Armée d'Orient

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alexandre
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Re: Armée d'Orient

Message par alexandre »

Bonsoir,
Je viens de retrouver un historique de quelques pages du 175 ème R.I..
Mais je suis nul pour scanner etc..help!
Cordialement
Alexandre
Alexandre
siba
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Re: Armée d'Orient

Message par siba »

Bonsoir,
Oh oui, Alexandre, je suis intéressée par l'historique du 175e RI (je vous envoie un message en privé).
Je suis presque sûre que grand-père à fini la guerre au 175e RI car sur une carte d'Odessa du 10/01/1919: il dit " Je ne sais si cela est vrai, mais suivant les bruits qui courent ici, paraîtrait que la classe 19 viendrait pour nous remplacer et que nous autres nous rentrerions en France.Vivement!Il ne fait pas trop froid en Russie à cette époque…"
Hors, j'ai vu que le 175éme (156éme division), en 12/1918, est transportée en Russie.Il est rentré en France le 20/02/1919
Bien cordialement.
Elisabeth
MICHALLET 1915
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Re: Armée d'Orient

Message par MICHALLET 1915 »

Bonsoir à tous,
Mon Grand Oncle s'est également retrouvé dans le 35e RIC, je vous propose de lire le récit raconté par un ancien secretaire de Mairie de mon Village:
ses Etats de Service:
Francis MICHALLET , Matricule 44 Mobilisé 1915(barré) 1917
o 12/11/1897 à Gillonnay fils de Lucien et Marie JACQUIER
Cheveux châtains, yeux bleu clair; nez rectiligne, visage long, front vertical.
Taille 1m73 ; Degré d’instruction 2
(D’après les recherches d’André CIVET + compléments Hervé ANDRE du 22/07/2010)

Incorporé à compté du 07/01/1916 2eme classe au 5e Régiment d’Infanterie Coloniale (d’où sur le col de sa vareuse le chiffre 35)
Passé au 6e Régiment d’Infanterie Coloniale 19e Bataillon le 12/10/1916
Passé au 22e Régiment d’Infanterie Coloniale le 23/02/1919
Blessé le 10/11/1918 évacué le 10/11/1918
Mis en congé illimité le 14/11/1919
Certificat de bonne conduite accordé
Se retire à Gillonnay
Maintenu service Armé- invalidité inférieure à 10% par la Commission de réforme de Grenoble du 04/03/1922 pour séton* cuisse droite par balle.
Pas de signes objectifs de Paludisme
Etat Général bon.
Passé au 4e Régiment de Tirailleurs coloniaux le 01/01/1924
Passé au Centre Mobilisation d’infanterie N° 159 le 01/12/1928
Passé au Centre Mobilisation d’infanterie N° 154 le 01/05/1929
Maintenu service armé
Rappelé le 01/09/1939
Affecté le 05/09/1939 à la 2e Cie du GRT141 Zone des Armées
Affecté à la Cie AX6 du GRT14 à Valence
Réformé définitivement N°2 commission de réforme de Valence le 10/11/1939 pour souffle Systolique de la pointe et arythmie.

Blessé le 9/11/1918 évacué (le 10/11/1918)

Soldat courageux et dévoué, a toujours fait preuve en toutes circonstances de bravoure et de sang froid, a été grièvement blessé le 09/11/1918 en se portant à l’attaque d’un village fortement défendu par de nombreuses mitrailleuses.
Croix de Guerre étoile de Bronze.

Campagnes :
Contre l’Allemagne du 07/01/1916 au 23/10/1919
Dont intérieur simple du 07/01/1916 au 15/02/1917
Aux armées du 16/02/1917 au 09/11/1918
Intérieur double du 10/11/1918 au 23/10/1919
Blessé le 09/11/1918 de secteur de Consonroye ??? (Consenvoye - Wikipédia
Consenvoye est une commune française, située dans le département de la Meuse et la région ... Consenvoye sur le site de l'Institut géographique national ...), Secteur cuisse droite par balle
Voilà le document en vous souhaitant bonne lecture:
Par Alexandre MOULIN
Janvier 2005
Extrait de « L’Avenir à Gillonnay », ISSN 1140-941X
(N° 58 p13à15, N° 59 p 14 & 15 et N° 60 p12 à 14)


SOUVENIR DE LA GUERRE DE “ 14 - 18 ”:
FRANCIS ET SON VOYAGE AU BOUT DU MONDE.

