18e RI 17 septembre 1918

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HT62
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Re: 18e RI 17 septembre 1918

Message par HT62 »

Bonjour,

Je recherche tous renseignements concernant les 1er et 2e bataillons en ligne à Allemant lors des combats du 17 septembre 1918.
(cartes, positions, pertes, etc...).
L'historique indique le départ de l'attaque au mont des Singes vers la ligne entre Allemant et Pinon.
Merci. Cordialement, Hervé.
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peyo
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Re: 18e RI 17 septembre 1918

Message par peyo »

Bonjour Hervé
Dans la nuit du 16 au 17 les 1° bat commandant PEYRE et 2° bat commandant ROBERT sont en première ligne, le 3° bataillon en reserve dans le ravin sud de Neuville sur Margival.
Extrait de l'Historique du 18°
Amicalement
Peyo
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HT62
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Re: 18e RI 17 septembre 1918

Message par HT62 »

Bonsoir Peyo,

Effectivement ! Le JMO ne semble pas être en ligne alors j'espère qu'un passionné du 18e se manifestera pour avancer dans cette recherche.
Bonne soirée, amicalement, Hervé.
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denis33
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Re: 18e RI 17 septembre 1918

Message par denis33 »

Bonsoir à toutes et à tous.
Bonsoir Hervé, bonsoir Peyo.

Voilà quelques éléments sur cette journée 17 septembre 1918 avec le 18e R.I. trouvés dans un tas de copies...

Extraits de l'historique du 18e R.I. ( "version" 1936)

Combats d’Ailleval et d’Allemant (17 septembre 1918).

Le 12 septembre, une armée franco-américaine a attaqué le saillant de Saint-Mihiel. Cette affaire menée victorieusement n’est en réalité qu’un brillant épisode de la période de préparation qui s’étend du 8 au 26 septembre et dont l’effet doit être de fixer partout l’ennemi, de le rejeter sur la ligne Hidenbourg et de rendre possible une attaque générale de cette ligne.
Le 13, les britanniques attaquent à leur tour.
Le 14, les généraux Mangin et Degoutte, se portent en avant contre le redoutable bastion de Laon qu’ils attaquent, l’un par le massif de la forêt de Coucy, l’autre par l’Aisne. Le 15, vers 14 heures, le régiment est alerté, il traverse l’Aisne à Vic-sur-Aisne (ouest de Soissons) et se porte dans les bois situés au sud-ouest de Terny-Sorny.
Le 16 septembre, pendant que le général Mangin dont l’armée vient de recevoir la 36e division, s’empare du Mont-des-Singes ; à l’ouest de Pinon, de Vailly, et prend pied sur le Chemin de Dames, le régiment s’avance au travers d’une zone de désolation vers Neuville-sur-Margival. Partout des ruines ; les arbres fruitiers ont été sauvagement sciés par l’ennemi en retraite. La bataille fait rage à gauche vers la forêt de Saint-Gobain et à droite sur le Chemin des Dames.
A la nuit, les bataillons relèvent les débris du 7e régiment de Tirailleurs Algériens dans le sous-secteur de Bessy (ouest d’Allemant). Les 1er et 2e bataillons sont en premières lignes, le 3e bataillon en réserve dans le ravin sud de Neuville-sur-Margival.
Il s’agit, d’après les ordres du général Fayolle, d’aborder par l’ouest la formidable position constituée par les hauteurs nord de l’Aisne avec son fameux Chemin des Dames connu du 18e R.I., afin d’obliger l’ennemi, pris en flanc, à l’évacuer.
La tâche réservée au 18e R.I. est particulièrement périlleuse. Des bords nord-ouest du ravin d’Ailleval sur le mont des Singes (ouest de Pinon) en effet jusqu’à la vallée reliant l’Allemant à Pinon, le régiment devra s’emparer du dos de terrain dominant cette dernière localité et devant lequel les braves tirailleurs du 7e ont été décimés. Il faudra la fougue, le courage magnifique des soldats du colonel Decherf pour vaincre.
Ainsi dans la nuit du 16 au 17 septembre, les hommes du 18e R.I. s’installent dans les trous d’obus suivant un front orienté sensiblement nord-nord-ouest, sud-sud-ouest.
Dès la pointe du jour, l’aviation de bombardement procède toute la nuit à de nombreux et bruyants voyages vers nos arrières. Pour ne pas être aperçus, nos hommes se dissimulent sous leurs couvertures et toiles de tente.

