Bonjour à tous,
"Lors de l'offensive de la Malmaison, en plus des canons mentionnés dans mes messages précédents, les canonniers-marins ont déployé les matériels suivants :" *
Le Groupe des Péniches-canons en batterie entre Celles sur Aisne et Vailly avec les trois péniches :
Marcelle armée d'un canon de 19cm Mle 1870-93.
Jeanne d'Arc armée d'un canon de 19cm Mle 1870-93.
Saverne armée d'un canon de 24cm Mle 1870-93.
Le 3° Groupe de canonnières fluviales (ancienne 3° batterie, rebaptisée "3° Groupe" le 2 juin 1917), composé de quatre canonnières fluviales :
H et I armées chacune d'un canon de 138mm
K et L chacune armée de deux canons de 100mm ou 105mm (100mm réalésé).
Les quatre canonnières sont en batterie entre Condé et Vailly.
Une pièce de 105mm d'une canonnière sera avariée par l'éclatement prématuré d'un projectile, sans perte humaine .
* Sources :
Guy François
Voir ce fil :
pages1418/forum-pages-histoire/canonnie ... 7686_1.htm
J-Chaloupe-canonnière fluviale type A (1915 – 1931) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
Lorient
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 1915
En service : 1915
Retiré : 1931
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 hélice ; 9 nds.
Armement : I de 140 + II de 47.
Observations :
Existence à confirmer
1918 : flottille du Rhin ?
Cordialement,
Franck
3° Batterie de Canonnières Fluviales
Re: 3° Batterie de Canonnières Fluviales
www.navires-14-18.com
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
Re: 3° Batterie de Canonnières Fluviales
Re,
K-Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 – ) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
Brest
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 1915
En service : 1915
Retiré : N. C.
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 hélice ; 9 nds.
Armement : II de 100 + II de 47.
Observations :
Série de 9 canonnières armées avec les canons des forts de Paris
1915 : 3ème batterie mobile
09.1915 : Champagne
10.1917 : Aisne.
Cordialement,
Franck
K-Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 – ) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
Brest
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 1915
En service : 1915
Retiré : N. C.
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 hélice ; 9 nds.
Armement : II de 100 + II de 47.
Observations :
Série de 9 canonnières armées avec les canons des forts de Paris
1915 : 3ème batterie mobile
09.1915 : Champagne
10.1917 : Aisne.
Cordialement,
Franck
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Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
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Re: 3° Batterie de Canonnières Fluviales
Re,
L-Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 – ) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
Lorient
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 1915
En service : 1915
Retiré : N. C.
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 hélice ; 9 nds.
Armement : II de 100 + II de 47.
Observations :
Série de 9 canonnières armées avec les canons des forts de Paris
1915 : 3ème batterie mobile
09.1915 : Champagne
10.1917 : Aisne.
Cordialement,
Franck
L-Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 – ) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
Lorient
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 1915
En service : 1915
Retiré : N. C.
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 hélice ; 9 nds.
Armement : II de 100 + II de 47.
Observations :
Série de 9 canonnières armées avec les canons des forts de Paris
1915 : 3ème batterie mobile
09.1915 : Champagne
10.1917 : Aisne.
Cordialement,
Franck
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Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
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Re: 3° Batterie de Canonnières Fluviales
Re,
M-Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 – ) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
N. C.
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 1915
En service : 1915
Retiré : N. C.
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 hélice ; 9 nds.
Armement : II de 100 + II de 47.
Observations :
Série de 9 canonnières armées avec les canons des forts de Paris
1915 : 3ème batterie mobile
09.1915 : Champagne
10.1917 : Aisne.
Cordialement,
Franck
M-Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 – ) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
N. C.
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 1915
En service : 1915
Retiré : N. C.
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 hélice ; 9 nds.
Armement : II de 100 + II de 47.
Observations :
Série de 9 canonnières armées avec les canons des forts de Paris
1915 : 3ème batterie mobile
09.1915 : Champagne
10.1917 : Aisne.
