Bonjour à Tous,
je suis à la recherche du registre matricule d'un marin. Edouard BOURQUIN né en 1883 à Paris ,engagé volontaire en août 1903 pour 5 ans à Brest; "placé dans la réserve de l'armée de mer le 11 août 1908 ayant terminé son engagement" se retire à Paris 15ième.
Où puis-je trouver son périple durant la première guerre ?
Merci de votre collaboration.
Registre matricule marine
- Lucien Morareau
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- Inscription : mer. oct. 10, 2007 2:00 am
Re: Registre matricule marine
Bonsoir,
S'il s'est engagé à Brest, il a été immatriculé au 2è dépôt. Sa case matriculaire est donc conservé au Service Historique de la Défense à Brest. Je précise que la case matriculaire est un document propre à la Marine et qu'il est beaucoup plus complet que les fiches matricules du recrutement.
Cordialement
S'il s'est engagé à Brest, il a été immatriculé au 2è dépôt. Sa case matriculaire est donc conservé au Service Historique de la Défense à Brest. Je précise que la case matriculaire est un document propre à la Marine et qu'il est beaucoup plus complet que les fiches matricules du recrutement.
Cordialement
Re: Registre matricule marine
Bonsoir,
— BOURQUIN Édouard Victor Émile, né le 7 décembre 1884 à Paris (XVe Arr.), impasse de l’Enfant Jésus, et décédé le ... à ... (...).
Fils d’Édouard Antoine BOURQUIN, né vers 1848, gardien de la paix, et de Victorine Léontine SALIÈRE, née vers 1848, journalière, son épouse (Registre des actes de naissance du XVe arrondissement de Paris, Année 1884, f° 104, acte n° 3.036).
Époux en premières noces de Marie Françoise LE MÉTÉOUR, avec laquelle il avait contracté mariage à Paris (XVIe Arr.), le 9 septembre 1916 ; époux en secondes noces d’Hélène Eugénie Hortense DALISSIER, avec laquelle il avait contracté mariage à Lorient (Morbihan), le 23 janvier 1931 (Ibid.).
Nommé gardien de la paix à Paris par un arrêté du préfet de police en date du 5 septembre 1908 (J.O. 9 sept. 1908, p. 6.265).
Distingué de la Médaille d’honneur de la police municipale et rurale par un arrêté du Ministre de l’Intérieur en date du 7 mai 1930 (J.O. 8 mai 1930, p. 5.147). Alors inspecteur de police.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.