FIGARO - G. Levasseur et fils - Rouen

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IM Louis Jean
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Re: FIGARO - G. Levasseur et fils - Rouen

Message par IM Louis Jean »

Bonjour toutes et à tous,

Sauf erreur toujours possible, je n'ai pas trouvé sur ce forum de fil sur le FIGARO

Sa fiche sur wrecksite

Cordialement
Étienne
<< On peut critiquer les parlements comme les rois, parce que tout ce qui est humain est plein de fautes.
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Yves D
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Re: FIGARO - G. Levasseur et fils - Rouen

Message par Yves D »

Bonjour Etienne, bonjour à tous
Il n'y a pas de fil FIGARO parce que ce bateau n'a pas été considéré comme perte de guerre. De mémoire, l'enquête diligentée sur le sujet avait conclu à une explosion interne ayant entrainé le naufrage. Il est probable que l'armateur aura voulu obtenir un dédommagement pour fait de guerre mais aucun sous-marin n'est à l'origine pas plus qu'une mine.
Je copie ci-dessous les infos que j'ai :

SS FIGARO

The information I have from a local press report so far are as follows:


On January 26th, 1918, the Captain and 16 of the crew of the “SS. FIGARO” 182 tons, belonging to the “Societe d’Importation Nord et Est,” 9, Place Lafayette, Rouen, were landed at Rocquaine, Guernsey, in two boats. Mined or torpedoed?

Captain Yves Martin, the master said: “We left Brest at 3:30 p.m. on January 25, with a cargo of coal for Rouen, at 3:5 pm the 26th when about 3 ½ miles S.W. of the Hanois Lighthouse, there was a violent explosion on the port side near No. 1 hatch. No submarine or mine was seen, only a small quatity of blackish yellow smoke came up. The steamer at once began to heel over to the port side. I immediately stopped the engines and got out two life-boats, but the boat on the starboard side got full of water and sank, the two men in it were saved. I then got out the third boat, , which is not a life-boat and we got away. I saw the Figaro sink about 10 minutes after the explosion.

Ange Vettier, 1st Officer, said “at about 3:55 I was on the bridge when the explosion took place which very much disturbed the water and caused a big splash. There was not rock there. I am sure it was a mine or torpedo, but I saw no submarine or anything. The Figaro began to heel over to the port side and went down 10 minutes after.

Jean Ropars, the Chief engineer, said he was in the engine room and the force of the explosion threw him down. He stopped the engines but the Figaro had already begun to list to port and he ran on deck, but all there was to see was the ripple of the water. He was convinced it was either a mine or a submarine.

Extracts above are from cuttings of the Guernsey Press


Cdlt
Yves
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La guerre sous-marine 14-18, Arnauld de la Perière
et autres thèmes d'histoire maritime.
Memgam
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Re: FIGARO - G. Levasseur et fils - Rouen

Message par Memgam »

Bonjour,

Figaro; construit en 1880 par les chantiers de la Seine à Argenteuil.
77 tjb, 73 tjn, 26,41 x 4,94 x 2,27 m, 2 machines compound, Chantiers de la Seine, Argenteuil, 1880, 300 cv, 7 noeuds, 2 chaudières Ateliers Fretigny, Rouen, 1896.

En 1912, immatriculé à Rouen, armateur Union normande, capitaine Predent.

Source : Registre n° 84, Bureau Veritas 1912.

Nul et non avenue, cf la correction par kgvm ci-dessous.

Cordialement.
Memgam
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IM Louis Jean
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Re: FIGARO - G. Levasseur et fils - Rouen

Message par IM Louis Jean »

Bonjour à toutes et à tous,
Bonjour Yves,
Il n'y a pas de fil FIGARO parce que ce bateau n'a pas été considéré comme perte de guerre.
Comme de nombreux navires ayant survécu à la guerre ont un fil, je me suis permis d'en ouvrir pour ceux de la liste qui sont identifiés mais absent du forum. Cette liste n'est certainement ni exhaustive ni totalement fiable!

Cordialement
Étienne

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olivier 12
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Re: FIGARO - G. Levasseur et fils - Rouen

Message par olivier 12 »

Bonjour à tous,

FIGARO

Vapeur armé par la Société d’Importation du Nord et de l’Est.