Cordialement,
Franck
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Re: 3° Batterie de Canonnières Fluviales
Re,
O - Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 – ) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
N. C.
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 1915
En service : 1915
Retiré : N. C.
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 hélice ; 9 nds.
Armement : II de 100 + II de 47.
Observations :
Série de 9 canonnières armées avec les canons des forts de Paris
1915 : 3ème batterie
09.1915 : Champagne
10.1917 : Aisne.
Cordialement,
Franck
O - Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 – ) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
N. C.
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 1915
En service : 1915
Retiré : N. C.
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 hélice ; 9 nds.
Armement : II de 100 + II de 47.
Observations :
Série de 9 canonnières armées avec les canons des forts de Paris
1915 : 3ème batterie
09.1915 : Champagne
10.1917 : Aisne.
Cordialement,
Franck
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Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
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Re: 3° Batterie de Canonnières Fluviales
Bonjour à tous,
Après compléments et mises à jour, un topo en premier jet sur la IIIème batterie.
IIIème Batterie de Canonnières fluviales
K - Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 –1917) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
Brest
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 08 ou 09.1915
En service : 08 ou 09.1915
Retiré : fin 1917
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 chaudière ; 1 machine alternative ; 1 hélice ; 10 nds.
Pont blindé.
Armement : II de 100 ou 105 mm (100 mm réalésé), I à chaque extrémité + II de 47 mm contre avions au milieu.
Observations :
A la demande du commandant en chef des armées, le service des constructions navales prépare au début de 1915 les plans de canonnières à faible tirant d'eau, pour agir sur les rivières et les canaux du Nord et de l'Est. En avril, trois projets sont soumis au département de la Guerre qui en retient deux. Le premier projet portera les 1ère et 2ème batteries, les chaloupes-canonnières de cette 3ème batterie seront issues du second projet. En août et septembre 1915, quatre à canons de 100 sortent des arsenaux de Brest et Lorient pour former une batterie, chaque batterie disposant d'un échelon de trois péniches pour porter le ravitaillement en munitions, charbon et matières diverses.
Des lieutenants de vaisseau commandent les batteries, des enseignes les canonnières ; des lieutenants d'artillerie assurent la liaison avec le commandement militaire. Le capitaine de vaisseau Schwerer, ancien commandant de l'Ecole d'application du tir à la mer, prend le commandement supérieur du groupe de canonniers marins.
1915 : affecté à la 3ème batterie mobile, LV Lecoq, commandant de batterie
11.09.1915 : arrive à son point de stationnement, Vaudemange, sur le canal de l’Aisne à la Marne. La 3ème y rejoint la 2ème batterie commandée par le LV Gignon sur zone depuis le 27 juillet. Toutes deux prennent une part très active à l'offensive de Champagne ; puis elles sont utilisées comme pièces de position.
Les canonnières font du tir indirect. A cet effet, elles s'amarrent en des points de la berge dont les coordonnées ont été déterminées à l'avance, et pointent au niveau et au goniomètre, en se servant de repères dont l'azimut a été déduit soit d'opérations topographiques, soit d'observations astronomiques. La précision de cette méthode, la rapidité de leur tir (3 coups par pièce et par minute) et de leur mise en action, leur champ de tir horizontal illimité, leur portée de 13 km. 5 pour les 10 et de 15 kilomètres pour les 14, leur mobilité qui leur permet de se soustraire à un bombardement trop gênant les rendent particulièrement précieuses pour les tirs sur les arrières et sur les objectifs fugitifs.
11.1915 : le CV Schwerer est promu contre-amiral
02.1916 : réorganisation de la batterie : les 2ème et 3ème batteries sont réorganisées en février 1916, et constituées chacune par deux canonnières de 14 et deux de 10. La 2ème opère sur l'Oise et l'Aisne, la 3ème reste sur le canal de l'Aisne à la Marne et participe aux diverses opérations de détail entreprises dans son secteur.
