Bonsoir à tous,
□ Liste des officiers mariniers, quartiers-maîtres et matelots du sous-marin Turquoise détenus au camp de Bilémédik-Pouzanti (Turquie d’Asie) à la date du 9 février 1916.
V. ici —˃ viewtopic.php?p=539077#p539077
Prisonniers français capturés par les Turcs
Prisonniers français capturés par les Turcs.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: Prisonniers français capturés par les Turcs
Bonjour
Mise à jour de la liste des informations jusqu'à aujourd'hui
viewtopic.php?f=3&t=73806&p=538935#p538935
Merci tous et toutes
Salutations
Michel
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Prisonniers français capturés par les Turcs.
Bonsoir à tous,
— DI MAURO François, né le 21 décembre 1891 à Vietri sul Mare (Campanie, Italie). Matelot de 2e classe torpilleur, sous-marin Saphir, matricule n° 99.093 – 5. Inscrit définitif le 1er avril 1912 au quartier de Marseille, n° 6.965 ; radié le 22 janvier 1929 ; réinscrit le 7 août 1933, n° 6.965. Classe 1911, n° 3.326 au recrutement de Marseille. Était domicilié à Marseille, au 45, quai Rive-Neuve.
• Fils de Gaëtan DI MAURO, né le 9 février 1861 à Vietri sul Mare, pêcheur, et de Françoise SCARANO, son épouse.
Promu à la 1re classe de son grade à compter du 1er janvier 1916.
□ Croix de guerre avec palme, ayant été cité à l’ordre de l’armée navale (J.O. 10 juill. 1915, p. 4.681 et 4.682).
____________________________________________________________________________________________
□ Liste des officiers mariniers, quartiers-maîtres et matelots du sous-marin Saphir ayant été internés en Asie-Mineure à partir du 15 janvier 1915.
V. ici —˃ viewtopic.php?p=517887#p517887
• Fils de Gaëtan DI MAURO, né le 9 février 1861 à Vietri sul Mare, pêcheur, et de Françoise SCARANO, son épouse.
Promu à la 1re classe de son grade à compter du 1er janvier 1916.
□ Croix de guerre avec palme, ayant été cité à l’ordre de l’armée navale (J.O. 10 juill. 1915, p. 4.681 et 4.682).
____________________________________________________________________________________________
□ Liste des officiers mariniers, quartiers-maîtres et matelots du sous-marin Saphir ayant été internés en Asie-Mineure à partir du 15 janvier 1915.
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Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Prisonniers français capturés par les Turcs.
Bonjour à tous,
Marins de l’Aviation maritime
— BARTHÉLEMY de SAIZIEU Louis Marie Jules, né le 2 janvier 1882 à Montpellier (Hérault) et décédé le 22 juin 1951 à Paris (XVIe Arr.). Lieutenant de vaisseau, du port de Cherbourg, breveté pilote aviateur ; Escadrille de Port-Saïd. Admis à l’École navale en 1900, ayant été classé 67e sur une liste de 101 élèves (Déc. min. 14 sept. 1900 : J.O. 15 sept. 1900, p. 6.184).
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 10 avril 1915 (J.O. 11 avr. 1915, p. 2.086), inscrit au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade de chevalier dans les termes suivants :
« M. Barthélemy de Saizieu (L.-M.-J.), lieutenant de vaisseau, affecté à l’escadrille d’avions de Port-Saïd : pilote d’un courage et d’une ténacité remarquables. A effectué de nombreuses et périlleuses recon-naissances. »
□ Cité à l’ordre de l’armée navale dans les termes suivants (J.O. 4 févr. 1916, p. 1.008) :
« Barthélemy de Saizieu (L.-M.-J.), lieutenant de vaisseau : excellent pilote d'aéroplanes, a effectué de nombreux vols en pays ennemi et dans des conditions périlleuses. Parti en reconnaissance pour Ber-Saba (presqu’île du Sinaï), le 22 décembre, n’a pas rallié le centre ; porté disparu. »
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du ... juillet 1920 (J.O. 11 juill. 1920, p. 9.780 et 9.781), inscrit au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade d’officier dans les termes suivants :
« Barthélemy de Saizieu (Louis-Marie-Jules), lieutenant de vaisseau : très beaux services de guerre à l’aviation de Port-Saïd. Prisonnier de guerre en 1915. Aussitôt rentré de captivité, a repris son service dans l’aviation et accompli un nouveau et brillant fait d’armes qui lui a valu une proposition extra-ordinaire. Une citation. Une proposition extraordinaire. »
— TROUILLET Georges Marius Étienne, né le 28 décembre 1890 à Rodez (Aveyron) et décédé le 12 juin 1948 à Constantine (Algérie). Second maître mécanicien pilote aviateur, matricule n° 48.540 – 5 ; classe 1910, n° 909 au recrutement de Rodez. Breveté pilote par l’Aéro-club de France le 10 juillet 1914 à Villa-coublay, n° 1.649. Escadrille de Port-Saïd.