Francis était né à Gillonnay, le 12 Novembre 1897. Pourquoi vous dirais-je son nom ? Les anciens du village, ceux qui l’ont bien connu et se souviennent de lui, le reconnaîtront sans hésiter car, dans son genre, il était unique. Quant à tous ceux qui ignorent aujourd’hui son existence, nouveaux habitants de Gillonnay arrivés depuis quelques lustres, quelle importance qu’il ait porté l’un ou l’autre des quelques noms caractéristiques de ce village ?
Donc Francis avait comme tous les enfants de son âge grandi dans le calme de son hameau du Coloneau, en ces premières années du XXe siècle où la construction puis le passage du “ tram à vapeur “ étaient venus “ créer du souci “ à toutes les mères de famille pour lesquelles il représentait le diable ou presque, ces braves Gillonnoises qui répétaient sans cesse à leur progéniture : “ Et surtout, fais bien attention au tram ! ” Il avait fréquenté l’école communale où, pendant quelques années, le père Laurencin, l’instituteur d’alors, lui avait inculqué les éléments de base d’une instruction que, quelques années plus tôt, Jules Ferry avait rendue gratuite, laïque et obligatoire.

Rien ne pouvait laisser supposer que tous les enfants de son âge allaient avoir une vie bouleversée par la guerre mondiale qui allait être déclarée en 1914 et durer pendant plus de quatre ans de combats permanents, d’une atrocité jusqu’alors inconnue. Dès la déclaration de la guerre, le 2 Août 1914, ce fut la mobilisation générale, et à Gillonnay, environ cent vingt jeunes appartenant à une vingtaine de classes d’âge rejoignirent leur régiment afin d’aller défendre la France. Cette mobilisation s’effectua dans un allégresse générale, les soldats partaient “ la fleur au fusil “ et à tous les niveaux de la population, on pensait que cette guerre allait être de courte durée et que nos soldats entreraient dans peu de temps à Berlin.
Dans cette euphorie générale qui fut brève, de nombreux jeunes qui n’avaient pas encore atteint l’âge de vingt ans et n’avaient pas encore fait leur service militaire se portèrent volontaires et s’engagèrent dans l’armée pour la durée de la guerre.

Francis, à l’âge de dix - sept ans, fut un de ces jeunes patriotes qui pensaient que leur devoir était de rejoindre l’armée. Il fut affecté au 35e Régiment d’Infanterie Coloniale, un de ces régiments d’élite dont les soldats, dans l’argot militaire sont appelés des “ Marsoins “ et n’ont rien du gentil mammifère marin voisin du dauphin qui porte le même nom. .
C’est très probablement dans le midi de la France, dans la région de Fréjus où ces régiments étaient stationnés que Francis fit ses classes au chaud soleil de la Provence. Hiver comme été, nos soldats portaient alors l’uniforme en gros drap de Vienne, composé du pantalon rouge garance et de la vareuse bleue, uniforme que porte Francis sur la photo qui illustre cet article. Cette tenue n’avait pas changé depuis la Guerre de 1870 et ses couleurs très voyantes en faisaient des cibles faciles pour les soldats allemands qui portaient déjà des uniformes “feldgraü “ ( gris de campagne ) leur permettant de se fondre dans le paysage.
Le régiment de Francis ne fut pas engagé sur le front de l’Est de la France et ne connut pas les combats de Verdun ou du Chemin des Dames où les morts furent innombrables.

