Re: Les Cuirassiers dans la Grande Guerre.
Publié : jeu. avr. 21, 2016 8:22 am
Bonjour à toutes et à tous
Merci Geneviève de votre intérêt.
J'ignore le parcours de ce compagnon .Maman m'a toujours dit que la taille du conscrit était le critère pour rentrer dans les cuirassiers .C'est ce que son père précisait et qu'heureusement il était familier des chevaux par son métier de paysan.
Je sais que mon grand père n'avait jamais pratiqué l'équitation , c'était réservé à une élite .Et son futur beau frère dans les dragons sûrement de même.
Il n'y a pas très longtemps que ce sport s'est démocratisé . Mais il avait sûrement du monter sur un cheval et savait le panser mais on ne peut appeler cela une vraie pratique du cheval.
J'ai essayé de décrypter cette phrase de mon grand père à propos de ce compagnon , était ce parce que ce garçon n'était pas très doué pour monter ,avait -il peur des chevaux? subissait-il de ce fait les foudres de ses supérieurs ? un peu tout cela je pense...
Je sais aussi que l'apprentissage était dur et qu'une pharmacie près de la caserne fournissait en onguents pour une certaine partie du corps irritée par des heures à cheval...Il se trouve que j'ai passé mon enfance pas loin de la caserne dans laquelle mon grand père avait fait son service ,et ma mère racontait l'anecdote quand on allait dans cette pharmacie qui était toujours au même endroit.Certains se cousaient des éponges dans le pantalon , ce qui tend à prouver que les soldats n'étaient pas des cavaliers avant leur entrée dans cette arme.
Sans doute les spécialistes en Histoire trouveront que ce que je rapporte ici sont des petits détails bénins mais pour eux des souvenirs 'cuisants'
Il est évident que les officiers eux ,étaient des cavaliers émérites ,et pas des pédagogues au sens ou on l'entend actuellement , mon grand père les appréciait peu vu que lui même n'avait pas un caractère facile non plus .
Après c'était l'époque : on trouvait des 'castes' dans d'autre domaines de la société du fait de l'origine sociale.
Dans le contexte de la guerre , je ne sais, je pense plutôt à l'inverse puisque mon grand père a été reclassé en 1914 dans l'artillerie .Mais ce n'est que mon histoire familiale.
Cordialement.
Merci Geneviève de votre intérêt.
J'ignore le parcours de ce compagnon .Maman m'a toujours dit que la taille du conscrit était le critère pour rentrer dans les cuirassiers .C'est ce que son père précisait et qu'heureusement il était familier des chevaux par son métier de paysan.
Je sais que mon grand père n'avait jamais pratiqué l'équitation , c'était réservé à une élite .Et son futur beau frère dans les dragons sûrement de même.
Il n'y a pas très longtemps que ce sport s'est démocratisé . Mais il avait sûrement du monter sur un cheval et savait le panser mais on ne peut appeler cela une vraie pratique du cheval.
J'ai essayé de décrypter cette phrase de mon grand père à propos de ce compagnon , était ce parce que ce garçon n'était pas très doué pour monter ,avait -il peur des chevaux? subissait-il de ce fait les foudres de ses supérieurs ? un peu tout cela je pense...
Je sais aussi que l'apprentissage était dur et qu'une pharmacie près de la caserne fournissait en onguents pour une certaine partie du corps irritée par des heures à cheval...Il se trouve que j'ai passé mon enfance pas loin de la caserne dans laquelle mon grand père avait fait son service ,et ma mère racontait l'anecdote quand on allait dans cette pharmacie qui était toujours au même endroit.Certains se cousaient des éponges dans le pantalon , ce qui tend à prouver que les soldats n'étaient pas des cavaliers avant leur entrée dans cette arme.
Sans doute les spécialistes en Histoire trouveront que ce que je rapporte ici sont des petits détails bénins mais pour eux des souvenirs 'cuisants'
Il est évident que les officiers eux ,étaient des cavaliers émérites ,et pas des pédagogues au sens ou on l'entend actuellement , mon grand père les appréciait peu vu que lui même n'avait pas un caractère facile non plus .
Après c'était l'époque : on trouvait des 'castes' dans d'autre domaines de la société du fait de l'origine sociale.
Dans le contexte de la guerre , je ne sais, je pense plutôt à l'inverse puisque mon grand père a été reclassé en 1914 dans l'artillerie .Mais ce n'est que mon histoire familiale.
Cordialement.