Forum PAGES 14-18

(La Contemporaine)


Bonjour,

Partie d'une photo prise à SAINTE MENEHOULD en mai 1915 lors d'une revue devant le Général DUCHENE Commandant le 32ème Corps d'Armée. Les deux officiers pourraient être les chefs d'escadrons LEGENDRE et CARREZ.

Bonne journée.

François

(L'illustration)


Bonjour,


Une photo prise entre avril 1917 et août 1917 lors de la bataille du chemin des dames. Le 5ème RCA est entré dans la constitution d'une brigade provisoire destinée à l'exploitation de l'attaque du 16 avril qui en fait sera un échec. Cette photo représente un groupe de cavaliers du 5ème RCA sur le retour.
En août 1917 le 1/2 régiment est remis à la disposition de la division Marocaine.
Bonne journée à tous.

François

Bonjour,

Une photo du 5ème RCA à METZ le 19 novembre 1918. Il pourrait s'agir du capitaine MAUBERT à la tête du 2ème escadron.

Bonne journée à tous.


François

(METZ)

Bonjour,

Une autre photo du 1/2 régiment du 5ème RCA le 19 novembre 1918 lors de l'arrivée du Maréchal PETAIN à METZ.

Bonne journée.

François.

(Metz)


Bonjour,


Une vue rapprochée des officiers à la tête de l'escadron du 5e RCA à l'entrée de METZ le 19 novembre 1918. Le demi régiment est alors commandé par le chef d'escadron de LOUSTAL en tête, le capitaine MAUBERT le troisième. Le cavalier du milieu ne semble pas être un officier. Peut-être l'ordonnance de CE de LOUSTAL.

De LOUSTAL quittera le régiment en janvier 1919 pour le Maroc.


Bonne journée.

François

Bonjour,

Pour faire suite à la non participation du Général MANGIN à la revue de METZ le 19 novembre 1918 voici deux autres versions :

Secrets d’histoire par le REPUBLICAIN LORAIN.

Pourquoi Mangin n’a-t-il pas participé au défilé du 19 novembre 1918 à Metz ?
Quel est ce mystérieux lévrier qui a empêché le général Mangin de participer à l’entrée triomphale des troupes françaises dans Metz, le 19 novembre 1918 ?

Deux versions de l’histoire
Deux sources permettent de répondre à cette question : d’abord, le n°195 de la revue bimestrielle Avions de septembre et octobre 2013, très bien documenté. Puis un article d’un journal non encore identifié dans lequel un ancien Poilu, Maxime Pomathios, raconte sa participation au défilé des troupes ce 19 novembre 1918. Il y a une différence d’interprétation quant à l’événement qui a fait chuter le général Mangin.
Pour la revue Avions , le responsable est un aviateur, Marcel Dhôme, qui devait accompagner la revue avec son avion. Il se présente à Mangin qui lui fait un accueil glacial car il n’apprécie pas cette nouvelle arme qui est en train de naître (« Jamais je ne saluerai un Obus »). Le pilote se vexe de ce ton hautain et décide de donner une leçon au général. La veille, au cours d’une répétition, il survole Mangin de très près avec son Spad VII, de sorte que le cheval du général s’affole et désarçonne son cavalier qui se retrouve commotionné sous les rires de l’assistance. Le pilote écope de 30 jours d’arrêt, et a en plus crashé son appareil encastré dans une haie de peupliers qu’il n’a pas vu venir, tout à sa joie d’avoir donné une leçon à ce général méprisant. Ce pilote rebelle s’éteint le 6 juin 1966. Il a été promu en 1947 au grade de commandeur de la Légion d’honneur en tant que colonel pour services rendus pendant la dernière guerre.
L’article de journal ne parle pas de l’aviateur Marcel Dhôme, mais d’un lévrier comme mascotte du peloton chargé d’escorter le général Mangin. La brave bête avait cependant le défaut d’aboyer dès qu’un cheval partait au trot. C’est ainsi que le lévrier se serait mis à aboyer à côté du cheval de Mangin. Ce dernier étant meilleur fantassin que cavalier c’est ainsi que se rejoignent les deux versions.
Moralité, il est parfois bien difficile de démêler la trame d’un fait de la « petite histoire ».

Bonne journée à tous!

François

(Les Nouvelles d'Alsace - centenaire libération de METZ)


Bonjour,


Voici une vu du 5ème RCA pour les 1er et 2ème escadrons -lors de l'entrée des troupes française à METZ le 19 novembre 1918.
Extrait du JMO du 19 novembre 1918 :" Fin de revue à 16 heures. Le groupe, son service terminé, retourne à son cantonnement d'AUGNY où il arrive à 17h30."

Bonne journée à tous.

François

Bonjour

L'épisode concernant la chute de cheval du général Mangin est décrite dans la biographie de Marcel DHOME, ce qui peut relier les deux annecdotes: l'accident provoque par un avion ET le lévrier c'est que DHOME pilotait dans la SPA 81 or l'insigne de celle ci etait un "lévrier blanc courant de profil" insigne encore en vigueur, autrement dit un "lévrier" est bien à l'origine de l'accident....

La coincidence entre les deux versions est trop étonnante pour être due au hasard. l'avion étant branché dans les arbres à proximite et l'insigne visible il serait fort possible qu'ironiquement il ait été dit par des temoins qu'un levrier avait fait chuter le general...

Cordialement

Pierre

Bonjour Pierre,

Merci pour cette précision concernant la chute du Général MANGIN.

Je viens de trouver une précision concernant cette chute mentionnée dans le carnet de guerre de Prosper FREMINET du 155e RI présent lors de la prise d'armes. Il précise "que deux avions sont passés au dessus de la revue dont l'un a fait peur au cheval du Général MANGIN le faisant chuté".
On trouve d'autres témoignages concernant cet accident mais aucun ne précise l'origine.


Bonne journée à tous.

François

(Le républicain lorrain)

Re-bonjour,

Une autre vue du demi-regiment du 5e RCA lors de l'entrée des troupes françaises à METZ le 19 novembre 1918.
Le lendemain le 5e RCA partait pour MORHANGE.

Bonne journée à tous.

François