DANTON - Cuirassé

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Ar Brav
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Re: DANTON - Cuirassé

Message par Ar Brav »

Bonjours a tous,
C'est formidable, ce que vous avez deja fait. Mes salutations! Je vois por la premiere fois un source aussi comprehensive, concernant la Flotte francaise. Excusez moi des fautes )

Ici il y a un peu de Danton
http://www.battleships.ru/warships/dant ... alkov.html
Bonjour Dimitry,

Soyez le bienvenu parmi nous, et bonnes recherches. Pour vous rendre les recherches plus faciles, vous avez un mémento ICI

Vous disposez aussi du moteur de recherche rapide du forum (case en haut à droite + petite loupe)

Bien cordialement,
Franck

PS. Ne vous inquiétez pas pour les fautes, j'en fais aussi, et pas des moindres :lol:
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
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Gilles 61-14
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Re: DANTON - Cuirassé

Message par Gilles 61-14 »

Bonjour,

Un Calvadosien disparu en mer le 19 mars 1917 avec le Danton :

PIRON Louis, né le 25 août 1894 à Méry-Corbon, Matelot de 2e Classe Mécanicien.

Cordialement.

Gilles
"Les hommes, c'est des choses qui pensent un peu, et qui, surtout, oublient." Henri Barbusse - Le Feu.
Rutilius
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DANTON ― Cuirassé d’escadre, premier du type (1911~1917).

Message par Rutilius »

Bonsoir à tous,


L’Ouest-Éclair ― éd. de Caen ―, n° 5.591, Samedi 24 nov. 1917,
p. 4, en rubrique « Nouvelles maritimes ».

I. - .JPG
I. - .JPG (126.58 Kio) Consulté 1171 fois
II. - .JPG
II. - .JPG (41.42 Kio) Consulté 1171 fois
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Bien amicalement à vous,
Daniel.
Rutilius
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DANTON ― Cuirassé d’escadre, premier du type (1911~1917).

Message par Rutilius »

Bonsoir à tous,

□ Au nombre des bâtiments ayant prêté assistance aux survivants du naufrage du cuirassé d'escadre Danton, figuraient non seulement le torpilleur d'escadre Massue, alors commandé par le lieutenant de vaisseau Charles Lucien CANTENER, mais encore le modeste patrouilleur auxiliaire Louise-Marguerite, dont le commandant était le premier maître de manœuvre auxiliaire Marcel FRISON. Ce qui valut à ce dernier un témoignage officiel de satisfaction, ainsi qu'à son équipage (L’Ouest-Éclair ― éd. de Caen ―, n° 5.591, Samedi 24 nov. 1917, p. 4, en rubrique « Nouvelles maritimes »)
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Bien amicalement à vous,
Daniel.
gildelan
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Re: DANTON - Cuirassé

Message par gildelan »

Bonjour, bonsoir,
Ci-dessous, les extraits des rapports officiels relatant les deux derniers jours du cuirassé DANTON, tels qu'ils ont été inscrits, à l'époque, sur le Livre d'Or de la Marine - guerre 14/18.
Cordialement - Gilbert

DANTON
Cuirassé

1 citation à l’Ordre de l’Armée.
Le cuirassé DANTON, commandé par le capitaine de Vaisseau DELAGE, appartenait à la 2ème Escadre de la 1ère Armée navale. Il a été torpillé le 19 mars 1917 sur la côte de Sardaigne.

Texte de la Citation à l’Ordre de l’Armée
(Journal Officiel du 15 octobre 1919)

« Le cuirassé DANTON, atteint de deux torpilles le 19 mars 1917, au large du cap San-Pietro, a chaviré et coulé aux cris de : « Vive la France », engloutissant 296 officiers, officiers-mariniers et matelots ».