03.1916 : Le CA Schwerer est remplacé dans la fonction de commandant supérieur des canonniers marins par le capitaine de vaisseau Jehenne.
09.1916 : élevé au grade de capitaine de frégate, le LV Gignon de la 2ème batterie est nommé adjoint du CV Jehenne comme commandant des canonnières (le LV Olive le remplace à la tête de la 2ème batterie).
14.02.1917 : création de la Réserve Générale d’Artillerie Lourde (R.G.A.L.)
La batterie est affectée à la 3ème division de la R.G.A.L.
02.06.1917 : suite à la réorganisation, passe au 3ème groupe de canonnières fluviales nouvellement constitué, formé par les 4 canonnières H et I (ou E**) de la 2ème batterie et de K et L de la 3ème batterie.
Jusqu’en septembre 1917 : le 3ème groupe reste en Champagne
10.1917 : sur l’Aisne, dans la région de Soissons, pour l’offensive de la Malmaison (23 octobre 1917). Les 4 canonnières sont en batterie entre Condé et Vailly. Une pièce de 105 mm d’une canonnière sera avariée par l’éclatement prématuré d’un projectile, sans perte humaine.
12.1917 : la Marine ayant besoin de son personnel, les batteries de canonnières sont supprimées et le matériel renvoyé dans les ports. Quatre canonnières de 14 seront cependant réarmées en novembre 1918 pour la police du Rhin (Cruelle renommée Aisne, Décidée (à vérifier), Guerrière renommée Marne, H renommé Oise et E ou I** renommée Somme des 1ère et 2ème batteries).
Cordialement,
Franck
Après compléments et mises à jour, un topo en premier jet sur la IIIème batterie.
IIIème Batterie de Canonnières fluviales
K - Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 –1917) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
Brest
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 08 ou 09.1915
En service : 08 ou 09.1915
Retiré : fin 1917
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 chaudière ; 1 machine alternative ; 1 hélice ; 10 nds.
Pont blindé.
Armement : II de 100 ou 105 mm (100 mm réalésé), I à chaque extrémité + II de 47 mm contre avions au milieu.
Observations :
A la demande du commandant en chef des armées, le service des constructions navales prépare au début de 1915 les plans de canonnières à faible tirant d'eau, pour agir sur les rivières et les canaux du Nord et de l'Est. En avril, trois projets sont soumis au département de la Guerre qui en retient deux. Le premier projet portera les 1ère et 2ème batteries, les chaloupes-canonnières de cette 3ème batterie seront issues du second projet. En août et septembre 1915, quatre à canons de 100 sortent des arsenaux de Brest et Lorient pour former une batterie, chaque batterie disposant d'un échelon de trois péniches pour porter le ravitaillement en munitions, charbon et matières diverses.
Des lieutenants de vaisseau commandent les batteries, des enseignes les canonnières ; des lieutenants d'artillerie assurent la liaison avec le commandement militaire. Le capitaine de vaisseau Schwerer, ancien commandant de l'Ecole d'application du tir à la mer, prend le commandement supérieur du groupe de canonniers marins.
1915 : affecté à la 3ème batterie mobile, LV Lecoq, commandant de batterie
11.09.1915 : arrive à son point de stationnement, Vaudemange, sur le canal de l’Aisne à la Marne. La 3ème y rejoint la 2ème batterie commandée par le LV Gignon sur zone depuis le 27 juillet. Toutes deux prennent une part très active à l'offensive de Champagne ; puis elles sont utilisées comme pièces de position.