Pour alléger la pression des armées allemandes sur le front français, le haut commandement militaire avait décidé, en accord avec les Anglais de mener une action dans le Sud - Est de l’Europe afin d’essayer d’obtenir la libre circulation des navires dans les détroits des Dardanelles et du Bosphore, alors tenus par les Turcs alliés de l’Allemagne et d’attaquer par voie terrestre l’Empire d’Autriche - Hongrie. Pour cela une armée très cosmopolite débarque à Salonique, au Nord - Est de la Grèce et à partir de cette tête de pont entame les opérations qui avaient été programmées.

Le régiment de Francis faisait partie des 23 divisions de cette armée d’Orient placée sous le commandement du Général Sarrail et notre Gillonnois, bon terrien, évoquait plus tard avoir subi sur le bateau le conduisant en Grèce, comme nombre de ses camarades, les effets du mal de mer, sur cette Méditerranée aux vagues capricieuses.
Les premières opérations menées contre les Turcs pour débloquer le détroit des Dardanelles se soldèrent par un échec. Les Anglais durent renoncer à cette voie maritime qu’ils pensaient utiliser pour ravitailler leurs alliés russes en vivres, comme en armes et en munitions. Cette armée connut des pertes importantes, non en morts au cours des combats, mais de maladie, le paludisme ayant entraîné 40.000 décès.
Au même moment, la Révolution russe va bouleverser le rapport des forces en présence à l’Est de l’Europe et, de 1917 à 1920, créer une situation anarchique que les historiens ont eu la plus grande peine à analyser.
Ce n’est qu’à partir de 1918, avec l’écroulement de la puissance de l’Allemagne que la situation va s’éclaircir, chaque puissance essayant de tirer le maximum d’avantages de la victoire. Avec la capitulation de la Turquie, la France et ses alliés purent envoyer en Russie des troupes qui après avoir traversé le Mer Noire débarquèrent à Odessa, la France de Clémenceau apparaissant alors comme la plus hostile à Lénine et aux Bolchéviks et la plus résolue à soutenir les Russes blancs, partisans du tsar qui avait été exécuté, avec sa famille, à Ekatérinenbourg, le 18 Juillet 1918. C’est ainsi que Francis et son détachement de “ Marsoins ” parvinrent en Crimée, en décembre 1918, à une période où un bouleversement complet secouait la Russie, des régions continuant à être fidèles au pouvoir tsariste alors que d’autres reconnaissaient les Soviets comme nouveaux maîtres.
A partir d’Odessa, il n’a pas été possible de retracer l’itinéraire de ce corps expéditionnaire français, ni d’évaluer l’importance des effectifs qui le composait. Tout ce que l’on sait c’est que les “ mutins de la Mer Noire “ partisans des Soviets, au nombre desquels se trouvaient quelques Français, s’étant emparés d’Odessa, il n’était plus possible d’envisager de rembarquer pour quitter la Russie et rallier Salonique.
Privés de communications avec leur état - major de Grèce, les commandants de ce détachement envisagèrent alors différentes solutions pour s’échapper de la souricière dans laquelle ils étaient tombés, Autant que Francis pouvait s’en souvenir lorsqu’il me racontait son épopée, trente ans plus tard, l’ hiver 1918 - 1919 se passa dans l’inaction, dans le Sud de la Russie, probablement dans la vallée de la Volga, une région froide mais qui ne connaissait pas les rigueurs de l’hiver des zones plus septentrionales et qui demeurait fidèle au régime tsariste.

