Cyrille Desgardins - 3ème RIT - Fait prisonnier à Maubeuge - Prisonnier de 1914 à 1918

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Les Gadas de Guivry
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Re: Cyrille Desgardins - 3ème RIT - Fait prisonnier à Maubeuge - Prisonnier de 1914 à 1918

Message par Les Gadas de Guivry »

stcypre a écrit : lun. févr. 12, 2018 1:18 pm Bonjour,
Les prisonniers de 14-18 ont connu en moyenne de 2 à 5 camps différents sans compter les nombreux Kommando ou chantiers de travail.
En l'état votre aïeul a connu un camp de passage ou de triage où en moyenne il est resté environ 1 mois.
Puis d'après les fiches du CICR (à prendre avec prudence), il est arrivé au camp de Zossen, puis a celui de Chemnitz. En fin il semble avoir été envoyé travailler dans un Kommando agricole d'Hilbersdorf...
Si jamais des infos sur ces deux camps vous intéressent...
J. Claude
Bonjour Jean-Claude,
merci pour ces précisions.
Je suis preneur de toutes infos me permettant d'en savoir un peu plus sur Cyrille.
LGDG
Si vous trouvez lors de vos recherches des renseignements sur les villages de l'Aisne "Guivry" et "Les Hezettes", merci de nous contacter.
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Re: Cyrille Desgardins - 3ème RIT - Fait prisonnier à Maubeuge - Prisonnier de 1914 à 1918

Message par CD9362 »

Les Gadas de Guivry a écrit : lun. févr. 12, 2018 1:19 pm Cyrille Desgardins/suite...
Enfin, étant de la 8ème compagnie du 3ème régiment d'infanterie territoriale, il ne me reste plus qu'à trouver dans lequel des 3 bataillons il se trouvait. Cela simplifierait la tache de savoir comment se sont déroulés les événements de août 1914 à sa capture le 07 septembre 1914 lors de la défense de Maubeuge. L'historique régimentaire et ce que j'ai pu trouver concernant le 3ème RIT, donnent des détails mais concernant uniquement les bataillons. Si l'un de vous est "calé" sur la prise de Maubeuge par les allemands ou le 3ème RIT, son aide sera appréciée.
8 eme compagnie c'est dans le 2è bataillon me semble t-il.
je pense que vous avez déjà lu cela :
http://www.chtimiste.com/batailles1418/maubeuge.htm
bonne réussite dans vos recherches !
AD-Line
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Les Gadas de Guivry
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Re: Cyrille Desgardins - 3ème RIT - Fait prisonnier à Maubeuge - Prisonnier de 1914 à 1918

Message par Les Gadas de Guivry »

CD9362 a écrit : lun. févr. 12, 2018 2:13 pm
Les Gadas de Guivry a écrit : lun. févr. 12, 2018 1:19 pm Cyrille Desgardins/suite...
Enfin, étant de la 8ème compagnie du 3ème régiment d'infanterie territoriale, il ne me reste plus qu'à trouver dans lequel des 3 bataillons il se trouvait. Cela simplifierait la tache de savoir comment se sont déroulés les événements de août 1914 à sa capture le 07 septembre 1914 lors de la défense de Maubeuge. L'historique régimentaire et ce que j'ai pu trouver concernant le 3ème RIT, donnent des détails mais concernant uniquement les bataillons. Si l'un de vous est "calé" sur la prise de Maubeuge par les allemands ou le 3ème RIT, son aide sera appréciée.
8 eme compagnie c'est dans le 2è bataillon me semble t-il.
je pense que vous avez déjà lu cela :
http://www.chtimiste.com/batailles1418/maubeuge.htm
bonne réussite dans vos recherches !
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Merci pour l'information concernant la 8ème compagnie.

Ci-dessous, l'Historique du 3ème Régiment Territorial d’Infanterie

Le 3ème Régiment Territorial d'Infanterie a été mobilisé le 3 août 1914 sous les ordres de M. le Commandant Marcel Laurenge, commandant provisoirement le régiment: le 1er Bataillon à Le Quesnoy, 2ème et 3ème Bataillons à Cambrai.
Les opérations s'effectuèrent dans les meilleures conditions d'ordre et de discipline. Le soir du 4 août 1914, les Compagnies avaient leur effectif complet et les deux Bataillons de Cambrai purent, être embarqués pour la Place forte de Maubeuge à la défense de laquelle le Régiment devait contribuer.
Le 5 août 1914, dès l'aube, le 1er Bataillon se dirigeait de Le Quesnoy sur Maubeuge. Le Régiment était donc rassemblé dès ce même jour et prenait possession des cantonnements qui lui étaient assignés: Etat-major et S. H. R. à Sous-le-Bois, le 1er Bataillon à l'avancée d'Hautmont (Bois du Quesnoy), le 3ème Bataillon au fort d’Hautmont et sur la route d'Avesnes, le 2ème Bataillon à Neuf-Mesnil. L'ensemble des troupes du 3ème Territorial, complétées par un Bataillon du 5ème Territorial, une Compagnie du Génie, quelques troupes d'Artillerie, constituait ainsi le 1er Secteur de la défense de Maubeuge et le Secteur avancé de ce point de la défense.