Lettre du 16 Mars 1918 du Commissaire aux Transports Maritimes au Sous-secrétaire d’Etat à la Marine de Guerre

Je vous serais reconnaissant de bien vouloir me faire connaître si le vapeur FIGARO qui avait été dirigé sur Penzance par le Senior Intelligence Officer de Falmouth, a reçu dans ce port l’ordre de se joindre au convoi se dirigeant sur Cherbourg.
Ce renseignement m’est demandé par le Comité des Assureurs Maritimes de Paris, qui est également intéressé au sinistre.

Note de Mars 1918 du sous-secrétaire d’Etat à la marine de guerre au Commissaire aux Transports Maritimes, service des Assurances

En réponse à votre lettre du 16 mars, je vous transmets les renseignements que nous a communiqués notre attaché naval à Londres.
« Le vapeur FIGARO coulé le 26 Janvier, était arrivé à Falmouth le 23 Janvier. En raison de la suspension à cette date de la navigation non escortée entre Plymouth et Portland, ce navire fut effectivement dirigé sur Penzance avec ordre de se joindre au convoi partant pour Brest le 24 Janvier, d’où il devait rallier Cherbourg.

Lettre du Directeur de cette société au Ministre. 18 Avril 1918

Le 27 Janvier, le Ministère de la Marine nous donnait communication d’un télégramme nous avisant que notre vapeur FIGARO avait coulé le 26 Janvier 1918 dans les eaux de Guernesey par brouillard épais, apparemment par mine.

Quelques jours après, nous étions en possession du rapport de mer du capitaine et des témoignages de l’équipage, tous documents concluant à la perte du navire par fait de guerre.
En Février, nous étions avisés par la Commission d’Assurance de la Marine Marchande que la Commission d’enquête de Cherbourg, qui avait interrogé le capitaine et quelques membres d’équipage, a déposé un rapport qui tendait à prouver que la perte du navire était due à un risque maritime et non à un risque de guerre.
Nous avons aussitôt remis à Monsieur Le Verger, de la défense sous-marine, les déclarations authentifiées par l’Agent consulaire de France à Jersey, faites par le capitaine, les officiers et l’homme de barre, lesquelles sont plus affirmatives encore que le rapport du capitaine et les témoignages précités, sur la question du fait de guerre.

Le 4 Avril, nous écrivions à Monsieur le Vice Amiral Préfet Maritime de Cherbourg pour le prier de bien vouloir nous renseigner sur le degré d’avancement des travaux de la Commission, suite au supplément d’enquête ordonné suite au dépôt des déclarations de la Police d’Etat de Guernesey. Nous lui faisions remarquer que nous n’avions aucun intérêt à faire reconnaître la responsabilité du risque de guerre plutôt que la responsabilité du risque de mer. Au contraire, nous avions plutôt intérêt à faire reconnaître les risques de mer puisque notre navire était assuré plus fortement contre ceux-ci que contre les risques de guerre.

Par lettre du 8 Avril, Monsieur le Vice Amiral Préfet Maritime a porté à notre connaissance que vous aviez prescrit à la date du 13 Mars de traduire notre capitaine devant un tribunal maritime spécial et que l’instruction était actuellement en cours.
Dans ces conditions, nous venons vous demander, Monsieur le Ministre de la Marine, de vouloir bien ordonner que les conclusions du Tribunal qui doit juger notre capitaine soient très nettes et ne laissent aucun doute sur le risque auquel est due la perte du navire.

Nous vous présentons cette requête afin que nous sachions, quand le jugement aura été rendu, vers quel groupe d’assureurs (risques de mer ou risques de guerre) nous devons nous retourner pour réclamer le paiement des sommes assurées. Nous nous rendons compte que si une double interprétation pouvait être donnée aux conclusions du Tribunal, les deux groupes d’assureurs ne manqueraient pas de se rejeter mutuellement les responsabilités, laissant ainsi impayées les sommes dues pendant un temps très long, au préjudice de la Défense Nationale.

Note du 28 Juin 1918 pour l’Etat Major, 2e section

La Direction Générale de la guerre sous-marine transmet à l’Etat Major Général le dossier d’enquête ci-joint sur la perte du FIGARO le 26 Janvier 1918
Il ressort de l’enquête qu’il ne s’agit pas d’un incident de guerre sous-marine, mais d’un évènement de mer qui paraît devoir entraîner la comparution du capitaine devant le Tribunal Maritime Spécial.

Signé : H. Salaun

Commentaire

L’affaire de la perte du FIGARO n’est malheureusement pas éclaircie par ces documents. Toutefois, il semble bien que la 2e enquête ouverte par le Préfet Maritime de Cherbourg soit arrivée à la conclusion formelle que la perte du navire n’était pas due à une mine ou une torpille.

