Voici une photo faite en studio début 1915 de mon arriére grand-père , il faisait parti du 43 R.I.T de Nancy 3° compagnie ,N° de matricule 2273 , classe 1896 , décédé le 17.09.1918 à 42 ans des suites de ses blessures .
J'ai retrouvé l'historique du régiment mais pour le moment je suis bloqué à partir du jour de son évacuation à sa première blessure , je n'ai rien jusqu'à sa mort , j'ai fait une demande aux archives , j'attend !!
Malheureusement , il s'est "aidé" à mourir et , n'est pas sur mémoire des hommes .. Je ne sais pas si il existe des archives des hopitaux millitaires de l'époque .
Bonsoir,
Comme vous avez pu le voir dans le petit mémento de Jérôme Charraud (en tête de cette rubrique "Sodats de la GG"), il est possible d'obtenir des renseignements sur un homme qui a été blessé:
Renseignements médicaux:
Des dossiers médicaux (plus ou moins complets) sont conservés au Service des Archives Médicales Hospitalières des Armées
SAMHA BP 15 - 87998 Limoges Armées
Tel. 05 55 12 12 40 (standard) 05 55 12 12 46 (exploitation)
Fax 05 55 12 12 57 Mel. : [email protected] )
Exemple: Envoi d'un mail en indiquant la nature de la demande (fournir un maximum de détails), réponse par courrier deux mois plus tard.
Pour porcéder à cete demande, je vous recommande de voir les différentes interventions, très bien renseignées, de notre ami Michel Pineau / MP 92, dans la rubrique du Service de Santé.
En outre, si vous désirez rechercher avec nous les Formations Sanitaires qui ont pu prendre votre blessé en charge, il conviendrait de nous dire la date et le lieu de cette blessure afin de pouvoir situer les ambulances etc en secteur à ce moment et lieu là.
Bien à vous,
Achache
Émouvante forêt, qu'avons-nous fait de toi ?
Un funèbre charnier, hanté par des fantômes.
M. BOIGEY/LAMBERT, La Forêt d'Argonne, 1915
Voici une photo faite en studio début 1915 de mon arriére grand-père , il faisait parti du 43 R.I.T de Nancy 3° compagnie ,N° de matricule 2273 , classe 1896 , décédé le 17.09.1918 à 42 ans des suites de ses blessures .
J'ai retrouvé l'historique du régiment mais pour le moment je suis bloqué à partir du jour de son évacuation à sa première blessure , je n'ai rien jusqu'à sa mort , j'ai fait une demande aux archives , j'attend !!
Malheureusement , il s'est "aidé" à mourir et , n'est pas sur mémoire des hommes .. Je ne sais pas si il existe des archives des hopitaux millitaires de l'époque .
Bonsoir,
Comme vous avez pu le voir dans le petit mémento de Jérôme Charraud (en tête de cette rubrique "Sodats de la GG"), il est possible d'obtenir des renseignements sur un homme qui a été blessé:
Renseignements médicaux:
Des dossiers médicaux (plus ou moins complets) sont conservés au Service des Archives Médicales Hospitalières des Armées
SAMHA BP 15 - 87998 Limoges Armées
Tel. 05 55 12 12 40 (standard) 05 55 12 12 46 (exploitation)
Fax 05 55 12 12 57 Mel. : [email protected] )
Exemple: Envoi d'un mail en indiquant la nature de la demande (fournir un maximum de détails), réponse par courrier deux mois plus tard.
Pour porcéder à cete demande, je vous recommande de voir les différentes interventions, très bien renseignées, de notre ami Michel Pineau / MP 92, dans la rubrique du Service de Santé.
En outre, si vous désirez rechercher avec nous les Formations Sanitaires qui ont pu prendre votre blessé en charge, il conviendrait de nous dire la date et le lieu de cette blessure afin de pouvoir situer les ambulances etc en secteur à ce moment et lieu là.
Bonsoir et merci , j'ai déjà fait les demandes et j'ai reçu par le biais de mon médecin traitant l'extrait de sa fiche d'évacuation et le motif de l'extraction des zones de combats ainsi que le N° de l'ambulance . Je noterais cela dans la rubrique santé pour une aide car aprés , je n'ai plus rien .
Un point qui me semble important quant au parcours de votre arrière-grand-père : le 21 septembre 1917, le 43e R.I.T. perd trois bataillons (les 1er, 2e, 3e) ; de nombreux territoriaux vont alors être affectés au 250e R.I.T. ou au 298e R.I.T. ; les compagnies de mitrailleuses sont conservées, mais transformées en Compagnies de Mitrailleuses de Position. Cette réorganisation prend effet le 25 septembre.
Début janvier 1918, une note du G.Q.G. annonce la dissolution du 250e R.I.T. ; les hommes des plus jeunes classes (1898 et postérieures) sont versés dans l’active, ceux des classes 1896 et 1897 restent dans la territoriale. En février 1918, 21 territoriaux du 250e sont versés au 112e R.I.T. Le 10 mars au soir, le 250e R.I.T. reçoit l’ordre de constituer 1 bataillon de pionniers à 4 compagnies (300 hommes chacune), 3 Compagnies de Mitrailleuses de Position (transformation des compagnies de mitrailleuses existantes), deux états-majors de bataillons de Mitrailleuses de Position ; le reliquat des effectifs est affecté au 49e R.I.T.
C’est le 12 août 1918 qu’a lieu la dissolution du 112e R.I.T., transformé en deux bataillons de pionniers.
La dissolution du 298e R.I.T. est fixée au 20 mars 1918 ; ses effectifs sont répartis entre le 1er B.T.C.P., le 43e R.I.T., les 14e et 16e S.I.M. (60 hommes) ; les gradés du régiment de la classe 1897 sont affectés au 35e R.I.T. ou au 97e R.I.T.
En conclusion, voici – a priori – l’unité au sein de laquelle Emile Valentin se trouvait au moment de sa mort :
- le 1er bataillon de pionniers du 112e R.I.T.
OU
- le 2e bataillon de pionniers du 112e R.I.T.
OU
- le 250e R.I.T. (bataillon de pionniers ou C.M.P.)
OU
- le 49e R.I.T.
OU
- le 1er B.T.C.P.
OU
- le 43e R.I.T.
OU
- la 14e S.I.M.
OU
- la 16e S.I.M.
Il y a de quoi faire...
Bien cordialement,
Eric Mansuy
"Un pauvre diable a toujours eu pitié de son semblable, et rien ne ressemble plus à un soldat allemand dans sa tranchée que le soldat français dans la sienne. Ce sont deux pauvres bougres, voilà tout." Capitaine Paul Rimbault.
Re: Soldat du 43 RIT ( mon arriére grand-père )