Extraits des rapports officiels

Le DANTON avait quitté Toulon le 18 mars 1917 à 17h30 à destination de Corfou. Il était escorté par le torpilleur d’escadre MASSUE.
Il y avait à bord 946 officiers et hommes composant l’équipage, plus 155 marins passagers rejoignant leurs bâtiments.
Le poste de veille avait été pris dès la sortie de la rade.
Le 19 mars à 13h15, le DANTON se trouvait à 28 milles dans sud-ouest de San-Pietro faisant route à 14,5 n au S.40 E. avec crochets sur la gauche de la route. Le MASSUE faisait une route rectiligne à 1500 mètres sur son avant ; il côtoyait, par la suite, le bord droit de la zone où se trouvait le DANTON.
Petite brise d’O.N.O., mer clapoteuse, lames de un mètre, conditions favorables à une attaque de sous-marin. Le DANTON a été attaqué sans avoir vu de périscope. C’est la hune qui donna l’alarme au vu d’un sillage dont l’origine était proche, 300 à 600 mètres, au dire des témoins.
L’alerte fut ordonnée de la passerelle, le canon de 47 bâbord de la tourelle avant tira un coup de canon dans la direction du sillage et ne continua pas le feu, ne voyant pas de périscope à indiquer aux pièces. Celles-ci ne purent ouvrir le feu faute d’objectif.
Le bâtiment fut frappé coup sur coup de 2 torpilles, à l’avant et au centre. Il s’inclina de 5 à 7° sur bâbord en plongeant de l’avant et resta dans cette position.
Tout le monde eut alors l’impression que le bâtiment tiendrait ainsi : le Commandant vint sur la droite pour essayer d’atteindre Bizerte mais, au bout de dix minutes, la bande commença à s’accentuer, lentement d’abord, puis rapidement, et le bâtiment chavira au bout de 30 à 35 minutes.
Au premier moment, on ne sut qu’une chose : les torpilles avaient explosé sur l’avant de la tourelle de 30 avant et par le travers des chaufferies avant, soulevant des gerbes d’eau qui retombaient sur la passerelle et vers la cheminée 3. On n’a vu qu’un seul sillage : c’est donc que les 2 torpilles se suivaient sur une même trajectoire. Il faut en conclure que l’intervalle entre les deux explosions a été de 4 à 5 secondes, l’écartement des points d’impact étant d’environ 30 mètres et la vitesse du bâtiment de 7 mètres par seconde.
Il y eut à la seconde explosion extinction presque générale de la lumière dans la partie avant du bâtiment et dans les machines, due au bris du conducteur et à des courts-circuits car les dynamos continuaient à tourner. Dans les machines, la pression baissa au registre, mais au bout de quelques instants seulement. La chaufferie 2 fut rapidement envahie par l’eau qui se déversait par la porte de la soute à charbon. On put l’évacuer en hâte. Partout ailleurs, le personnel de service resta à son poste, les armements des pièces prêts à ouvrir le feu, les chauffeurs activant la chauffe, les mécaniciens surveillant les appareils. On doit une mention spéciale aux équipes de chauffe et de machines qui, sous la direction des officiers et des officiers-mariniers uniquement préoccupés de faire leur devoir, restèrent à leur poste, ou reçurent l’ordre d’évacuer, ne quittant leur poste qu’après avoir effectué les manœuvres nécessaires.
Comme le MASSUE qui avait rebroussé chemin tirait du canon et lançait des grenades, quelques-uns crurent que le sous-marin était coulé. On cria « Hourrah ! », on était vengé. Un ordre parfait régna jusqu’à la fin.
L’équipage fut envoyé aux postes de combat. Cet ordre ne fut que partiellement exécuté. On ne pouvait arriver dans les fonds dans la partie avant, les officiers renvoyèrent les hommes sur le pont.
Les témoignages recueillis sont trop peu précis pour suivre les progrès de la bande aves quelque certitude. Ils permettent seulement de dire que son accroissement a été lent au début pendant une dizaine de minutes, qu’il y avait 20 à 25° au bout de 15 à 20 minutes et qu’un peu plus tard le mouvement de rotation s’est continué d’une façon lente et continue jusqu’aux environs de 90°, pour se terminer par le retournement brusque.
S’il a été possible de faire cette reconstitution approximative, on ne put se rendre compte au moment du torpillage de l’importance des avaries. Tout d’abord, ainsi que nous l’avons dit, l’immobilisation du navire sous une inclinaison qui ne paraissait pas compromettante donna l’illusion que les blessures du bâtiment n’étaient pas mortelles.
Le Commandant DELAGE avait demandé si tout allait bien dans les machines et il lui avait été répondu affirmativement. Au Commandant en second qui lui rendait compte d’une première visite, il dit qu’il ne pensait pas qu’il y eut danger immédiat. Après une seconde inspection au centre et à l’avant, le Capitaine de Frégate JURAMY fit un nouveau rapport dans lequel il manifesta ses craintes. A ce moment, les hommes remontaient du poste central, les communications étaient interrompues avec la machine. La commande électrique de la barre ne fonctionnait plus. Le Commandant donna l’ordre de mettre les embarcations à la mer. Cependant, il n’avait pas perdu tout espoir. Il avait donné l’ordre de fermer les sabords de la batterie de 75. Le maître de timonerie se rendit au compartiment de la barre pour faire actionner la roue à bras.
Des efforts avaient été faits pour combattre les effets des voies d’eau.
Le maître mécanicien LE VERGOZ (disparu) attaché au service de sécurité s’occupa des portes étanches et des soupapes de drain. Il se multiplia.
Le maître GOURIOU de service dans les chaufferies se multiplia également aux plateformes et aux chaufferies avant.
Le mécanicien en chef MIGNOT donna avec calme les ordres nécessaires aux machines et aux chaufferies. Dans les machines, l’officier de quart essaya de redresser le bâtiment en remplissant les doubles fonds tribord.
Il fut impossible de débarquer les embarcations, les convertisseurs des grues étant hors de service comme la plupart des appareils électriques.
Il en fut de même de ceux des radeaux qui étaient au centre du bâtiment. Ceux qui se trouvaient sur les tourelles et sur les plages furent jetés à la mer. Les officiers chargés de faire mettre à l’eau embarcations et radeaux firent jeter ensuite à la mer le bois qui se trouvait sur le pont, buts de tirs, planches à charbon, avirons, etc. La bande était alors très forte, on marchait difficilement sur le pont. Le Commandant donna l’ordre de faire évacuer le bâtiment.
Entre temps, les fonds avaient été évacués, tout le personnel monta avant le chavirement. On se massait à tribord arrière, les hommes franchissant les rambardes pour passer sur la coque au fur et à mesure que l’inclinaison du navire s’accentuait. Le dernier ordre du Commandant qui se tenait cramponné sur la passerelle fut de faire presser l’évacuation. Puis, se découvrant, il poussa le cri de « Vive la France ». A son imitation, mille poitrines poussèrent par trois fois ce même cri et chacun quitta le bord en se mettant à l’eau, soit par l’arrière, soit par les flancs, en se laissant glisser le long du bord. Les derniers franchirent la quille à roulis et marchèrent sur le fond du navire pour se mettre à la mer de l’autre bord.
Il ne restait plus qu’à recueillir les naufragés qui se trouvaient sur une douzaine de radeaux, une baleinière (l’autre avait chaviré), une vedette (projetée à la mer), et surtout accrochés aux nombreuses épaves. Le MASSUE s’y employa circulant au milieu des épaves pour recueillir d’abord de préférence les isolés. Il prit ainsi près de 500 hommes eu deux heures. Ace moment, le chalutier LOUISE MARGUERITE qui avait perçu les appels d’alarme, arrivait sur les lieux. Le MASSUE surchargé, lui laissa ses embarcations pour concourir au sauvetage et fit route sur le port le plus proche.
Rencontrant à quelques milles le chalutier CHAUVEAU qui lui n’avait pas recueilli les appels, le Commandant du MASSUE l’envoya aussi sur les lieux du naufrage. Il y arriva vers 17 heures. Le LOUISE MARGUERITE s’éloigna avec 315 naufragés recueillis en majeure partie sur les radeaux et laissa au CHAUVEAU le soin d’achever le sauvetage. Parcourant jusqu’à la nuit et faisant explorer par les embarcations le champ d’épaves, ce chalutier recueillit environ 15 hommes dont deux ne purent être rappelés à la vie.
Le MASSUE fit route sur Cagliari où il arriva à 23 heures. Le LOUISE MARGUERITE se dirigea sur Ajaccio qu’il atteignit le 20 à 19 heures. Le CHAUVEAU passa ses naufragés sur le LAHIRE qui les porta à Toulon et continua sa croisière. L’EPIEU et le CATAPULTE arrivèrent plus tard sur les lieux du sinistre.
Le nombre des disparus s’élève à 296. Le Commandant DELAGE, resté cramponné à sa passerelle jusqu’au bout et la plupart des officiers et officiers-mariniers ont péri. Sauf 2 soutiers qui ‘ont pu évacuer leur chaufferie, tout le monde est monté sur le pont avant le chavirement et le plus grand nombre a succombé à la congestion ou bien à la fatigue en attendant l’arrivée des secours. Un certain nombre de naufragés n’ont pu être rappelés à la vie qu’avec des soins énergiques ; plusieurs ont succombé après avoir été recueillis.
Le médecin principal LE MARC’HADOUR raconte ainsi la fin du DANTON :
« La bande était si forte qu’il fallait marcher à 4 pattes dans la batterie.
Soutenu par les trois infirmiers, les 2 blessés graves furent sortis par l’embrasure du canon de 75 avant. Je suivis la même voie. Nous nous trouvions debout sur la cuirasse, juste sous la passerelle.
Je vis le Commandant qui était à l’extrémité de la passerelle, accroché à la rambarde. Près de lui étaient les capitaines DELORD et LAMBERT : « Avez-vous évacué tout votre monde ? – Oui, Commandant. – Avez-vous des blessés ? – Six, Commandant dont un grave qui est ici avec moi. – Faites évacuer tout votre monde, mon petit, il est grand temps. – C’est votre ordre Commandant ? – C’est mon ordre, mon petit. »
Le Commandant et ses deux compagnons étaient admirables de calme. Le Commandant m’a donné ses ordres avec une douceur dans la voix où je reconnus avec émotion l’intention d’un adieu. Je fis un geste de la main à mes camarades LELORD et LAMBERT et regardai autour de moi.
Le bateau était presque couché sur bâbord, la quille à roulis était hors de l’eau. Dans le lointain, j’aperçus quelques radeaux couverts de monde : je ne puis en dire le nombre. Il y avait déjà beaucoup d’hommes à la mer. A ma droite, le Lieutenant de Vaisseau COLLIN, plein d’ardeur communicative et d’héroïque bonne humeur, encourageait les hommes et jetait des espars à la mer. Les hommes debout sur la cuirasse étaient admirables de calme.
A ma gauche, mon personnel infirmier et les blessés étaient rassemblés. La bande augmentait toujours, le bateau allait chavirer.
Le Lieutenant de Vaisseau COLLIN levant sa casquette jette un cri sonore de « Vive la France », « Vive le DANTON ». Nous le reprenons tous, et nous nous laissons glisser à la mer d’une hauteur de 10 mètres environs. Beaucoup d’hommes ont dû se blesser sur la quille à roulis comme je l’ai fait moi-même. A peine à l’eau, nous fûmes pris par les remous du navire qui chavirait, et séparés.
Je nageais depuis un temps indéterminé, rencontrant déjà beaucoup de cadavres, mes forces s’épuisaient. Je n’avais qu’un collet de caoutchouc dont le coefficient de flottabilité est bien faible quand, avec une touchante et héroïque abnégation, des hommes accrochés à une poutre m’appelèrent pour me faire partager leur précaire moyen de salut. Ce fait souligne bien la belle valeur de nos hommes et leur dévouement. »

