YMER - Cargo norvégien et les Sauveteurs de l'ile d'Yeu

lannroz
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Re: YMER - Cargo norvégien et les Sauveteurs de l'ile d'Yeu

Message par lannroz »

Bonjour,
Bien noter que le prénon de mon père était René et non Pierre MARREC.
Rutilius
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Re: YMER - Cargo norvégien et les Sauveteurs de l'ile d'Yeu

Message par Rutilius »

.
Bonjour à tous,


Fernand TARDIF , Préfet de la Vendée : « Un département pendant la guerre », Librairie Guigné-Hurtaud, La Roche-sur-Yon, 3e éd., 1917, p. 24 à 34.

—> http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56261288


[…] En regard des actes de piraterie des Allemands, il importe de placer le dévouement et l’énergie dont ont fait preuve nos marins. Un exploit magnifique entre tous a été accompli en janvier 1917 par des marins de l’Île d’Yeu allant, dans les circonstances les plus dramatiques, au secours de marins norvégiens abandonnés en mer, après la destruction de leur navire par un sous-marin allemand.
Le vapeur norvégien Ymer ayant été torpillé et coulé le 23 janvier sur les côtes d’Espagne, sept des hommes de son équipage étaient montés sur une baleinière. L’embarcation en détresse au large fut signalée le 26 janvier par le sémaphore de la pointe de But à l’Île d'Yeu. Bien que la mer fût déchaînée, douze volontaires — la plupart, des hommes âgés ou infirmes — se groupèrent immédiatement et partirent sur le canot de sauvetage au secours des naufragés. Durant trois jours, par un froid extrême, sans vivres, les courageux sauveteurs luttèrent contre les éléments en furie. Lorsqu’ils purent enfin aborder la terre ferme, onze d’entre eux (six Français et cinq Norvégiens) sur les dix-neuf hommes que portait l’embarcation, étaient morts de fatigue, de faim et de froid. « C’est là, — disait le 17 mai 1917 à l’assemblée générale de la Société centrale des naufragés, M. le capitaine de vaisseau Babeau (1)le plus tragique, le plus douloureux événement qu’aient jamais eu à enregistrer les annales de notre société. » Et il le retraçait en termes d'une saisissante sobriété : « Il s’est déroulé entre l’Île d'Yeu et Concarneau dans les journées et les nuits des 26, 27 et 28 janvier de cette année (1917) à l’heure où sévissait sur nos contrées le froid rigoureux qui a aggravé tant de misères. Au cours de ces deux affreuses journées, six canotiers sur les douze que comptait l’équipage du canot Paul-Tourreil de l’Île d'Yeu sont morts de fatigue et de froid. Je suis sûr d'être l’interprète de cette assemblée en envoyant l’expression de sa très douloureuse sympathie, en même temps que l’hommage de son admiration et de ses regrets à la mémoire de ces braves qui se nomment : Pillet, Émile, 49 ans ; Pillet, Edmond, 50 ans ; Taraud, 47 ans ; Izacard, 44 ans ; Pelletier, 46 ans et Renaud, 26 ans (réformé).
Le Paul-Tourreil sorti aune heure de l’après-midi pour recueillir des naufragés montant une baleinière du vapeur norvégien Ymer torpillé au large, rejoignit rapidement ces malheureux et les prit à son bord. La mer était assez grosse et les vents droit debout contrariaient la marche du canot, qui dut mouiller vers 5 heures du soir à un mille dans le nord de l’île, afin d’attendre le renversement du courant. Pendant qu’il était au mouillage, le vent d’Est fraîchissait, et à 9 heures le câble rongé par le frottement sur les roches du fond cassait, au moment où une furieuse tempête de neige et de verglas s’abattait sur la mer. Nos hommes
essayèrent de lutter à l’aviron, mais bientôt épuisés, ils se décidèrent à hisser les voiles et à
