Cimetière de Marchovelette .

[patrick mestdag]

Bonsoir

Cimetière de Champion (Namur) dit "de Marchovelette
inaugurée par le roi Albert en 1934
Près de la Meuse sur ses versants ,
Champs de Bataille de Champion-Boninne-Gelbressee
Derrière le fort de Marchovelette
La [URL=http://cecile_meunier.club.fr/historiques/historiques/RI-148.pdf]148[/url] était la aidant le 10ie et le 8ie de ligne Belge
Vainement a stopper la Fureur Teutonique .

21-24 août 1914

promenade a
Cimetière de Marchovelette

Tous les corps furent ramenés plus tard au cimetière militaire de Marchovelette. Au pied de chaque tombe ou s'étale un rosier nain, une pierre grise haute de 0,50 cm au sommet de laquelle est incrusté un médaillon tricolore recouvert d'une petite croix en bronze, indique l'identité du héros ou signale avec tristesse "Soldat inconnu". Un monument grandiose, taillé dans la pierre de France, a été élevé à la mémoire des soldats tombés dans la région. Au sommet de cet ouvrage d'art, une femme agenouillée, symbole de la Patrie, se penche sur deux soldats. Elle tient en main une palme de lauriers. Le soldat belge, coiffé d'un shako et armé d'un fusil, le soldat français, portant le képi et brandissant une épée, prennent une attitude de défense. Ces statues sont plus hautes que la grandeur naturelle.

Du lien
Fort de Marchovelette
et de
NAMUR
L’écrivain Belge bien connue Ernest Claes fut blessée et pris prisonnier sur ce champ de bataille .



@+
Patrick

[Simon Augustin]

Bonjour Patrick,

Je vois que ta santé s'améliore.
As-tu le coin supérieur gauche,et toute la hauteur de la droite de la carte exposée.
Belles photos.
Et à ta disposition.

Augustin

[patrick mestdag]

Bonjour Augustin,

Je me doutais bien que tu allais te manifester suite à ce message
Ca va pour moi merci ,
et toi le déboulonnage des vis n’a pas fait trop mal ?:shock:

La carte est juste un peu trop grande pour mon petit scanneur ,
Voici la plus grande partie possible .


Source :
Der Grosse Krieg
Luttich-Namur
(Liege-Namur)

@+
Patrick

[Simon Augustin]

Bonjour Patricq,

Mes vis sont parties depuis peu de temps et je marche relativement bien; la moto c'est pour plus tard.
Merci beaucoup pour la carte, je cherche un fort qui doit être sur les hauteurs en face de Marche les dames (endroit ou le Roi Albert 1èr est mort).
Je te souhaite une bonne journée

Augustin

[Joseph Jacquet]

Bonjour.
Intéressant le dessin . On voit passer " Dicke Berta " et il ( elle ) figure sur la légende ( 42 cm Mörser )
http://html2.free/canons/bertha.htm
A bientôt.
J.Jacquet

[Daniel Ruis]

Bonjour à vous,

Pierre, ne serai-ce pas le même engin que sur ta première image ? ( je n'y connais rien ) ça y ressemble beaucoup.

Cordialement.

[patrick mestdag]

Bonjour ,
En voici encore une belle


@+
Patrick

[vincent le calvez]

Merci Patrick pour ces documents,

Étonnant ce canon de 305 : je viens de terminer la lecture de "Liège, août 1914" de Lhoest et de Georis (1964).

Voici ce qu'on lit en pages 57 et 58 :

"Le 305 autrichien monté par Skoda avait été mis au point en 1910. Démonté en trois parties – pièce, affût et plate-forme amovible – il était d'une grande mobilité pour l'époque puisqu'il pouvait parcourir de 25 à 45 km chaque jour sur ses roues à "patins de fer". En moins de trois quarts d'heure, le 305 Skoda était complètement mis en batterie. Quant au démontage, il était encore plus rapide. Avec un angle de tir de 60 degrés, des obus-torpilles à retardement et une portée de plus de 11 kilomètres, cette armé était redoutable.
Lorsque la guerre éclata, l'Allemagne en possédait quatre ex. obligeamment prêtés par le chef de l'état-major austro-hongrois, Conrad von Hötsendorf, jusqu'à l'achèvement des 420 usinés par Krupp..."