Il est impossible de noter les nombreux actes d’héroïsme accomplis au cours de ce tragique évènement. Il faudra se borner à citer quelques noms.
Ont doit s’incliner devant la noble figure du Commandant DELAGE qui, après avoir donné des ordres avec calme jusqu’à la fin, dit adieu à ses hommes et, accroché à la rambarde de la passerelle, resta avec son navire.
DELAGE ne faisait qu’un avec le DANTON dont il était l’âme. Homme d’une énergie extrême, d’une vigueur peu commune, il alliait à ces solides qualités du corps celle d’une brillante intelligence et d’un zèle toujours en éveil vers le devoir.
Ardent patriote, grand cœur, il avait le mépris le plus absolu du danger et craignait seulement de ne pas être présent au jour de la bataille.
Dur pour les autres, mais surtout dur pour lui-même, son équipage avait en lui une confiance absolue et était fier de servir sous les ordres d’un tel chef.
Sa crânerie au feu était légendaire. Le Vice-amiral FAVEREAU, après une inspection du bâtiment, avait prononcé un jour ces paroles : « Un DANTON commandé par un DELAGE, c’est une force dans une escadre ! », et on aimait dire que le cuirassé ennemi qui aurait à soutenir le feu du DANTON ne résisterait pas longtemps. Sous la direction du Commandant DELAGE, tous les marins du DANTON n’eussent pas manqué de devenir au combat des héros.
Le 19 mars, tous ses officiers, à son exemple, ont fait leur devoir pour assurer le salut du navire d’abord, de l’équipage ensuite. Presque tous sont morts.
Le premier-maître mécanicien PINEAU, les maîtres mécaniciens LE VERGOZ (disparu), GOURIOU, CASTILLON ont pris des initiatives intelligentes, se sont multipliés, ont donné avec calme les ordres nécessaires.
Parmi le personnel des chaufferies et des machines, il faut citer les seconds-maîtres JOURDEN, MAGUERES, GUILLOU, CHAIM, GUILLERM, FLOCH, des chaufferies, les premiers disparus, le second-maître MARSHALL, le matelot MONTANARD, qui ont aidé aux manœuvres avec intelligence et dévouement, le quartier-maître chauffeur MILBEO, les chauffeurs LE MEUR et KERMAIDIC, le matelot CAPGRAS, auxquels il fallut intimer l’ordre d’évacuer la chaufferie arrière qu’ils ne voulaient pas quitter, le second-maître LE GUILLIDIC, le quartier-maître LE LOUET, les matelots ROMAN, MONTTE, BOUCHERON, SOUBIRAN, occupés jusqu’au dernier moment aux manœuvres de redressement.
Le premier-maître de timonerie LE CHEVERT (disparu), le quartier-maître électricien GUILLAS, ont fait tout le possible pour remédier à la paralysie de l’appareil à gouverner.
Le second-maître canonnier MALLEJAN, le matelot électricien REZE, ont fait avec sang-froid les manœuvres nécessaires au poste central, qu’ils n’ont quitté que chassés par l’eau. MALLEJAN est mort victime de son dévouement s’étant mis à l’eau pour alléger un radeau trop chargé.
Le premier-maître canonnier PETTON s’est multiplié pour assurer l’exécution des ordres, a grandement contribué au sauvetage d’un radeau.
Le second-maître infirmier MINIER, le quartier-maître LE DUOT (disparu), ont assisté le médecin-major avec calme et dévouement.
Ce sont quelques noms qui émergent. Combien d’autres dévouements restent inconnus !
Le MASSUE arriva à Cagliari vers 23 heures, le 19 mars. Le Consul de France était sur le quai avec toutes les autorités italiennes. Les tramways, les autos, des civières, attendaient les naufragés pour les transporter à la caserne ou dans les hôpitaux. Dès l’arrivée, tous sont habillés avec des vêtements de soldats italiens, réconfortés et couchés. Le 21, toute la population, archevêque et autorités en tête, accompagnaient au cimetière les corps de quatre marins décédés. Ces obsèques furent l’occasion d’une imposante manifestation d’amitié franco-italienne.

Excès de peur enhardit.
Rutilius
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DANTON ― Cuirassé d’escadre, premier du type (1911~1917).

Message par Rutilius »

Bonjour à tous,

Autre marin disparu le 19 mars 1917 avec le cuirassé d'escadre Danton

― LE GALL Pierre Marie, né le 30 mai 1896 à Ploujean ― aujourd'hui quartier de Morlaix ― (Finistère) et domicilié à Morlaix. Matelot de 2e classe canonnier, matricule n° 98.325-2 (Jug. Trib. civ. Brest, 16 oct. 1918, transcrit le 10 nov. 1918 à Morlaix).

• Fils d’Yves Marie LE GALL, né le 20 juillet 1857 à Lanmeur (Finistère), garde particulier [Cultivateur en 1885], et de Jeanne Marie BOULVEN, née le 6 avril 1867 à Lanmeur, « ménagère » [Cultivatrice en 1885] ; époux ayant contracté mariage dans cette commune, le 6 juin 1885 (Registre des actes de mariage de la commune de Lanmeur, Année 1885, f° 6, acte n° 7 ~ Registre des actes de naissance de la commune de Ploujean, Année 1896, f° 8, acte n° 41). Célibataire.
Dernière modification par Rutilius le jeu. juin 10, 2021 5:28 pm, modifié 2 fois.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
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GENEAMAR
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Re: DANTON - Cuirassé

Message par GENEAMAR »

Officiers disparus le 19 mars 1917 avec le bâtiment.--- Jugement déclaratif de décès rendu le 16 octobre 1918 à BREST.

Officiers

- DELAGE Joseph Paul Marcel, né le 31 janvier 1862 à ROCHEFORT (Charente-Maritime), Capitaine de vaisseau.

- COÜY Alexandre Henri, né le 6 janvier 1873 à BREST (Finistère), Capitaine de corvette.
- DELORD Louis, né le 16 août 1873 à NÎMES (Gard), Capitaine de corvette.

- LAMBERT Prosper Jules Alfred, né le 6 juillet 1881 à SAINT-ANDRÉ-le-DÉSERT (Saône-et-Loire), Lieutenant de vaisseau.
- SAINT-RAYMOND Joseph Louis Marie Bernard, né le 12 septembre 1875 à TOULOUSE (Haute-Garonne), Lieutenant de vaisseau.

- GÉRARD Louis Léon, né le 8 juin 1886 à DOUAI (Nord), Enseigne de vaisseau de 1ère classe.
- THOMAS du FOSSÉ de BOSMALET Jacques Henry Gaston, né le 29 septembre 1895 à PARIS VIIème (Seine), Enseigne de vaisseau de 1ère classe.

- GALLOU Émile François, né le 15 novembre 1894 à BREST (Finistère), Enseigne de vaisseau de 2ème classe.

