Somme II — Patrouilleur auxiliaire (1915~1919), ex-chalutier La Somme (B. 285) de l’armement Vidor frères et Cie, de Boulogne-sur-Mer.
Le patrouilleur auxiliaire Somme II fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre du 10 février 1915 au 16 décembre 1918.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 766.].
Restitué par la Marine à son armateur début 1919, ce chalutier fut réarmé à Boulogne-sur-Mer le 29 mars 1919 en vue d’une première campagne de pêche sur les bancs de Terre-Neuve. En 1920, il fut cédé à la société en nom collectif Acher, Duhamel & Gournay, établie à Fécamp, au 26, Grand-Quai, étant ré-immatriculé F. 395. En 1925, il passa à la société anonyme dite « La Morue française et Sécheries de Fécamp » [80, rue Taitbout, Paris (XIe Arr.)], personne morale qui fut plus simplement renommée « La Morue française » le 15 mars 1927.
Le 1er mars 1929, alors qu’il gagnait les bancs de Terre-neuve après avoir charbonné à Newport (Pays de Galles, Royaume-Uni), il s’échoua sur les rochers de Southend (Écosse, Royaume-Uni). Après avoir été remis à flot, il fut remorqué jusqu’à Lamlash (Île d’Arran, Écosse), mais ne put être réparé. Les 37 hommes d’équipage, dont le capitaine François HEUZÉ, furent tous saufs.
[Jack DAUSSY : « Les chalutiers morutiers fécampois », Imp. L. Durand & Fils, Fécamp, 1991, p. 47 et 48.].
Le patrouilleur auxiliaire Somme II fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre du 10 février 1915 au 16 décembre 1918.
[Circulaire du 25 avril 1922 établissant la Liste des bâtiments et formations ayant acquis, du 3 août 1914 au 24 octobre 1919, le bénéfice du double en sus de la durée du service effectif (Loi du 16 avril 1920, art. 10, 12, 13.), §. A. Bâtiments de guerre et de commerce. : Bull. off. Marine 1922, n° 14, p. 720 et 766.].
Restitué par la Marine à son armateur début 1919, ce chalutier fut réarmé à Boulogne-sur-Mer le 29 mars 1919 en vue d’une première campagne de pêche sur les bancs de Terre-Neuve. En 1920, il fut cédé à la société en nom collectif Acher, Duhamel & Gournay, établie à Fécamp, au 26, Grand-Quai, étant ré-immatriculé F. 395. En 1925, il passa à la société anonyme dite « La Morue française et Sécheries de Fécamp » [80, rue Taitbout, Paris (XIe Arr.)], personne morale qui fut plus simplement renommée « La Morue française » le 15 mars 1927.
Le 1er mars 1929, alors qu’il gagnait les bancs de Terre-neuve après avoir charbonné à Newport (Pays de Galles, Royaume-Uni), il s’échoua sur les rochers de Southend (Écosse, Royaume-Uni). Après avoir été remis à flot, il fut remorqué jusqu’à Lamlash (Île d’Arran, Écosse), mais ne put être réparé. Les 37 hommes d’équipage, dont le capitaine François HEUZÉ, furent tous saufs.
[Jack DAUSSY : « Les chalutiers morutiers fécampois », Imp. L. Durand & Fils, Fécamp, 1991, p. 47 et 48.].