En ce triste jour, ma mère tient à apporter son hommage et sa reconnaissance à l'homme qui l'a aidé pour défendre la cause de son grand-père, hommage auquel je m'associe.
Grande tristesse de savoir que nous ne pourrons plus échanger,
sur ce qui lui tenait le plus à cœur : réparer les injustices, en s’appuyant sur les faits.
grâce à une rigueur absolue dans son parcours d’historien, et son sens de l’équité,
notamment par rapport à la mémoire des « Fusillés ».
qu’il a mise au grand jour à travers le colloque, ses écrits, et ses multiples interventions.
Tristesse, car nous lui devons beaucoup, en tant que descendants de « fusillés »
car il avait su écouter, toute la souffrance des familles,
ce sentiment d’injustice, et de honte qui a traversé les générations ;
grâce son humanité, l’histoire des « Fusillés » a été abordée avec une autre dimension,
Par son combat, il a permis pour nous, descendants de Pierre Mestre,
une réhabilitation, celle du cœur, à défaut de la justice des hommes..
Hommage à son dynamisme, et son combat pour la vérité.
André Bach, sera toujours présent dans notre mémoire et notre cœur.
Un proverbe dit; Quand un homme meurt c'est une bibliothéque qui brule.
Hommages a un homme de grande valeur.Comme beaucoup d'entres nous je ressent beaucoup de tristesse et d'emotion en pensant a nos rencontres a Craonne et de tout le travail qu'il a accompli
Sincères Condoleances a la famille
Cordialement
ORRIERE Alain
Chers amis,
Il est difficile de trouver les mots en cet instant. Que dire d'André Bach ? Au risque de vous servir des banalités, je dirai que c'était un chercheur infatigable, affable, ouvert à tous. C'est cette ouverture d'esprit qui lui avait permis de mettre sur pied Prisme 14-18 afin d'apporter une réponse rigoureuse au tout et n'importe quoi des études sur la justice et les fusillés de la Grande Guerre. Il était fier de son équipe. On fait du bon boulot me disait-il. En souvenir de « notre général » je souhaite que l'équipe de prisme 14-18 termine le travail, au moins de l'année 1917 et après si vous en avez encore le goût.
Bien à vous
Denis Rolland