- MIGNOT Léon Fortuné Marius, né le 4 juillet 1863 à MARSEILLE (Bouches-du-Rhône), Mécanicien en chef.
- DUBUISSON Louis Auguste, né le 1er mars 1865 à CRAZ (Ain), Mécanicien principal de 1ère classe.
- MEYER Georges Alexandre Joseph, né le 24 avril 1870 à MARSEILLE (Bouches-du-Rhône), Mécanicien principal de 1ère classe.

Officiers Mariniers

- BURRET Pierre Antoine Louis, né le 13 juin 1879 à BORDEAUX (Gironde), Premier Maître Fourrier.
- GOULVESTRE Guillaume Marcel, né le 22 juin 1869 à PLÉGUIEN (Côtes-d'Armor), Premier Maître de manoeuvre.
- Le CHEVER Louis François Corentin, né le 23 septembre 1875 à PONT-L'ABBÉ (Finistère), Premier Maître Timonier.
- MINY Charles Joseph, né le 22 février 1875 à CLOHARS-CARNOËT (Finistère), Premier Maître Fusilier.
- PIGNET Charles Edouard, né le 4 novembre 1889 à GRANVILLE (Manche), Premier Maître de manoeuvre.
- TALON Henri Louis Émile, né le 4 novembre 1895 à TOULON (Var), Premier Maître Médecin auxiliaire.

- CAPELLE Robert Alcide, né le 13 juillet 1891 à CARDIFF, GRANDE-BRETAGNE, Maître Mécanicien
- FORICHER Paul Ferdinand, né le 4 février 1876 à BREST (Finistère), Maître Mécanicien.
- LEMOIGNE Louis, né le 20 mars 1882 à VALOGNES (Manche), Maître Fourrier.
- Le BLOUCH Alexandre Auguste Marie, né le 25 avril 1881 à LÉZARDRIEUX (Côtes-d'Armor), Maître Canonnier.
- Le VERGOZ Émile Jean Pierre, né le ... à ..., Maître Mécanicien.--- Matricule 6097 à BREST.
- OLLIVIER Joseph Antoine, né le 13 octobre 1874 à BREST (Finistère), Maître Armurier.

- ALIX Jean Marie, né le 9 mars 1880 à TELGRUC-sur-MER (Finistère), Second Maître Fusilier.
- BALCON Jean Joseph, né le 6 juin 1872 à LAMBÉZELLEC (Finistère), Second Maître Fusilier.
- CHALM Daniel Yves, né le 3 août 1872 à ESQUIBIEN (Finistère), Second Maître Chauffeur.
- CORFA Goulven Marie, né le 8 juin 1879 à KERNILIS (Finistère), Second Maître Mécanicien.
- COSSEC Eugène Joseph Marie, né le 1er avril 1892 à DAMGAN (Morbihan), Second Maître Mécanicien.
- FERREC Jean Louis Emmanuel, né le 1er novembre 1875 à LORIENT (Morbihan), Second Maître Mécanicien.
- FLOCH Pierre Tanguy, né le 30 avril 1884 à GUIPAVAS (Finistère), Second Maître Artificier.
- GOULARD Louis Joseph Marie, né le 15 novembre 1893 à TOULON (Var), Second Maître Commis.
- GUÉGUEN François Marie, né le 11 novembre 1886 à BODILIS (Finistère), Second Maître Canonnier.
- GUILLOU François marie, né le 25 février 1885 à TAULÉ (Finistère), Second Maître Canonnier.
- GUILLOU Joseph, né le 26 août 1872 à PLEUMEUR-GAUTIER (Côtes-d'Armor), Second Maître Chauffeur.
- HERNOT Joseph, né le 9 janvier 1873 à PLOUGASTEL-DAOULAS (Finistère), Second Maître Chauffeur.
- JOURDEN Edouard Marie, né le 19 novembre 1879 à PLOUARZEL (Finistère), Second Maître Mécanicien.
- L'ANTHOËN Jean Baptiste, né le 13 septembre 1890 à PLOUGRESCANT (Côtes-d'Armor), Second Maître Canonnier.
- Le BELLEC Eugène Jacques Gabriel, né le 25 juin 1871 à BREST (Finistère), Second Maître Électricien.
- Le CANN Pierre Olivier, né le 26 avril 1878 à LOGONNA-DAOULAS (Finistère), Second Maître Canonnier.
- Le CORNOUX Joseph Louis Jean Baptiste, né le 18 mai 1893 à PLOURHAN (Côtes-d'Armor), Second Maître Canonnier.
- L'HOSTIS Jean Marie, né le 8 avril 1886 à MILIZAC (Finistère), Second Maître Artificier.
- Le GULLEDEC Joseph Victor François, né le 23 janvier 1892 à Le PALAIS (Morbihan), Second Maître Mécanicien.
- Le MONZE Alain Marie, né le 15 mai 1880 à TELGRUC-sur-MER (Finistère), Second Maître Mécanicien.
- MAGUÉRÈS Gabriel Marie, né le 2 février 1887 à SAINT-MARC (Finistère), Second Maître Mécanicien.
- MALÉGEANT Yves marie, né le 6 septembre 1893 à PLOURIVO (Côtes-d'Armor), Second Maître Canonnier.
- MINGAM Jean Marie, né le 29 janvier 1879 à SAINT-CADOU (Finistère), Second Maître Électricien.
- MOUDENNER Jacques Marie, né le 23 novembre 1880 à LANDÉVENNEC (Finistère), Second Maître Canonnier.
- PÉDEL Goulven Vincent, né le 18 janvier 1889 à LOPERHET (Finistère), Second Maître Mécanicien.
- PHÉLEP Henri, né le 10 décembre 1880 à LAMBÉZELLEC (Finistère), Second Maître Armurier.
- POULHAZAN Jean François Guillaume Marie, né le 31 juillet 1888 à PLOGOFF (Finistère), Second Maître Mécanicien.
- RAGUÉNEZ François, né le ... à ..., Second Maître Manoeuvrier. --- Matricule 1314 à CAMARET.
- TILLY Charles Marie, né le 12 janvier 1888 à PLEUMEUR-GAUTIER (Côtes-d'Armor), Second Maître Canonnier.
- TRÉHIOU Yves Marie, né le 8 octobre 1882 à SAINT-AGATHON (Côtes-d'Armor), Second Maître Canonnier.

Cordialement. Malou
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GENEAMAR
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Re: DANTON - Cuirassé

Message par GENEAMAR »

Marins disparus le 19 mars 1917 avec le bâtiment...