tenter de gagner Belle-Île. Malheureusement la tempête les obligeait à ramasser leur voilure et le Paul-Tourreil devenait le jouet des flots. Trois hommes, dès cette première nuit, mouraient d'épuisement ; huit autres devaient succomber successivement. Belle-Île manquée, le patron Devaud espéra atteindre Groix : il avait pu rétablir la voilure ; mais il était trop sous-venté et ce ne fut que le lendemain à midi qu'il put atterrir à l’ouest de Concarneau, dans la presqu’île de Raguénès, après être resté 48 heures à la barre par une température de plus de 10° au-dessous de zéro dans une mer démontée dont chaque vague glacée balayait l’embarcation et ajoutait aux souffrances des malheureux canotiers. II déploya dans ces circonstances une force d’âme admirable, devant le spectacle de l’agonie de six de ses camarades et de cinq des marins étrangers qu’il avait recueillis.
»
Les corps des marins français et norvégiens furent inhumés côte à côte dans le cimetière de Névez (Finistère). Les dépouilles des sauveteurs islais furent bientôt transférées par les soins de la Société centrale de sauvetage à l’Île d’Yeu, où eurent lieu le 2 mai 1917 des obsèques solennelles (2). La presse française (3) et étrangère avait appelé l’attention du monde entier sur la vaillance et l’abnégation dont avaient fait preuve les héroïques marins de l’Île d’Yeu. La Société centrale de sauvetage (4), la Ligue du souvenir de la France à ses marins, le Comité départemental de secours de Vendée, le Département de la Vendée, firent parvenir des secours aux familles des victimes, ou adressèrent des témoignages de gratitude aux sauveteurs survivants.
La Norvège, elle, tint à manifester de façon éclatante sa reconnaissance pour nos marins, et à affirmer en même temps sa sympathie pour notre pays. Aidé par la presse, le gouvernement norvégien organisa au profit des sauveteurs une souscription qui atteignit plus de 200.000 fr. et prit ainsi le caractère d'une manifestation nationale (5). Le ministre de Norvège à Paris, le baron de Wedel-Jarlsberg, se rendit officiellement à l’Île d'Yeu le 18 juin 1917 avec le haut personnel de sa légation (6) pour remettre aux marins islais ou à leurs familles les récompenses décernées par le roi de Norvège et le produit de la souscription. Il était escorté du préfet de la Vendée, représentant du Gouvernement français, des délégués du ministre de la Marine et du sous-secrétaire d’État de la Marine marchande, de MM. le Dr Pacaud, député des Sables-d’Olonne, Hugues Le Roux, rédacteur au Matin, Rousseau, rédacteur au Temps, et des représentants de la presse norvégienne et de la presse régionale française.
Ce fut une cérémonie particulièrement impressionnante que celle à laquelle présida le ministre de Norvège. Désireux de s’associer au caractère de grandeur et de solennité qu' avait voulu lui donner le ministre (7), le Gouvernement français avait mis à la disposition de ce dernier deux vedettes armées et un torpilleur que survolaient trois avions. Dès son débarquement, le ministre veut se rendre au cimetière. Aux six marins sauveteurs, que
lui présente le maire, il confie les couronnes commémoratives en bronze ciselé, portant l’inscription « La Norvège reconnaissante » qu’il va déposer sur les tombes des marins islais victimes de leur dévouement. Et un long cortège s’achemine vers le petit cimetière de l’Île. Là, le ministre place lui-même chaque couronne sur la tombe d’un marin, tandis que les familles des disparus, secouées de sanglots, font entendre de longs gémissements.
Le spectacle est poignant et c’est le cœur serré par l’émotion que nous quittons le cimetière. Au retour, nous croisons devant l’hôpital quelques Sénégalais, échappés de la catastrophe du Séquana, paquebot torpillé quelques jours avant, dans les parages de l’Île d’Yeu. C’est l’antithèse vivante entre le dévouement des sauveteurs Français et la piraterie des Allemands.