Cet ouvrage parle de la bataille de Liège avec notamment la bataille des forts et le rôle de l'artillerie allemande : les 305 Skoda et les deux canons de 420 (appelés Grosses Bertha). Ces derniers tiraient, selon les auteurs, depuis le village de... Mortier.

Bien cordialement

Vincent

[patrick mestdag]

Bonsoir,

Je me suis pas encore trop penchée sur la bataille de Liége ,
bien que j’en connais les Generalitées ,
mais après Namur ce sont les forts d’Anvers et de Maubeuge qui subisseront la précision des gros obusiers de l’artillerie Austro-Hongroise ,
car ils tiraient fort juste les Allemands .
Est-ce que le Camp des romains ne subissait pas lui aussi ce traitement ?
Et n’oublions pas après l’invasion , le boulot de ces cannons en Pologne ,
Sur les forts De Nowo Georgiewst au nord de Varsovie
Je crois me rappeler que c’est pour cette raison d’impuissance ,
des forts face a ce genre d’artillerie moderne,
que l’état major français ordonna de
démantèlement l’artillerie dans les forts de Verdun (pour les utiliser allieuirs)
Grave erreur par après.

En allemand la littérature réfère souvent à la nomination pour les forts comme
Panzerfest Douaumont par expl , cela m’intrigue toujours ,
le mot panzer ,car
Pour les panzer il fallait encore attendre qq années,
ce sera plutôt utilise dans le sens de Protection.

Voici un tableau de tirs sur les forts d’Anvers de ces obusiers .


Baterrie= son mom
Enfernung= distance
Schuss =coups
590 coups pour les 42 cm et 2130 coups pour les 30.50 cm
11800 obus de calibre 21cm (pas sur les forts)

Il y a plusieurs sites a trouver sur le net concernant ces canons
Comme celui mentionne par Joseph .

@+
Patrick

[patrick corbon]

Bonsoir à tous,

Pour le terme panzerfeste il vient de Panzer qui se traduit par "mobile" et feste que l'on traduirait par forteresse ou par préférence plutôt par groupe fortifié.

La coupole des batteries cuirassées a pris le nom de panzerturm (tourelle mobile, coupole mobile). Par extension le groupe fortifié doté de batteries à tourelles cuirassées a pris l'appellation de panzerfeste.

On trouve également des "Fahrpanzer" qui de fait sont un peu les ancêtres des panzers (chars d'assaut). ce sont des tourelle mobiles à canon de 57 ou d'observation à l'empattement des voies de 60)


Pour liègevous pouvez vous référer au site http://www.clham.org/index.htm
Dans les archives de ce site vous devriez trouver votre bonheur sur Liège ainsi que certaines caractéristiques de la grosse artillerie allemande.


Suite aux différents sièges en Belgique et à la chute du fort Français de Manonvillers en France on a un peu conclu trop vite à la faillite de la fortification face aux 380 et 420. Ce que l'on ne savait pas c'est que l'essentiel des dégats constatés sur Manonvillers étaient dûs à des explosions de charges placées dans les dessous de l'ouvrage par les allemands avant leur retraite. Pour les forts Belges d'Anvers, aucun des forts n'était achevé. Il manquait des coupoles et celles en place n'avaient pas d'anneau bétonnée autour de leurs voussoirs. Les Belges ont improvisés en coulant rapidement de la pierraille avec du béton durcertains. Sur d'autres le colmatage s'est fait avec des sacs de béton simplement arrosés d'eau ou des sacs de sable. Les superstructure n'étaient calculées que pour résister à du 210. Téléphone et électricité (Pb de ventilation ) n'étaient pas installés et les munitions encore à poudre noire étaient comptées. La portée maximum était de 8 km pour les forts. 10 km pour les plus grosses pièces de 150 (mle 1889) des intervalles.
Ce n'est que lors de la bataille de Verdun suite à la bonne tenue de nos vieux forts que l'on a révisé nos conclusions trop hâtives mais le mal était fait puisque la plupart des munitions , tubes , pièces d'artillerie ont été récupérées lors des pénuries de munitions en 15 et lors de la crise des éclatements.


Cordialement