Fait prisonnier aux Dardanelles le 17 octobre 1915 ; rapatrié le 8 décembre 1918.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 20 mai 1915 (J.O. 21 mai 1915, p. 3.225), promu d’office au grade de second maître mécanicien pour le motif suivant : « Depuis le mois de Décembre 1914, n’a cessé d’effectuer avec succès des reconnaissances difficiles ; a montré le plus grand entrain et a eu très souvent son appareil atteint par les projectiles. »
□ Cité une première fois à l’ordre de l’armée navale dans les termes suivants (J.O. 27 août 1915, p. 6.028) :
« Trouillet (Georges-Marius-Étienne), 2e maître mécanicien, 48.540-5 : a effectué sous un feu violent d’artillerie en hydroplane, à faible hauteur, des reconnaissances périlleuses aux Dardanelles, conservant en toutes circonstances un grand esprit de décision et un parfait sang-froid. »
□ Cité une seconde fois à l’ordre de l’armée navale dans les termes suivants (J.O. 25 nov. 1915, p. 8.579) :
« Trouillet (Georges-Marius-Étienne), second maître mécanicien, 48.540-5 : pilote de tout premier ordre, plein d’entrain et de courage (déjà cité à l’ordre du jour de l’armée). »
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 10 avril 1915 (J.O. 11 avr. 1915, p. 2.086), inscrit au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade de chevalier dans les termes suivants :
« M. Barthélemy de Saizieu (L.-M.-J.), lieutenant de vaisseau, affecté à l’escadrille d’avions de Port-Saïd : pilote d’un courage et d’une ténacité remarquables. A effectué de nombreuses et périlleuses recon-naissances. »
□ Cité à l’ordre de l’armée navale dans les termes suivants (J.O. 4 févr. 1916, p. 1.008) :
« Barthélemy de Saizieu (L.-M.-J.), lieutenant de vaisseau : excellent pilote d'aéroplanes, a effectué de nombreux vols en pays ennemi et dans des conditions périlleuses. Parti en reconnaissance pour Ber-Saba (presqu’île du Sinaï), le 22 décembre, n’a pas rallié le centre ; porté disparu. »
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du ... juillet 1920 (J.O. 11 juill. 1920, p. 9.780 et 9.781), inscrit au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade d’officier dans les termes suivants :
« Barthélemy de Saizieu (Louis-Marie-Jules), lieutenant de vaisseau : très beaux services de guerre à l’aviation de Port-Saïd. Prisonnier de guerre en 1915. Aussitôt rentré de captivité, a repris son service dans l’aviation et accompli un nouveau et brillant fait d’armes qui lui a valu une proposition extra-ordinaire. Une citation. Une proposition extraordinaire. »
— TROUILLET Georges Marius Étienne, né le 28 décembre 1890 à Rodez (Aveyron) et décédé le 12 juin 1948 à Constantine (Algérie). Second maître mécanicien pilote aviateur, matricule n° 48.540 – 5 ; classe 1910, n° 909 au recrutement de Rodez. Breveté pilote par l’Aéro-club de France le 10 juillet 1914 à Villa-coublay, n° 1.649. Escadrille de Port-Saïd.
Fait prisonnier aux Dardanelles le 17 octobre 1915 ; rapatrié le 8 décembre 1918.
□ Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 20 mai 1915 (J.O. 21 mai 1915, p. 3.225), promu d’office au grade de second maître mécanicien pour le motif suivant : « Depuis le mois de Décembre 1914, n’a cessé d’effectuer avec succès des reconnaissances difficiles ; a montré le plus grand entrain et a eu très souvent son appareil atteint par les projectiles. »
□ Cité une première fois à l’ordre de l’armée navale dans les termes suivants (J.O. 27 août 1915, p. 6.028) :
« Trouillet (Georges-Marius-Étienne), 2e maître mécanicien, 48.540-5 : a effectué sous un feu violent d’artillerie en hydroplane, à faible hauteur, des reconnaissances périlleuses aux Dardanelles, conservant en toutes circonstances un grand esprit de décision et un parfait sang-froid. »
□ Cité une seconde fois à l’ordre de l’armée navale dans les termes suivants (J.O. 25 nov. 1915, p. 8.579) :
« Trouillet (Georges-Marius-Étienne), second maître mécanicien, 48.540-5 : pilote de tout premier ordre, plein d’entrain et de courage (déjà cité à l’ordre du jour de l’armée). »
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
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Keith_historique
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Re: Prisonniers français capturés par les Turcs
Bravo Michel,
Je voyais des références à Barthélemy de Saizieu, mais je voyais plus d'infos sur TROUILLET. Maintenant, il a sa biographie.