Le 3ème R. I. T. fut affecté au 1er Secteur comprenant : le Centre de résistance avancé, les Centres de résistance du fort Grévaux et du fort d'Hautmont.

1° Centre de résistance avancé:
Ce centre était divisé en deux parties par la Sambre et constitué : 1) Au Nord : par la mise en état de défense du bois d'Hautmont, la droite vers la partie Ouest de Neuf-Mesnil, la gauche sur les pentes de la Sambre, avec un réduit en arrière à la Butte de la Société de tir. 2) Au Sud : par des retranchements de la Sambre à la corne Ouest du bois du Quesnoy, la lisière Sud du bois du Quesnoy, la ferme de Wargnories mise en état de défense, puis des retranchements à l'Est.
Deux emplacements pour mitrailleuses étaient préparés à l'Ouest de la ferme de Wargnories pour battre : 1) Le ravin du ruisseau du même nom ; 2) Les pentes des deux routes qui se croisent au Sud de cette ferme. De fortes barricades avaient été aussi établies dans le village de Saint-Rémi-Mal-Bâti.

2° Centre de résistance du fort de Grévaux :
Il comprenait l'ouvrage intermédiaire de Feignies au Nord de la route de Valenciennes à Maubeuge. Un ouvrage de compagnie, construit à la mobilisation sur la ligne du chemin de fer de Valenciennes à Maubeuge, le fort de Grévaux antérieur à 1885 et l'organisation défensive de la partie S. et S.-O. du village de Neuf-Mesnil.

3° Centre de résistance du fort d'Hautmont : Constitué par le fort permanent d'Hautmont, qui n'avait pas été amélioré depuis la découverte des explosifs modernes et une série d'ouvrages et de batteries construits à la mobilisation.
Il avait sa droite vers la Sambre, en liaison avec le Centre de Grévaux et sa gauche à la grande route de Maubeuge à Paris par Avesnes, appuyé au centre de résistance du Bourdiau.

Commencement du Siège

Le 24 Août 1914, les armées françaises et anglaises, se retirant à l'Est et à l'Ouest de la Place, les troupes de la garnison durent prendre leurs emplacements de combat.
Le Lieutenant-colonel commandant le 3ème R. I. T. reçoit le commandement du Contre de résistance avancé d'Hautmont. Accompagné de son capitaine-adjoint, il quitte Sous-le-Bois pour se rendre au village d'Hautmont, où il établit son P. C. à l'usine Saint-Marcel, près du pont de la Sambre.
Les troupes affectées au centre de résistance sont les trois bataillons du 3ème R. I. T., un bataillon du 5ème R. I. T., une demi-compagnie du Génie.
Au Nord, le bataillon du 5ème R. I. T. occupe le bois d'Hautmont.
Au Sud, le 1er Bataillon du 3ème R. I. T., le bois du Quesnoy, avec trois compagnies en première ligne : une de la Sambre à la route de Saint-Rémi-Mal-Bâti exclus, une autre de cette route incluse aux- abords de la ferme de Wargnories, la troisième : ferme de Wargnories et tranchées à l'Est… La 4ème Compagnie est en réserve au bois d'Hautmont. La ligne de surveillance des avant-postes passe par le Moulin des Réaux, au Sud de Saint-Rémi-Mal-Bâti, suit la crête du mouvement de terrain qu'occupe ce village, pour se diriger au Sud de la ferme Forest. Un poste d'une escouade commandé par un sous-officier, sur le chemin qui longe le chemin de fer de Paris à l'Est. Un autre poste d'une section, à Saint-Rémi-Mal-Bâti.
Le 2ème Bataillon du 3ème R. I. T. occupe le centre de résistance de Grévaux, commandé par le Commandant Barault, du Génie, avec une compagnie à l'Ouvrage intermédiaire de Feignies, une compagnie à l'Ouvrage du Chemin de fer de Valenciennes, une compagnie dans la partie mise en état de défense de Neuf Mesnil.
Le 3ème Bataillon du 3ème R. I. T. : au centre de résistance du fort d'Hautmont, commandé par le Commandant Lévy, du Génie, a une compagnie comme garnison du fort et les autres dans les retranchements, à cheval sur la route de Maubeuge, à Avesnes.