On notera d’ailleurs ce qu’avait dit, au sujet de la 1ère commission d’enquête (à propos de l’affaire du remorqueur TENAX) ce préfet Maritime :

« Déjà, dans l’enquête relative au FIGARO, cette commission avait fait preuve d’une très grande légèreté. La moindre perspicacité aurait dû attirer son attention sur certains points particuliers de l’incident. L’interrogatoire de tous les membres d’équipage aurait permis d’établir ses conclusions sur un fondement plus sérieux.
En somme, la commission d’enquête présidée par Mr. Le Capitaine de Corvette DESVEAUX ne possède manifestement pas la compétence et le sérieux nécessaires à l’accomplissement d’une tâche à laquelle j’attache la plus grande importance. »

Aucun autre document ne se trouve dans le dossier FIGARO, ni rapport du capitaine, ni rapport de l’officier enquêteur, ce qui paraît surprenant puisque la Société armant le navire déclare en posséder une copie. Les conclusions de la 2e commission ne s’y trouvent pas non plus.

Toutefois, on peut se demander si la raison qui à poussé à traduire le capitaine devant un Tribunal Maritime Spécial ne serait pas plutôt le fait qu’il n’a pas suivi les instructions qui lui enjoignaient de s’intégrer à un convoi entre Brest et Cherbourg.

Cdlt
olivier
kgvm
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Re: FIGARO - G. Levasseur et fils - Rouen

Message par kgvm »

Memgam, votre "Figaro" est un remorqueur, pas le cargo perdu!
Le "Figaro" perdu est construit comme anglais "Voreda" en 1907. Devenu francais comme "Figaro" en 1912.
566 tjb, 182 tjn.
Rutilius
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FIGARO — Cargo — Société d’importation du Nord et de l’Est (1916~1917).

Message par Rutilius »

Bonjour à tous,


Figaro — Cargo — Société d’importation du Nord et de l’Est (1916~1917).

Cargo en acier lancé le 23 septembre 1907 sous le nom de Voreda par le chantier R. Williamson & Son, de Workington (Comté de Cumbria, Royaume-Uni) pour son propre compte ; n° de chantier : 201. Bâtiment du nom d’un ancien fort romain, sis à Old Penrith (Penrith, Comté de Cumbria, Royaume-Uni). Signal distinctif : H.L.S.N.

Cédé en 1912 à l’armement G. Levasseur & Fils [Siège social : Rouen, 20, quai du Havre]. Francisé à Rouen le 5 octobre 1912, n° 1.236 ; immatriculé le même jour dans ce quartier, f° 976 , n° 1.431. Signal distinctif : J.G.L.K. Au décès de Gaston LEVASSEUR, propriété transférée à l’armement Veuve Gaston Levasseur & Fils. (1)

Initialement armé au cabotage international le 5 octobre 1912 à Rouen, n° 203 ; désarmé le 10 octobre 1913 à Rouen, n° 229. Capitaine Louis JACQ, né le 19 janvier 1873 à Taulé (Finistère), capitaine au cabo-tage (Brevet supérieur), inscrit au quartier de Morlaix, n° 86. (2)

Durant la Grande guerre, affrété par l’État, effectuant notamment le transport de cailloux de Granville à Calais pour le compte de l’administration des Ponts et chaussées ; armé défensivement de deux canons de 90 mm, modèle 1877.

Cédé en 1916 à Marcel BOUSSAC, domicilié à Paris, au 106, boulevard Haussmann (VIIIe Arr.). Par acte du 20 décembre 1916, cédé à la Société d’importation du Nord et de l’Est [Siège social en 1916 : Paris, 22, rue de l’Arcade (VIIIe Arr.). Établissement secondaire : Rouen, 9, place de Lafayette], société filiale du Comptoir de l’industrie cotonnière, société constituée en 1911 par Marcel BOUSSAC, puis transformée en société anonyme le 3 février 1917.

A défaut néanmoins d’éléments de preuve déterminants, supposé coulé par une mine le 26 janvier 1918 à 3,5 milles dans le S. 45 W. du phare du Hanois (Guernesey, Îles anglo-normandes), alors qu’il allait de Brest à Rouen avec un chargement de charbon. Capitaine Yves Marie MARTIN, né le 27 septembre 1876 à Louannec (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’Armor), capitaine au cabotage, inscrit au quartier de Lannion, n° 153, et 13 hommes d’équipage. Armement défensif servi par trois marins de l’État, du service d’Armement militaire des bâtiments de commerce (A.M.B.C.) du Havre.