Quartier-Maîtres

- AGEZ François Joseph Léon Laurent, né le 10 août 1891 à GRAND-FORT-PHILIPPE (Nord), Manoeuvrier.
- ANSQUER Jean Yves, né le 24 novembre 1882 à CLÉDEN-CAP-SIZUN (Finistère), Chauffeur.
- AUDREN Joseph Marie, né le 1er février 1874 à QUIMPERLÉ (Finistère), Clairon.
- BAILLE André Marius Gérard, né le 23 février 1894 à TOULON (Var), Armurier.
- BATTESTI Toussaint, né le 21 août 1891 à AJACCIO (Corse-du-Sud), Canonnier
- BONIZEC Corentin Hervé, né le 3 juin 1890 à PEUMÉRIT (Finistère), Canonnier.
- CAPDUPUY Augustin Joseph, né le 9 septembre 1888 à CASTETS (Landes), Boulanger-coq.
- CHEMIN Gustave Elie, né le 11 mai 1889 à MARENNES (Charente-Maritime), Manoeuvrier.
- CHOMEL Paul Charles Eugène, né le 12 février 1894 à PEYRINS (Drôme), Électricien.
- CLAVEL Ferdinand, né le 18 avril 1892 à BAYON-sur-GIRONDE (Gironde), Mécanicien.
- CLAVIER Joseph Marie Jean Baptiste, né le 2 août 1891 à SAINT-PÔTAN (Côtes-d'Armor), Maneuvrier.
- DAVID Joseph Auguste René, né le 5 mars 1884 à BOUAYE (Loire-Atlantique), Cuisinier.
- DUMOULIN Marius Émile Barthélemy, né le 18 mars 1893 à TOULON (Var), Armurier.
- FILIPPI Vincent Jean, né le 4 mars 1890 à BASTIA (Haute-Corse), Électricien.
- GUIGUES Edouard Auguste, né le 15 décembre 1891 à MARSEILLE (Bouches-du-Rhône), Mécanicien.
- HÉRISSÉ Léon Armand, né le 15 janvier 1893 à VERRUYES (Deux-Sèvres), Mécanicien.
- JAFFRY Jean Yves, né le 11 octobre 1886 à ESQUIBIEN (Finistère), Chauffeur.
- LARREUR Mathieu, né le 20 novembre 1892 à PLOUGASTEL-DAOULAS (Finistère), Canonnier.
- Le BAIL Marcel Etienne, né le 25 mars 1894 à CAUDAN (Morbihan), Canonnier.
- Le BARS Jean Marie, né le 5 novembre 1892 à PLOUGASTEL-DAOULAS (Finistère), Canonnier.
- Le DUOT Pierre Louis, né le 9 décembre 1892 à ROSCANVEL (Finistère), Infirmier.
- Le GOFF François Marie, né le 15 février 1889 à PLOUGUERNEAU (Finistère), Manoeuvrier.
- Le GUEN Alphonse Yves Marie, né le 24 septembre 1888 à PLOUÉZEC (Côtes-d'Armor), Manoeuvrier.
- Le GUEN Gustave Marie, né le 11 août 1886 à KERLOUAN (Finistère), Chauffeur.
- Le GUILLOUX Joseph François, né le 15 mars 1890 à LOUARGAT (Côtes-d'Armor), Canonnier.
- Le MAOÛT Louis René, né le 10 février 1894 à LANNION (Côtes-d'Armor), Canonnier.
- Le PENVEN Louis Marie, né le 23 octobre 1888 à PERROS-GUIREC (Côtes-d'Armor), Manoeuvrier.
- LÉVÊQUE Pierre Marie Célestin, né le 14 mai 1889 à BREST (Finistère), Canonnier.
- L'HOSTIS Jean, né le 30 décembre 1881 à PLOURIN (Finistère), Chauffeur.
- MARJOU Auguste Marie, né le 27 janvier 1893 à PLEUBIAN (Côtes-d'Armor), Canonnier.
- MÉNEZ Guillaume Marie, né le 10 mars 1892 à SIZUN (Finistère), Manoeuvrier.
- MICHAUD Philibert, né le 28 juin 1892 à GRIGNY (Rhône), Mécanicien.
- MIÈGE Gabriel Alix, né le 14 avril 1893 à LYON (Rhône), Timonier.
- MONTHEIL René Jean, né le 3 janvier 1891 à ANGOULÊME (Charente).
- MOYSAN Guillaume Marie, né le 22 février 1891 à GUILVINEC (Finistère), Canonnier).
- PÉRALDI Antoine Félix, né le 4 février 1888 à OLMETO (Corse-du-Sud), Mécanicien.
- POINEAU William, né le 17 avril 1891 à ESNANDES (Charente-Maritime), Électricien.
- RAVAUD Albert, né le 1er janvier 1894 à GOURVILLE (Charente), Boulanger-coq.
- RIOU Michel, né le 19 février 1874 à PLOUGUERNEAU (Finistère), Chauffeur.
- ROMUALD Louis Marie, né le 27 février 1892 à PONT-SCORFF (Morbihan), Canonnier.
- STÉPHAN Laurent Marie, né le 4 juin 1884 à GROIX (Morbihan), Timonier.
- THIBAUD Lucien Valentin Joseph, né le 8 mai 1892 à SAINT-NAZAIRE (Loire-Atlantique), Manoeuvrier.
- THÉPOT Jean Marie, né le 24 mai 1895 à BREST (Finistère), Canonnier.


1ère classe

- ARROUET Francis, né le 12 mai 1891 à SAINT-JULIEN-de-CONCELLES (Loire-Atlantique), Chauffeur.
- BERTHO Eugène Emmanuel, né le 6 octobre 1892 à MESQUER (Loire-Atlantique), Mécanicien.
- BROSSARD Marcel Victor Joseph, né le ... à ..., Électricien.--- Matricule 98476, 2ème arrdt maritime.
- BROUDIN Joseph Marie, né le 21 octobre 1890 à PLOUNÉOUR-TREZ (Finistère), Chauffeur.
- CARDON Louis Charles, né le 22 mai 1894 à PARIS XIVème (Seine), Chauffeur.
- CHAMBRIN Jean François, né le 3 mai 1890 à PLOURHAN (Côtes-d'Armor), sans spécialité.
- CLAUDIN Charles Marcel, né le 4 avril 1892 à BLAINVILLE-sur-L'EAU (Meurthe-et-Moselle), sans spécialité.
- DELTOUR Louis Adolphe Auguste, né le 26 janvier 1893 à AMBLETEUSE (Pas-de-Calais), Mécanicien.
- DUPUIS Claude, né le 11 avril 1891 à Le CREUSOT (Saône-et-Loire), Mécanicien.
- FRANCESCHI Jacques Marie, né le 17 décembre 1894 à BASTIA (Haute-Corse), Canonnier.
- GRÉGOIRE Henri Armand, né le 7 septembre 1893 à MONTHERMÉ (Ardennes), Chauffeur.
- GOULARD Philippe Auguste René, né le 12 septembre 1892 à La SAUVETAT-du-DROPT (Lot-et-Garonne), Canonnier.
- HERRY Henri René, né le 7 février 1891 à LOGONNA-DAOULAS (Finistère), sans spécialité.
- KERSAUDY Joseph Marie, né le 10 janvier 1891 à ROSCANVEL (Finistère), sans spécialité.
- Le GALL Pierre Marie, né le 30 mai 1896 à PLOUJEAN (Finistère), Canonnier.
- Le HUBY Henri, né le 30 juillet 1892 à PAIMPOL (Côtes-d'Armor), sans spécialité.
- LECARBONNIER René Léon Désiré, né le 29 octobre 1893 à CHERBOURG (Manche), Mécanicien.
- LEFRANCOIS Lucien Auguste, né le 9 février 1895 à CARQUEBUT (Manche), Chauffeur.
- MONOT Isidore Corentin Marie, né le 13 janvier 1891 à LOCTUDY (Finistère), sans spécialité.
- OVISTE Jules Antoine, né le 31 décembre 1893 à VILLEFRANCHE-sur-SAÔNE (Rhône), Chauffeur.
- PERRAULT Charles Ernest, né le 29 novembre 1890 à ÉTAPLES (Pas-de-Calais), sans spécialité.
- POGGI Angelo François Bazille, né le... à ..., sans spécialité.---Matricule 861 à BASTIA.
- QUESNEL Lucien Louis Albert, né le 31 décembre 1891 à Le CROTOY (Somme), sans spécialité.
- ROMBACH Pierre, né le ... à ...,Canonnier.--- Matricule 37543, 3ème arrdt maritime.
- ROUET Yves, né le 24 juin 1891 à SAINT-PIERRE-QUILBIGNON (Finistère), Fusilier.
- SACCOMAN Louis Marius, né le ... à ..., sans spécialité.--- Matricule 7166 à MARSEILLE.
- SAUVAIGO François, né le 14 mai 1891 à CAGNES-sur-MER (Alpes-Maritimes), sans spécialité.
- SAUVEUR Louis José, né le 6 avril 1891 à ORAN, ALGÉRIE; Fourrier.
- TOUPIN Jean Marie, né le 14 décembre 1892 à PLOËZAL (Côtes-d'Armor), Chauffeur.
- VIAU Albert, né le 13 février 1897 à ORAN, ALGÉRIE, Mécanicien.