Avant 1914, il n'était pas une route de formation aérien, ni dans le Royal Naval Air Service, ni dans le Royal Flying Corps. Par contre, il y avait une initiative par lequel un officier subalterne pourrait faire l'examen pour un permis de vol admisteré par le Royal Aero Club. Le frais d'examen est remboursé, à condition d'avoir réussi, et l'officier est donc breveté. Il y avait aucun remboursement aux dépenses sur les leçons.
Avant la guerre, un des fournisseurs de leçons aéronautiques est le playboy américain John Armstrong DREXEL. En mai 1910 il a crée le New Forest Flying School, dans la comté de Hampshire, ayant proximité aux villes navales de Portsmouth et Portland, et les villes garnisons de Winchester et Aldershot. Il était le 9ème membre du Aero Club of America.
Au début de guerre, il devient le chauffeur d'automobile à General John FRENCH. Ensuite, il a participé dans l'escadrille Lafayette, avant de transferer aux forces aériennes américaines ayant la grade de commandant.
Il est intéressant à voir que TROUILLET était Breveté pilote par l’Aéro-club de France le 10 juillet 1914, qui m'a fait penser des premiers pilotes brittaniques, et la connection Anglo-Franco-Américain de DREXEL.
Cordialement
Keith
Je voyais des références à Barthélemy de Saizieu, mais je voyais plus d'infos sur TROUILLET. Maintenant, il a sa biographie.
Avant 1914, il n'était pas une route de formation aérien, ni dans le Royal Naval Air Service, ni dans le Royal Flying Corps. Par contre, il y avait une initiative par lequel un officier subalterne pourrait faire l'examen pour un permis de vol admisteré par le Royal Aero Club. Le frais d'examen est remboursé, à condition d'avoir réussi, et l'officier est donc breveté. Il y avait aucun remboursement aux dépenses sur les leçons.
Avant la guerre, un des fournisseurs de leçons aéronautiques est le playboy américain John Armstrong DREXEL. En mai 1910 il a crée le New Forest Flying School, dans la comté de Hampshire, ayant proximité aux villes navales de Portsmouth et Portland, et les villes garnisons de Winchester et Aldershot. Il était le 9ème membre du Aero Club of America.
Au début de guerre, il devient le chauffeur d'automobile à General John FRENCH. Ensuite, il a participé dans l'escadrille Lafayette, avant de transferer aux forces aériennes américaines ayant la grade de commandant.
Il est intéressant à voir que TROUILLET était Breveté pilote par l’Aéro-club de France le 10 juillet 1914, qui m'a fait penser des premiers pilotes brittaniques, et la connection Anglo-Franco-Américain de DREXEL.
Cordialement
Keith
Prisonniers français capturés par les Turcs.
Bonsoir à tous,
Le 22 décembre 1915, lors de la reconnaissance en hydravion au dessus de la presqu’île Ber-Saba à la suite de laquelle il fut retenu prisonnier par les forces ottomanes, le lieutenant de vaisseau Louis Marie Jules BARTHÉLEMY de SAIZIEU avait pour observateur le lieutenant de l’Indian Army Reserve H.-M.-C. LEDGER.
