MARIE-BLANCHE — Trois-mâts goélette terre-neuvier — Armement Veuve Jérome Malandain & Fils, Fécamp.

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Rutilius
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MARIE-BLANCHE — Trois-mâts goélette terre-neuvier — Armement Veuve Jérome Malandain & Fils, Fécamp.

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Bonjour à tous,

Marie-Blanche — Trois-mâts goélette terre-neuvier de 359 tx jb — Armement Veuve Jérôme Malandain & Fils, Fécamp.

Coulé au canon le 24 avril 1917 par le sous-marin allemand UB-32 (Oberleutnant zur See Max VIEBEG) à 30 milles dans le Nord de Cherbourg. Équipage recueilli par le Torpilleur 252 et le Torpilleur 308.

Disparut dans ces circonstances Émile Joseph VATINEL, inscrit au quartier de Fécamp, n° 2.877. Par arrêté du Ministre de la Marine en date du 20 mars 1922 (J.O. 2 avr. 1922, p. 3.653), il fut inscrit à titre posthume au tableau spécial de la Médaille militaire dans les termes suivants :

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Yves D
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Re: MARIE-BLANCHE — Trois-mâts — Armement Vve J. Malandain & Fils, Fécamp.

Message par Yves D »

Coulé par UB 32, Oblt z.S. Max Viebeg à 30 milles N de Cherbourg.
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Yves
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La guerre sous-marine 14-18, Arnauld de la Perière
et autres thèmes d'histoire maritime.
Rutilius
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MARIE-BLANCHE — Trois-mâts goélette terre-neuvier — Armement Veuve Jérome Malandain & Fils, Fécamp.

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Bonjour à tous,

■ La victime.

— VATINEL Émile Joseph, né le 3 janvier 1878 à Étretat (Seine-Inférieure – aujourd’hui Seine-Maritime –) et y domicilié. Matelot, inscrit à Fécamp, n° 2.877.

Fils de Sénateur Florentin VATINEL, marin, et de Rose Victoire LEFEBVRE, tisserande, son épouse (Registre des actes d’état civil de la commune d’Étretat, Année 1878, f° 2, acte n° 2).

Époux de Célestine Julie TRUPEL, avec laquelle il avait contracté mariage au Tilleul (Seine-Inférieure – aujourd’hui Seine-Maritime –), le 8 novembre 1902 (Ibid.).

(Jug. Trib. civ. Le Havre, 1re ch., 11 mars 1920, transcrit à Fécamp, le 18 mai 1920 : Registre des actes de décès de la ville de Fécamp, Année 1920, Vol. I., f° 43, acte n° 124).
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olivier 12
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Re: MARIE-BLANCHE — Trois-mâts — Armement Vve J. Malandain & Fils, Fécamp.

Message par olivier 12 »

Bonjour à tous,

MARIE BLANCHE

Trois-mâts goélette de Terre Neuve 350 tx JN
Armateur Gérôme Malandain et Fils Fécamp
Allant aux bancs de Terre Neuve
Capitaine GUIGNERY Charles Louis Capitaine au cabotage brevet supérieur
Inscrit à Fécamp n° 209
34 hommes d’équipage tous Français

Rapport du capitaine


Quitté Fécamp le 23 Avril 1917 pour les bancs.
Le 24 Avril à 05h00 du matin MARIE BLANCHE se trouve par 50°08 N et 01°37 W Greenwich, route WSW à 4 nœuds, quand un sous-marin est aperçu à environ 2,5 milles par le travers tribord, venant du NNW. Très beau temps, mer très belle, horizon légèrement brumeux. Il tire aussitôt une dizaine de coups de canon. Pas de pavillon, pas de signaux. Je fais monter tout le monde sur le pont pour la manœuvre, met en panne et fait mettre les embarcations à la mer. Cargué les voiles hautes. Au bout de 5 minutes, le sous-marin recommence à tirer à raison d’un coup toutes les 2 ou 3 minutes. Fait monter l’équipage dans les 8 doris, aux places désignées avant le départ du bâtiment. Quitté le bord en dernier, dix minutes après que les autres doris aient quitté le bord. Au dernier moment, le matelot Créquy est allé prendre un sac d’effets dans le poste et n’a vu personne. Embarqué dans le dernier doris.
Le sous-marin s’est approché à 200 m, a stoppé et a fait signe de venir à bord. Monté à bord avec les 4 hommes du doris. Le sous-marin avait cessé de tirer. Les deux derniers coups de canon avaient été tirés alors que j’étais entre le navire et le sous-marin. Le mât d’artimon est tombé à ce moment là, puis je n’ai plus vu le grand mât. Les coups avaient porté dans la coque, dans la cuisine, dans la voilure et dans la mâture.
En accostant, l’officier du sous-marin nous a demandé : « Avez-vous des pistolets ? » Répondu « Non ». –« Où allez-vous ? » « A Terre Neuve » a répondu un de mes hommes. « La pêche ! » a dit l’officier. « Oui ». L’Allemand a repris : « Que voulez-vous, c’est la guerre. Après, nous serons camarades… »
Puis ils nous ont fait embarquer dans un autre doris et ont gardé celui dans lequel j’étais venu à bord. Il contenait ma boite à rôle avec tous les papiers du bord. Ils nous ont fait signe de nous éloigner. L’ennemi s’est servi de notre doris pour aller à bord. J’ai perdu de vue le voilier vers 09h00.

