Bonjour à tous,
■ Historique (complément).
Paquebot mixte
Frankenwald [
I], de la
Hamburg-Amerikanishe Packetfahrt Aktien Gesellschaft (HAPAG). Après la déclaration de guerre, en Août 1914, retenu dans le port de Bilbao
(Espagne) où il se trouvait et où il demeura pendant toute la durée des hostilités.
En application de l’article VIII de la
Convention additionnelle concernant la prolongation de l'armistice, signée à Trèves le 16 janvier 1919, placé sous le contrôle et sous le pavillon des puissances alliées. A compter de Juin 1919, navigue pour le compte de l’État français sous le pavillon du
Comité interallié des transports maritimes, vraisemblablement sous la gérance de la
Compagnie de navigation Paquet. A titre de réparation des dommages de guerre, cédé par l'État français à cette compagnie en 1920, et renommé
Tadla.
Cédé en 1934 à l’armement
Vapurculuk Turk Anonim Sirketi, d’Istanbul
(Turquie), qui le renomme
Tari (The Ship List).
Sur les conditions de livraison de la flotte de commerce allemande aux Nations alliées antérieurement à la signature du Traité de Versailles, V. ici —> pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviati ... 3490_1.htm
• La Croix, n° 11.246, Vendredi 31 octobre 1919,
p. 4, en rubrique « Sur mer »
« Mouvement des navires. — [...] Le vapeur interallié Frankenwald, venant du Maroc, ayant à son bord 50 militaires et 400 tonnes de marchandises, est arrivé à Bordeaux. »
• La Croix, n° 11.281, Samedi 3 janvier 1920,
p. 4, en rubrique « Sur mer ».
« Mouvement des navires. — [...] Le paquebot interallié Frankenwald, ayant à son bord 250 militaires et un chargement de matériel pour le compte de l’État, a quitté Bordeaux Jeudi. »
• Le Gaulois, n° 16.220, Jeudi 2 mars 1922,
p. 3, en rubrique « Petites nouvelles de la nuit ».
«
De Constantinople : La mission kémaliste est partie par le vapeur Tadla pour Marseille et Paris. »
• Le Gaulois, n° 16.780, Vendredi 14 septembre 1923,
p. 4, en rubrique « Nouvelles en peu de mots ».
« De Marseille : Le vapeur Tadla, venant de Constantinople, est arrivé à Marseille. Il ramène 400 soldat de la base française en Orient. D’autres troupes sont attendues aujourd’hui. »
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Bien amicalement à vous,
Daniel.