Journal du siège

Centre de résistance avancé
Le 25 Août 1914, l'investissement de la Place commence. Des patrouilles allemandes sont vues à Bavay et à La Longueville (route de Valenciennes).
Le 26 Août 1914, des mouvements de troupes ennemies sont signalés à Hargnies ; les batteries d'Hautmont tirent sur ces troupes.
Les 28 et 29 Août 1914, le bombardement de la Place commence.
Nos patrouilles sont en contact avec les patrouilles ennemies.
Le 30 Août 1914, l'ennemi occupe Limont-Fontaine et des incendies sont aperçus dans la direction de Beaufort.
Le 1er Septembre 1914, un soldat du 3ème R. I. T. est tué en sentinelle par une patrouille ennemie.
Le 2 Septembre 1914, Saint-Rémi-Mal-Bâti est bombardé ; des incendies se déclarent dans le village.
Le 3 Septembre 1914, un faible détachement attaque le poste de Saint-Rémy-Mal-Bâti ; un soldat du 3ème R. I. T. est tué.
Saint-Rémi est bombardé de nouveau. Des incendies sont signalés vers Vieux-Mesnil, Hachant, Hargnies, Limont, Beaufort, Eclaibes.
Le 4 Septembre 1914, la compagnie de réserve à Hautmont est prise par le Gouverneur de Maubeuge et envoyée à Douzies pour y occuper un Ouvrage du 5ème secteur.
Le 5 Septembre 1914, le bombardement continue sur Maubeuge, Louvroil, Sous-le-Bois, Saint-Rémi-Mal-Bâti, Vieux-Mesnil.
Dans la nuit du 5 au 6 Septembre 1914, le Lieutenant-colonel commandant le 3ème R. I. T. reçoit l'ordre d'envoyer le drapeau du Régiment, qui était resté à Sous-le-Bois, à la caserne Joyeuse à Maubeuge, pour y être brûlé. Le 6 Septembre 1914, les officiers du 3ème R. I. T. restés à Sous-le-Bois et la S. H. R. rejoignent le Lieutenant-colonel à Hautmont.
Le Général commandant le 1er Secteur se transporte au fort d'Hautmont.
Dans la journée, des officiers et une partie de l'artillerie de la Place, des détachements refoulés des secteurs d'attaque, des isolés, des habitants arrivent au village d'Hautmont, ce qui occasionne un certain désordre. Avant la nuit, l'ordre est rétabli.
Le 7 Septembre 1914, vers deux heures, le Colonel BLOCH, de l’arme du Génie, qui était arrivé la veille, fait connaître qu'il prend les fonctions de Commandant d'Armes du Cantonnement d'Hautmont.
A 10 heures 20, le Lieutenant-colonel commandant le 3ème R. I. T. reçoit l'ordre de faire sauter le pont sur la Sambre, de la ligne du chemin de fer de Paris. Cet ordre est transmis au Commandant de la demi-compagnie du Génie. Le pont saute vers midi.
Centre de Grévaux Le 2ème Bataillon, chargé de la défense du centre de Grévaux, avait établi ses avant-postes aux Mottes et fourni divers postes sur la route ; la voie ferrée et les bois des Hoyaux et de La Longueville. Il était en liaison avec les avant-postes, du 5ème R. I. T. vers Tri-Mouton et avec ceux du 4ème R. I. T. au delà de Feignies. Ce bataillon occupait, en outre les ouvrages du moment créés sur le chemin de fer de Valenciennes, l'ouvrage de Feignies et le fort de Grévaux. Dès le 24 Août, les lignes furent traversées par l'Armée anglaise, en retraite après la bataille de Mons.
La voie ferrée est mise hors de service.
Nos avant-postes escarmouchent avec des patrouilles ennemies et font quelques prisonniers appartenant au 14ème Dragons de Hanovre.
Des reconnaissances en dehors des lignes sont effectuées à partir du 26 Août 1914.
Le bombardement ennemi s'intensifie dès le 1er Septembre et occasionne de graves incendies.
Le 2 Septembre 1914, le lieutenant Berger s'empare d'une auto ennemie au poste des Mottes. Les prisonniers et les documents trouvés dans l'auto sont envoyés à la Place.
Jusqu'au 7 Septembre 1914, les troupes de ce centre n'ont cessé de faire des reconnaissances.
A cette date, les troupes du 4ème R. I. T. refoulées, pénètrent dans le secteur, suivies par l'ennemi.