Un homme a disparu, mais on ne s’est pas aperçu qu’il manquait. On s’en est rendu compte lors de l’appel fait au 1er dépôt de Cherbourg. Les hommes ont fait la manœuvre des voiles et des embarcations avec calme et sans confusion. Embarquement dans les doris rapide et sans panique.

L’officier allemand a posé les questions en français.
Longueur du sous-marin environ 40 m.
Pare-filets s’étendant de l’avant à l’arrière.
Blockhaus à 2 m au dessus du pont
Un canon d’environ 100 mm et une mitrailleuse
Pas de projecteur, pas de mât, pas de périscope, pas d’antenne TSF, pas d’embarcation
Peint en gris couleur toile mouillée, très sale, avait du séjourner longtemps à la mer
Vu un officier avec casquette à écusson et 7 ou 8 hommes en bleu de drap
Le sous-marin était émergé quand on l’a vu et est resté émergé.

30 hommes dont le capitaine ont été recueillis dans 6 doris à 14h00 par les torpilleurs 352 et 308 de la section des torpilleurs de Cherbourg à 5 milles au Nord du cap Lévy.
Un 7e doris a atterri du côté de Barfleur avec 3 hommes seulement.

Voici la signature du capitaine Guignery

Image

Conclusion de l’officier enquêteur

Le capitaine n’avait aucun moyen de fuir, ni de se défendre. Il paraît avoir maintenu l’ordre jusqu’au moment où il a du abandonner le navire le dernier après avoir vu partir ses hommes dans les canots. Il a fait son devoir et la commission propose de lui conserver la faculté de commander.

L’officier enquêteur écrit quand même : « Il semble qu’une certaine panique ait régné à bord aux premiers coups de canon. » Il ajoute « Le matelot qui a parlé avec l’officier allemand n’a pas voulu se faire reconnaître… ».

Note du 28 Avril 1917 du CV chef d’Etat Major

Ont été interrogés : le capitaine, le second (qui était de quart au moment de l’évènement), les matelots de quart et de bossoir et le matelot Le Boucher.
J’estime qu’une certaine panique a du régner à bord au moment de l’abandon puisque personne n’a pu dire ce qu’était devenu le matelot disparu. S’il a été tué par un obus, il est probable que son corps est resté à bord. Mais dans la précipitation de l’abandon, le capitaine n’a pas du le rechercher bien longtemps.
On peut reprocher au capitaine de n’être pas resté en vue de son bâtiment après l’abandon, bien que le commandant allemand lui ait enjoint de s’éloigner. Il aurait du le faire, mais lentement pour ne pas perdre son navire de vue. Ces réserves sont suffisantes pour que j’émette un avis différent de celui de la commission. Son rapport a d’ailleurs été long à me parvenir et j’invite son président à mener ses opérations avec plus de célérité.

(Nota : on ne peut que constater combien il est facile d’écrire l’histoire loin du champ de bataille … et avec des suppositions !)

Le sous-marin attaquant


C’était l’UB 32 de l’Oblt z See Max VIEBEG

Max Viebeg sera élevé au grade de Kapitänleutnant zur See (Lieutenant de Vaisseau) le 26 Avril 1917, soit deux jours après avoir coulé MARIE BLANCHE.
Né en 1887, il est décédé le 9 Novembre 1961.

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olivier
Rutilius
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MARIE-BLANCHE — Trois-mâts goélette terre-neuvier — Armement Veuve Jérome Malandain & Fils, Fécamp.

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Bonjour à tous,


Le dernier capitaine du trois-mâts goélette terre-neuvier Marie-Blanche


— GUIGNERY Charles Louis, né le 17 juillet 1874 à Saint-Martin-aux-Buneaux (Seine-Inférieure — au-jourd’hui Seine-Maritime) (Registre des actes d’état civil de la commune de Saint-Martin-aux-Buneaux, Année 1874, f° 36, acte n° 87) et domicilié à Fécamp (– d° –), rue de Troyes. Disparu depuis le 17 juillet 1917 avec le quatre-mâts barque Atlas, ex-Bannockburn, ex-Leif Gundersen, dans la traver-sée de Glasgow à La Martinique ; alors lieutenant à bord de ce bâtiment [Jug. Trib. civ. 1re inst. Bor-deaux, 28 mai 1919, transcrit le 23 sept. 1920 à Fécamp (Registre des actes de décès de la ville de Fécamp, Année 1920, Vol. II., f° 34, acte n° 244)].

