L'Affaire de Lagarde, 10-11 août 1914
Publié : sam. sept. 19, 2020 12:08 pm
Mesdames et Messieurs,
Tout d'abord, veuillez accepter mes excuses pour mon français exécrable (et pour le Brexit, contre lequel j'ai voté!).
Deuxièmement, depuis 2006, je fais des recherches et j'écris sur la bataille de la Somme et j'ai publié trois livres sur ce sujet. Depuis six ans, je travaille sur un livre (il y en a maintenant deux) sur la planification des offensives britanniques et françaises sur la Somme. Le premier volume est devenu incontrôlable et couvre la période allant de la guerre franco-prussienne à la conférence de Chantilly de décembre 1915. Il ne fait que 811 pages. Pour l'instant...
J'écris actuellement sur les premiers combats en Lorraine et en Alsace et j'ai sélectionné quatre batailles dans lesquelles je pense que les tactiques d'avant-guerre, l'entraînement et les décisions sur l'équipement coûtent cher à l'armée française. Ces actions sont: la première attaque de Mulhouse du 7 au 10 août, l’affaire de Lagarde les 10 et 11 août, le combat à Cirey le 14 août et la bataille de Morhange les 19 et 20 août.
Actuellement, je me concentre sur Lagarde. J'ai lu les comptes officiels français et allemands, les JMO des unités impliquées et les brèves histoires régimentaires françaises, toutes les histoires régimentaires allemandes disponibles et les différents sites Web qui traitent de cette action. J'ai maintenant un compte rendu de la bataille et des actions et décisions qui y ont conduit, qui compte 25 000 mots.Ce qui m’intéresse aujourd’hui, c’est la réponse politique après les combats et les attaques contre les troupes provençales impliquées qui, je crois, a causé des dommages à long terme entre le sud et d’autres parties de la France, car ils ont ensuite également été blâmés lorsque le 15e Corps s’est retiré à Morhange et toute l’invasion de la Lorraine s’est effondrée.
Quelqu'un peut-il m'expliquer ou m'orienter vers une explication de toute division sociale et politique entre ce que je soupçonne être principalement une zone rurale, catholique et conservatrice (à l'exception de lieux comme Marseille et Toulon) et, peut-être, plus républicain, urbain (radical?) nord représenté par des hommes politiques comme Messimy, qui, entre autres dont Clemenceau, semble avoir été impliqué dans la diffusion de rumeurs sur la conduite des hommes de Provence. J'ai des informations sur les commentaires faits et les articles écrits à l'époque et par la suite, c'est ce qui (si quelque chose) a créé une atmosphère antérieure de méfiance apparente envers les Provençaux qui m'intéresse.
Toute aide apportée serait reçue avec gratitude.
Bill MacCormick
Tout d'abord, veuillez accepter mes excuses pour mon français exécrable (et pour le Brexit, contre lequel j'ai voté!).
Deuxièmement, depuis 2006, je fais des recherches et j'écris sur la bataille de la Somme et j'ai publié trois livres sur ce sujet. Depuis six ans, je travaille sur un livre (il y en a maintenant deux) sur la planification des offensives britanniques et françaises sur la Somme. Le premier volume est devenu incontrôlable et couvre la période allant de la guerre franco-prussienne à la conférence de Chantilly de décembre 1915. Il ne fait que 811 pages. Pour l'instant...
J'écris actuellement sur les premiers combats en Lorraine et en Alsace et j'ai sélectionné quatre batailles dans lesquelles je pense que les tactiques d'avant-guerre, l'entraînement et les décisions sur l'équipement coûtent cher à l'armée française. Ces actions sont: la première attaque de Mulhouse du 7 au 10 août, l’affaire de Lagarde les 10 et 11 août, le combat à Cirey le 14 août et la bataille de Morhange les 19 et 20 août.
Actuellement, je me concentre sur Lagarde. J'ai lu les comptes officiels français et allemands, les JMO des unités impliquées et les brèves histoires régimentaires françaises, toutes les histoires régimentaires allemandes disponibles et les différents sites Web qui traitent de cette action. J'ai maintenant un compte rendu de la bataille et des actions et décisions qui y ont conduit, qui compte 25 000 mots.Ce qui m’intéresse aujourd’hui, c’est la réponse politique après les combats et les attaques contre les troupes provençales impliquées qui, je crois, a causé des dommages à long terme entre le sud et d’autres parties de la France, car ils ont ensuite également été blâmés lorsque le 15e Corps s’est retiré à Morhange et toute l’invasion de la Lorraine s’est effondrée.
Quelqu'un peut-il m'expliquer ou m'orienter vers une explication de toute division sociale et politique entre ce que je soupçonne être principalement une zone rurale, catholique et conservatrice (à l'exception de lieux comme Marseille et Toulon) et, peut-être, plus républicain, urbain (radical?) nord représenté par des hommes politiques comme Messimy, qui, entre autres dont Clemenceau, semble avoir été impliqué dans la diffusion de rumeurs sur la conduite des hommes de Provence. J'ai des informations sur les commentaires faits et les articles écrits à l'époque et par la suite, c'est ce qui (si quelque chose) a créé une atmosphère antérieure de méfiance apparente envers les Provençaux qui m'intéresse.
Toute aide apportée serait reçue avec gratitude.
Bill MacCormick