Centre d'Hautmont
De même que dans les autres centres, des reconnaissances à l'extérieur sont effectuées par le 3ème Bataillon. Ces reconnaissances eurent, à plusieurs reprises, contact avec l'ennemi qui se retirait aussitôt. Elles apportèrent, grâce à la capture de quelques prisonniers des renseignements intéressants concernant l'importance du rideau placé par l'ennemi à l'Ouest et au Sud de Maubeuge.
Le 7 Septembre 1914, à 18 heures, fut reçue la Note de Service ci-après du Général Gouverneur : « Le Général est forcé, par la situation militaire, malgré la vaillance déployée par les défenseurs de Maubeuge, d'accepter les conditions imposées par l'ennemi, pour éviter une effusion de sang désormais inutile.
Le 7 Septembre 1914, à 11 heures 30, le drapeau blanc est aperçu sur un clocher de Maubeuge. La Place de Maubeuge a capitulé. Les officiers et soldats du 3ème R. I. T. sont prisonniers de guerre.
Le Régiment a vécu. Formé d'hommes d'âge mûr de cette vigoureuse race du Nord célèbre dans notre Histoire militaire , pour son attachement au sol, son courage, sa résistance et son esprit de sacrifice, il devait espérer tenir, dans la guerre pour la libération de l'Alsace et de la Lorraine, et pour la défense de nos libertés, une place digne de la réputation de notre glorieuse Armée.
Destinée à un poste obscur et sans gloire, les soldats du 3ème Territorial ont donné à la Patrie ce qu'elle leur demandait.
Nul ne saura jamais les angoisses et la douleur de ces hommes encerclés et impuissants, au moment où, pour la défense de la Patrie, tous les bras étaient nécessaires.
Nul ne saura jamais quelles heures furent celles où, dans la nuit, devant la Garde assemblée, un autodafé sacré fut fait avec nos drapeaux, autour duquel s'étaient rassemblés joyeux, quelques semaines auparavant, ces hommes qui, au premier appel de la Nation, avaient quitté leur famille et leur foyer, pour se porter au secours de la Patrie.
L'Histoire dira si ces vaillants pouvaient être mieux utilisés. Fidèles au Devoir militaire, ils n'ont pas à juger les décisions prises, mais à obéir.
S'il fallait un adoucissement à leur amertume légitime, aux cinquante mois passés dans les geôles allemandes, ils le trouveraient dans la déclaration du Maréchal Joffre au Conseil de Guerre chargé d'apprécier la Défense de Maubeuge : « La résistance inattendue des défenseurs de Maubeuge a contribué, pour une part importante, à la victoire de la Marne ».
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Re: Cyrille Desgardins - 3ème RIT - Fait prisonnier à Maubeuge - Prisonnier de 1914 à 1918

Message par Alain Dubois-Choulik »

Bonjour,
      Concernant les derniers paragraphes cités, très patriotiques - c'est un historique, si vous voulez en connaitre davantage sur Maubeuge, il y a le livre du général Clément-Grandcourt "Le drame de Maubeuge" Payot 1935, cité par ALVF dont on retrouve facilement les interventions en cherchant l'auteur.
Cordialement
Alain
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Re: Cyrille Desgardins - 3ème RIT - Fait prisonnier à Maubeuge - Prisonnier de 1914 à 1918

Message par Les Gadas de Guivry »

Alain Dubois-Choulik a écrit : lun. févr. 12, 2018 3:49 pm Bonjour,
      Concernant les derniers paragraphes cités, très patriotiques - c'est un historique, si vous voulez en connaitre davantage sur Maubeuge, il y a le livre du général Clément-Grandcourt "Le drame de Maubeuge" Payot 1935, cité par ALVF dont on retrouve facilement les interventions en cherchant l'auteur.
Cordialement
Alain
Bonjour Alain,
Effectivement il s'agit d'un historique donc, à lire "entre les lignes". Ce que je recherchais dans ces paragraphes, c'est surtout les positions des différentes compagnies du 3ème RIT, me permettant de savoir où pouvait bien se trouver mon AGP pendant ce siège.
Pas de journal de marche, peu de renseignements précis. Je sais maintenant qu'il était de la 8ème compagnie et n'ai "plus qu'à" trouver de quel bataillon du 3ème RIT.
Je vais aller jeter un oeil gourmand sur "le drame de Maubeuge" que vous citez.
Merci pour ces infos, toutes sont bonnes à prendre pour avancer.
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Re: Cyrille Desgardins - 3ème RIT - Fait prisonnier à Maubeuge - Prisonnier de 1914 à 1918

Message par Les Gadas de Guivry »

Bonjour à tous,
Me rendant compte que j'étais limité dans l'affichage des photos, voici un lien vers notre Blog où vous trouverez plus de documents concernant Cyrille Desgardins.
Grace à votre aide, nous avons beaucoup progressé sur le parcours de Cyrille pendant la grande guerre.
Les recherches continuent.
Encore merci !
LGDG
https://guivry.blogspot.fr/2018/02/cyri ... iment.html
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