Bonjour à tous,
Je continue mes recherches à propos de la famille JACQUETTE (voir mes précédents posts).
Je viens de retrouver cette photo dans un carton. Mon AGP Marius JACQUETTE 1885 - 1954 (visage entouré) était à Londres à Partir de 1912 (ma grand-mère y est née).
Marius était socialiste / pacifiste et part à Londres avant que le conflit n'éclate. Il retourne ensuite en France en 1916 et est incorporé au 29RI mais déserte (voir sa FM).
Visiblement, quelques individus portent des uniformes britanniques sur la photo, ce qui confirme qu'il était bien à Londres et que la photo date d'avant guerre (ou pendant).
Mais cette photo pose pas mal de questions...
1) ce n'est pas une réunion syndicale car sinon, pourquoi la présence de militaires ?
2) ce n'est pas non plus une réunion d'ouvriers ? Pourtant derrière il s'agit bien d'une usine ?
3) réunion sportive ? Ou un contingent de recrues ?
Bref, pour vous, quel pourrait-être le motif de cette photographie ?
Merci par avance pour votre aide.
Cordialement. Julien.
P. S. : j'ai également retrouvé des éléments datant de sa période chez les zouaves (après son passage devant le conseil de guerre).
Londres, vers 1912
Londres, vers 1912
- Pièces jointes
-
- Marius.jpg (207.48 Kio) Consulté 516 fois
-
- Ensemble_1.jpg (201.92 Kio) Consulté 522 fois
Dernière modification par MetL le lun. nov. 23, 2020 8:19 am, modifié 2 fois.
Londres, vers 1912 (suite)
Si vous souhaitez voir un détail dites-le moi car le site refuse les photos de plus de 200Ko ce qui limite fortement la précision.
Bien à vous.
Bien à vous.
- Pièces jointes
-
- detail2.jpg (159.16 Kio) Consulté 519 fois
-
- detail.jpg (136.97 Kio) Consulté 521 fois
Re: Londres, vers 1912 (suite)
Bonjour,
Je précise un peu : 240Ko au grand max.
Bien à vous,
Kenavo,
Cordialement.
Pierre
"La guerre, c'est le massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent et ne se massacrent pas. " Paul Valéry
Pierre
"La guerre, c'est le massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent et ne se massacrent pas. " Paul Valéry