Sur la place de la mairie, une estrade est préparée pour recevoir le ministre et les personnes qui l’accompagnent. Prenant la parole, le baron de Wedel-Jarlsberg rend hommage à la vaillance des marins de l’Île d'Yeu. Et en termes dont la valeur est renforcée par les circonstances, il ajoute :
« De ces braves, les uns ont donné leur vie, les autres ont risqué la leur pour sauver et non pour tuer. Voilà la France !
« Par leur héroïque sacrifice les marins de l’Île d'Yeu ont glorifié l’humanité et magnifié le nom de leur Patrie. Les vrais marins ont des lois qui sont communes a tous ceux qui pratiquent la lutte magnifique de l’homme contre l’élément. Ils ont le même culte de l’honneur, le même sentiment fraternel de l’assistance que l’on se doit, même dans les épreuves de la guerre, entre marins.
« Le culte de l’honneur des marins, il existe dans vos cœurs, chers marins Français de l’Île d'Yeu. Il s’éclaire de toutes les grandeurs du sacrifice, de l’héroïsme toujours prêt à voler au secours de vos frères de la mer, et c’est parce qu’une fois de plus vous venez de donner le spectacle de ce merveilleux dévouement que je suis ici aujourd’hui.
»
Puis, le ministre annonce que pour commémorer l’action des sauveteurs islais, le Gouvernement norvégien a créé deux prix annuel de 400 francs destinés à récompenser des habitants ou des habitantes de l’île qui se seront signalés par leur courage et leur noble conduite. Un monument sera érigé dans l’île pour perpétuer le souvenir du sauvetage des marins de l’Ymer. A chacun des sauveteurs survivants, le ministre décerne au nom du roi de Norvège une médaille « de noble conduite ». Il lui donne un titre de rente de huit cents francs, et une bourse contenant cinq cents francs nouée aux couleurs de la France et de la Norvège. C’est maintenant au tour des veuves de recevoir les mêmes sommes. L’une d’elles, qui porte dans les bras un enfant nouveau-né, s’avance vers l’estrade. « Attendez, je vais descendre », dit le ministre, et avec une grâce charmante, c’est lui qui va vers elles, vers leurs enfants orphelins.
Le Dr Pacaud et le préfet remercient le ministre, le premier au nom de la population de l’Île d’Yeu, le second au nom du Gouvernement. Le directeur de l’Inscription maritime de Bordeaux, délégué du sous-secrétaire d’État de la Marine marchande, distribue aux sauveteurs les médailles de sauvetage qui leur ont, été conférées par le Gouvernement français : médaille de sauvetage en vermeil au patron Noë Devaud, médailles en argent de première classe à ses compagnons Oscar Plessis, Pierre Gérard, Jean Baptiste Tonnel, Emmanuel Turbé et Alexandre Gouillet.
Tous ces braves gens assistèrent au déjeuner offert au ministre. Avec quelle simplicité ils
accueillirent les louanges qui leur furent adressées, le maître écrivain Hugues Le Roux, envoyé spécial du Matin, va le dire dans le vibrant article qu’il a consacré à la cérémonie (8). « Ceci doit faire le tour du monde. Le patron de la barque héroïque, Noé Devaud, à côté de qui j’étais assis au banquet me dit :
" Je suis resté à ma barre trente et une heures sans m’assir (sic), cinquante et une heures sans manger. Mon beau-frère Pillet, dont vous avez vu la femme à genoux sur la tombe avec un petit enfant qui est né huit jours après la mort du père, s’est trouvé près de moi au dernier moment. II m’a dit : " Je n’en peux plus. Adieu vat ! " Il est mort avec des glaçons qui l’enveloppaient. C’est le destin du marin. Le fait est que, quand nous sommes sortis, nous ne savions pas que c’étaient des Norvégiens qui étaient en péril, nous savions seulement que
c’étaient des marins qui étaient en détresse. Si c’avait été des Allemands qu’on aurait trouvés dans l’embarcation, on les aurait secourus tout de même ! ça se doit ! "
« Et voilà ce qu'il faut que la France et le monde entendent. » […]