Armé en dernier lieu au cabotage international le 21 décembre 1917 à Dunkerque, n° 125 ; désarmé le 30 janvier 1918 à Rouen, n° 22, à compter du 26 janvier 1918, jour de sa perte. (3)

Caractéristiques générales. — Jauge : 565,86 tx jb et 182,05 tx jn. Dimensions : 194.5 x 26.6 x 10.9 ft [59,28 x 8.10 x 3,32 m.]. Propulsion : Machine à triple expansion de 450 cv ; une hélice. Vitesse : ... nd.

____________________________________________________________________________________________

(1) Inscription maritime — Quartier de Rouen — Matricules des bâtiments de commerce — 1900~125 — f°ˢ 893 à 1.089, n°ˢ 1.181 à 1.770 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 7P5_47, p. num. 86. [f° 976, n° 1.431]

(2) Inscription maritime — Quartier de Rouen — Désarmement des bâtiments de commerce — 1913 — n°ˢ 139 à 264 — 10 octobre 1913, n° 229 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 7P6_204, p. num. 655 à 679.

(3) Inscription maritime — Quartier de Rouen — Désarmement des bâtiments de commerce — 1918 — n°ˢ 1 à 109 — 30 janvier 1918, n° 22 : Archives départementales de Seine-Maritime, Cote 7P6_213, p. num. 278 à 296.

____________________________________________________________________________________________


Le cargo Voreda arrivant à Bristol


VOREDA, futur FIGARO – I – .JPG
VOREDA, futur FIGARO – I – .JPG (177.3 Kio) Consulté 987 fois



FIGARO - Immatriculation - .JPG
FIGARO - Immatriculation - .JPG (107.59 Kio) Consulté 987 fois
Dernière modification par Rutilius le dim. oct. 17, 2021 5:12 pm, modifié 3 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Rutilius
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FIGARO — Cargo — Société d’importation du Nord et de l’Est (1916~1917).

Message par Rutilius »

Bonjour à tous,


L’Ouest-Éclair — éd de Caen —, n° 5.717, Mercredi 7 avril 1915, p. 4.


L.O.E. 7-IV-1915 - .JPG
L.O.E. 7-IV-1915 - .JPG (177.39 Kio) Consulté 983 fois

□ Le cargo Figaro était alors commandé par Louis JACQ, né le 19 janvier 1873 à Taulé (Finistère), capi-taine au cabotage (Brevet supérieur), inscrit au quartier de Morlaix, n° 86.

Les rescapés du naufrage du cargo Emma, de la Compagnie de navigation Worms & Cie, du Havre, furent recueillis par le destroyer britannique H.M.S. Tartar qui les débarqua à Douvres.
.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Rutilius
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FIGARO — Cargo — Société d’importation du Nord et de l’Est (1916~1917).

Message par Rutilius »

Bonjour à tous,


Composition de l’équipage du cargo Figaro
lors de la perte de ce bâtiment


[14 + 3]


État-major

— MARTIN Yves Marie, né le 27 septembre 1876 à Louannec (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’Ar-mor), capitaine au cabotage, inscrit au quartier de Lannion, n° 153. Capitaine. № 1 sur le rôle de désar-mement de bureau. Gages mensuels : 600 fr.

— VETTIER Ange Pierre Marie Mathurin, né le 16 juillet 1884 à Pleuhiden-sur-Rance (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’ Armor), capitaine au cabotage, inscrit au quartier de Dinan, n° 238 ; classe 1904, n° 787 au recrutement de Saint-Brieuc~Dinan. Second capitaine. № 2 sur le rôle de désarmement de bureau. Gages mensuels : 350 fr.

— COURAUD Paul Albin, né le 5 avril 1883 à Auchel (Pas-de-Calais), décédé le 25 janvier 1964 à Paimpol (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’Armor), mécanicien breveté de 1re classe, inscrit le 27 avril 1908 au quartier du Havre, n° 6.438 ; classe 1903, n° 80 au recrutement de Bétune. Chef mécanicien. № 3 sur le rôle de désarmement de bureau. Gages mensuels : 500 fr.

— ROPARS Jean Pierre Marie, né le 22 septembre 1885 à Guimiliau (Finistère), mécanicien breveté de 2e classe, inscrit au quartier du Havre, n° 5.837. Second mécanicien. № 4 sur le rôle de désarmement de bureau. Gages mensuels : 350 fr.