Les canonnières font du tir indirect. A cet effet, elles s'amarrent en des points de la berge dont les coordonnées ont été déterminées à l'avance, et pointent au niveau et au goniomètre, en se servant de repères dont l'azimut a été déduit soit d'opérations topographiques, soit d'observations astronomiques. La précision de cette méthode, la rapidité de leur tir (3 coups par pièce et par minute) et de leur mise en action, leur champ de tir horizontal illimité, leur portée de 13 km. 5 pour les 10 et de 15 kilomètres pour les 14, leur mobilité qui leur permet de se soustraire à un bombardement trop gênant les rendent particulièrement précieuses pour les tirs sur les arrières et sur les objectifs fugitifs.
11.1915 : le CV Schwerer est promu contre-amiral
02.1916 : réorganisation de la batterie : les 2ème et 3ème batteries sont réorganisées en février 1916, et constituées chacune par deux canonnières de 14 et deux de 10. La 2ème opère sur l'Oise et l'Aisne, la 3ème reste sur le canal de l'Aisne à la Marne et participe aux diverses opérations de détail entreprises dans son secteur.
03.1916 : Le CA Schwerer est remplacé dans la fonction de commandant supérieur des canonniers marins par le capitaine de vaisseau Jehenne.
09.1916 : élevé au grade de capitaine de frégate, le LV Gignon de la 2ème batterie est nommé adjoint du CV Jehenne comme commandant des canonnières (le LV Olive le remplace à la tête de la 2ème batterie).
14.02.1917 : création de la Réserve Générale d’Artillerie Lourde (R.G.A.L.)
La batterie est affectée à la 3ème division de la R.G.A.L.
02.06.1917 : suite à la réorganisation, passe au 3ème groupe de canonnières fluviales nouvellement constitué, formé par les 4 canonnières H et I (ou E**) de la 2ème batterie et de K et L de la 3ème batterie.
Jusqu’en septembre 1917 : le 3ème groupe reste en Champagne
10.1917 : sur l’Aisne, dans la région de Soissons, pour l’offensive de la Malmaison (23 octobre 1917). Les 4 canonnières sont en batterie entre Condé et Vailly. Une pièce de 105 mm d’une canonnière sera avariée par l’éclatement prématuré d’un projectile, sans perte humaine.
12.1917 : la Marine ayant besoin de son personnel, les batteries de canonnières sont supprimées et le matériel renvoyé dans les ports. Quatre canonnières de 14 seront cependant réarmées en novembre 1918 pour la police du Rhin (Cruelle renommée Aisne, Décidée (à vérifier), Guerrière renommée Marne, H renommé Oise et E ou I** renommée Somme des 1ère et 2ème batteries).
Cordialement,
Franck
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Le cœur des vivants doit être le tombeau des morts. André Malraux.
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Re: 3° Batterie de Canonnières Fluviales
Re,
L - Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 –1917) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
Lorient
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 08 ou 09.1915
En service : 08 ou 09.1915
Retiré : fin 1917
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 chaudière ; 1 machine alternative ; 1 hélice ; 10 nds.
Pont blindé.
Armement : II de 100 ou 105 mm (100 mm réalésé), I à chaque extrémité + II de 47 mm contre avions au milieu.
Observations* :
1915 : affecté à la 3ème batterie mobile, LV Lecoq, commandant de batterie
11.09.1915 : arrive à son point de stationnement, Vaudemange, sur le canal de l’Aisne à la Marne. La 3ème y rejoint la 2ème batterie commandée par le LV Gignon sur zone depuis le 27 juillet. Toutes deux prennent une part très active à l'offensive de Champagne ; puis elles sont utilisées comme pièces de position.
09.1915 : Champagne
14.02.1917 : création de la Réserve Générale d’Artillerie Lourde (R.G.A.L.)
La batterie est affectée à la 3ème division de la R.G.A.L.
02.06.1917 : suite à la réorganisation, passe au 3ème groupe de canonnières fluviales nouvellement constitué, formé par les 4 canonnières H et I (ou E**) de la 2ème batterie et de K et L de la 3ème batterie.
