Paru dans "La rampe : revue des théâtres..." le 10/08/1916.
Mais la "Gazette des Ardennes" raconte le 25/08que "L"œuvre" termine ainsi l'histoire :
CordialementDès que le général s'est suffisamment éloigné pour être hors de portée de voix, la conversation continue entre les poilus :
- Hein! crois-tu que j'y ai bien monté son coup au général ... Maintenant on peut prendre tranquillement l'apéro"
Alain