Malvina – Trois-mâts goélette de 112 tx jb construit en 1889 par le chantier P. Ahlquist, d’Härnösand (Suède).
En 1914, propriété de l’armement P.-M. Eon, de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) (Déc. du Sous-secrétaire d’État à la Marine en date du 29 avr. 1914 arrêtant la Liste des capitaines ou patrons de navires de commerce et des armateurs auxquels des félicitations ont été adressées pour bonne tenue des postes d’équipage de leur navire et liste des officiers mécaniciens de la marine marchande qui ont reçu des félicitations pour le bon entretien des machines, chaudières, etc. : J.O. 1er mai 1914, p. 3.937). Alors armé à Saint-Malo pour la pêche à la morue à Terre-Neuve.
Lors de sa perte, propriété de l’armement Julien Lorre, de Saint-Pierre-de-Plesguen (Ille-et-Vilaine). Alors armé au cabotage international à Saint-Malo, commandé par le capitaine Lorre et monté par 6 hommes d’équipage.
La Malvina fut arraisonnée et coulée au canon le 25 novembre 1916 par le sous-marin allemand UC-26 (Oberleutnant zur See Matthias Graf von Schmettow) à 25 milles dans le N.N.-W. de l’île d’Ouessant, par 48° 50’ N. et 5° 05’ W., alors qu’elle allait de Port-Talbot (Pays de Galles, Royaume-Uni) à Bordeaux avec un chargement de charbon. Le capitaine et l’équipage furent recueillis par le vapeur portugais Ovar [Transportes Maritimos do Estado, Lisbonne], puis transbordés sur le bateau-pilote n° 5 de la station de Belle-Île qui les débarqua au Palais – très probablement le Bangor, encore dénommé « Loire n° 5 », sloop de 27,80 tx construit en 1898 au Palais.
Le même jour, dans les mêmes parages, fut arraisonné et coulé au canon par le même sous-marin le trois-mâts goélette Alfred-de-Courcy, bâtiment de 165,06 tx jb propriété de la Société Edgard Dufilhol et Fils, de Lorient (Morbihan), armé au cabotage international à Paimpol et alors commandé par le capitaine Kermarec.
En 1914, propriété de l’armement P.-M. Eon, de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) (Déc. du Sous-secrétaire d’État à la Marine en date du 29 avr. 1914 arrêtant la Liste des capitaines ou patrons de navires de commerce et des armateurs auxquels des félicitations ont été adressées pour bonne tenue des postes d’équipage de leur navire et liste des officiers mécaniciens de la marine marchande qui ont reçu des félicitations pour le bon entretien des machines, chaudières, etc. : J.O. 1er mai 1914, p. 3.937). Alors armé à Saint-Malo pour la pêche à la morue à Terre-Neuve.
Lors de sa perte, propriété de l’armement Julien Lorre, de Saint-Pierre-de-Plesguen (Ille-et-Vilaine). Alors armé au cabotage international à Saint-Malo, commandé par le capitaine Lorre et monté par 6 hommes d’équipage.
La Malvina fut arraisonnée et coulée au canon le 25 novembre 1916 par le sous-marin allemand UC-26 (Oberleutnant zur See Matthias Graf von Schmettow) à 25 milles dans le N.N.-W. de l’île d’Ouessant, par 48° 50’ N. et 5° 05’ W., alors qu’elle allait de Port-Talbot (Pays de Galles, Royaume-Uni) à Bordeaux avec un chargement de charbon. Le capitaine et l’équipage furent recueillis par le vapeur portugais Ovar [Transportes Maritimos do Estado, Lisbonne], puis transbordés sur le bateau-pilote n° 5 de la station de Belle-Île qui les débarqua au Palais – très probablement le Bangor, encore dénommé « Loire n° 5 », sloop de 27,80 tx construit en 1898 au Palais.
Le même jour, dans les mêmes parages, fut arraisonné et coulé au canon par le même sous-marin le trois-mâts goélette Alfred-de-Courcy, bâtiment de 165,06 tx jb propriété de la Société Edgard Dufilhol et Fils, de Lorient (Morbihan), armé au cabotage international à Paimpol et alors commandé par le capitaine Kermarec.
• L’Ouest-Éclair – éd. de Caen –, n° 6.238, Mercredi 29 novembre 1916, p. 4, en rubrique « Nouvelles maritimes ».