SCARABEE - Patrouilleur ex-baleinier norvégien
Publié : jeu. mai 30, 2019 10:54 am
Bonjour,
Scarabée ex Carmen, construit en 1912 par Akers Mekaniske Vaerksted Aktieelsk à Christania, Norvège.
N° de chantier 299, baleinier.
106 tjb, 15 tjn, 28,06 x 5,51 x 2,87 m. Une machine à triple expansion, 360 cv, 10,5 noeuds
1912 Carmen
1916/09/03, acheté par la Marine française, devient Scarabée, service à Corfou.
1919/06/14, mis en vente à Toulon
1919/07/27, Pilote Nivière, Pilotes de Marseille
1930, indicatif OQTK, immatriculé à Marseille, armateur Pilotes et lamaneurs de Marseille.
1937 vendu à Adrien Hassoun
1939, toujours inscrit au Lloyd's.
N.B. En 1928, le pilote Gaudin se querelle à bord du Pilote Nivière, avec un autre pilote. Il est suspendu quatre jours. Il demande l'annulation de cette décision que le Conseil d'Etat rejette le 24 juillet 1931.
Le 1er février 1925, Le Pilote Nivière et deux remorqueurs se portent, en rade de l'Estaque au secours du paquebot Cordillière venant de Beyrouth qui a le feu dans la cale n°1. L'incendie est rapidement circonscrit.
Source : Registre n° 274, Bureau Veritas 1930.
Jacques Vichot, Répertoire des navires de guerre français, AAMM, 1967.
Jean Labayle-Couhat, French warships of world war I, Ian Allan, 1974.
Jean-Michel Roche, Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, volume II, 1870-2006, Rezotel-Maury 2005.
Le droit maritime français, T9 du 01/09/31, page 396.
Cordialement.
Scarabée ex Carmen, construit en 1912 par Akers Mekaniske Vaerksted Aktieelsk à Christania, Norvège.
N° de chantier 299, baleinier.
106 tjb, 15 tjn, 28,06 x 5,51 x 2,87 m. Une machine à triple expansion, 360 cv, 10,5 noeuds
1912 Carmen
1916/09/03, acheté par la Marine française, devient Scarabée, service à Corfou.
1919/06/14, mis en vente à Toulon
1919/07/27, Pilote Nivière, Pilotes de Marseille
1930, indicatif OQTK, immatriculé à Marseille, armateur Pilotes et lamaneurs de Marseille.
1937 vendu à Adrien Hassoun
1939, toujours inscrit au Lloyd's.
N.B. En 1928, le pilote Gaudin se querelle à bord du Pilote Nivière, avec un autre pilote. Il est suspendu quatre jours. Il demande l'annulation de cette décision que le Conseil d'Etat rejette le 24 juillet 1931.
Le 1er février 1925, Le Pilote Nivière et deux remorqueurs se portent, en rade de l'Estaque au secours du paquebot Cordillière venant de Beyrouth qui a le feu dans la cale n°1. L'incendie est rapidement circonscrit.
Source : Registre n° 274, Bureau Veritas 1930.
Jacques Vichot, Répertoire des navires de guerre français, AAMM, 1967.
Jean Labayle-Couhat, French warships of world war I, Ian Allan, 1974.
Jean-Michel Roche, Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, volume II, 1870-2006, Rezotel-Maury 2005.
Le droit maritime français, T9 du 01/09/31, page 396.
Cordialement.