Image

Les 34e et 49e R.I. doivent encadrer le régiment pendant l’opération qui est prévue pour l’après-midi du 17.
La mise en place est rendue difficile par la nature du terrain. Le 1er bataillon (commandant Peyres), et le 2e bataillon (commandant Robert) doivent attaquer. Le capitaine Lasserre capitaine adjudant-major du 2e bataillon, s’assure personnellement que les ordres donnés sont exécutés, et à l’heure H, il sera le premier debout pour bondir en avant.

16 h 00 : Notre artillerie déclenche un tir de barrage efficace ; les canons de tranchées en position sur le revers du coteau qui domine l’entrée sud du tunnel de Vauxaillon envoient des volées de bombes.
Officiers, soldats s’élancent. Les Allemands surpris se ressaisissent et le tir meurtrier de leurs mitrailleuses n’empêchent pas nos troupes d’avancer irrésistiblement. Le capitaine Onagoïty (1ère compagnie) est grièvement blessé. Evacué aussitôt, il ne devait pas survivre à ses blessures. Le sous-lieutenant Magnon, entouré plusieurs fois par l’ennemi, se dégage et conserve le terrain conquis. L’adjudant Descalès (5e compagnie) se précipite avec ses hommes sur des mitrailleuses qui ne s’étaient démasquées qu’après le passage des vagues d’assaut, et permet ainsi de continuer la progression. Le soldat Saucaze retourne contre les Allemands une des pièces prises. Tous rivalisent d’ardeur dans cette lutte très dure. L’adjudant Errecart, chargé de nettoyer un abri, est blessé d’une balle à l’épaule au moment de partir. Ce brave sous-officier s’élance quand même à la tête de sa troupe. Cet abris n’a pas été atteint par notre artillerie, mais un obus Stockes tombe sur l’entrée au moment où les Allemands qui l’occupent sortent de la sape pour se porter à leur emplacement de combat. Ils hésitent un instant. Errecart est déjà sur eux ; l’abri est entouré, les Allemands se rendent. L’ adjudant, épuisé par ses violents efforts, et est emporté par les brancardiers.
Les bataillons avancent toujours, rien n’arrête l’élan de nos soldats. Entraînés par le capitaine Monziès (1er bataillon) et les lieutenants Lartigau et Ducaud (2e bataillon), ils collent au barrage. Certains éléments dépassent même l’objectif pour sauter sur l’ennemi avant qu’il puisse prendre les armes.
C’est ainsi que le sous-lieutenant Pitté amène sa section sur un point avancé pour tirer sur l’ennemi en retraite. Blessé à la tête, il refuse de quitter son poste.

16 h 30 : Tous les objectifs sont atteints et l’on s’organise pour parer aux contre-attaques. Cinq fois, l’ennemi se précipite sur nos positions ; cinq fois, il est arrêté par notre feu et laisse des morts nombreux sur le terrain.
Les sergents Ducournau et Delas contribuent pour une grande part à l’échec de ces assauts.
A la nuit, l’intensité du combat diminue. Les unités durement éprouvées se regroupent. L’avance a été de 600 m environ et l’ennemi, sur lequel nous avons des vues plongeantes, va chercher plus en arrière, vers Pinon et les hauteurs à l’est de nouvelles positions de résistance.
Cette journée du 17 septembre est une nouvelle victoire à l’actif du 18e R.I..
Elle a été riche en butin ; Le régiment a pris à l’ennemi 3 canons de 105, 2 canons de 77, 3 minenwerfers, 35 mitrailleuses, 200 prisonniers. Le chiffre seul des mitrailleuses, enlevées dans un élan magnifique à un ennemi qui a su utiliser toutes les ressources du terrain, est un éclatant témoignage de l’héroïsme de nos hommes.
Pertes 1 officier tué, 4 blessés, 42 hommes de troupes tués 295 blessés, 10 disparus.

Image

En espérant que cela conviendra à Hervé, désolé pour la qualité mais les photos viennent d'une photocopie scannée.

Bien cordialement.
Denis
denis33
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Re: 18e RI 17 septembre 1918

Message par denis33 »

Suite...