2ème classe

- AURIOL Jean Robert, né le 7 avril 1892 à MAURY (Pyrénées-Orientales), sans spécialité.
- BANSE Pierre dit Octave, né le 14 septembre 1880 à LANTON (Gironde), sans spécialité.
- BERTRAND Louis Roger, né le 7 août 1898 à COGNAC (Charente), Fusilier.
- BRÉLIVET Henri Corentin, né le 9 décembre 1893 à DOUARNENEZ (Finistère), Gabier.
- BRESSAND Gabriel Auguste, né le 3 mars 1892 à CHÂLON-sur-SAÔNE (Saône-et-Loire), Mécanicien.
- BRUN Lucien François, né le 8 novembre 1888 à VEDÈNE (Vaucluse), sans spécialité.
- CABASSON Joseph Angelin, né le 11 avril 1895 à CLAVIERS (Var), Chauffeur.
- CALVETTI Raphaël Georges François, né le 8 janvier 1889 à MARSEILLE (Bouches-du-Rhône), Maître d'Hôtel.
- CARDUNER Pierre Yves François Marie, né le 14 avril 1891 à MELGVEN (Finistère), sans spécialité.
- CARIOU Sébastien, né le 28 octobre 1891 à SAINT-SERVAN-sur-MER, Gabier.
- CHOLAT Paul Léon, né le 20 juillet 1894 à MARSEILLE (Bouches-du-Rhône), sans spécialité.
- CLAVERIE Jean Baptiste, né le 3 mai 1892 à MOUGUERRE (Pyrénées-Atlantiques), Maître d'Hôtel.
- COLIN François Joseph, né le 14 février 1898 à QUIMPERLÉ (Finistère), Fusilier.
- CONTE Jean Baptiste, né le 20 novembre 1893 à GUYOTVILLE, ALGÉRIE, sans spécialité.
- COSTA Ernest Marius, né le 21 juin 1898 à La SEYNE-sur-MER (Var), Mécanicien.
- COZIEN Guillaume Florentin, né le 22 février 1889 à BREST (Finistère), sans spécialité.
- DESEIGNE Auguste Jérôme, né le 22 septembre 1893 à MARCK (Pas-de-Calais), Chauffeur.
- DESTANDAU Sylvain, né le 23 février 1898 à OSSÈS (Pyrénées-Atlantiques), Timonier.
- DRÉVILLE Arsène Constant Casimir, né le 6 juillet 1898 à SAINT-JUST-en-CHAUSSÉE (Oise), Canonnier.
- EDÉ Ernest Louis, né le 17 novembre 1895 à PARIS VIIème (Seine), sans spécialité.
- FRAYSSE Robert Marius, né le 14 février 1892 à GRASSE (Alpes-Maritimes), Boulanger-coq.
- FERMENT Gaston Adolphe, né le 21 août 1892 à Le CROTOY (Somme), sans spécialité.
- GARDIN Georges Louis Henri, né le 17 septembre 1893 à CHERBOURG (Manche), Mécanicien.
- GIBERT Pierre Vincent, né le 21 octobre 1879 à GRUISSAN (Aude), Canonnier auxiliaire.
- GOARDET Yves Marie, né le 7 décembre 1879 à CONCARNEAU (Finistère), Canonnier auxiliaire.
- GUEIRARD François Marius Jacques, né le 27 janvier 1888 à TOULON (Var), sans spécialité.
- GUÉZENNEC Yves Marie, né le 27 juin 1887 à HENVIC (Finistère), Gabier.
- GUILLORET Jean marie Célestin Pierre, né le 25 janvier 1890 à La MEILLERAYE-de-BRETAGNE (Loire-Atlantique), Maître d'hôtel.
- HAÏRA Armand Henri, né le 24 février 1893 à URRUGNE (Pyrénées-Atlantiques), Torpilleur.
- ITTÉ Pierre, né le 17 novembre 1894 à USTOU (Ariège), Canonnier.
- JULIÉ Gaston Paul, né le 19 février 1893 à VANVES (Hauts-de-Seine), Mécanicien.
- JUNQUA Louis Émile Paul, né le 16 mai 1895 à La SAUVETAT (Gers), Canonnier.
- KERMAÏDIC Pierre Marie, né le 20 mars 1891 à LANDÉDA (Finistère),Chauffeur.
- LACAN Roger, né le 16 février 1895 à BORDEAUX (Gironde), Fourrier.
- LACHAISE Marcel Athanase, né le 17 novembre 1893 à BALLON (Charente-Maritime), Fusilier.
- Le BIDEAU Joseph Marie, né le 20 mars 1894 à BRELEVENEZ (Côtes-d'Armor), Fusilier.
- Le BOT Paul, né le 14 avril 1891 à PLOUGASTEL-DAOULAS (Finistère), Clairon.
- Le KIEFFRE Albert Paul, né le 2 septembre 1894 à DENAIN (Nord), Mécanicien.
- LEBLANC François, né le 29 juin 1892 à Le CREUSOT (Saône-et-Loire), sans spécialité.
- L'HÉVÉDER Louis Marie, né le 1er mars 1892 à PERROS-GUIREC (Côtes-d'Armor), Chauffeur.
- MAGNAT Eloi Jean Paul, né le 29 mai 1898 à CHANAS (Isère), Mécanicien.
- MAHIEU Maurice François Auguste Louis, né le 11 juillet 1895 à Le ROZEL (Manche), Chauffeur.
- MARIOTTI Godefroy, né le 14 octobre 1893 à BORGO (Haute-Corse), Canonnier.
- MATHIEU Marcel jules, né le 18 septembre 1894 à GENÈVE, SUISSE, Canonnier.
- MATHIEU Sadi françois Marceau, né le 4 juillet 1894 à PAULHAN (Hérault), Mécanicien.
- MONTANARD Paul Émile, né le 7 mai 1893 à MARSEILLE (Bouches-du-Rhône), Chauffeur.
- MONTAUT Edouard, né le 21 janvier 1892 à BORDEAUX (Gironde), Canonnier.
- MONTÉGUT Pierre Gaston, né le 9 avril 1892 à VAYRES (Gironde), Chauffeur.
- MORON Louis Marie, né le 28 janvier 1897 à PLOUHINEC (Morbihan), Fusilier.
- NIER Henri Frédéric, né le 20 septembre 1891 à TREFFORT (Isère), Canonnier.
- PARRIN Marius Joseph, né le 19 février 1891 à SIX-FOURS-les-PLAGES (Var), sans spécialité.
- PAUCHET Lucien Albert Arsène, né le 22 avril 1898 à LONGPRÉ-les-CORPS-SAINTS (Somme), Canonnier.
- PÉNABAILLE André Paul, né le 1er juillet 1898 à NÎMES (Gard), Mécanicien.
- PERRACHON François, né le 30 janvier 1893 à VILLEFRANCHE-sur-SAÔNE (Rhône), Fusilier.
- PIRON Louis, né le 25 août 1894 à MÉRY-CORBON (Calvados), Mécanicien.
- POISSON Henri Eugène, né le 18 mai 1893 à DANNEMARIE (Yvelines), Canonnier.
- PONTONNIER Raymond Raoul Robert, né le 12 février 1896 à ORLÉANS (Loiret), Fourrier.
- POTET Joseph Louis Marie, né le 8 août 1885 à La PLAINE-sur-MER (Loire-Atlantique), sans spécialité.
- PRILLIEZ Lucien, né le 20 avril 1892 à CALAIS (Pas-de-Calais), Canonnier.
- QUAILE Frédéric Constant Louis, né le ... à ..., Mécanicien provisoire.--- Matricule 63111, 5ème arrdt maritime.
- QUÉMARD Louis François Mathurin, né le 19 août 1896 à PLÉRIN (Côtes-d'Armor), Gabier.
- STEPHAN Robert Jean, né le 19 mars 1894 à PARIS Xème (Seine), sans spécialité.
- TESSIER Louis Pierre Victor, né le ... à ..., sans spécialité.--- Matricule 1754, Les SABLES d'OLONNE.
- VIAL Émile, né le 23 novembre 1887 à GRENOBLE (Isère), sans spécialité.
- VIBOREL Louis Marius, né le 15 novembre 1893 à MARSEILLE (Bouches-du-Rhône), Canonnier.

