• Autres infirmières du centre hospitalier de Dugny .
― Bulletin trimestriel de l’Association mutuelle des infirmières de la Société de secours aux blessés militaires (Croix Rouge française), n° 16, Décembre 1918, p. 76.
« Mlle Bouche (Julie-Antoinette), infirmière de la fondation de Baye, aux centres hospitaliers de Dugny, Madel et des Petits-Monthairons :
‟ Infirmière des plus actives et des plus dévouées qui s’est toujours prodiguée aux blessés confiés à ses soins pour leur donner le maximum de bien-être et de confort. A eu une attitude particulièrement digne d’éloges lors des bombardements de sa formation par avions et par canon au cours desquels elle n’a cessé de donner aux blessés de sa salle l’appui de sa présence et de ses bonnes paroles. ” (Citation à l'Ordre de la 19e division.) »
• Les quatre infirmières du centre hospitalier de Dugny dont les noms suivent, grièvement blessées lors du bombardement du cette formation sanitaire à laquelle elles étaient affectées, furent citées à l’ordre de l’armée dans les termes suivants (J.O. 2 déc. 1917, p. 9.734 et 9.737) :
― Bulletin trimestriel de l’Association mutuelle des infirmières de la Société de secours aux blessés militaires (Croix Rouge française), n° 16, Décembre 1918, p. 76.
« Mlle Bouche (Julie-Antoinette), infirmière de la fondation de Baye, aux centres hospitaliers de Dugny, Madel et des Petits-Monthairons :
‟ Infirmière des plus actives et des plus dévouées qui s’est toujours prodiguée aux blessés confiés à ses soins pour leur donner le maximum de bien-être et de confort. A eu une attitude particulièrement digne d’éloges lors des bombardements de sa formation par avions et par canon au cours desquels elle n’a cessé de donner aux blessés de sa salle l’appui de sa présence et de ses bonnes paroles. ” (Citation à l'Ordre de la 19e division.) »
• Les quatre infirmières du centre hospitalier de Dugny dont les noms suivent, grièvement blessées lors du bombardement du cette formation sanitaire à laquelle elles étaient affectées, furent citées à l’ordre de l’armée dans les termes suivants (J.O. 2 déc. 1917, p. 9.734 et 9.737) :
En 1938, Catherine HARTZ, épouse AMBROSINI, était infirmière bénévole à Charly (Rhône). Par décret du 19 juillet 1938 (J.O. 28 juill. 1938, p. 8.978), elle fut nommée au grade de chevalier dans l’Ordre de la santé publique, ordre institué par le décret du 18 février 1938 (J.O. 22 févr. 1938, p. 2.163).
En 1921, Alice Clara PAQUE était domiciliée à Levallois-Perret (Seine ― aujourd’hui Hauts-de-Seine ―). Par décret du 29 mars 1921 (art. 3 ; J.O. 30 mars 1921, p. 3.830 et 3.843), lui fut conférée dans les termes suivants la Médaille de la Reconnaissance française (Bronze) :
« Mlle Paque (Alice-Clara), à Levallois-Perret : infirmière bénévole sur le front, en sep-tembre 1917, a obtenu la croix de guerre et fut l’objet d’une citation a l’ordre de la IIe Armée pour son sang-froid au cours des bombardements et les contusions multiples dont elle fut atteinte par des éclatements d’obus. Postérieurement à ces faits, a servi, jusqu’en octobre 1919, successivement dans deux ambulances où elle s’est fait remarquer comme infirmière militaire par sa valeur professionnelle et son dévouement au chevet des blessés. Services excellents, pendant trois ans, au témoignage du haut personnel médical. »
En 1931, Marguerite LEDUC, alors veuve, occupait un emploi de surveillante de pharmacie à l’Hôpital général de Dijon (Côte-d’Or). Par arrêté du Ministre de la Santé publique en date du 27 octobre 1931 (J.O. 3 nov. 1931, p. 11.477 et 11.478), lui fut conférée la Médaille d’honneur de l’Assistance publique (Bronze).
En 1921, Alice Clara PAQUE était domiciliée à Levallois-Perret (Seine ― aujourd’hui Hauts-de-Seine ―). Par décret du 29 mars 1921 (art. 3 ; J.O. 30 mars 1921, p. 3.830 et 3.843), lui fut conférée dans les termes suivants la Médaille de la Reconnaissance française (Bronze) :
« Mlle Paque (Alice-Clara), à Levallois-Perret : infirmière bénévole sur le front, en sep-tembre 1917, a obtenu la croix de guerre et fut l’objet d’une citation a l’ordre de la IIe Armée pour son sang-froid au cours des bombardements et les contusions multiples dont elle fut atteinte par des éclatements d’obus. Postérieurement à ces faits, a servi, jusqu’en octobre 1919, successivement dans deux ambulances où elle s’est fait remarquer comme infirmière militaire par sa valeur professionnelle et son dévouement au chevet des blessés. Services excellents, pendant trois ans, au témoignage du haut personnel médical. »
En 1931, Marguerite LEDUC, alors veuve, occupait un emploi de surveillante de pharmacie à l’Hôpital général de Dijon (Côte-d’Or). Par arrêté du Ministre de la Santé publique en date du 27 octobre 1931 (J.O. 3 nov. 1931, p. 11.477 et 11.478), lui fut conférée la Médaille d’honneur de l’Assistance publique (Bronze).