Marins du pont

— LE LOUARN Yves Marie, né le 21 septembre 1873 à Plourivo (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’ Armor), inscrit au quartier de Saint-Brieuc, n° 1.402 [Initialement inscrit au quartier de Paimpol, f° et n° 12.876] ; classe 1893, n° 100 au recrutement de Saint-Brieuc. Maître d’équipage. № 5 sur le rôle de désar-mement de bureau. Gages mensuels : 200 fr.

— ALLAINGUILLAUME Yves, né le ... à ... (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’ Armor), inscrit au quartier de Paimpol, n° 22.938. Matelot. № 19 sur le rôle de désarmement de bureau. Gages mensuels : 130 + 15 fr.

— BOHIC Jean, né le 17 novembre 1898 à Taulé (Finistère), décédé le 12 juin 1938 à Rouen (Seine-Inférieure — aujourd’hui Seine-Maritime), inscrit le 3 décembre 1916 au quartier de Morlaix, n° 1.736 ; classe 1918, n° 214 au recrutement de Brest. Matelot. № 15 sur le rôle de désarmement de bureau. Gages mensuels : 130 + 15 fr.

— CLÉRAUX Pierre, né le 14 février 1884 à ... (...), inscrit au quartier de Cancale, n° 1.567. Matelot. № 6 sur le rôle de désarmement de bureau. Gages mensuels : 130 + 15 fr.

— LE BOLLOCH Jean François Marie, né le 11 septembre 1881 à Plouézec (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’ Armor), inscrit au quartier de Paimpol, n° 30.225. Matelot. № 7 sur le rôle de désarmement de bureau. Gages mensuels : 130 + 15 fr.

TRÉMEL Jean Marie, né le 21 septembre 1900 à Trévérec (Côtes-du-Nord — aujourd’hui Côtes-d’ Armor), inscrit provisoire au quartier de Paimpol, n° 25.078 [Inscrit définitif au même quartier le 12 septembre 1921, n° 51.570] ; classe 1920, n° 2.011 au recrutement de Saint-Brieuc. Matelot. № 9 sur le rôle de désarmement de bureau. Gages mensuels : 130 + 15 fr.

Marins de la machine

— DORADE Albert Siméon Léonce, né le 22 février 1873 à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), inscrit au quartier de Dunkerque, n° 5.517 ; classe 1899, n° 358 au recrutement de la Guadeloupe. Premier chauffeur. № 10 sur le rôle de désarmement de bureau. Gages mensuels : 200 fr.

— LE LANN François, né le 17 août 1888 à Ouessant (Finistère) et y décédé, le 22 février 1964, inscrit le 11 août 1906 au quartier du Conquet, n° 4.857 ; classe 1908, n° 3.582 au recrutement de Brest. Chauffeur. № 12 sur le rôle de désarmement de bureau. Gages mensuels : 160 + 15 fr.

— PÉRON Joseh Marie, né le 21 juin 1893 à Plogoff (Finistère), décédé le 7 mai 1973 à Quimper (– d°–) inscrit au quartier d’Audierne, n° 1.646. Chauffeur. № 13 sur le rôle de désarmement de bureau. Gages mensuels : 160 + 15 fr.

Agent de service

— HURARD Marcel Eugène, né le 9 février 1887 à Canteleu (Seine-Inférieure — aujourd’hui Seine-Maritime), inscrit au quartier de Rouen, n° 3 .033 ; classe 1907, n° 1.438 au recrutement de Rouen-Sud. Cuisinier. № 14 sur le rôle de désarmement de bureau. Gages mensuels : 180 fr.

Marins de l’État
(A.M.B.C. du Havre)

— BATTISTI Dominique, né le 15 décembre 1888 à Luri (Corse), inscrit au quartier de Bastia, n° 5.418 ; classe 1908, n° 336 au recrutement d’Ajaccio. Quartier-maître fusilier. № 16 sur le rôle de désarmement de bureau.

— GERME Jean-Baptiste, né le 22 août 1898 au Portel (Pas-de-Calais), inscrit au quartier de Boulogne-sur-Mer, n° 1.753 ; classe 1918, n° 2.277 au recrutement de Saint-Omer. Matelot de 3e classe sans spécialité. № 17 sur le rôle de désarmement de bureau.

— MULOT Paul, né le 10 mai 1888 à Cherbourg (Manche), matricule n° 43.554 – 1 au 1er Dépôt des équi-pages de la flotte. Matelot de ... classe. № 18 sur le rôle de désarmement de bureau.

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Bien amicalement à vous,
Daniel.
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