3ème classe

- AVRIL Albert André, né le 19 juillet 1893 à PARIS XVIIème (Seine), sans spécialité.
- BATH Louis, né le 17 mai 1896 à LYON VIème (Rhône), sans spécialité.
- BENIGNI Alexandre, né le 6 septembre 1895 à MARSEILLE (Bouches-du-Rhône), sans spécialité.
- BERNARD Alfred Henri, né le 2 décembre 1889 à ROCHEFORT (Charente-Maritime), sans spécialité.
- BERNARD Georges Léon Marie, né le 7 février 1888 à Le PELLERIN (Loire-Atlantique), sans spécialité.
- BESSARD Louis Aimé Auguste, né le 10 mai 1893 à GIGNY (Jura), sans spécialité.
- BLOTEAU René, né le 29 novembre 1893 à ROCHEFORT (Charente-Maritime), sans spécialité.
- BOURGAIN Louis Marie, né le 5 mai 1897 à OUTREAU (Pas-de-Calais), sans spécialité.
- BROUSTE Albert, né le 28 septembre 1892 à MONT-de-MARSAN (Landes), sans spécialité.
- CHADOUX Alexandre, né le 4 janvier 1885 à MARSEILLE (Bouches-du-Rhône), Fusilier auxiliaire.
- CHEMIN Louis, né le 10 juin 1881 à SAINT-PIERRE-d'OLÉRON (Charnete-Maritime), Canonnier auxiliaire.
- CORBET Jean Camille Adolphe, né le 7 juin 1896 à LE HAVRE (Seine-Maritime), sans spécialité.
- COUTANCEAU Prudent Marin , né le ... à ..., sans spécialité.--- Matricule 923, Île d'Yeu.
- DALLONI Paul Victor, né le 22 janvier 1894 à SAINT-TROPEZ (Var), sans spécialité.
- De FALCO Michel Augustin, né le 28 août 1895 à BÔNE, ALGÉRIE, sans spécialité.
- DEGUAY Philippe Jean, né le 25 septembre 1894 à Le MESNIL-sur-OGER (Marne), Électricien provisoire.
- DESVERGNE Jean, né le 6 décembre 1893 à ANGOULÊME (Charente), sans spécialité.
- DEZÈS Joseph, né le 20 avril 1898 à BAYONNE (Pyrénées-Atlantiques), sans spécialité.
- DONATI Victor Alfred, né le 22 mai 1895 à CENTURI (Haute-Corse), sans spécialité.
- DOUARIN Joachim François Marie, né le 6 avril 1892 à l' ÎLE-d'ARZ (Morbihan), sans spécialité.
- DOUGUET Yves, né le 18 juillet 1892 à PORT-LAUNAY (Finistère), sans spécialité.
- DROFF Raymond, né le 2 avril 1891 à KERLOUAN (Finistère), sans spécialité.
- DURRIEU Jean Gabriel, né le 27 novembre 1893 à BORDEAUX (Gironde), sans spécialité.
- EYGASIER Marius Clément Félix, né le 10 juin 1898 à MARTIGUES (Bouches-du-Rhône), sans spécialité.
- EYGASIER Valentin Lazare, né le 10 juin 1898 à MARTIGUES (Bouches-du-Rhône), sans spécialité.
- EYGASIER Victorin Joseph, né le 9 février 1889 à ISTRES (Bouches-du-Rhône), sans spécialité.
- FAUCHERAND Émile, né le 21 janvier 1897 à Le PORTEL (Pas-de-Calais), sans spécialité.
- FILZ Hilaire Louis Alphonse, né le 3 mai 1895 à PARIS XIVème (Seine), sans spécialité.
- GALIPOT Louis Charles, né le 4 février 1891 à SAINT-SERVAN-sur-MER (Ille-et-Vilaine), sans spécialité.
- GAUTREAU Léopold, né le 29 juillet 1889 à ESNANDES (Charente-Maritime), sans spécialité;
- GÉGOT Nicolas, né le 2 juillet 1881 à l' Ile de BATZ (Finistère), sans spécialité.
- GOUÉRÉ Hervé, né le 28 décembre 1895 à BREST (Finistère), sans spécialité.
- GROSSAN Alexandre Eugène, né le 14 décembre 1898 à LYON 2ème (Rhône), sans spécialité.
- GUEICHA Lucien, né le 6 janvier 1894 à ALGER, ALGÉRIE, sans spécialité.
- HIGOUNINE Albert Louis, né le ... à ..., sans spécialité.--- Matricule 367 à Sète.
- LAISNEY Jean Baptiste Charles Auguste, né le 12 septembre 1893 à SORTOSVILLE (Manche), sans spécialité.
- LAURI Roch, né le 8 novembre 1891 à MARSEILLE (Bouches-du-Rhône), sans spécialité.
- Le CARLIER de VESLUD Alfred Henri, né le 22 avril 1898 à DUNKERQUE (Nord), sans spécialité.
- Le SAINT Raoul Yves Marie, né le 11 février 1893 à MANTES-la-... (Yvelines), sans spécialité.
- LEDOUX Adolphe Noël Stanislas, né le 26 septembre 1895 à Le TRÉPORT (Seine-Maritime), sans spécialité.
- LOUPY Joseph, né le 30 août 1893 à MÈZE (Hérault), sans spécialité.
- MAMMALELLA Michel Marius, né le 18 août 1870 à SAINT-MANDRIER (Var), sans spécialité.
- MARTIN Adolphe Marius Brutus, né le 30 juillet 1885 à TOULON (Var), sans spécialité.
- MAUNIER Fernand Jules, né le 1er décembre 1898 à L'ISLE-sur-la-SORGUE (Vaucluse), sans spécialité.
- MAZUY Léon Eugène, né le 28 novembre 1894 à BOULOGNE-sur-MER (Pas-de-Calais), sans spécialité.
- METTE Sénateur Louis Charles, né le 4 août 1893 à DIEPPE (Seine-Maritime), sans spécialité.
- MINTER Yves Marie, né le ... à ..., sans spécialité.--- Matricule 30509 à PAIMPOL.
- MONOT Sylvain François Marie, né le ... à ..., sans spécialité.--- Matricule 7995 à QUIMPER.
- MOREL René Jean Baptiste Théophile Prosper, né le 25 juin 1893 à BROUAINS (Manche), sans spécialité.
- MOYSAN Jacques Marie Joseph, né le 4 décembre 1892 à LORIENT (Morbihan), sans spécialité.
- NAVARRON Charles Jean, né le 22 mai 1892 à CHAMALIÈRES (Puy-de-Dôme), sans spécialité.
- NICOLAS Émile Paul Léon, né le 3 mars 1893 à BOULOGNE-sur-MER (Pas de Calais), sans spécialité.
- NICOLAS Louis Arsène, né le 9 janvier 1894 à CHEPNIERS (Charente-Maritime), sans spécialité.
- ODON Albert, né le ... à ..., sans spécialité.--- Matricule 39723 1er arrdt maritime.
- ORTICONI François, né le 1er mai 1894 à MONTICELLO (Haute-Corse), sans spécialité.
- PAOLI Antoine, né le 27 février 1894 à TALASANI (Haute-Corse), sans spécialité.
- POMÉROLE Julien Augustin Louis, né le 7 janvier 1890 à SAINT-HIPPOLYTE (Pyrénées-Orientales), sans spécialité.
- POUJOLS Antoine, né le 17 octobre 1899 à CASTELNAU-MONTRATIER (Lot), sans spécialité.
- QUÉDINET Eugène Jean Marie Joseph, né le 6 mars 1896 aux îles SAINT-PIERRE-et-MIQUELON, sans spécialité.
- RAMET Charles Henri, né le 22 octobre 1893 à ÉTAPLES (Pas-de-Calais), sans spécialité.
- REPETTO Joseph Camille, né le 2 mai 1890 à Le CANNET (Alpes-Maritimes), sans spécialité.
- RIOU Joseph Jean Marie Pierre Marie Ange, né le 13 mars 1893 à PLOUBALAY (Côtes-d'Armor), sans spécialité.
- ROBIC François Marie, né le 11 avril 1897 à GROIX (Morbihan), sans spécialité.
- ROLLET Jean Marie, né le 17 février 1892 à DROITURIER (Allier), sans spécialité.
- SINOPOLI Daniel Nicolas, né le 22 septembre 1891 à SÈTE (Hérault), sans spécialité.
- TAVÉRA Antoine Jérôme, né le 4 octobre 1892 à AJACCIO (Corse-du-Sud), sans spécialité.
- TEURTROY Gabriel Maximilien, né le 10 mars 1884 à l'Île TUDY (Finistère), Canonnier auxiliaire.
- TOLLIS Joseph, né le 7 novembre 1889 à CAPBRETON (Landes), sans spécialité.
- TOMMASI Joseph Mathieu, né le 1er janvier 1891 à BASTIA (Haute-Corse), sans spécialité.
- TOURNEUR Georges Charles Henri, né le 26 mai 1898 à DUNKERQUE (Nord), sans spécialité.
- URBAN Charles Augustin Eugène, né le 5 janvier 1893 à ERQUY (Côtes-d'Armor), sans spécialité.
- VAILLANT Théodule, né le 28 février 1897 à GROIX (Morbihan), sans spécialité.
- VALLET Etienne, né le 15 janvier 1894 à BRANDON (Saône-et-Loire), sans spécialité Aide Fourrier.


