Rossignol-I — Patrouilleur, ex-baleinier suédois Odin (1916~1919).
Le patrouilleur Rossignol-I fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre :
— du 14 novembre 1916 au 10 décembre 1917 ;
— du 7 février au 27 septembre 1918 ;
— du 1er au 27 décembre 1918 ;
— du 17 mai au 24 octobre 1919, date de cessation des hostilités.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 762.]
Du 1er septembre 1917 au 1er septembre 1918, il appartint à la 4e Escadrille de patrouille de la Divi-sion des patrouilles de Bretagne, étant basé à Saint-Nazaire.
[• Lieutenant de vaisseau Georges Olivier Léon AUBIN : « Historique des patrouilles de Bretagne et de la Loire du 1er septembre 1917 à la fin de la guerre », École de guerre navale, Session 1923∽1924, 74 p. + V annexes ― Spécialement p. 42.]
Il fut mis en vente le 27 août 1919 par le Sous-secrétariat à la liquidation des stocks dans les locaux de la Préfecture maritime de Toulon selon la procédure d’adjudication publique sur soumissions cachetées (La Dépêche de Brest, n° 13.218, Mardi 5 août 1919, p. 4).
Furent également proposés à l’achat lors de la même vacation 15 autres grands chalutiers (Balsamine, Épervier, Étourneau-I, Eurvin, Fourmi, Furet-I, Girafe-II, Héron-I, Iris, Kangourou, Le Rusé, Lorien-tais, Œillet, Pingouin-I et Ville-de-Boulogne) et 11 autres de moindre tonnage (Bossoir, Clinfoc, Es-turgeon, Étalingure, Galhauban, Hareng, Hermine, Traversière, Trinquette, Truite-I et Zibeline).
Le patrouilleur Rossignol-I fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre :
— du 14 novembre 1916 au 10 décembre 1917 ;
— du 7 février au 27 septembre 1918 ;
— du 1er au 27 décembre 1918 ;
— du 17 mai au 24 octobre 1919, date de cessation des hostilités.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 762.]
Du 1er septembre 1917 au 1er septembre 1918, il appartint à la 4e Escadrille de patrouille de la Divi-sion des patrouilles de Bretagne, étant basé à Saint-Nazaire.
[• Lieutenant de vaisseau Georges Olivier Léon AUBIN : « Historique des patrouilles de Bretagne et de la Loire du 1er septembre 1917 à la fin de la guerre », École de guerre navale, Session 1923∽1924, 74 p. + V annexes ― Spécialement p. 42.]
Il fut mis en vente le 27 août 1919 par le Sous-secrétariat à la liquidation des stocks dans les locaux de la Préfecture maritime de Toulon selon la procédure d’adjudication publique sur soumissions cachetées (La Dépêche de Brest, n° 13.218, Mardi 5 août 1919, p. 4).
Furent également proposés à l’achat lors de la même vacation 15 autres grands chalutiers (Balsamine, Épervier, Étourneau-I, Eurvin, Fourmi, Furet-I, Girafe-II, Héron-I, Iris, Kangourou, Le Rusé, Lorien-tais, Œillet, Pingouin-I et Ville-de-Boulogne) et 11 autres de moindre tonnage (Bossoir, Clinfoc, Es-turgeon, Étalingure, Galhauban, Hareng, Hermine, Traversière, Trinquette, Truite-I et Zibeline).