Capitaine au cabotage, inscrit au quartier de Fécamp, n° 209 [Initialement inscrit au même quartier f° 1.565, n° 565] ; classe 1894, n° 444 au recrutement du Havre.

• Fils de Généreux Léonce GUIGNERY, né le 11 avril 1848 à Saint-Martin-aux-Buneaux, marin, et d’É-lisa Clarisse BUQUET, née le 12 février 1851 à Saint-Martin-aux-Buneaux, tisserande, avec laquelle il avait contracté mariage dans ladite commune, le 7 janvier 1873 (Registre des actes d’état civil de la commune de Saint-Martin-aux-Buneaux, Année 1873, f° 2, acte n° 2).

• Époux de Marie Alexandrine FOLAIN, née le 13 novembre 1881 à Butot-en-Caux (Seine-Inférieure — aujourd’hui Seine-Maritime) et décédée le 13 février 1954 à Fécamp (Registre des actes d’état civil de la commune de Butot-en-Caux, Année 1881, f° 7, acte n° 10), sans profession, avec laquelle il avait contracté mariage dans ladite commune, le 26 janvier 1904 (Registre des actes d’état civil de la com-mune de Butot-en-Caux, Année 1904, f° 2, acte n° 1).

Fille de Paschal Julien FOLAIN, né le 27 septembre 1845 à Auberville-le-Manuel (– d° –), berger, et de Paule Célina JOURDAIN, née le 23 avril 1846 à Butot-en-Caux, tisserande ; époux ayant contracté ma-riage dans ladite commune, le 7 novembre 1871 (Registre des actes d’état civil de la commune de Butot-en-Caux, Année 1871, f° 5, acte n° 9).

_________________________________________________________________________________________

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Daniel.
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MARIE-BLANCHE — Trois-mâts goélette terre-neuvier — Armement Veuve Jérome Malandain & Fils, Fécamp.

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Bonsoir à tous,

Généalogie de la famille Malandain

— MALANDAIN Jérôme Médée, né le 20 novembre 1830 à Fécamp (Seine-Inférieure — aujourd’hui Seine-Maritime —) (Registre des actes d’état civil de la ville de Fécamp, Année 1831, f° 6, acte n° 11) et y décédé, le 11 avril 1900 (Registre des actes de décès de la ville de Fécamp, Année 1900, Vol. I., f° 43, acte n° 134). Capitaine-armateur ; domicilié à Fécamp, au 112, rue de la Mer. Capitaine au long-cours.

• Fils de Pierre Nicolas MALANDAIN, né le 2 mai 1786 à Bénouville (Seine-Inférieure — aujourd’hui Seine-Maritime —) et décédé le 10 octobre 1863 à Fécamp (Registre des actes de décès de la ville de Fécamp, Année 1863, f° 97, acte n° 227), tisserand, et de Marie Suzanne HOULIER, née le 12 février 1791 à Étretat (– d° –) et décédée le 11 janvier 1845 à Fécamp (Registre des actes de décès de la ville de Fécamp, Année 1845, f° 8, acte n° 16), fileuse ; époux ayant contracté mariage à Étretat, le 20 juillet 1809 (Registre des actes d’état civil de la commune d’Étretat, Année 1809, f° 15).

• Époux de Marie Rosalie CORUBLE, née le 30 juin 1843 à Saint-Valéry-en-Caux (– d° –) (Registre des actes d’état civil de la commune de Saint-Valéry-en-Caux, Année 1843, f° 82, acte n° 177) et décédée le 1er avril 1922 à Fécamp (Registre des actes de décès de la ville de Fécamp, Année 1922, f° 33, acte n° 119), sans profession, avec laquelle il avait contracté mariage dans cette commune, le 21 janvier 1868 (Registre des actes d’état civil de la commune de Saint-Valéry-en-Caux, Année 1868, f° 13, acte n° 23).

Fille de Louis Arsène CORUBLE, né le 3 juin 1814 à Saint-Valéry-en-Caux, capitaine au cabotage, et de Rosalie Monique LADIRÉ, née le 17 août 1815 à Saint-Valéry-en-Caux, sans profession ; époux ayant contracté mariage dans cette commune, le 12 septembre 1842 (Registre des actes d’état civil de la commune de Saint-Valéry-en-Caux, Année 1842, f° 105, acte n° 252).