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(1) Annales du sauvetage maritime, 1er et 2e trimestres 1917, pages 17, 18. Rapport sur les principaux sauvetages accomplis dans l’année.

(2) Les obsèques furent célébrées en présence des représentants de la Société, du ministre de la Marine, du sous-secrétaire d’État de la Marine marchande, de l’administration préfectorale et de la municipalité.

(3) Le Matin, n° du 1er février 1917 ; l’Illustration, n° du 10 mars 1917.

(4) La Société attribua à chacune des veuves des marins sauveteurs une pension de 500 francs, augmentée de 150 francs par enfant de moins de 16 ans.

(5) Discours du baron de Wedel-Jarlsberg à l’Île d’Yeu.

(6) Le colonel L’Orange, attaché militaire et M. de Bentzon, conseiller de légation.

(7) « Le ministre Wedel-Jarlsberg, avec le sentiment sûr et intelligent qu’il était le repré-sentant non seulement des milliers de Norvégiens qui ont donné leur obole aux sauveteurs et aux survivants de l’Île d’Yeu, mais aussi le représentant des marins norvégiens, du peuple norvégien tout entier, d’une extrémité a l’autre du pays, uni comme jamais — a voulu donner à cette cérémonie une empreinte de grandeur et de solennité comme il convient à deux nations qui se saluent dans un temps difficile et critique.
« Par suite de la grande influence et de l’estime que le ministre a su gagner par son tact et ses capacités, et par suite également de la sincère et cordiale amitié qui existe entre les deux pays, encore renforcée par la guerre, il va de soi que les autorités françaises de leur côté ont fait tout ce qu’elles pouvaient pour souligner ce qu’il y avait de grandeur dans l'acte de reconnaissance envers les sauveteurs, les marins, et les vivants.
» (Extrait de l’article publié dans le journal norvégien l’Aftenposten par son envoyé spécial le docteur Froïs Froïsland, sous le titre « La Reconnaissance de la Norvège aux marins de l’Île d’Yeu. » (Traduction due à l’amabilité du consul de Norvège à Nantes).

(8) Le Matin, n° du 19 juin 1917.

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Nota : Notes infrapaginales de l'ouvrage, renumérotées par commodité.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Rutilius
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Re: YMER - Cargo norvégien et les Sauveteurs de l'ile d'Yeu

Message par Rutilius »

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Bonjour à tous,


• A propos du canotier Alexandre Gabriel GOUILLET, né le 12 juillet 1898 à l’Île d’Yeu (Vendée) et y décédé le … 1946, V —> http://www.famille-bretet.net/FicheGoui ... xandre.htm
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Memgam
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Re: YMER - Cargo norvégien et les Sauveteurs de l'ile d'Yeu

Message par Memgam »

Bonjour,

Source : L'Illustration, n° 3862 du 10 mars 1917, page 205, dans : "La tragique odyssée des sauveteurs de l'île d'Yeu", pages 204 à 209.

Cordialement.

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Memgam
Memgam
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Re: YMER - Cargo norvégien et les Sauveteurs de l'ile d'Yeu

Message par Memgam »

Bonjour,

Le matelot Alexandre Gouillet, cité par Rutilius, est le troisième en partant de la gauche, les mains sur les genoux, sur la photo publiée ci-dessus par feu Ar Brav, extraite de l'article du journal Le Marin de 2009.
Cette photo des six rescapés était parue dans l'Illustration du 10 mars 1917 avec la légende : "Les six survivants du canot de sauvetage de l'île d'Yeu, un mois après les nuits de froid et de tempête : une heure de soleil sur la cale de lancement à Port Joinville, Photo Guillet : Noé Devaud, Baptiste Tonnel, Alexandre Gouillet, Emmanuel Turbé, PierreGirard, Olivier Plessis.

