Ce 21 juin 1918, Victor Prinet, né à Frontenay en 1874, change de régiment, passant du 69ème RIT au 5ème RI.
Après avoir passé l'hiver 1917/1918 au Chemin des Dames, à entretenir les boyaux de communication ou à travailler à la tête de pont de Pargnan (Aisne), le 69ème RIT est dirigé dans l'Oise, à Maignelay-Montigny, au sud de Montdidier (Somme).
Selon l'historique du régiment, les 2 bataillons du 69ème RIT préparent le terrain en vue d'une offensive alliée. Mais l'ennemi la devance et attaque en force du 9 au 15 juin 1918.
C'est donc juste après ces combats que Victor Prinet rejoint le 5ème RI cantonné depuis peu au sud d'Amiens, à Rumigny et alentours, où il reste durant un mois, car Victor Prinet et son régiment sont subitement embarqués pour la région de Villers-Cotterêts où ils reçoivent l'ordre, d'après l'historique de cette unité, de "suivre le 167ème RI, de nettoyer les objectifs atteints et de le relever aussitôt après en le dépassant". C'est la bataille de l'Aisne et d'Oulchy-le-Château.
On retrouve ensuite Victor Prinet et son régiment du côté de Soissons en août 1918, puis en Belgique en octobre suivant, chargés avec une armée anglo-franco-belge de rompre le front ennemi et de se diriger sur Gand (Bataille de la Lys entre autres).
Durant la période du 14 au 23 octobre 1918, le régiment de Victor Prinet, pour avoir libéré une ville et 5 villages, progressé de 30 km, capturé 600 prisonniers, enlevé canons et matériels de guerre, est cité à l'ordre de l'Armée.
Voilà la fin de parcours en 14/18 de Victor Prinet qui restera mobilisé jusqu'au 26 janvier 1919 et mourra le 22 septembre 1952 à Poitiers (Vienne).
Après avoir passé l'hiver 1917/1918 au Chemin des Dames, à entretenir les boyaux de communication ou à travailler à la tête de pont de Pargnan (Aisne), le 69ème RIT est dirigé dans l'Oise, à Maignelay-Montigny, au sud de Montdidier (Somme).
Selon l'historique du régiment, les 2 bataillons du 69ème RIT préparent le terrain en vue d'une offensive alliée. Mais l'ennemi la devance et attaque en force du 9 au 15 juin 1918.
C'est donc juste après ces combats que Victor Prinet rejoint le 5ème RI cantonné depuis peu au sud d'Amiens, à Rumigny et alentours, où il reste durant un mois, car Victor Prinet et son régiment sont subitement embarqués pour la région de Villers-Cotterêts où ils reçoivent l'ordre, d'après l'historique de cette unité, de "suivre le 167ème RI, de nettoyer les objectifs atteints et de le relever aussitôt après en le dépassant". C'est la bataille de l'Aisne et d'Oulchy-le-Château.
On retrouve ensuite Victor Prinet et son régiment du côté de Soissons en août 1918, puis en Belgique en octobre suivant, chargés avec une armée anglo-franco-belge de rompre le front ennemi et de se diriger sur Gand (Bataille de la Lys entre autres).
Durant la période du 14 au 23 octobre 1918, le régiment de Victor Prinet, pour avoir libéré une ville et 5 villages, progressé de 30 km, capturé 600 prisonniers, enlevé canons et matériels de guerre, est cité à l'ordre de l'Armée.
Voilà la fin de parcours en 14/18 de Victor Prinet qui restera mobilisé jusqu'au 26 janvier 1919 et mourra le 22 septembre 1952 à Poitiers (Vienne).