Merci pour vos réponses...qui en appellent d'autre.
Je n'avais pas été cherché cette 2è fiche Merci Daniel.
Mais alors Chef de bataillon du Génie au Camp de Châlons au 7è territorial de quoi ? Génie ou infanterie ?
Peut-être détaché d'une unité dans l'autre : génie ->infanterie ou l'inverse ?
Et je ne sais toujours pas s'il était de Mézières...
Cordialement
Christophe
Christophe, je ne vois pas de "7e" sur ses fiches. Il était simplement chef de btn (territorial) du Génie, sans plus de précision. Il est vraisemblable que l'E.-M. de ce camp comptait, entre autres, des services du Génie qui lui étaient directement rattachés et qui étaient placés sous le commandement de cet officier.
Bonne soirée.
Stéphan
ICI > LE 74e R.I.
Actuellement : Le Gardien de la Flamme
Comme l'on pouvait s'y attendre, il n'a pas de fiche de MPLF.
Par contre je pense que c'est lui qui figure sur le monument aux morts de Rosendaël (59), car ce patronyme semble très rare et il s'agit là d'un Marcel mort en 1915, sans autre précision (source : memorial-genweb.org). Peut-être faudrait-il faire compléter la base de données de memorial-genweb ?
― AGOSTINI André, né le 26 juillet 1875 à Vienne (Isère), décédé le 1er novembre 1917 à Nice (Alpes-Maritimes), par suite de « suicide par pendaison », Capitaine, 3e Régiment d’infanterie, Matricule n° 605, classe 1895, n° 311 au recrutement de Dijon (Acte établi à Nice, le 2 nov. 1917).
― CASTELLO Michel Antoine, né le 19 août 1891 à Oran (Département d’Oran, Algérie), décédé le 2 avril 1917 à Slivika (Province de Macédoine, Serbie) par suite de « suicide (Fièvre chaude) », Soldat de 2e classe, 11e Escadron du train des équipages militaires, Matricule n° 2.703, classe 1912, n° 171 au recrutement d’Oran (Acte transcrit à Oran, le 19 nov. 1928).
― HAPP Jacques, né le 18 décembre 1878 à Paris (« Élève des Enfants assistés de la Seine »), décédé le 18 septembre 1917 à Bourges (Cher), « tué par balle de revolver (suicide) », Sous-lieutenant, 134e Régiment d’infanterie, Matricule n° 28, classe 1898, n° 696 au recrutement de Châteauroux (Acte établi à Bourges à une date inconnue).
― MACARY Emmanuel, né le 28 avril 1879 à Sarbazan (Landes), décédé le 2 juin 1918 à l’Hôpital militaire Michel Lévy de Marseille (Bouches-du-Rhône) par suite d’ « accident ou suicide », Lieutenant, 22e Régiment d’infanterie coloniale (Acte établi à Marseille à une date inconnue sous le n° 204).
― MOYSAN Rolland, né le 31 mai 1871 à Plougernevel (Côtes-du-Nord – aujourd’hui Côtes-d’Armor –) et domicilié à Pantin (Seine – aujourd’hui Seine-Saint-Denis –), décédé le 22 mars 1919 à Pantin par « strangulation volontaire imputable au service », Soldat de 2e classe, 115e Régiment d’infanterie territoriale, Matricule n° inconnu, classe 1891, n° 1.550 au recrutement de Guingamp.
― ROCHETTE Barthélémy, né le 1er novembre 1896 à Saint-Anthème (Puy-de-Dôme), décédé le 22 octobre 1916 à l’Hôpital 27 de Riom (Puy-de-Dôme) par suite de « suicide par pendaison consécutif à une blessure de guerre », 2e Canonnier-conducteur, 36e Régiment d’artillerie de campagne, Matricule n° 01.242, classe 1906, n° 1.140 au recrutement de Clermont-Ferrand.
― STAÏB Albert, né le 6 mai 1876 à Hirchseim [?](Allemagne – vraisemblablement Alsace-Lorraine –) et domicilié à Fontaine (Isère), décédé le 15 janvier 1918 à l’Hôpital mixte d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) par suite de « suicide – maladie mentale attribuée au paludisme contracté à l’Armée d’Orient – », Soldat de 2e classe, 3e Régiment d’infanterie territoriale, Matricule n° 26.327, classe 1915, n° 26.327 au recrutement de Grenoble.
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Merci Daniel.