Au même endroit stationnaient d’autres unités étrangères bloquées loin de leurs bases et recherchant elles aussi à s’échapper, mais par quel moyen, de cet univers hostile. D’après les souvenirs de Francis, ces soldats devaient parler allemand, ce qui était plausible. Les contingents de différentes nationalités étaient alors nombreux dans cette région et parmi, un des plus actifs, était composé de tchécoslovaques . Cette légion tchèque comptait environ 60.000 hommes qui étaient d’origines très diverses. Certains résidaient en Russie avant 1914, d’autres étaient des déserteurs de l’armée austro-hongroise dans laquelle ils avaient été enrôlés de force. Tomas Masaryk qui devait devenir après la guerre le premier président de leur république avait obtenu des Russes la réunion de toutes leurs unités en un seul corps et l’autorisation d’utiliser le Transsibérien pour quitter la Russie par l’Est et le port de Vladivostok. Mais, sur intervention des Allemands, les Russes avaient décidé de les intercepter et de les désarmer.
C’est par la force que les Tchèques durent se frayer un passage en se rendant maîtres du Transsibérien dont ils contrôlèrent toute la ligne sur plus de 8.000 kilomètres, de l’Oural au Pacifique, alors qu’il existait, en Sibérie de nombreuses régions où les populations étaient favorables aux Bolcheviks. C’est vraisemblablement grâce à cette maîtrise tchèque de la voie ferrée que les chefs du détachement français décidèrent leur évacuation par l’Est en direction de Vladivostok.

Francis racontait que ce périple avait duré plus de deux mois pendant l’été de 1919, émaillé d’incidents, d’arrêts en pleine forêt pour couper des arbres afin d’alimenter le foyer de la locomotive, de stationnement pendant des jours dans une même gare alors que d’autres convois de soldats passaient, allant vers l’Est. Et notre voyageur au long cours de faire part, bien qu’il n’ait pas été du genre loquace, de la solidarité qui s’était établie entre tous ces jeunes Français, perdus dans l’immensité de la taïga et qui désespéraient parfois de revoir le clocher de leur village. Le moral revenait lorsque le convoi roulait pendant des heures sans s’arrêter . Quelquefois il traversait des gares qui affichaient des noms imprononçables.
Un jour, alors que le train longeait une rivière, un officier déclara que sur l’autre rive, c’était la Chine et que le terme du voyage approchait. . La Chine ! On était donc bien loin de notre douce France. Le lendemain, le sifflet de la locomotive, par des appels longs, ponctués par d’autres appels plus courts et plus rageurs annonçait que l’on entrait dans Vladivostok, le but du voyage, un nom barbare devenu familier à tous ces voyageurs dont les connaissances géographiques étaient en général très limitées.
Dès que le train se fut immobilisé le long du quai, tous les soldats, penchés aux fenêtres des wagons, virent apparaître un grand jeune homme blond qui, à grands gestes, manifestait sa joie et dans un français impeccable leur souhaitait la bienvenue. Puis s’entretenant chaleureusement avec les officiers il leur expliquait qu’il était devenu chef de gare de Vladivostok et qu’il régulait tout le trafic avec l’Est de la Sibérie et la Chine. Ce grand jeune homme, c’était Joseph Kessel.

Sa présence à l’extrémité du continent asiatique mérite quelques explications. Joseph Kessel était né en 1898 à Clara en Argentine où son père, russe d’origine juive, était médecin, après avoir fait ses études en France, à Montpellier. Dès son enfance, Joseph Kessel connut de fréquents changements de résidence, son père quittant l’Argentine pour la Russie de 1905 à 1908, avant de venir s’établir définitivement à Paris où ses fils firent leurs études. Licencié ès-lettres, Joseph Kessel, alors qu’il n’avait que dix - huit ans devint journaliste dans un service de politique étrangère d’un grand quotidien parisien. Mais c’était la guerre et le jeune Kessel s’engagea d’abord dans l’artillerie, puis dans l’aviation où il devint pilote de chasse de l’escadrille S.39.
En Octobre 1918, on demande des aviateurs volontaires pour la Sibérie, afin de contrecarrer l’action des Japonais qui cherchent à s’y implanter. Joseph Kessel, sous - lieutenant à vingt ans s’embarque pour cette lointaine destination. Mais arrivé à Vladivostok, il doit déchanter, les avions restent au sol, c’est autour d’une table que des diplomates règlent les différends qui opposent les puissances ayant des intérêts sur les rivages de la Mer du Japon. Toujours épris d’action, c’est alors qu’il entre au service du Transsibérien pour tenter de mettre un terme à l’anarchie résultant de la guerre et de la révolution et devient un original chef de gare.
Mais revenons à nos soldats français et au récit de leurs aventures que Francis me contait, lorsqu’il était disposé à en parler. A leur arrivée leur détachement fut hébergé dans des entrepôts du port qui étaient immenses et vides car cette région connaissait la pénurie après quatre ans de guerre suivis de la révolution. Dans le port, on trouvait des bateaux de toutes origines et toutes nationalités, des bateaux de guerre, des cargos, des bateaux de pèche mais pas le moindre paquebot. Par quel moyen pouvait - on envisager le retour vers la France ?

