Ripault — ou Le-Ripault —, ex-Porteno — Transport — État français (1916~1922). 844 t jb et 479 t jn.
Le transport de l’État Ripault — ou Le-Ripault — fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre :
— du 15 mars 1916 au 15 juin 1919 ;
— du 18 juillet au 24 octobre 1919, date de cessation des hostilités.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 762.].
Par décision du Ministre de la Marine en date du 12 novembre 1922 (B.O. Marine 1922, n° 33, p. 665), il fut radié de la Liste des bâtiments de la flotte avec le transport de l’État Saint-Nicolas. Il fut ensuite mis en vente le 4 mai 1923 par le Bureau des Domaines de Cherbourg selon la procédure d’adjudication publique sur soumissions cachetées (J.O. 8 avr. 1923, p. 3.566).
Le transport de l’État Ripault — ou Le-Ripault — fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre :
— du 15 mars 1916 au 15 juin 1919 ;
— du 18 juillet au 24 octobre 1919, date de cessation des hostilités.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 762.].
Par décision du Ministre de la Marine en date du 12 novembre 1922 (B.O. Marine 1922, n° 33, p. 665), il fut radié de la Liste des bâtiments de la flotte avec le transport de l’État Saint-Nicolas. Il fut ensuite mis en vente le 4 mai 1923 par le Bureau des Domaines de Cherbourg selon la procédure d’adjudication publique sur soumissions cachetées (J.O. 8 avr. 1923, p. 3.566).