Apprenti-marin

- BÉJONY Ulysse François Roselin, né le ... à ... --- Matricule 62264, 5ème arrdt maritime.
- BLANC Jean Aimé Alban, né le 15 mai 1892 à LACANAU (Gironde).
- BORG Augustin, né le 11 avril 1897 à BÔNE 5Constantine), ALGÉRIE.
- CANCEL Elie Jules Dominique, né le 2 juillet 1899 à ROQUEFORT-des-CORBIÈRES (Aude), Chauffeur auxiliaire.
- CLOMET Jean, né le 28 mai 1893 à PARIS Vème (Seine).
- CRÉON Pierre, né le 13 juillet 1895 à CLAIRAC (Lot-et-Garonne).
- DALLEST Delphin Louis, né le 7 janvier 1898 à MARSEILLE (Bouches-du-Rhône), Aide-chauffeur.
- DAUPHIN Ernest René, né le 2 août 1899 à PLOUÉZEC (Côtes-d'Armor).
- DAURIAC Edouard, né le 5 juillet 1899 à PARIS VIème (Seine).
- De VAUCOULEURS Henri, né le 24 août 1891 à PARIS XIVème (Seine).
- ESCOFFONI Lazare Marius, né le 30 mai 1898 à TOULON (Var).
- EMERY Marcel Henri, né le 10 octobre 1899 à DOMÈNE (Isère).
- GOAZEMPIS Guillaume, né le 12 juillet 1881 à TRÉDARZEC (Côtes-d'Armor).
- HEURTIN Léon, né le 31 janvier 1899 à NEUVILLE-sur-OISE (Val-d'Oise).
- KRAEMER Séraphin Désiré, né le 23 avril 1892 à SAINT-OUEN (Seine-Saint-Denis).
- LEMOINE Georges René, né le 26 septembre 1898 à MONTAUBAN (Tarn-et-Garonne).
- LOMBARDO Marcel, né le 31 janvier 1898 à ALGER, ALGÉRIE.
- LOCHER Lucien Louis Alexandre, né le 8 novembre 1895 à PARIS XVIIIème (Seine).
- MANET Jean Pierre, né le 31 décembre 1898 à ARAULES (Haute-Loire).
- MONTEIL Xavier Noël, né le 17 octobre 1898 à LYON (Rhône).
- MONT-LOUIS François Lucien Marius, né le 19 juillet 1898 à MARSEILLE (Bouches-du-Rhône).
- PASTORE Henri Nicolas, né le 18 avril 1898 à ALGER, ALGÉRIE.
- PETER Camille, né le 18 juillet 1899 à VIEUX-THANN (Haut-Rhin).
- QUERRARD Joseph Antoine Deville, né le 17 novembre 1895 à SAINT-BARTHÉLEMY (Guadeloupe).
- TERRAILLON Adrien Marius, né le 8 juillet 1890 à LYON (Rhône).

Passager

- BONFANTI Casimir, né le 17 décembre 1893 à BASTIA (Haute-Corse), Matelot de 1ère classe Chauffeur du "DÉMOCRATIE"
Cordialement. Malou
dbu55
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Re: DANTON - Cuirassé

Message par dbu55 »

Bonsoir à tous,
Bonsoir Daniel
- LE GALL Pierre, Marie, né le 30 mai 1896 à Plougar (*) (Finistère) et domicilié à Morlaix (Finistère), Matelot de 2e classe canonnier, Matricule n° 98.325-2 (Jug. Trib. Brest, 16 oct. 1918, transcrit à Morlaix, le 10 nov. 1918).
----------------------------------------------------------------------------------------
(*) Commune de naissance vraisemblable, la fiche M.D.H. étant à cet égard illisible.

La commune de naissance de Pierre Marie LE GALL est Ploujean (Aujourd'hui Morlaix)

Cordialement
Dominique
Avec les Allemands, nous nous sommes tellement battus que nos sangs ne font plus qu'un [ Ferdinand Gilson, France, Figaro Magazine n°19053 du 05 nov. 2005 ]
olivier 12
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Re: DANTON - Cuirassé

Message par olivier 12 »

Bonjour à tous,

Pour la fiche, une autre CP du DANTON

Image

Cdlt

Olivier
olivier
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