Liste des tués pour cette journée et les jours suivants ...(non vérifiée avec le fichier M.D.H.). Désolé pour les erreurs éventuelles.

Soldat ARROUY Jean Simon Léopold
Caporal BIENAIME Arthur Auguste
Soldat BERDALLE Baptiste
Soldat BAUDRY Paul Auguste Alexandre
Médecin aide-major BERGONIER Georges Jean Fernand
Soldat COUDRET Jean Dominique
Soldat CLEMENT Henri Louis Joseph
Soldat CAUHAPE Isidore
Caporal CAMPION Paul
Soldat CHAMPAGNE Marie Edouard
Soldat CARPENTIER Hector
Sous-lieutenant CANS Raymond
Soldat DULUC Pierre
Soldat DORIGNAC Guillaume Denis dit Raymond
Soldat DUCHEZ Henri
Soldat DARRAÏDOU Jean
Soldat DUNATE Bernard (décédé le 18 septembre 1918)
Soldat DUCOURNEAU Louis (décédé le 22 septembre 1918)
Soldat ELISSALDE Christophe (décédé le 18 septembre 1918)
Soldat FAGET Jean
Soldat FOUCHE Raymond André
Caporal GARCIA Jean (décédé le 19 septembre 1918 à l’ambulance 2/5 )
Soldat GOGRIT Célestin Eugène
Soldat GUERIN Léon Henri Camille
Soldat GOGUE Paul Julien Jean
Soldat GUYOT Albert Charles
Soldat HYVERT Louis (décédé le 18 septembre 1918)
Sergent HAÏTSHANDIET Jean
Soldat ISAURE HOUDAA Jean Baptiste
Caporal INDART Pierre
Soldat JOLLY Serge Victor
Soldat LETONTURIER Ernest François Marie
Soldat LAHITETTE Henri
Soldat LACLAU Pierre (1er conducteur)
Soldat LAFON Grat.
Soldat LAPERLE Jean Charles (décédé le 19 septembre 1918)
Soldat LABOURDETTE Jean (décédé le 18 septembre 1918)
Soldat LALLIER Ferdinand Louis (décédé le 19 septembre 1918)
Soldat LACAZE Jean Baptiste (décédé le 19 septembre 1918)
Soldat LABANNERE Jean Paul Camille
Soldat MORNET Jean Constant
Soldat MAYOURAU Jean Baptiste
Soldat MARIE Jacques Léon
Soldat MARISSAL Jules Claude Louis
Soldat MERICAN Jean René Gaston (décédé le 19 septembre 1918)
Caporal MIRAN Eusèbe Jean (décédé le 18 septembre 1918)
Soldat PELANNE-HERCULES Emile Paul
Soldat PINAUD Auguste Louis Emile
Soldat PARCHE-CHATEAU Jean Joseph
Sergent QUINTAA-BERNE Jules Marie
Soldat QUIQUET Félix Amédée Jules
Soldat QUINSENAT Alfred Albin
Sergent SAVES Gabriel
Soldat TARTAS Henri Jean Maurice

Bien cordialement
Denis
















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HT62
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Re: 18e RI 17 septembre 1918

Message par HT62 »

Bonjour Denis,

Merci pour ce gros travail de frappe ! :D Je suis sur la bonne piste et vous contacte par message privé car j'ai encore à découvrir sur cette journée.
Amicalement, Hervé.
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denis33
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Re: 18e RI 17 septembre 1918

Message par denis33 »

Bonjour à toutes et à tous.
Bonjour Hervé.

Une petite suite...

Ce brillant succès vaut au 18e R.I. une quatrième et magnifique citation à l’ordre de la 10e armée. (général Mangin).
« Sous la conduite habile et énergique de son chef, le colonel Decherf, a enlevé de haute lutte, dans la journée du 17 septembre 1918, l’objectif qui lui était assigné et qui constituait pour l’ennemi un observatoire des plus importants. A progressé de plus de 600 m, au-delà sous le bombardement et les faux croisés des mitrailleuses, sans se soucier des pertes subies ; a malgré les furieuses contre-attaques exécutées par l’ennemi le jour même et les jours suivants, conservé intégralement le terrain conquis. A enlevé 5 canons, 3 minenwerfer, 35 mitrailleuses, fait près de 200 prisonniers et infligé des pertes sérieuses à l’ennemi. »