• Père de Jérôme Louis MALANDAIN, né le 21 novembre 1869 à Fécamp (Registre des actes de naissance de la ville de Fécamp, Année 1868, f° 53, acte n° 331).
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Memgam
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Re: MARIE-BLANCHE — Trois-mâts goélette terre-neuvier — Armement Veuve Jérome Malandain & Fils, Fécamp.

Message par Memgam »

Bonjour,

Marie Blanche, trois-mâts goélette, construit en 1902 à Oneglia,
359 tjb, 271 tjn, 540 tpl, 45,86 x 9,75 x 3,87 m.

En 1912, indicatif KDQF, immatriculé à Fécamp, armateur Veuve J. Malandin & fils.

Source : Registre n° 84, Bureau Veritas 1912.

Cordialement.
Memgam
Rutilius
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MARIE-BLANCHE — Trois-mâts goélette terre-neuvier — Armement Veuve Jérome Malandain & Fils, Fécamp.

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Bonjour à tous,

Le trois-mâts goélette terre-neuvier Marie-Blanche


MARIE-BLANCHE – Trois-mâts goélette – Fécamp - x - .jpg
MARIE-BLANCHE – Trois-mâts goélette – Fécamp - x - .jpg (124.69 Kio) Consulté 1310 fois

Étienne BERNET « La grande pêche morutière – L’aventure des voiliers terre-neuviers
fécampois (1815~1931) »
, éd. L’Écho des vagues, Déc. 2014, p. 174.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Rutilius
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MARIE-BLANCHE — Trois-mâts goélette terre-neuvier — Armement Veuve Jérome Malandain & Fils, Fécamp.

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Bonsoir à tous,

Le sauvetage de l’équipage du trois-mâts goélette terre-neuvier Marie-Blanche

(24 avril 1917)


Torpilleur 308 — 20 janvier ~ 26 avril 1917 — : Service historique de la Défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote SS Y 536, p. num. 724 et 656.

« 24 avril 1917 — De la mer à la mer.

....................................................................................................................................

9 h. 00 — Appareillé
.
9 h. 10 — Sorti de la rade avec le
[Torpilleur] 352. Patrouillé entre La Hague et le Rénier.

10 h. 50 à 12 h. 52 — Convoyé le vapeur français Malte faisant route à l’Est

14 h. 05 — Recueilli trois doris montés par 17 hommes du trois-mâts goélette français Marie-Blanche, de Fécamp à 5 milles dans le Nord de Lévi.

16 h. 40 — Rentré en rade de Sainte-Anne. Débarqué les naufragés.
[...] »

« P.V. de consommation.

Le 24 avril, le bâtiment étant en patrouille à environ 5 milles Nord de Lévi, a recueilli trois doris montés par 17 hommes naufragés du trois-mâts goélette français Marie-Blanche, de Fécamp.

Ces hommes ayant besoin de nourriture, il leur a été délivré 3 kilogrammes de conserves de bœuf, 4,25 litres de vin, 7 kilogrammes de pain.

Bord, le 25 avril 1917,
Le Commandant,

Signé : Illisible. »


Torpilleur 352 — alors commandé par l’enseigne de vaisseau Léon Jules Émile LEPOITTEVIN — Journal de bord — 8 avril 1917 ~ 29 janvier 1918 — : Service historique de la Défense, S.G.A. « Mémoire des hommes », Cote SS Y 578, p. num. 519.

« 24 [avril 1917].

Appareillé à 5 h. 40. Disposé la drague ; elle casse au Nord du Fort [de] Chavagnac. Rentré à Sainte-Anne ; amarré à 7 h.00.

9 h. 00 — Appareillé. Pris la surveillance entre La Hague et Rénier.

13 h. 11 — Recueilli 13 hommes et trois doris du trois-mâts Marie-Blanche. Rentré à 16 h. 45.
[...] »
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Daniel.
Rutilius
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MARIE-BLANCHE — Trois-mâts goélette terre-neuvier — Armement Veuve Jérome Malandain & Fils, Fécamp.

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Marie-Blanche —Trois-mâts goélette terre-neuvier — Armement Veuve Jérôme Malandain & Fils, Fé-camp.

Caractéristiques générales. — Jauge : 359 tx jb et 271 tx jn. Port en lourd : 540 t. Dimensions : 150.6 x 32.0 x 12.6 ft [45,72 x 9,75 x 3,65 m]. Signal distinctif. — K.D.Q.F.


Lloyd’s Register of Shipping 1918~1919, Sailing vessels,
Lettre M., n° 208, p. num. 164.

L.R.S. 1918-1919 - Sailing Vessels - Lettre M. - n° 208 - .JPG
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