TUPINIER Henri François Marie Georges
Né le 8 mars 1862 à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), décédé le 8 mai 1935 à Cuisery (– d°–).
Admis le 27 octobre 1881 à l’École spéciale militaire de Saint-Cyr à la suite du concours ouvert la même année. 66e Promotion, dite « d’Égypte ». Classé 193e sur une liste de 350 élèves à l’issue des épreuves dudit concours (J.O. 18 oct. 1881, p. 5.787). Classé 194e sur une liste de 342 élèves à la sortie de l’école (J.O. 12 sept. 1883, p. 4.780).
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Par décision ministérielle du 11 juillet 1916 (J.O. 20 juill. 1916, p. 6.435), promu au grade de colonel. Alors lieutenant colonel au 310e Régiment d’infanterie.
Par décret du 20 mars 1919 (J.O. 22 mars 1919, p. 2.963 et 2.964), promu au grade de général de brigade.
En Décembre 1919, nommé au commandement de la 38e Brigade d’infanterie et des subdivisions de Rennes et Vitré (J.O. 12 déc. 1919, p. 14.389).
Par décision ministérielle du 27 mars 1920 (J.O. 30 mars 1920, p. 5.047), nommé au commandement de la 1re Brigade d’infanterie et des subdivisions de Lille et Valenciennes.
A compter du 1er avril 1920, nommé au commandement de l’infanterie divisionnaire de la 1re Division de la 1re Région de corps d’armée, à Lille (J.O 31 mars 1920, p. 5.105) — Par suite de la réorganisation du commandement des troupes et du commandement territorial.
Placé dans la 2e section (Réserve) du cadre général de l’état-major de l’armée à compter du 8 mars 1922 (J.O. 9 mars 1922, p. 2.719).
Admis le 27 octobre 1881 à l’École spéciale militaire de Saint-Cyr à la suite du concours ouvert la même année. 66e Promotion, dite « d’Égypte ». Classé 193e sur une liste de 350 élèves à l’issue des épreuves dudit concours (J.O. 18 oct. 1881, p. 5.787). Classé 194e sur une liste de 342 élèves à la sortie de l’école (J.O. 12 sept. 1883, p. 4.780).
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Par décision ministérielle du 11 juillet 1916 (J.O. 20 juill. 1916, p. 6.435), promu au grade de colonel. Alors lieutenant colonel au 310e Régiment d’infanterie.
Par décret du 20 mars 1919 (J.O. 22 mars 1919, p. 2.963 et 2.964), promu au grade de général de brigade.
En Décembre 1919, nommé au commandement de la 38e Brigade d’infanterie et des subdivisions de Rennes et Vitré (J.O. 12 déc. 1919, p. 14.389).
Par décision ministérielle du 27 mars 1920 (J.O. 30 mars 1920, p. 5.047), nommé au commandement de la 1re Brigade d’infanterie et des subdivisions de Lille et Valenciennes.
A compter du 1er avril 1920, nommé au commandement de l’infanterie divisionnaire de la 1re Division de la 1re Région de corps d’armée, à Lille (J.O 31 mars 1920, p. 5.105) — Par suite de la réorganisation du commandement des troupes et du commandement territorial.
Placé dans la 2e section (Réserve) du cadre général de l’état-major de l’armée à compter du 8 mars 1922 (J.O. 9 mars 1922, p. 2.719).
Distinctions honorifiques
□ Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du 20 novembre 1915 (J.O. 24 nov. 1915, p. 8.527), inscrit au tableau spécial de la Légion d’honneur pour le grade d’officier dans les termes suivants : « M. Tupinier (Henri-François-Marie-Georges), lieutenant-colonel commandant le 310e rég. d’infanterie : officier supérieur très ardent. A su communiquer à son régiment son courage et son énergie. A définitivement conquis sur l’ennemi un fortin, solidement organisé, plusieurs fois perdu et repris, et s’y est maintenu malgré de violentes contre-attaques. » (Rang du 29 octobre 1915).
□ Cité à l’ordre de l’armée dans les termes suivants (J.O. 1er juin 1918, p. 4.742) : « TUPINIER, colonel commandant l’infanterie de la ...e division : a déployé, au cours des récents combats, les plus belles qualités militaires de coup d'œil, de sang-froid et de décision. S’est transporté, de sa propre initiative, à un poste périlleux, pour mieux diriger une opération délicate, et s’y est maintenu toute une journée, à 300 mètres de la ligne d’infanterie, sous un bombardement violent. A personnellement contribué, par ses habiles dispositions et son exemple, au succès des opérations. »
□ Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du 10 juillet 1918 (J.O. 11 juill. 1918, p. 8.527), inscrit dans les termes suivants au tableau spécial de la Légion d’honneur pour être élevé à la dignité de grand officier : « TUPINIER (Henri-François-Marie-Georges), colonel (active), commandant l’infanterie d’une division : chef d’un courage admirable. Toute son infanterie ayant été engagée dans des circonstances extrêmement critiques, s’est résolument porté sur le point du champ de bataille le plus violemment attaqué pour se rendre mieux compte de la situation et stimuler la troupe par son exemple. A été grièvement blessé par un éclat d’obus au moment où, face à l’ennemi, il donnait des ordres à un chef de corps. (Croix de guerre). »
□ Cité à l’ordre de l’armée dans les termes suivants (J.O. 1er juin 1918, p. 4.742) : « TUPINIER, colonel commandant l’infanterie de la ...e division : a déployé, au cours des récents combats, les plus belles qualités militaires de coup d'œil, de sang-froid et de décision. S’est transporté, de sa propre initiative, à un poste périlleux, pour mieux diriger une opération délicate, et s’y est maintenu toute une journée, à 300 mètres de la ligne d’infanterie, sous un bombardement violent. A personnellement contribué, par ses habiles dispositions et son exemple, au succès des opérations. »
□ Par arrêté du Ministre de la Guerre en date du 10 juillet 1918 (J.O. 11 juill. 1918, p. 8.527), inscrit dans les termes suivants au tableau spécial de la Légion d’honneur pour être élevé à la dignité de grand officier : « TUPINIER (Henri-François-Marie-Georges), colonel (active), commandant l’infanterie d’une division : chef d’un courage admirable. Toute son infanterie ayant été engagée dans des circonstances extrêmement critiques, s’est résolument porté sur le point du champ de bataille le plus violemment attaqué pour se rendre mieux compte de la situation et stimuler la troupe par son exemple. A été grièvement blessé par un éclat d’obus au moment où, face à l’ennemi, il donnait des ordres à un chef de corps. (Croix de guerre). »