circulaire enjoignait aux instituteurs de rester à leur poste et d’assurer leur service sous peine de révocation. Dans ma poche j’avais un fascicule de mobilisation non moins impératif. Ce jour-là je suis venu à la préfecture pour éclairer ma lanterne. La préfecture était vide, plus personne, tout le monde était parti. Obligé de décider moi-même, j’ai obéi à mon ordre de mobilisation et je suis parti………………
Quand j’y suis revenu, déambulant sur mes béquilles, j’ai revu ce jeune député ... »
J'en arrive à cette question ... liée au précédent paragraphe :
... Ou peut-on vérifier cette remarque de Pierre VALLAUD , dans son livre ( "Comme la loi ...") :
" Prompts à voter et à draper de crêpe noir les sièges des députés morts au champ d'honneur , les parlementaires ne montrent pourtant pas l'exemple . Sur les 220 membres de la chambre en âge de porter les armes , seule une vingtaine en tout et pour tout a choisi de rester au front ... comme la loi les y autorisait ."
*** VALLAUD Pierre "14-18- La première guerre mondiale" , volume 2 , 2004 , FAYARD , Paris , page 298
Cordialement
JX
Et mille excuses pour "débarquer" deux mois après cette "révélation" de Jean Pierre mais il y a tant de riches rubriques à consulter sur ce site !
Comme Alain , j'ai bien aimé le témoignage de DELOURME qui cite :
« Le 2 septembre 1914, M l’Inspecteur, j’ai été balancé entre le devoir professionnel et un autre. Vous savez qu’une circulaire enjoignait aux instituteurs de rester à leur poste et d’assurer leur service sous peine de révocation. Dans ma poche j’avais un fascicule de mobilisation non moins impératif. Ce jour-là je suis venu à la préfecture pour éclairer ma lanterne. La préfecture était vide, plus personne, tout le monde était parti. Obligé de décider moi-même, j’ai obéi à mon ordre de mobilisation et je suis parti………………
Quand j’y suis revenu, déambulant sur mes béquilles, j’ai revu ce jeune député ... »
J'en arrive à cette question ... liée au précédent paragraphe :
... Ou peut-on vérifier cette remarque de Pierre VALLAUD , dans son livre ( "Comme la loi ...") :
" Prompts à voter et à draper de crêpe noir les sièges des députés morts au champ d'honneur , les parlementaires ne montrent pourtant pas l'exemple . Sur les 220 membres de la chambre en âge de porter les armes , seule une vingtaine en tout et pour tout a choisi de rester au front ... comme la loi les y autorisait ."
*** VALLAUD Pierre "14-18- La première guerre mondiale" , volume 2 , 2004 , FAYARD , Paris , page 298
Cordialement
JX
j.x