Jusqu’en septembre 1917 : le 3ème groupe reste en Champagne
10.1917 : sur l’Aisne, dans la région de Soissons, pour l’offensive de la Malmaison (23 octobre 1917). Les 4 canonnières sont en batterie entre Condé et Vailly. Une pièce de 105 mm d’une canonnière sera avariée par l’éclatement prématuré d’un projectile, sans perte humaine.
12.1917 : désarmé. La Marine ayant besoin de son personnel, les batteries de canonnières sont supprimées et le matériel renvoyé dans les ports.
M - Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 – ) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
Brest ou Lorient
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 08 ou 09.1915
En service : 08 ou 09.1915
Retiré : N. C.
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 chaudière ; 1 machine alternative ; 1 hélice ; 10 nds.
Pont blindé.
Armement : II de 100 ou 105 mm (100 mm réalésé), I à chaque extrémité + II de 47 mm contre avions au milieu.
Observations* :
1915 : affecté à la 3ème batterie mobile
09.1915 : Champagne
10.1917 : Aisne.
12.1917 : Désarmé. La Marine ayant besoin de son personnel, les batteries de canonnières sont supprimées et le matériel renvoyé dans les ports.
O - Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 – ) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
Brest ou Lorient
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 08 ou 09.1915
En service : 08 ou 09.1915
Retiré : N. C.
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 chaudière ; 1 machine alternative ; 1 hélice ; 10 nds.
Pont blindé.
Armement : II de 100 ou 105 mm (100 mm réalésé), I à chaque extrémité + II de 47 mm contre avions au milieu.
Observations* :
1915 : affecté à la 3ème batterie
09.1915 : Champagne
10.1917 : Aisne.
12.1917 : Désarmé. La Marine ayant besoin de son personnel, les batteries de canonnières sont supprimées et le matériel renvoyé dans les ports.
* Pour le détail des observations sur la IIIème batterie, voir chaloupe-canonnière K
** Diffère selon les sources
Sources :
Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre (…) LV Jean-Michel Roche
Les marins à terre, CV A. Thomazi, Payot, 1933
M. Guy François, que je remercie pour ses précieux renseignements
Cordialement,
Franck
L - Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 –1917) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
Lorient
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 08 ou 09.1915
En service : 08 ou 09.1915
Retiré : fin 1917
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 chaudière ; 1 machine alternative ; 1 hélice ; 10 nds.
Pont blindé.
Armement : II de 100 ou 105 mm (100 mm réalésé), I à chaque extrémité + II de 47 mm contre avions au milieu.
Observations* :
1915 : affecté à la 3ème batterie mobile, LV Lecoq, commandant de batterie
11.09.1915 : arrive à son point de stationnement, Vaudemange, sur le canal de l’Aisne à la Marne. La 3ème y rejoint la 2ème batterie commandée par le LV Gignon sur zone depuis le 27 juillet. Toutes deux prennent une part très active à l'offensive de Champagne ; puis elles sont utilisées comme pièces de position.
09.1915 : Champagne
14.02.1917 : création de la Réserve Générale d’Artillerie Lourde (R.G.A.L.)
La batterie est affectée à la 3ème division de la R.G.A.L.
02.06.1917 : suite à la réorganisation, passe au 3ème groupe de canonnières fluviales nouvellement constitué, formé par les 4 canonnières H et I (ou E**) de la 2ème batterie et de K et L de la 3ème batterie.
Jusqu’en septembre 1917 : le 3ème groupe reste en Champagne
10.1917 : sur l’Aisne, dans la région de Soissons, pour l’offensive de la Malmaison (23 octobre 1917). Les 4 canonnières sont en batterie entre Condé et Vailly. Une pièce de 105 mm d’une canonnière sera avariée par l’éclatement prématuré d’un projectile, sans perte humaine.
12.1917 : désarmé. La Marine ayant besoin de son personnel, les batteries de canonnières sont supprimées et le matériel renvoyé dans les ports.
M - Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 – ) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
Brest ou Lorient
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 08 ou 09.1915
En service : 08 ou 09.1915
Retiré : N. C.
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 chaudière ; 1 machine alternative ; 1 hélice ; 10 nds.
Pont blindé.
Armement : II de 100 ou 105 mm (100 mm réalésé), I à chaque extrémité + II de 47 mm contre avions au milieu.
Observations* :
1915 : affecté à la 3ème batterie mobile
09.1915 : Champagne
10.1917 : Aisne.
12.1917 : Désarmé. La Marine ayant besoin de son personnel, les batteries de canonnières sont supprimées et le matériel renvoyé dans les ports.
O - Chaloupe-canonnière fluviale type J (1915 – ) (Pas de nom de baptême répertorié)
Chantier :
Brest ou Lorient
Commencé : 1915
Mis à flot : 1915
Terminé : 08 ou 09.1915
En service : 08 ou 09.1915
Retiré : N. C.
Caractéristiques : 180 t ; 200 cv ; 28,5 x 5 x 1,9 m ; 1 chaudière ; 1 machine alternative ; 1 hélice ; 10 nds.
Pont blindé.
Armement : II de 100 ou 105 mm (100 mm réalésé), I à chaque extrémité + II de 47 mm contre avions au milieu.
Observations* :
1915 : affecté à la 3ème batterie
09.1915 : Champagne
10.1917 : Aisne.
12.1917 : Désarmé. La Marine ayant besoin de son personnel, les batteries de canonnières sont supprimées et le matériel renvoyé dans les ports.
* Pour le détail des observations sur la IIIème batterie, voir chaloupe-canonnière K
** Diffère selon les sources
Sources :
Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre (…) LV Jean-Michel Roche
Les marins à terre, CV A. Thomazi, Payot, 1933
M. Guy François, que je remercie pour ses précieux renseignements
Cordialement,
Franck
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Re: 3° Batterie de Canonnières Fluviales
Bonjour à tous,
Est-on sur que la canonnière fluviale J a existé ?
Elle n'apparait pas dans les articles publiés par Marc SAIBENE dans la revue Marines Magazine n°58 et dans la revue Marines et Forces navales n° 2 (hors-série de janvier 2011).
Et JM Roche émet un doute sur le navire dans son ouvrage....
A bientôt !
Est-on sur que la canonnière fluviale J a existé ?
Elle n'apparait pas dans les articles publiés par Marc SAIBENE dans la revue Marines Magazine n°58 et dans la revue Marines et Forces navales n° 2 (hors-série de janvier 2011).
Et JM Roche émet un doute sur le navire dans son ouvrage....
A bientôt !
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
3e Batterie de canonnières fluviales.
Bonsoir Marc,
Bonsoir à tous,
Bonsoir à tous,
Manifestement, la Canonnière fluviale J. ne semble pas avoir été engagée, sans que l'on en connaisse la cause.
— Lieutenant de vaisseau Joseph Louis MOAL : « Organisation des formations de marins à terre (1914~ 1919) », École de guerre navale, 1925, Monographie imprimée, 59 p. + 2 annexe. Spécialement p. 32.
— Lieutenant de vaisseau Joseph Louis MOAL : « Organisation des formations de marins à terre (1914~ 1919) », École de guerre navale, 1925, Monographie imprimée, 59 p. + 2 annexe. Spécialement p. 32.
Bien amicalement à vous,
Daniel.
Daniel.
Re: 3° Batterie de Canonnières Fluviales
Bonjour Daniel, bonjour à tous,
Il ne reste plus qu'à savoir si le navire J a été construit (ou s'il est resté en plan) ...
Je le conserve encore en base de données.
Il ne reste plus qu'à savoir si le navire J a été construit (ou s'il est resté en plan) ...
Je le conserve encore en base de données.
Cordialement / Best regards
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.
Marc.
A la recherche des navires et des marins disparus durant la Grande Guerre.