Cordialement.
Memgam
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breizou
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Re: YMER - Cargo norvégien et les Sauveteurs de l'ile d'Yeu

Message par breizou »

Bonsoir,

Voici les decedes de cette tragedie retranscrits a Nevez dans le registre des deces de l'annee 1917:

Emile_Berg_LARSEN, matelot norvegien:
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Robert_SKAAR, matelot norvegien:
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Henrik_SVENSSON, second maitre mecanicien suedois:
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Mathias_ROSTBERG, matelot norvegien:
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xxx, cuisinier hollandais
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Joseph_Emile_PILLET, marin pecheur:
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Edmour_Emmanuel_Georges_PILLET, marin pecheur:
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Adolphe_Alexandre_IZACARD, marin pecheur:
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Jacques_Armand_TARAUD, marin pecheur:
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Pierre_Alfred_Leonidas_PELLETIER, marin pecheur:
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Joseph_Ernest_Leon_RENAUD, marin pecheur:
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Breizou
landelle
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Re: YMER - Cargo norvégien et les Sauveteurs de l'ile d'Yeu

Message par landelle »

En savoir plus sur le nom du canot de sauvetage / Lieutenant de vaisseau Paul Tourreil / http://ecole.nav.traditions.free.fr/off ... joseph.htm
lahoule
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Re: YMER - Cargo norvégien et les Sauveteurs de l'ile d'Yeu

Message par lahoule »

Bonjour à tous les participants de ce post.

Le propriétaire de l'Ymer n'était autre que mon arrière grand père norvégien.
Je reviens de Bergen où j'ai commencé des recherches sur une branche lointaine de mon histoire familiale que la lecture de vos écrits m'a révélé. Encore merci à vous.

J.Lund

Bonsoir,
je suis adjointe à la mairie de Névez en Bretagne sud, 27 janvier prochain nous commémorons avec les familles de l'Ile d'yeu le centenaire du naufrage de l'Ymer. En effet , c'est dans notre commune que sont à ce jour inhumés robert Skaar 18 ans de Bergen,Henrik Svenson de Karlshamm en Suède 46 ans,Mathias Rostberg de Molde 23 ans,Emil Berg Larsen de Tromso 25
M.CROGUENNEC
lahoule
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Re: YMER - Cargo norvégien et les Sauveteurs de l'ile d'Yeu

Message par lahoule »

Bonjour à tous les participants de ce post.

Le propriétaire de l'Ymer n'était autre que mon arrière grand père norvégien.
Je reviens de Bergen où j'ai commencé des recherches sur une branche lointaine de mon histoire familiale que la lecture de vos écrits m'a révélé. Encore merci à vous.

J.Lund

Parmi les morts de l'Ymer il reste le cuisinier Hollandais qui n'a pas de nom mais est déclaré âgé de 63 ans ,il avait été embarqué à Newcastle. Les survivants Norvégiens avaient été incapables de le nommer. Nous devons refaire pour le centenaire la plaque de la tombe. Pourriez-vous retrouver dans vos recherches en Norvège un rôle d'équipage qui permettrait de nommer toutes les victimes?Je vous donne mon courriel et cela presse, nous ne sommes plus très loin du 28/01/2017. [email protected]
M.CROGUENNEC
dominique85
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Re: YMER - Cargo norvégien et les Sauveteurs de l'ile d'Yeu

Message par dominique85 »

Parmi les morts de l'Ymer il reste le cuisinier Hollandais qui n'a pas de nom mais est déclaré âgé de 63 ans ,il avait été embarqué à Newcastle. Les survivants Norvégiens avaient été incapables de le nommer. Nous devons refaire pour le centenaire la plaque de la tombe. Pourriez-vous retrouver dans vos recherches en Norvège un rôle d'équipage qui permettrait de nommer toutes les victimes?Je vous donne mon courriel et cela presse, nous ne sommes plus très loin du 28/01/2017. [email protected]
Olivier plessis était de ma famille et moi même je suis canotier de la snsm de l'ile d'yeu
Je suis à la. Recherche des plans. Et photos de l'ymer afin de réaliser une maquette de celui ci
Merci de me faciliter mes recherches ou m'indiquer où je pourrais m'adresser pour obtenir ces documents
Mon e mail [email protected]
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