Quelques semaines plus tard, tout le contingent français embarquait sur un cargo anglais, un charbonnier affecté au transport de la houille des mines du Tonkin, alors colonie française, du port de Hanoï à Vladivostok. C’est donc dans les soutes inconfortables, à fond de cale que la première partie du retour fut effectuée, mais qu’importaient les conditions puisqu’on était sur le chemin du retour.
Les souvenirs de Francis étaient très sélectifs. Autant il évoquait avec pas mal de détails la partie terrestre de son odyssée, autant le retour par voie maritime avait laissé peu de chose dans sa mémoire. A partir d’Hanoï, tout était très vague, il évoquait les grandes cheminées du navire et ne se souvenait pas d’avoir passé le canal de Suez. Mais est - ce la route qu’avait empruntée son bateau ?
Enfin, on était en 1920, ce fut l’arrivée à Marseille, dans l’indifférence générale, les formalités de démobilisation, toujours aussi tatillonnes pour des soldats qui n’aspiraient qu’à rentrer au plus vite dans leurs familles qu’ils avaient quittées depuis des années, eux qui avaient passé six ans sous l’uniforme (il était présent au mariage de son frère Lucien MICHALLET le 24 janvier 1920 à Rives).
C’est ainsi qu’après ce long périple, Francis retrouva Gillonnay, un village marqué par la guerre, quarante de ses camarades avaient été tués dans les combats et combien d’autres étaient revenus malades ou mutilés.
Plus tard, après les commémorations du 11 Novembre et les cérémonies au monument aux morts, Francis me disait : “ Moi aussi, je suis ancien combattant. ” Car il sentait confusément que son épopée l’avait rangé à part, lui qui n’avait été ni à Verdun, ni dans les tranchées de la Somme.
Ultime confidence : au cours de sa longue absence sous d’autres latitudes, Francis avait pu réfléchir et se faire une opinion politique, à son retour il était communiste.
Et puis, Francis a repris la vie simple et tranquille, sans le moindre soutien psychologique ( cela n’existait pas à l’époque ! )

Il a rencontré Antonia qui avait le même âge que lui. Leur mariage a eu lieu à Gillonnay le 30 Avril 1927. Ils eurent une fille qui mourut en bas âge, à moins d’un an.

Comme Antonia était fille d’épicier, Francis devint épicier à son tour.



Il fut le dernier à exercer cette profession dans la commune. Francis est mort le 17 Juillet 1960.

Aujourd’hui je regrette de ne pas l’avoir davantage fait parler de ce voyage au bout du monde mais aurais - je obtenu beaucoup plus d’informations ? Je me le demande…

Alexandre MOULIN.
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MICHALLET 1915
BRUNO03
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Inscription : sam. déc. 08, 2007 1:00 am

Re: Armée d'Orient

Message par BRUNO03 »

Bonjour,
Possédant le registre matricule de mon arrière grand-père, j'ai lu qu'il avait été affecté à l'armée d'orient au 175ème RI à la section COA en dec 1917 puis rapatrié en mars 1918 suite à problême de santé. Il était boulanger de métier, donc probablement boulanger à la COA.
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