Cette citation attribuait au régiment le port de la fourragère aux couleurs de la Médaille Militaire.
Le 18, au lever du jour, une violente contre-attaque se produit sur un saillant de notre ligne et gagne un peu de terrain. Le sergent Chaix avec sa section contre-attaque les Allemands et les met en fuite. C’est en vain qu’ils renouvellent trois fois leur tentative.
Le médecin-chef Bergonier, dont le P.S. a été envahi dans la nuit, part aux premières lueurs du jour, pour rendre compte au colonel Decherf de la nécessité de renforcer son personnel submergé par une tâche qui, si elle n’est pas au-dessus de son abnégation, est hors de proportion avec le nombre. Il est tué avant d’avoir pu atteindre le P.C.du colonel. La nuit du 18 au 19 est relativement calme. La relève des grands blessés étant terminée, le service de santé procède à l’inhumation des morts. 54 inhumations sont ainsi pratiquées. Le moral des hommes, malgré les pertes, les fatigues et les réactions de l’ennemi reste très élevé. Les journées des 19, 20, 21, 22, 23 et 24 septembre s’écoulent sans faits notables, et l’on s’attend, d’un moment à l’autre, à la retraite des Allemands que nos armées victorieuses repoussent à droite et à gauche. La bataille fait rage sur tout le front et des évènements importants se préparent.
Dans la nuit du 24 au 25 septembre, le régiment est relevé dans le sous-secteur de Bessy par le 49e R.I. et reprend le chemin de Terny-Sorny pour atteindre au petit jour les creutes à l’ouest de ce village en ruines (E.M.et 2e bataillon). Le 1er bataillon va à Chavigny et le 3e à la ferme Beaumont.

Bien cordialement.
Denis








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HT62
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Re: 18e RI 17 septembre 1918

Message par HT62 »

Bonjour Denis, bonjour à tous,

Merci encore pour ces renseignements, je connais un peu mieux les positions des bataillons du 18e, rest à connaître dans quelle compagnie se trouvait ce soldat.
Mes correspondants de l'Aisne sont dans le coup, j'espère que le JMO sera vite en ligne, il pourrait nous aider ainsi qu'un bon canevas de tir.
Bonne journée, bien amicalement, Hervé.
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Re: 18e RI 17 septembre 1918

Message par [email protected] »

Bonsoir
Je recherche des informations concernant le soldat DUNATE BERNARD mon grand oncle
En auriez vous?
Je voudrais savoir si l'on peut retrouver son corps( puisqu'il a été blessé le 17 et est décédé le 18)
et puis l'autre question se serait de savoir si c'était vraiment BERNARD ou bien PAUL comme gravé sur le monument aux morts de son village natal à AYHERRE dans les PYRENEES ATLANTIQUES
Merci
Jean Paul DUNATE
denis33 a écrit : sam. déc. 13, 2008 10:56 pm Suite...

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Soldat ISAURE HOUDAA Jean Baptiste
Caporal INDART Pierre
Soldat JOLLY Serge Victor
Soldat LETONTURIER Ernest François Marie
Soldat LAHITETTE Henri
Soldat LACLAU Pierre (1er conducteur)
Soldat LAFON Grat.
Soldat LAPERLE Jean Charles (décédé le 19 septembre 1918)
Soldat LABOURDETTE Jean (décédé le 18 septembre 1918)
Soldat LALLIER Ferdinand Louis (décédé le 19 septembre 1918)
Soldat LACAZE Jean Baptiste (décédé le 19 septembre 1918)
Soldat LABANNERE Jean Paul Camille
Soldat MORNET Jean Constant
Soldat MAYOURAU Jean Baptiste
Soldat MARIE Jacques Léon
Soldat MARISSAL Jules Claude Louis
Soldat MERICAN Jean René Gaston (décédé le 19 septembre 1918)
Caporal MIRAN Eusèbe Jean (décédé le 18 septembre 1918)
Soldat PELANNE-HERCULES Emile Paul
Soldat PINAUD Auguste Louis Emile
Soldat PARCHE-CHATEAU Jean Joseph
Sergent QUINTAA-BERNE Jules Marie
Soldat QUIQUET Félix Amédée Jules
Soldat QUINSENAT Alfred Albin
Sergent SAVES Gabriel
Soldat TARTAS Henri Jean Maurice

Bien cordialement
Denis
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