Livre d'or des évadés de guerre

[Bruno BARRIER]

Bonjour Jean-Claude,

Pas de BOUVARD Alfred désolé.
J’y repense ce livre mentionne les ayants droits à la médaille des évadés, soit ils en ont effectué la demande soit ils ont été reconnus comme récipiendaires potentiels. Ce qui pourrait expliquer les manques. Il y a tout de même 217 pages de noms recensés.

Cordialement,

Bruno

[Stephan @gosto]

Bonjour Bruno,

Un certain Gondelier Albert figurerait-il sur ce livre d'or ?

Et un autre, moins certain car deux tentatives d'évasion mais repris à chaque fois : Chouquet Alfred ?

Merci par avance et bonne fin de journée.

Stéphan

[Bruno BARRIER]

Bonjour Stéphan,

Décidément, pas trouvé de Gondelier Albert ni de Chouquet Alfred.

Amicalement,

Bruno

[baude1967]

bonjour
auriez vous burello pierre marius
merci
cordialement
pascal

[Jean-Claude Poncet]

Bonsoir Bruno,
Bonsoir tout l'monde,
Encore un essai car effectivement il a fallu que ces hommes survivent pour effectuer une demande d'inscription ou bien qu'ils fassent la démarche.
*De toutes façons cela enrichit toujours la connaissance en général mais mes préférences vont aux méthodes de capture des "Boches" évadés par nos paysans lorsque ceux-ci tentent de gagner la Suisse.
Cordialement
JC

Le Petit Savoyard du 18 mai 1918.
Les prisonniers. — Un Savoyard s’est évadé
Après trois tentatives infructueuses, un brave soldat tarin trouve le moyen de s’évader d’Allemagne
Avec joie les habitants de la commune de Saint-Bon ont fêté le retour du vaillant caporal Blanc Félix-Eugène qui, fait prisonnier le 7 janvier 1915 en Alsace a réussi à s’évader après trois tentatives infructueuses.
Nous avons eu au Petit Savoyard la visite de ce courageux soldat et nous voudrions raconter à nos lecteurs l’intéressant récit qu’il nous a fait de ses diverses tentatives d’évasion et des souffrances endurées par nos malheureux compatriotes prisonniers.
Mal nourri, obligé de faire les travaux les plus malsains et les plus pénibles, souvent pour la moindre incartade mis au régime du pain et de l’eau, les mauvais traitements n’arriveront pas à éteindre la mâle énergie de Blanc qui ayant juré de s’évader pour revoir, dans le plus bref délai, sa charmante femme et les deux bébés qu’il a laissés en partant mit a satisfaire son projet une ténacité bien savoyarde.
Aussi, à trois reprises différentes il tenta de s’enfuir et chaque fois il était pris à quelques kilomètres de la frontière, mis ensuite à un régime plus dur pour punir ses velléités de liberté… cependant le 6 mars 1918, il fut plus heureux et en compagnie d’un sous-officier anglais, il réussit à parcourir, dans les conditions les plus extraordinaires, 250 kilomètres pour gagner la frontière hollandaise.
— Quelle est la vie des boches ? lui demandons-nous.
— De plus en plus difficile, nous dit-il, on sent véritablement que les souffrances des habitants de ce pays sont tous les jours plus grandes.
— Receviez-vous les colis qui vous étaient adressés ?
— Très rarement les colis individuels, mais très régulièrement les colis adressés par le Comité des prisonniers de guerre de l’arrondissement de Moûtiers. Aussi je ne saurai trop lui manifester ma reconnaissance car grâce à l'excellente organisation mes souffrances ont été atténuées.
Nous transmettons au Comité des prisonniers de guerre les remerciements du caporal Blanc et à notre tour nous le complimentons pour son retour parmi nous.

[histoire03]

Bonjour Bruno,
Avez vous dans ce livre des renseignements sur le caporal BOUGUIN Gabriel. Il s'est évadé plusieurs fois mais je ne sais pas si il a eu la médaille des évadés.
En vous en remerciant
Philipe

[Bruno BARRIER]

Bonjour à tous,

Pascal, je ne trouve pas le nom de Burello pierre marius.

Jean-Claude, le caporal Blanc Félix-Eugène ne figure pas non plus dans la liste.

Philipe, gagné !

Bouguin Gabriel (Néris-les-Bains), Allier
Prisonnier le 16.4.1917 à Bernériourt
Interné à Roquigny, Reisenscheid, Senne
3 tentatives d’évasion

Cordialement,

Bruno

[histoire03]

Merci beaucoup Bruno pour ces informations. Je connaissait le nombre d'évasions dont la dernière du camp de Senne mais pas le noms des 2 premiers camps. Pour information, il fut repris à sa 3ème tentative à la frontière hollandaise et fut interné dans une forteresse allemande. Il ne sera rapatrié à Néris les Bains que le 5 décembre 1918. Son fils m'a indiqué qu'il avait été très atteint psychiquement par l'isolement de sa dernière détention.
Encore merci Bruno de nous faire partager votre document.

[los]

Bonjour Bruno

Avez vous dans votre livre d'or Louis Cano ?
En vous remerciant d'avance

Amicalement
Sophie

[Pascal Petit]

Bonsoir Bruno,

Quelque chose dans votre livre d'or sur Maurice Vernet - Isolé avec quelques camarades, puis évadé par les Pays-Bas et ensuite l'Angleterre des suites de la bataille de Luchy en 1914 - 11e RI à cette époque avant de passer au 417e RI à son retour en 1915 jusqu'à sa disparition en 1916 pendant la bataille de la Somme?

Merci

Cordialement

Pascal