Tué le même jour, cet officier de l’armée britannique fut :
□ Cité une première fois à l’ordre de l’Armée navale française dans les termes suivants (J.O. 23 janv. 1916, p. 628) :
« Ledger (H.-M.-C.), lieutenant, Indian Army Reserve, attaché comme observateur à l’escadrille d’hydra-vions français : excellent observateur d’aéroplane. A fourni des renseignements extrêmement précieux au cours de vols très nombreux effectués en pays ennemi et dans des conditions périlleuses. »
□ Conjointement avec le lieutenant de vaisseau Louis Marie Jules BARTHÉLEMY de SAIZIEU, cité une seconde fois à l’ordre de l’Armée navale française dans les termes suivants (J.O. 4 févr. 1916, p. 1.008) :
« Ledger (H.-M.-C.), lieutenant, Indian Army Reserve, attaché comme observateur à l’escadrille d’hydra-vions français. Excellent observateur d’aéroplane, a fourni des renseignements extrêmement précieux au cours de vols très nombreux effectués en pays ennemi et dans des conditions périlleuses. Parti en recon-naissance pour Ber-Saba (presqu’île du Sinaï), le 22 décembre, n’a pas rallié le centre ; porté disparu. A déjà été cité à l’ordre du jour de l’armée. »
□ Par décret du 12 avril 1919 (J.O. 17 avr. 1919, p. 4.025 ~ Erratum), nommé à titre étranger et à titre posthume au grade de chevalier dans l’Ordre de la Légion d’honneur dans les termes suivants (J.O. 6 mars 1919, p. 2.446) :
« Ledger (H.-M.-C.), lieutenant de l’armée britannique (Indian Army Reserve) : officier d’une grande bravoure. Après avoir accompli sur hydravion une reconnaissance de plus de 100 kilomètres sur terre, en territoire ennemi, a été obligé d’atterrir par suite d’une panne de moteur en dedans des lignes ennemies. Entouré par une troupe de Bédouins, a refusé de se rendre et a engagé contre eux un combat désespéré au cours duquel il a trouvé une mort glorieuse après avoir abattu plusieurs ennemis. Déjà cité pour le même motif.). »
Tué le même jour, cet officier de l’armée britannique fut :
□ Cité une première fois à l’ordre de l’Armée navale française dans les termes suivants (J.O. 23 janv. 1916, p. 628) :
« Ledger (H.-M.-C.), lieutenant, Indian Army Reserve, attaché comme observateur à l’escadrille d’hydra-vions français : excellent observateur d’aéroplane. A fourni des renseignements extrêmement précieux au cours de vols très nombreux effectués en pays ennemi et dans des conditions périlleuses. »
□ Conjointement avec le lieutenant de vaisseau Louis Marie Jules BARTHÉLEMY de SAIZIEU, cité une seconde fois à l’ordre de l’Armée navale française dans les termes suivants (J.O. 4 févr. 1916, p. 1.008) :
« Ledger (H.-M.-C.), lieutenant, Indian Army Reserve, attaché comme observateur à l’escadrille d’hydra-vions français. Excellent observateur d’aéroplane, a fourni des renseignements extrêmement précieux au cours de vols très nombreux effectués en pays ennemi et dans des conditions périlleuses. Parti en recon-naissance pour Ber-Saba (presqu’île du Sinaï), le 22 décembre, n’a pas rallié le centre ; porté disparu. A déjà été cité à l’ordre du jour de l’armée. »
□ Par décret du 12 avril 1919 (J.O. 17 avr. 1919, p. 4.025 ~ Erratum), nommé à titre étranger et à titre posthume au grade de chevalier dans l’Ordre de la Légion d’honneur dans les termes suivants (J.O. 6 mars 1919, p. 2.446) :
« Ledger (H.-M.-C.), lieutenant de l’armée britannique (Indian Army Reserve) : officier d’une grande bravoure. Après avoir accompli sur hydravion une reconnaissance de plus de 100 kilomètres sur terre, en territoire ennemi, a été obligé d’atterrir par suite d’une panne de moteur en dedans des lignes ennemies. Entouré par une troupe de Bédouins, a refusé de se rendre et a engagé contre eux un combat désespéré au cours duquel il a trouvé une mort glorieuse après avoir abattu plusieurs ennemis. Déjà cité pour le même motif.). »
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
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Keith_historique
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- Inscription : dim. janv. 20, 2019 3:58 pm
Re: Prisonniers français capturés par les Turcs
Mr Horace Martin Capon LEDGER, ayant 31 ans. Né à North Aylesford, comté de Kent
https://astreetnearyou.org/person/16459 ... on--Ledger
Je vois qu'il a des liens avec Ceylon, autrement dit Sri Lanka de nos jours.
Cordialement
Keith
https://astreetnearyou.org/person/16459 ... on--Ledger
Je vois qu'il a des liens avec Ceylon, autrement dit Sri Lanka de nos jours.
Cordialement
Keith
Prisonniers français capturés par les Turcs.
Bonsoir à tous,
• The London Gazette, Tuesday, the 21st of December, 1915,
Fourth supplement, p. 12.794 & 12.795.
Fourth supplement, p. 12.794 & 12.795.
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Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.